[ACCEPTE] Traité d'alliance avec la Bourgogne

Citation :

Sous l’égide du Très-Haut et de l’Aristotélicisme,

À iceux et icelles qui liront le présent écrit, salut!
À ceux et celles qui étudieront dans cent ans encore au sein de l’académie française les valeurs et les vertus de l’aujourd’hui d’alors, salut.

D’intérêt commun, d’amitié forte, d’amour réciproque, nous, Vaxilart de la Mirandole, Duc de Bourgogne et Phelim, Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné, entendons faire de cet acte l’alliance qui liera nos deux provinces.

Devant les chaines que notre renaissante société se voit imposer par la montée de l’écrit comme seule valeur universelle (notamment prêché par ceux qui ne sont démocrates qu’envers ce qu’ils ne contrôlent pas) à défaut de l’honneur (seule réelle garantie d’amitié) nous nous opposons unilatéralement à l’aliénation de notre libre arbitre par le présent texte. Ainsi, sachez que ce bout de vélin n’a et n’aura jamais nulle autre valeur que symbolique, que ce bout de vélin n’est et ne sera que l’anneau matériel représentant l’alliance divine entre nos provinces. Itou, que les mots et les lettres ornant ce dernier n’ont pour unique but que d’agrémenter sa peau de quelques fioritures purement esthétiques, et qu’ainsi, aucun mot, dit, ou écrit par bonne volonté ne saura forcer l’un ou l’autre à aller à l’encontre de ses convictions profondes, chaque dilemme ne devant être résolu qu’en considérant la réaction honorable et juste, visant le bien du plus grand nombre, et non le bien individuel de sa propre province.

Ce présent écrit n’est rien d’autre que l’étendard que nous brandirons fièrement chaque fois que Bourguignons et Lyonnais-Dauphinois combattront côte à côte! Ce présent écrit n’est que le signe de l’union libre et naturelle de nos deux provinces.

Sur notre honneur, nous jurons l’un envers l’autre, y engageant nos successeurs, de soutenir et de protéger la couronne inaliénable, le territoire et le peuple de l’un et de l’autre. Qu’à cette fin, nous prendrons les résolutions nécessaires à la coordination de nos forces et à la coopération de celles-ci.

Sachez donc, tous, présents et à venir, que la Bourgogne et le Lyonnais-Dauphiné se déclarent, par leur serment respectif, alliés et qu’en aucun cas l’un ne sera tenu envers l’autre de le protéger sur l’honneur si cet engagement devait remettre en doute sa Foy Aristotélicienne ou son allégeance au Roy de France.

Finalement, nous déclarons l’honneur seul garant de notre alliance, car c’est là la seule valeur intemporelle et suffisamment logique pour permettre alliance de bonne foi en bon terme.


À l’aide d’un encrier et d’une plume de cigogne,
Nous signons et scellons cette alliance pour l’éternité,
Vaxilart de la Mirandole, alors Duc de Bourgogne,
Phelim, alors fier Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné

Bon, j'avais dit au duc que j'aimais pas beaucoup les traités en longueur, je suis ravi qu'il en est fait un sous cette forme, spécialement pour moi. :)

Bien sur, la forme particulière, peut déplaire .. m'enfin, cela créerait un rapprochement d'autant plus intime avec la Bourgogne et cela finira de ramener le duché de notre côté, plutôt que dans celui de la ligue.

Et puis, ça fait vraiment comme si nous étions deux vieux duchés frères. Bref, j'aime beaucoup sous cette forme.

PS : Oui, normalement ça passe par la diplomatie, le but n'était pas de doubler les diplomates, je pense que c'est dans un élan d'engouement, que vaxilart me l'a fait passer directement à moi.

La forme ne me dérange pas plus que ça. C'est marrant à lire. Je me demande quand même si ce n'est pas plus facile de sceller à la cire qu'à la plume d'oie... Bref !

Le fond, en revanche, me dérange.
Quoique ...
Non plus, en fait. Le vide, ce n'est pas si dérangeant.

Si on enlève toutes les figures de style et les trucs pour faire joli, il reste ... rien. Enfin si :

• L'affirmation que ce n'est qu'un bout de parchemin inutile ;
  
• L'engagement à se soutenir etc, mais seulement si ceci, si cela, si plein de trucs ;
  
• L'honneur en garant de l'alliance, c'est-à-dire pas de garant, parce qu'on peut lui faire dire ce qu'on veut, à l'honneur.
  
• La soigneuse absence d'une clause d'annulation.

