| | [Débat] futurs projets | |
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+5Gerbo Guidel Phelim Walan shadowofdead 9 participants | |
Auteur | Message |
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Kernos
Nombre de messages : 3801 Age : 48 Localisation IG : Die Date d'inscription : 05/04/2007
| Sujet: Re: [Débat] futurs projets Lun 5 Nov 2007 - 12:44 | |
| En fouillant sur la toile, j'ai découvert un petit site qui contenait la reconstitution du maniement de la pique autour des 1480s chez les compagnies d'ordonnances, j'en ai fait une synthèse (sauf la dernière partie qui traitait de l'ordre de marche et de bataille d'une compagnie d'une 40aine de piquiers) et je vous la livre, si quelqu'un est intéressé. - Citation :
- Du Combat à la Pique
Exemple selon une compagnie de piquiers des ordonnances du royaume de France en 1480, basé sur les sources iconographiques de la seconde moitié du XVe et couplé avec les manuels de piquiers du début XVIIe (manque de sources d’époques pour les ordres du XVe)
Le maniement individuel de la pique :
Les mouvements de base :
- « Pique à terre » (position d’attente ou de repos) : Corps droit, pieds côte à côte et talon de la pique en terre sur le côté. - « Haut la pique » (mouvement intermédiaire et manœuvre) : Corps droit, pieds côte à côte, pique droite à l’épaule, le talon dans le creux de la main droite. - « Avancez la pique » (mouvement intermédiaire, préparation au combat) : Corps droit, jambe gauche en avant, pique inclinée vers l’avant, talon dans le creux de la main droite et la main gauche en avant en soutien.
Les mouvements de déplacement :
- « Pique de biais » (déplacement sur courte distance) : Corps droit, marche, pique inclinée vers l’arrière sur l’épaule et talon dépassant sur l’avant. - « Pique traînante » (déplacement sur longue distance) : Corps droit, marche, main tenant la pique derrière le fer et le talon traînant par l’arrière.
Les mouvements de combat :
- « Pointez la pique » (assaut et défense) : Corps droit, jambe gauche en avant, pique à la hanche, talon dans la main droite, main gauche en avant en soutien par le dessous. - « Chargez la pique » (assaut et défense dans une moindre mesure) : Corps droit, jambe gauche en avant, pique à la hauteur des épaules, talon dans la main droite en arrière, main gauche en avant avec le coude plié en soutien . - « Contre la cavalerie, réception de charge » (défense contre la cavalerie) : Corps arc-bouté vers l’avant, pied gauche plié en avant, pied droit tendu en arrière, talon de la pique fichée dans le sol derrière le pied droit, les mains soutiennent l’arme.
Les manœuvres en dizaines :
Une dizaine est composée de 10 piquiers et d’un dizainier qui assume le commandement de l’unité. Il est armé d’une arme d’hast. Ces mouvements s’effectuent dans la position « Haut la pique ».
Mouvement de rassemblement/dispersion :
- « Rassemblement en la manière d’une colonne par x » : rassemblement en général en colonnes par deux. - « Dispersez-vous » : dispersion sans idée de manœuvre.
Mouvement de pied ferme :
- « Par la dextre/senestre, conversion » : Quart de tour à droite/gauche. - « Par la dextre, demi-tour » : Demi-tour à droite.
Mouvement de déplacement :
- « En avant marche » : départ, pied gauche en avant en suivant le dizainier ou la direction qu’il indique. - « Votre attention, halte » : arrêt, à halte faire encore un pas en avant et ramener le pied arrière contre le pied avant. - « Sur la dextre/senestre, marche » : changement de direction à droite/gauche en suivant le dizainier et en obliquant au point précis où il a lui-même changé de direction.
Les manœuvres en compagnie
Une compagnie est composée de plusieurs dizaines et de leurs dizainiers respectifs, placés sous le commandement d’un capitaine, armé d’une épée, qui dirige aussi les éléments rattachés comme les musiciens ou une dizaine d’hommes de traits. Les dizainiers reprennent les ordres du capitaine pour que toute la compagnie les entendent et s’assurent que les piquiers tiennent leur position et l’alignement des rangs.
