[LIEU] Taverne du camp

Lotus sourit en entendant Thierry.
Elle se tourna vers le tavernier et lui dit :

Tavernier ! Clairette pour tout le monde !
C'est Thierry qui régale!

Halis entendit Thierry qui cherchait Zoyas.

Salut Thierry, Zoyas m'a dit qu'elle ne se sentait pas bien alors elle va rester au lit pour la journée.


(hrp elle est en mode tamago jusqu'à ce soir je crois)

(oui je sais ^^ merci ^^)

Ah elle se sent pas bien... Ce n'est rien de grave dis-moi ?
J'espère qu'elle ira mieux ce soir pour la fête

Thierry espérai que sa douce n'était pas trop malade...

Viens prendre un verre avec nous

Le tavernier apporta à boire

Thierry tendi un verre à Espoire qui le pris sans se faire prier puis tendi un verre à halis

A l'OST ^^

Lotus avait aidé toute l'après midi Thierry à décorer la taverne



Ils avaient installé une table qu'ils avaient garnie de nourriture


ainsi qu'une table avec une pile de verre remplie de clairette


Il s'était placé au milieu et attendait sa belle un bouquet à la main

et un écrin dans l'autre main.

Zoyas, qui avait été malade quelques jours, la fumée sans doute, à son arrivée dans la ville, coommencait à se remettre doucement.

Elle sortit enfin du dortoir où elle s'était cloitrée, car elle avait deux pressentiments :

• Son tendre amour était enfin arrivé, comme promis, aujourd'hui, et ne manquerait sans doute pas de l'attendre en taverne, la connaissant bien, mais ne sachant pas son état faiblard,
  
• La clairette coulerait à flot car Lotus devait, lui semblait il, rentrer de patrouille...
  

Entrant dans la taverne :

Bonjour à TOus !

Lotus ! Comment vas tu ? Ta patrouille c'est bien passée ?

Zoyas faisait mine de ne pas voir Thierry, qui petit à petit se décomposait, mais, bien vite, l'envie de se retrouver enfin dans ses bras reprit le dessus.

Elle se jeta littéralement sur son amour, le faisant perdre l'équilibre, et ils se retrouvèrent les quatres fers en l'air.

Thierry !
J'espère que le voyage retour s'est bien passé !
Tu m'a manqué, si tu savais !

Thierry se leva puis releva sa tendre Zoyas

Mon amour toi aussi tu m'as manqué terriblement.

Il rammassa le bouquet qui s'était un tout petit peu habimé dans la chute et lui tendit

C'est pour toi mon coeur, j'ai été trop longtemps absent et je le regrette

Puis il la regarda dans les yeux et lui dit

Ma chère Zoyas, nous sommes ensemble depuis déjà tant de temps… j’ai l’impression que l’on l’a toujours été.
Et c’était justement ici que nous avons commencé à éprouver des sentiments forts l’un pour l’autre, je sais que tu n’as pas oublié cette fameuse alerte dans cette même taverne.
Moi je me souviens encore de ce doux instant
Après j’ai du être séparé de toi durant ce long mois et demi et pendant tu as été attaquée. Mais passons ces douloureux incidents, tout ça pour dire que ceci a renforcé mes sentiments envers toi et qu’à présent je t’aime comme un fou et plus que tout.
Et j’ai trouvé l’occasion parfaite pour mon retour, d’être à nouveau à la taverne de la garnison de Dié pour une alerte pour officialiser notre union.

Thierry les yeux scintillants de mille feux se met à genoux devant sa douce Zoyas


Ce matin prêt de moi s'est posé un pigeon
comme je lui confiait les secrets de mon coeur
il est partit vers toi le pigeon voyageur
mais je sais que demain l'oiseau va revenir
et avec ta réponse me rendre le sourir
Ô, Zoyas, mon ange, veux-tu être ma femme ?

Il sortit la bague qu’il avait rapporté de Touraine et la tendit à la sublime jeune femme.

Thierry et Lotus avaient à peine fini de tout préparer que Zoyas entra.

Bonjour Zoyas !
Heureuse de te revoir!
Ben ma patrouille a été d'un calme encore jamais inégalée...

Elle regarda Zoyas en lui montrant Thierry d'un signe de menton. C'était quand même dingue qu'elle ne le voit pas...

Elle rigola quand elle l'a vit sauter sur le pauvre homme qui était en train de se décomposer et qu'ils se retrouverent par terre.