Balaise, le diplomate qui a écrit ça : un beau texte, plein de vide, parfait pour donner l'impression à l'autre partie contractante qu'elle a obtenu ce qu'elle voulait. Je dis

Comme je vous l'ai dit à part, l'engagement entre le Lyonnais-Dauphiné et la Bourgogne est morale et sur l'honneur (comme dit dans le traité) ... ce qui a plus d'importance aux yeux des hommes et qui est plus parlant que le fait que l'article 1 du traité IV.b ne soit pas respecté.

Y a rien dans ce bout de papier sinon dire qu'on est copains,l'intitulé est donc trompeur.

La Bourgogne renonce a entrer dans une alliance de plus grande ampleur avec nous? J'avoue être quelque peu déçu.

Il manque quoi?

Dites le au lieu de dire que c'est vide, sinon, nous n'avancerons jamais.

Je suppose que tout ceci est écrit sur la table de taverne où le Duc bourguignon et le Gouverneur dauphinois se sont saoulés?

Sans être aussi cru que NDJ, voici mon point du vue:

Il manque l'indication que ce n'est pas qu'un bout de papier et du serieux.

Il aurait été bon de pouvoir compter de manière sûre sur la Bourgogne, indiquant que nous nous porterions secours si nous en formulions la demande et que la chose ne mettrait pas en danger nos propres territoires.

Aussi, insérer une clause d'annulation.

NDJ a écrit:

Je suppose que tout ceci est écrit sur la table de taverne où le Duc bourguignon et le Gouverneur dauphinois se sont saoulés?

Criera .. criera pas ...

Tiens, vous êtes pas parti sauver Willy en Hollande vous?

Bien, merci Hazram, je vais essayer de corriger cela. D'autres choses qui manquent tant que j'y suis? Profitez, vous ne me verrez pas souvent tripoter des traités !!


Prend sa plume de cygogne et s'attele.

Evidemment si on modifie tout,on perd la spontanéité du 1er écrit,j'aimerais assez avoir l'avis de mon supérieur.

Voici une déclaration importante qui prouve que Vaxilart souhaite profondément conclure un traité avec nous,ils viennent de dénoncer leur traité artésien:

Citation :

À tous ceux qui ce présent écrit liront ou entendront, salut.

Nous, Vaxilart de la Mirandole, en notre titre de Duc de Bourgogne, annonçons à tout et chacun ce qui suit.

Au vu des divergences d’opinions et d’intérêts entre l’Artois et la Bourgogne.

Au vu de la confiance que la Bourgogne perd envers son allié dut notamment au fait que ces derniers tolèrent et considèrent comme légal la pratique de l’hérésie en leurs terres. Ce qui revient à considérer la seule foi Aristotélicienne comme une simple question opinion ou un choix de vie bien personnel alors que nous savons tous (d’expérience) que les hérétiques ne sont là que pour propager le vice, la haine et la guerre.

Au vu que ces dits hérétiques peuvent légalement prendre la tête du comté d’Artois, et que la chose s’est déjà produite dans un passé très rapproché, rendant par le fait même notre allié indisponible, et que nous devrions, mais ne pouvons engager par principe nos troupes à défendre l’hérésie selon les termes de notre alliance.

Au vu des tensions entre l’Artois et le Domaine Royal, que nos alliés nourrissent allègrement (qui sème le vent récolte la tempête). Puisque cette attitude risque un jour ou l’autre de placer la Bourgogne en conflit d’intérêt avec son statut de vassal de la Couronne de France.

Au vu de la retenu que je fais pour décrire les dissensions et les manières que prend l’Artois pour traiter son allié la Bourgogne.

Nous dénonçons officiellement aujourd’hui le traité d’alliance signé le 7 août 1454 à Arras nous alliant à l’Artois et déclarons ce dit traité caduc dès maintenant.

À cela ajoutons que, la Bourgogne ne quitte point ce traité suite aux événements opposant l’Artois et le Domaine Royal présentement, en ce dit conflit, l’Artois a raison de demander à ce que lumière soit faite sur l’incursion illégale d’une armée étrangère sur son territoire.

De même, la Bourgogne ne quitte point cette alliance par haine, mais par simple désengagement idéologique survenant avec ce qu’est aujourd’hui l’Artois. Le monde change, les duchés évoluent, certains se séparent, d’autres s’allient. Il en va ainsi de la vie, et ce serait bien fou de s’y opposer.