Les mouvements des compagnies reprennent ceux des dizainiers plus ces quatre autres :
- « Roue à dextre/senestre, marche » : changement de direction de l’ensemble de l’unité dont le pivot est le piquier à l’avant, du côté vers lequel l’unité tourne, il doit rester fixe et pivoter doucement, alors que les hommes à l’autre extrémité doivent allonger le pas pour accélérer. Il est plus aisé à réaliser ce changement en conservant l’alignement quand les soldats sont épaules à épaules avec le voisin situé du côté vers lesquels ils tournent. - « Formez le hérisson » : mise en cercle de la compagnie, les piquiers au bord du carré se tournent vers l’extérieur (ceux des flancs et de la dernière rangée), celui du centre avance d’environ 4 pas, les piquiers autour se forment en cercle, l’ensemble de ceux au milieu comble les trous. - « Dizainiers, à moi » : rassemblement des dizainiers autour du capitaine pour prise d’ordres, reprise de commandement par les dizainiers, etc… - « Serrez les rangs » : resserrement lors de laformation du carré, avant combat, etc…
Source : http://www.guerriers-avalon.org/strasburg/piques.html | |
| | | Walan
Nombre de messages : 13397 Localisation IG : Vienne Date d'inscription : 11/06/2006
| Sujet: Re: [Débat] futurs projets Lun 5 Nov 2007 - 19:02 | |
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| | | Nynaeve87
Nombre de messages : 19593 Age : 113 Localisation IG : Embrun Date d'inscription : 30/04/2007
| Sujet: Re: [Débat] futurs projets Lun 5 Nov 2007 - 20:19 | |
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| | | Phelim
Nombre de messages : 9994 Age : 36 Localisation IG : Lyon Date d'inscription : 27/09/2005
| Sujet: Re: [Débat] futurs projets Lun 5 Nov 2007 - 22:30 | |
| Super | |
| | | Kernos
Nombre de messages : 3801 Age : 48 Localisation IG : Die Date d'inscription : 05/04/2007
| | | | Akron_L_Alsacien
Nombre de messages : 1459 Localisation IG : Briançon Date d'inscription : 13/10/2006
| Sujet: Re: [Débat] futurs projets Mar 6 Nov 2007 - 20:28 | |
| Très intructif ! Pis je viens de me rendre compte qu'au niveau des mouvements de pieds ferme....l'armée actuelle n'a pas inventé grand chose | |
| | | Walan
Nombre de messages : 13397 Localisation IG : Vienne Date d'inscription : 11/06/2006
| Sujet: Re: [Débat] futurs projets Mar 6 Nov 2007 - 20:33 | |
| Par contre en allant sur le site et en regardant les photos euh ... hem ... je voudrais pas paraitre méchant mais je doute que si les piquiers se tenaient comme ça ils aient beaucoup de chances de survie | |
| | | Akron_L_Alsacien
Nombre de messages : 1459 Localisation IG : Briançon Date d'inscription : 13/10/2006
| Sujet: Re: [Débat] futurs projets Mar 6 Nov 2007 - 20:51 | |
| Oui mais c'est des piquiers de la milice de Strasbourg ! Des dingues ! Invicibles ces Alsaciens. D'ailleurs vous savez que personnellement je m'habille encore tous les jours avec ce joli costume rouge et blanc Fashion | |
| | | Kernos
Nombre de messages : 3801 Age : 48 Localisation IG : Die Date d'inscription : 05/04/2007
| Sujet: Re: [Débat] futurs projets Mar 6 Nov 2007 - 21:12 | |
| Il faudrait leur demander s'ils ont essayé en condition réelle Plus sérieusement, les personnes posant n'ont pas du tout une attitude martiale, on a l'impression qui vont à la pêche (aux moules bon je ) plutôt qu'au combat, en plus ils ont des lances pas des piques (et les costumes... n'en parlons pas, je me suis pas remis de leur pantalon), mais si tu prends des gars motivés qui ont de l'allure et de la prestance (et qui ne sourient pas comme des glands) je pense que ça change tout. | |
