Anoblissements de fin de mandat Nynaeve

Nombre de messages : 298 Date d'inscription : 12/06/2006

Et une nouvelle cérémonie héraldique pour la Maréchale d'Armes, mais la premiére fois qu'elle officierait sur les terres du Lyonnais et pour l'occasion, elle entendait bien faire connaissance avec sa marche de tutelle... D'autant que certains des annoblissements qui seraient effectués ce soir attendaient depuis... oh mieux vallait ne pas compter en fait !

Aprés s'être changée pour en suite suivre un page du castel, la Maréchale fut conduite en salle du Trône ou elle se rangea prés de l'estrade, attendant la gourverneur, tout prés des blasons et des patentes prêtes à trouver leurs nouveaux suzerains

La jeune femme avait été demandée en salle d'anoblissement . Certains auraient la chance eux aussi d'être anoblis, et elle en était heureuse .

Elle s'avança dans la salle qui venait d'être ouverte et vit une belle dame déjà présente dans la salle . Elle ne la connaissait point, et ne souhaitait pas déranger, aussi elle s'avança vers elle et s'inclina devant elle afin de la saluer, puis se rangea discrètement sur le côté, attendant la venue des autres conseillers et des Nobles qu'elle connaissait .

Un moment, elle se sentit ridicule ... deux seules personnes dnas la salle ...Aussi elle s'avança afin de se présenter et vaincre sa timidité :

Je me permets de me présenter : Antlia, Capitaine de l'Ost .

Elle lui sourit comme une invitation a en faire autant .

Elle venait de lire l'affiche postée en salle du conseil.
Quelques marches plus bas, et de longs couloirs, elle arriva dans une grande salle richement décorée.

En entrant timidement, elle vit Lady discrète, près de l'un des murs de la salle, et une autre Dame, qu'elle n'avait qu'aperçue durant l'anoblissement de Salah.

Se rangeant près de la Capitaine, elle murmura :

Bonjour Lady !
Tu as donc quitté un instant les garnisons ? Cela va te faire du bien, on va faire la fête dis ?

Ce n’est que bien tard, alors qu’un gamin entra dans le bureau sans frapper que Felryn reçut, à la dernière minute, une lettre de sollicitation de la part de son amitat. Trop las pour encore pouvoir morigéner le pupille oublieux des bonnes manières, notre homme avait laissé son document à l’abandon pour se saisir de ladite lettre.

La lecture se fit rapidement et de travers, tandis que deux doigts massaient consciencieusement l’arrête du nez de l’Embrunais. : infructueuse technique destinée à chasser un mal de crâne naissant. Ventre-Dieu, qu’irait-il faire à une telle cérémonie ?

Sur le bureau, la vue du parchemin vierge qui le lorgnait de toute sa platitude lui rappela la plaidoirie qu’il devait faire. Oscillant du courrier au parchemin, et du parchemin jusqu’au courrier, il trancha. Finalement, il irait porter compagnie à sa parente. Il lui semblait bien qu’elle était tombée sur la tête, dernièrement.

La gamin fut comblé d’une pièce en poche, et le bureau mourut dans l’obscurité lorsque l’homme en uniforme souffla la dernière chandelle, avant de quitter la Belle Cordière en direction de l'Enceinte.

Nombre de messages : 1810 Localisation IG : Lyon Date d'inscription : 21/06/2007

Voya avait vu l'affichage en salle du conseil, elle se rendit donc à la cérémonie en tant que conseillers.

Elle entra dans la salle sans bruit, salua d'un signe de tête les personnes déjà arrivées et alla se positionner dans un coin sans un mot et sans se faire remarquer. Elle attendrait ici tranquillement la fin de la cérémonie.

Ulan, avertie qu'une cérémonie se préparait, rangea ses affaires à l'université et se rendit dans la salle, pas très loin.
En entrant, elle salua la Dame présente qu'elle ne connaissait pas, ainsi que Lady, Zoyas, Voya et l'homme près d'elle qu'elle ne connaissait pas.

Bonjour, je suis Ulan, Maire de Montélimar, Rectrice de l'université.

Elle s'installa près de Lady, Zoyas et Voya

Je suis contente de vous voir en dehors du travail

Nyna quitta son bureau en pensant qu’elle allait arriver en retard, aussi ne passa-t-elle qu’un court instant dans son cabinet privé afin de se changer pour faire honneur à la cérémonie.

Très vite, elle attacha ses cheveux qui avaient comme toujours un mal fou à se discipliner.
Satisfaite de son image, elle se rendit à la salle d’anoblissement où devait déjà l’attendre le Maréchal d’armes.

Souriante elle entra dans la salle.
Elle salua au passage toutes les personnes déjà présente qui ne manqueraient pas ainsi de noter son retard, et rejoint Dame Nébisa qui l’attendait, classant une dernière fois les velins qu’elle tenait en main.

Je suis ravie, Dame Nébisa de vous accueillir officiellement en Lyonnais-Dauphiné et de vivre avec vous cette cérémonie qui restera pour moi, c’est sur, un souvenir inoubliable..