Finalement, afin de s’assurer que nul n’utilisera la présente dénonciation pour mener campagne militaire en Artois, la Bourgogne s’engage par la présente à défendre l’Artois si celui-ci se voyait victime d’une agression liée au conflit actuel l’opposant au Domaine Royal cité plus haut.


Que Dieu garde la France, la Bourgogne et l’Artois.


Faict à Dijon le 13e du moys d’Août MCDLVII

Vaxilart de la Mirandole,
Duc de Bourgogne, Vicomte de St-Fargeau, Baron d’Auxonne,
Là ou ailleurs!

Citation :

Sous l’égide du Très-Haut et de l’Aristotélicisme,

À iceux et icelles qui liront le présent écrit, salut!
À ceux et celles qui étudieront dans cent ans encore au sein de l’académie royale de France les valeurs et les vertus de l’aujourd’hui d’alors, salut.

D’intérêt commun, d’amitié forte, d’amour réciproque, nous, Vaxilart de la Mirandole, Duc de Bourgogne et Phelim, Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné, entendons faire de cet acte l’alliance qui liera nos deux provinces.

Devant les chaines que notre renaissante société se voit imposer par la montée de l’écrit comme seule valeur universelle (notamment prêché par ceux qui ne sont démocrates qu’envers ce qu’ils ne contrôlent pas) à défaut de l’honneur (seule réelle garantie d’amitié) nous nous opposons unilatéralement à l’aliénation de notre libre arbitre par le présent texte. Ainsi, sachez que ce bout de vélin n’a et n’aura jamais nulle autre valeur que symbolique, que ce bout de vélin n’est et ne sera que l’anneau matériel représentant l’alliance fraternelle entre nos provinces. Itou, que les mots et les lettres ornant ce dernier n’ont pour unique but que d’agrémenter sa peau de quelques fioritures purement esthétiques, et qu’ainsi, aucun mot, dit, ou écrit par bonne volonté ne saura forcer l’un ou l’autre à aller à l’encontre de ses convictions profondes, chaque dilemme ne devant être résolu qu’en considérant la réaction honorable et juste, visant le bien du plus grand nombre, et non le bien individuel de sa propre province.

Ce présent écrit n’est rien d’autre que l’étendard que nous brandirons fièrement chaque fois que Bourguignons et Lyonnais-Dauphinois combattront côte à côte! Ce présent écrit n’est que le signe de l’union libre et naturelle de nos deux provinces.

Sur notre honneur, nous jurons l’un envers l’autre, y engageant nos successeurs, de soutenir et de protéger la couronne inaliénable, le territoire et le peuple de l’un et de l’autre sans pour autant mettre en péril notre propre territoire. Qu’à cette fin, nous prendrons les résolutions nécessaires à la coordination de nos forces et à la coopération de celles-ci.

Sachez donc, tous, présents et à venir, que la Bourgogne et le Lyonnais-Dauphiné se déclarent, par leur serment respectif, alliés et qu’en aucun cas l’un ne sera tenu envers l’autre de le protéger sur l’honneur si cet engagement devait remettre en doute sa Foy Aristotélicienne ou son allégeance au Roy de France.

Finalement, nous déclarons l’honneur seul garant de notre alliance, car c’est là la seule valeur intemporelle et suffisamment logique pour permettre alliance de bonne foi en bon terme.

Si un jour, la ligne de conduite du Lyonnais-Dauphiné devait s'éloigner radicalement de celle de la Bourgogne, et après dénonciation du présent traité par un de nos successeurs, puisse alors au bout de 7 jours, ce parchemin s'enflammer, et l'alliance que nous passons aujourd'hui voler en éclat.

À l’aide d’un encrier et d’une plume de cigogne,
Nous signons et scellons cette alliance pour l’éternité,
Vaxilart de la Mirandole, alors Duc de Bourgogne,
Phelim, alors fier Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné

Ce n'est pas par plaisir que je me répète. Mais on a toujours :

• L'affirmation que ce n'est qu'un bout de parchemin inutile ;
  
• L'engagement à se soutenir etc, mais seulement si ceci, si cela, si plein de trucs ;
  
• L'honneur en garant de l'alliance, c'est-à-dire pas de garant, parce qu'on peut lui faire dire ce qu'on veut, à l'honneur.

Citation :

Sous l’égide du Très-Haut et de l’Aristotélicisme,

À iceux et icelles qui liront le présent écrit, salut!
À ceux et celles qui étudieront dans cent ans encore au sein de l’académie royale de France les valeurs et les vertus de l’aujourd’hui d’alors, salut.