| | | Walan
Nombre de messages : 13397 Localisation IG : Vienne Date d'inscription : 11/06/2006
| Sujet: Re: [Débat] futurs projets Mar 6 Nov 2007 - 21:46 | |
| Bon, ça me rassure de voir que je suis pas le seul à trouver qu'il vaut mieux avoir juste le texte que le texte et les photos | |
| | | Kernos
Nombre de messages : 3801 Age : 48 Localisation IG : Die Date d'inscription : 05/04/2007
| Sujet: Re: [Débat] futurs projets Mer 7 Nov 2007 - 12:05 | |
| C'est pour ça que je me suis contenté de mettre le texte, sans les photos, j'ai juste expérimenté moi-même les indications avec un bâton de 2 mètres pour voir si c'était réaliste... ça l'est mais je ne me suis fais chargé par personne donc pour l'efficacité... Sinon, dans peu de temps, j'aurai à disposition une synthèse sur l'artillerie au Moyen Âge, ça vous intéresse? | |
| | | samarel
Nombre de messages : 4340 Localisation IG : Montélimar Date d'inscription : 20/08/2006
| | | | Nynaeve87
Nombre de messages : 19593 Age : 113 Localisation IG : Embrun Date d'inscription : 30/04/2007
| | | | Kernos
Nombre de messages : 3801 Age : 48 Localisation IG : Die Date d'inscription : 05/04/2007
| Sujet: Re: [Débat] futurs projets Mer 7 Nov 2007 - 13:39 | |
| Kernos se mit au garde-à-vous devant le nouveau Capitaine.Mes respects, mon Capitaine !
J'apporte quelques documents qui s'ajouteront à notre connaissance des engins à poudre et des travaux de messire Zwyrowsky. - Citation :
ARTILLERIES
« Artillerie » vient du vieux français « atillier » : parer, orner avec soin, arranger. « Atil » : ornement, armure, équipement « Attillement » : attirail « Artillier » apparut sous l’influence du mot « art » « Artillier » : fabricant d’engins de guerre, surtout offensifs. (sens attesté début XIVe)
« Artillerie » désigna longtemps l’ensemble des engins de guerre, même si on qualifie de plus en plus les canons par l’expression « pièces d’artillerie » pour les distinguer du reste. L’artillerie à poudre mit du temps à supplanter l’usage de celle à trébuchet, en grande partie à cause de la médiocrité de son efficacité durant longtemps, jusqu’aux progrès dans la confection de la poudre à canon et le remplacement des boulets en pierre par ceux en fonte qui lui permirent de l’emporter sur l’ancienne artillerie.
LA FIN DE L’ARTILLERIE A TREBUCHET
L’artillerie à trébuchet (ou à balancier) était considérée vers 1300, comme une prouesse technologique, leurs constructeurs et spécialistes étant hautement considérés notamment par les Grands. Le début de la Guerre de Cent ans voit un grand nombre de ces « engins » (terme le plus courant, à côté duquel il faut joindre « martinets », «engins volants», «truies», «bricoles», «couillarts», «biffes», «tripants», «perrières» et «mangenneaux») à l’ouvrage. Lors des sièges, les assiégeants tout comme les assiégés font appel aux services des «mestres engneours» pour se doter d’une artillerie pour ouvrire des brèches dans les murailles et les portes pour les uns, et détruire les engins adverses pour les autres. Aux côtés de cette artillerie traditionnelle, on voit s’adjoindre progressivement des canons.
La popularité des engins se poursuit, du moins en France, jusque vers 1460, comme en témoignent de nombreux inventaires, mais le déclin de leur utilisation se fait sentir avec des apparitions de plus en plus épisodiques dans les années 1450, marquant un tournant dans l’histoire de l’artillerie.