*Sacrées retrouvailles* pensa-t-elle

Puis elle écouta Thierry faire son annonce et attendit la réaction de Zoyas....

Zoyas, qui, toujours légère, comme à son habitude, ne s'attendait pas à cette demande, eut le souffle coupé quelques secondes.

Autour d'elle, plus personne, que Thierry qui lui tendait un bouquet, lui parlait, lui posait une question...

Mais ces oreilles n'entendaient plus, son coeur battait à tout rompre, son corps devenait mou, ses moites, et le sang battait à ses tempes.

Jamais Zoyas n'avait ressentit cela.

Elle regardait Thierry, bouche bée, qui lui tendait une merveilleuse bague, digne d'une princesse.

Le méritait elle ?
Lui, si gentil et affectueux, si doux en sa présence, mais pourtant si valeureux et fort au combat !
Lui, qui a tant d'humour, qui sait à chaque instant lui redonner sourire et joie de vivre, et qui pourtant sait mener un groupe d'hommes à la bataille sans sourciller et se faire respecter !
Lui encore, à la fois si engagé dans la vie de son village, comme elle, engagé dans son travail, dans l'Ost, mais qui toujours à su conserver tous ces petits moments d'intimité dans leur relation...

Zoyas n'avait jamais entendu de mots plus doux prononcés pour elle.
Des larmes de bonheur roulèrent sur sa joue, elle prit la bague d'une main tremblante, se jeta dans les bras de son tendre, enfouissant son visage dans son cou pour tenter de cacher son émotion.

Puis, de longues minutes plus tard, sans avoir dit un mot, elle relacha enfin son étreinte, regarda son amour dans les yeux et lui répondit :

Je ne suis pas douée pour les discours, tu le sais, aussi, je ne dirais qu'une chose, mon tendre :

Je ferais tout, tant que la vie ne nous aura pas quittée l'un ou l'autre, pour te servir dignement, pour te donner la joie et le bonheur que tu mérite, pour te donner une descendance dont tu seras fière, et faire de toi l'homme le plus heureux de tout le royaume !

Zoyas était heureuse comme jamais elle ne l'avait été.

Elle regardait toujours son futur mari lorsque, discretement, Lotus apportait des verres qui étaient posés sur une table au fond de la taverne.

ZOyas la regarda, pleine de joie, et lui dit :

Lotus, tu es témoin de notre amour, fais nous l'honneur, en tant qu'amie, d'être l'une de mes témoins !

Elle prit l'un des verres, en donna un à Thierry, et tous trois les levèrent pour trinquer...

Halis avait assisté à la scène avec un grand sourire, très content pour ces amis. Ils nageraient encore plus dans le bonheur maintenant qu'il allait se marier

Il leva sa choppe!

Félicitation! Vive les mariés!

*Il faut que je le dise à Nyna* pensa-t-il *à moins que je leur laisse le plaisir*

Elle va bientôt revenir, ne t'inquiète pas

De la cuisine où il mettait une dernière main à la patte, MacCornell reconnut la voix de Zoyas. Elle doit enfin se sentir mieux ! Enfournons d'abord la pâte et puis j'irai la saluer. Tout occupé par ses préparations, MacCornell en sortit et laissa tout en plan lorsqu'il entendit une voix qu'il connaissait bien, celle de Halis, féliciter des mariés. Il entra dans la partie de consommation et vit Zoyas un bouquet de fleurs rouges à la main et un verre.

Félicitations à tous les deux. Si je comprends bien vous allez vous marier ! J'vais donc servir de page... ?

Quand je pense que j'ai dû faire des pompes pour avoir osé dire tout haut ce qui se révèle avoir été une prophécie.

MacCornell pris un verre et pour célébrer l'heureux événement et trinquer avec les fêtards. C'est alors qu'une fumée noire sorti des cuisines.

Mes pâtisseries !! dit-il en courant en cuisine.

Zoyas voyait tous ses amis entrer un à un pour les féliciter.
Le bruit de cette demande avait fait, semble t il, le tour de la ville et de la garnison !

Merci à tous d'être là, je suis vraiment heureuse !

Je regrette que cela ce fasse en de pareils moments, mais cela prouve qu'il y a toujours de la vie et du bonheur, mêmedans les pires instants d'une ville assiégée !

Zoyas embrassa un à un chacun de ses amis, lorsque tout à coup, un messager arriva pour demander de l'aide à la porte Ouest.

Sans plus attendre, Zoyas et ses compatriotes partirent donc prêter main forte sur place.