D’intérêt commun, d’amitié forte, d’amour réciproque, nous, Vaxilart de la Mirandole, Duc de Bourgogne et Phelim, Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné, entendons faire de cet acte l’alliance qui liera nos deux provinces.

Devant les chaines que notre renaissante société se voit imposer par la montée de l’écrit comme seule valeur universelle (notamment prêché par ceux qui ne sont démocrates qu’envers ce qu’ils ne contrôlent pas) à défaut de l’honneur (seule réelle garantie d’amitié) nous nous opposons unilatéralement à l’aliénation de notre libre arbitre par le présent texte. Ainsi, sachez que ce bout de vélin n’a et n’aura jamais nulle autre valeur que symbolique, que ce bout de vélin n’est et ne sera que l’anneau matériel représentant l’alliance fraternelle entre nos provinces. Itou, que les mots et les lettres ornant ce dernier n’ont pour unique but que d’agrémenter sa peau de quelques fioritures purement esthétiques, et qu’ainsi, aucun mot, dit, ou écrit par bonne volonté ne saura forcer l’un ou l’autre à aller à l’encontre de ses convictions profondes, chaque dilemme ne devant être résolu qu’en considérant la réaction honorable et juste, visant le bien du plus grand nombre, et non le bien individuel de sa propre province.

Ce présent écrit n’est rien d’autre que l’étendard que nous brandirons fièrement chaque fois que Bourguignons et Lyonnais-Dauphinois combattront côte à côte! Ce présent écrit n’est que le signe de l’union libre et naturelle de nos deux provinces.

Sur notre honneur, nous jurons l’un envers l’autre, y engageant nos successeurs, de soutenir et de protéger la couronne inaliénable, le territoire et le peuple de l’un et de l’autre sans devoir, afin de respecter cet engagement, mettre en péril la sécurité de l'un ou de l'autre. Qu’à cette fin, nous prendrons les résolutions nécessaires à la coordination de nos forces et à la coopération de celles-ci.

Sachez donc, tous, présents et à venir, que la Bourgogne et le Lyonnais-Dauphiné se déclarent, par leur serment respectif, alliés et qu’en aucun cas l’un ne sera tenu envers l’autre de le protéger sur l’honneur si cet engagement devait remettre en doute sa Foy Aristotélicienne ou son allégeance au Roy de France.

Finalement, nous déclarons l’honneur seul garant de notre alliance, car c’est là la seule valeur intemporelle et suffisamment logique pour permettre alliance de bonne foi en bon terme.

Si un jour, il advenait qu'un de nos successeurs dussent (ou dusse?) se désengager formellement de cette alliance, celui-ci devra présenter une dénonciation du présent traité au moins sept jours avant l'annulation de ce dernier.

À l’aide d’un encrier et d’une plume de cigogne,
Nous signons et scellons cette alliance pour l’éternité,
Vaxilart de la Mirandole, alors Duc de Bourgogne,
Phelim, alors fier Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné

On y a apporté quelques modifs avec Vaxi hier soir.

Anne, tout les traités sont tenus par l'honneur. Les compensations financières n'empêchent pas de faire croire qu'on ne peut envoyer dans le duché qui a besoin d'aide plus de deux soldats ou 200 écus .. et les si concernent la couronne et la religion, conduite que nous n'avons pas l'intention de modifier.

Donc, je ne vois pas trop le problème à ce niveau là, pour ça que je n'ai pas corrigé.

J'ai parcouru tout ceci rapidement, je prends note de l'intention.

Je vous donne mon avis dès que possible.

Dans 4 jours Vaxilart ne sera plus duc, et j'aimerais beaucoup le signer avec lui Saga.

Voici mon point de vue sur le texte.

Je ne pense pas que nous puissions conclure et renforcer nos liens avec la Bourgogne aussi rapidement.

Je comprends que les liens ont, de facto, été renforcés par l'aide que nous leur avons apporté. Je comprends également qu'une amitié entre nos deux régnants poussent à un tel accord.

La volonté bourguignonnes de s'allier officiellement avec nous n'est pas récente, cela fait sans doute bien deux mandats que cela traîne (sans vouloir aller chercher plus loin).

Je rappelle que notre politique a toujours été celle des mains libres (exception faite de la politique dite de Lothaire, il y a quelque temps). D'où une certaine volonté de liquider nos alliances provençales et milanaises. Cependant nous sommes toujours pris en savoie et je ne verrais pas d'un mauvais oeil un grand rapprochement avec la Bourgogne.