POUDRES ET BOULETS
Les recettes de poudre abondent depuis le XIIIe siècles, avec des variantes dans les proportions des trois ingrédients fondamentaux : le salpêtre, le soufre et le charbon de bois, dans les proportions suivantes au milieu du XVe siècle, pour Francesco di Giorgio Martini :
- Poudre pour bombarde lançant des boulets d’au moins 200 livres : 50% de salpêtre, 28,6% de soufre et 21,4% de charbon ; - Poudre pour bombarde plus petite et espingarde : 57,1% de salpêtre, 28,6% de soufre et 14,3% de charbon ; - Poudre pour passevolant, basilic et cerbotane : 61,5% de salpêtre, 23,1% de soufre et 15,4% de charbon ; - Poudre pour arquebuse et escopette : 73,7% de salpêtre, 15,8% de soufre et 10,5% de charbon.
(Pour nos spécialistes contemporains, le pourcentage idéal est de 74,64% de salpêtre, 11,85% de soufre et 13,51% de charbon ; chose presque attente pour les canonniers de la fin XVe) L’important n’était pas d’utiliser le mélange le plus efficace mais que la pièce d’artillerie résiste à l’explosion. La qualité de la poudre dépendait aussi de son homogénéité, de sa finesse et de sa rapidité à s’enflammer, éléments acquis de manière pragmatiques par les spécialistes de la fin du Moyen Âge. Dès le milieu XIVe, une recette anglaise préconise de moudre la poudre sur une pierre de marbre et de l’aérer (« bulleter ») grâce à un linge fin, on recourut plus tard au moulin à poudre mu par des chevaux. L’instabilité du mélange provoquait des désagréments car une secousse pouvait le décomposer (la salpêtre plus lourde se retrouvait au fond, le charbon remontant à la surface), d’où l’utilisation du grenage de la poudre (à partir de 1420-1430) que l’on présentait alors en petites boules de structure stable, entre lesquelles passait l’air permettant ainsi une combustion plus instantanée. On humectait ainsi la poudre avec de l’eau-de-vie, ou du vinaigre, ou de « l’eau ardente » (= l’armagnac), ou bien de « l’urine d’homme qui boive vin » (sic). Les boulettes étaient ensuite séchées au soleil ou dans une chambre chaude. La distinction des poudres en fonction de leur usage n’arrivera qu’à la fin du XVe siècle puis, encore plus tard, à une distinction tripartite ( grosses pièces, arquebuses, poudre d’amorce).
Le prix de revient de la poudre s’abaissa nettement entre le milieu XIVe et les années 1500. Entre 1370-1380 et le quart XVe, le prix chute de moitié (de 10 sous tournois à 5 pour une livre de poudre), et cela continua de baisser (dernier quart XVe : 1 livre de poudre = 1 sous et 6 deniers tournois ou 2 sous tournois). Le salpêtre était plus coûteux que le soufre, alors qu’il était un produit indigène, et que le soufre était souvent importé à l’état naturel (« soufre vif »), concassé (« en roc ») ou moulé en brique ou en canon (« en canne »), mais il valait la moitié du prix du salpêtre. Le prix des munitions est aussi difficile à connaître, qu’elles soient en pierre ou en fonte.
ROLE DE L’ARTILLERIE A POUDRE DANS LES BATAILLES RANGEES
A Crécy (1346) les Anglais disposaient de canons, mais l’effet recherché était plus de l’ordre psychologique que matériel. C’est à partir des années 1380 que les pièces d’artillerie sont couramment présentes sur les champs de bataille, mais elles restent quand même minoritaire et n’apparaissent qu’épisodiquement même dans la seconde moitié du XVe siècle. Leur apport lors d’une bataille sont hasardeux, ne commet que peu de dégâts et ne permet pas, au final, d’assurer la victoire.