Je demande donc qu'un tel projet soit pensé plus en profondeur. (Je rappelle que mon retour à plein temps se fera dans une semaine et que j'aurai le temps nécessaire pour mener ce genre de projets).

Pour ne pas perdre ce qui a été fait et rédiger, je propose à Leurs Grasces de transformer leur traité en lettre ouverte de bonnes intentions.

Quand à moi je pense qu'il faut battre le fer tant qu'il est encore chaud. Ce traité pourra être modifié par la suite sans soucis, en attendant, je pense qu'il vaut mieux confirmer notre rapprochement, plutôt que de laisser entendre que maintenant, c'est chacun chez soi. (surtout qu'ils changent de duc après demain, et faudra alors tout recommencer)

Qui est plus, il s'agit là, juste d'un traité d'entraide militaire, que nous respecterons avec ou sans traité toujours, car ne pas aider notre voisin en difficulté, c'est ne pas nous servir également si on vient chez nous ensuite.

Donc, je le mets au vote du conseil, celui-ci tranchera.

Citation :

Sous l’égide du Très-Haut et de l’Aristotélicisme,

À iceux et icelles qui liront le présent écrit, salut!
À ceux et celles qui étudieront dans cent ans encore au sein de l’académie royale de France les valeurs et les vertus de l’aujourd’hui d’alors, salut.

D’intérêt commun, d’amitié forte, d’amour réciproque, nous, Vaxilart de la Mirandole, Duc de Bourgogne et Phelim, Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné, entendons faire de cet acte l’alliance qui liera nos deux provinces.

Devant les chaines que notre renaissante société se voit imposer par la montée de l’écrit comme seule valeur universelle (notamment prêché par ceux qui ne sont démocrates qu’envers ce qu’ils ne contrôlent pas) à défaut de l’honneur (seule réelle garantie d’amitié) nous nous opposons unilatéralement à l’aliénation de notre libre arbitre par le présent texte. Ainsi, sachez que ce bout de vélin n’a et n’aura jamais nulle autre valeur que symbolique, que ce bout de vélin n’est et ne sera que l’anneau matériel représentant l’alliance fraternelle entre nos provinces. Itou, que les mots et les lettres ornant ce dernier n’ont pour unique but que d’agrémenter sa peau de quelques fioritures purement esthétiques, et qu’ainsi, aucun mot, dit, ou écrit par bonne volonté ne saura forcer l’un ou l’autre à aller à l’encontre de ses convictions profondes, chaque dilemme ne devant être résolu qu’en considérant la réaction honorable et juste, visant le bien du plus grand nombre, et non le bien individuel de sa propre province.

Ce présent écrit n’est rien d’autre que l’étendard que nous brandirons fièrement chaque fois que Bourguignons et Lyonnais-Dauphinois combattront côte à côte! Ce présent écrit n’est que le signe de l’union libre et naturelle de nos deux provinces.

Sur notre honneur, nous jurons l’un envers l’autre, y engageant nos successeurs, de soutenir et de protéger la couronne inaliénable, le territoire et le peuple de l’un et de l’autre sans devoir, afin de respecter cet engagement, mettre en péril la sécurité de l'un ou de l'autre. Qu’à cette fin, nous prendrons les résolutions nécessaires à la coordination de nos forces et à la coopération de celles-ci.

Sachez donc, tous, présents et à venir, que la Bourgogne et le Lyonnais-Dauphiné se déclarent, par leur serment respectif, alliés et qu’en aucun cas l’un ne sera tenu envers l’autre de le protéger sur l’honneur si cet engagement devait remettre en doute sa Foy Aristotélicienne ou son allégeance au Roy de France.

Finalement, nous déclarons l’honneur seul garant de notre alliance, car c’est là la seule valeur intemporelle et suffisamment logique pour permettre alliance de bonne foi en bon terme.

Si un jour, il advenait qu'un de nos successeurs dût se désengager formellement de cette alliance, celui-ci devrait présenter une dénonciation du présent traité au moins sept jours avant l'annulation de ce dernier.

À l’aide d’un encrier et d’une plume de cigogne,
Nous signons et scellons cette alliance pour l’éternité,
Vaxilart de la Mirandole, alors Duc de Bourgogne,
Phelim, alors fier Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné

a voté.

A Voté

Je maintiens mon avis que ce texte ne doit pas s'intituler traité. Ce ne doit être qu'une reconnaissance.

Je ne vote pas.

A voté !

a voté.

Je me fie aux avis des experts du domaine.

A voté