La faiblesse de l’artillerie vient de sa faible cadence de tir, de sa difficulté à être déplacée et de sa portée médiocre. La première salve lancée, il suffisait à l’ennemi de s’avancer, de s’emparer des pièces et de les enclouer (sabotage des canons en enfonçant à coup de marteau des clous sans tête dans la lumière de mise à feu pour l’obstruer et empêcher son utilisation immédiate, le désenclouage étant une opération lente possible qu’après la bataille). D’où la nécessité de protéger l’artillerie par des fortifications improvisées (levées de terre, fossés, palissades) et par une masse de pionniers et de sapeurs. Les pièces plus légères (couleuvrines à mains, hacquebutes) servaient comme les autres armes de trait traditionnelle.
LA GUERRE DE SIEGE : ATTAQUE ET DEFENSE
Rapidement, les pièces d’artillerie intervinrent, intégrées dans un dispositif d’ensemble, lors des sièges et assauts des places fortes. Deux tournant à noter : les années 1370-1380 et le début XVe, à partir de là, on a une idée assez précise de l’intensité du pilonnage subit par les assiégés. Au siège de Maastricht (24 novembre 1407- 7 janvier 1408) on estime le pilonnage à 30 boulets par jour ; Orléans en reçu 124 en une seule journée (17 octobre 1428) ; en 1431, à Lagny, ce furent 412 boulet en un jour ; à Dinant, entre le 19 et le 25 août 1466, reçu 502 boulet et 1200 coups de serpentines. Cependant, le résultat pouvait être décevant, certaines batteries furent inefficaces alors que d’autres firent des ravages sur les fortifications. L’un des rôles de l’artillerie était de protéger les pionniers et sapeurs pendant qu’ils creusaient les tranchées d’où les attaquants pouvaient atteindre le fossé et les murailles, en pilonnant sans discontinuer les assiégés. Mais ces pièces, plus efficaces à courte portée, étaient une bonne cible pour les défenseurs et de leurs propres canons, d’où la nécessité de les protéger (« gros guets », fagots, fascines, levées de terre, manteaux de bois avec ouvertures mobiles, etc…).
La défense inclut également l’artillerie à poudre dans son dispositif et l’art des fortifications s’adapta progressivement aux nouvelles armes. Chaque château , chaque ville s’efforça de disposer en permanence d’un stock de pièces d’artillerie, de boulets et de poudre en supplément des armes et armures traditionnelles. Au XVe siècle, les municipalités de nombreux centres urbains entretenaient un ou plusieurs maîtres canonniers ou artilleurs. L’importance de cette artillerie dépendait de la richesse de la ville, de son intérêt stratégique ou des risques qu’elle estimait courir. Dès le milieu XIVe, la défense des châteaux intègre aussi l’arme à poudre. En général, une bonne partie de l’artillerie se trouvait sur et dans les portes, points vulnérables de la défense, et sur les terrasses des tours qui se virent renforcées en conséquence. Fin XIVe, aménagement d’ouvertures à la base des tours et courtines pour permettre les tirs de canons.
Pendant longtemps, les défenseurs d’une place ne pensèrent qu’à renforcer sa solidité en épaississant les murs et en les enveloppant d’un glacis à la base, et à prévoir des emplacements pour des armes à feu légère afin de repousser un éventuel assaut. L’apparition du « boulevard » au début du XVe siècle, sorte de défense avancée, le plus souvent devant une porte, remplace la barbacane et s’intègre dans le système défensif. Apparition aussi des tours d’artillerie où étaient installées en permanence des pièces de fort calibre sur une plate-forme. Ces tours sont plus trapues, abaissées au niveau des courtines pour favoriser le passage et le ravitaillement de l’artillerie, placées aux angles des fortifications. On assiste également à la disparition des créneaux au profit du parapet.
Source: Philippe CONTAMINE, La Guerre au Moyen Âge, P.U.F., collection de la Nouvelle Clio: l'histoire et ses problèmes, Paris, 1994 (4e édition). | |
| | | samarel
Nombre de messages : 4340 Localisation IG : Montélimar Date d'inscription : 20/08/2006
| Sujet: Re: [Débat] futurs projets Mer 7 Nov 2007 - 21:40 | |
| excellent les gars (bien que nina soit très féminine ). | |
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