Edité ( tout le monde est arrivé vite...)

Géro était resté un peu plus tard que prévu au conseil de guerre, quand il avait levé le nez de son parchemin tout le monde avait quitté les lieux. Se demandant qu'elle heure il pouvait bien être, il se pressa, même le capitaine était parti. Il scella Plume et parti au galop pour le castel de Lyon. Il regarda en passant la poterne ce qui ne manqua pas de le faire sourire.
Il tira sur les rênes et sa jument freina des quatre fers. Une garçon d'écurie vint à sa rencontre. Il lui posa les lanières de cuir dans la main et l'encouragea fortement à prendre grand soin de son amie.

Il se faufila dans une enfilade d'antichambre et de cabinet qu'il commençait à connaitre par cœur. Il avait fait porter à sa compagne des habits propres pour se changer. Il troqua ses bottes pour des poulaines et son uniforme usée pour un fraichement lavé. Sortant la tête baissé de peur d'être en retard, il évita de justesse le seigneur de la Terrasse. Il sourit en reconnaissant le visage de son amie.

Bonsoir Pénélope, je pense que tu vas en salle d'anoblissement.

Après confirmation il lui tendit son coude.

Je t'y emmène alors.

Il reprit sa route d'un pas plus modéré. En chemin elle lui apprit que son fiancé était alité entouré de médicastres qui prenaient grand soin de lui. Il avait tenu à ce que Pénélope se rende à la cérémonie, "comme ça tu pourras me raconter lui avait-il dit".
On leur ouvrit les portes et ils découvrirent la salle avec plaisir. Il laissa la demoiselle le guider pour les saluts.

Nombre de messages : 2791 Localisation IG : Lyon Date d'inscription : 16/09/2005

Le Maréchal de France et son épouse enceinte jusqu'au cou étaient tout deux à Bordeaux, et ce premier, Salah ad'Din avait prêter main forte à la Guyenne pour la défense de leur Capitale, coup de main qui s'est avérer utile les murs de Bordeaux restant debout durant ce récent conflit. Mais malgré la connaissance militaire et l'exercice le Maréchal de France ne sut faire face à deux fourbes l'assaillant en même temps, lui valant de grave blessures.
Néanmoins il reçu un courrier de sa Marraine Nynaève, le convient à une cérémonie le 24 février 1457, sans en préciser le contenu. Il se demanda ce que cela pouvait bien être, grimaçant en regardant ses blessures il se dit que en partant de suite en voiture il pourrait arriver pour la date souhaiter, encore espérait il trouver des montures fraiches sur la route pour ne pas à faire de trop longue pause.

En début d'après midi du 24 les de Nasiria arrivèrent à leur Castel de Saint Syphorien sur Coise, à 24 lieues à l'ouest de Lyon. Ils y prirent le temps de se reposer de prendre un bain et de refaire les pansements du Maréchal. Son épouse au milieu de l'après midi le réveilla avec douceur et lui rappela la cérémonie elle se chargea alors de l'habiller d'un bas de laine noir, une bonne chemise épaisse de coton et le tout recouvert de sa robe rouge de velours, finement damassé au fil noir, la dessus elle lui boucla une ceinture portant une dague légèrement, d'un pommeau de bois et de bronze lié, et un fourreau de bronze gravé au armes de la Famille, un ours sur montagne surmonté d'un "N" . Salah ad'Din demanda également ses bottes et ses éperons afin d'avoir tout ses attributs et être reconnu lors de la cérémonie.

C'est alors que fin prêt lui son épouse et le fils de son épouse purent monter à bord de la voiture atteler de quatre magnifique chevaux brosser, et entamer la courte route pour Lyon.

Il avait reçu un courrier de Phelim qui avait eu vent de sa venue à Lyon, lui demandant de passé le voir au tribunal. En prenant la route de Lyon, il y repensa et n'y manqua pas d'y aller pour retrouver son vieil ami. Celui ci l'accueillant avec un grand sourire lui confia à l'oreille, "ne file pas avant de m'attendre je viens avec toi" Salah ad'Din fut étonné mais de posa point de question et invita donc Phélim dans sa voiture et indiqué au cocher la direction du Palais du Gouverneur. Durant le trajet il sera avec amour la main de son épouse tout en regardant son ventre se demandant quoi ressemblera son héritier tout en jetant un œil à Geoffroy qui était jaloux.

Arriver au palais, il descendit avec du mal de la voiture et eu peine à monter les marches, il regarda Phélim d'un air de dire, ne t'en fait pas tout va bien je ne suis pas encore mort je peux gravir les marches...Il regarda ensuite son épouse avec un tendre sourire.

Un page leur indiqua la salle d'anoblissement, Salah haussa un sourcils se pouvait il que le dauphin reçoivent sa couronne du Duché? hum à bien y repenser cela devait être encore prématurée, ou bien Nynaève recevrait elle les honneurs...
Ils prirent la direction de la Salle. Une fois entrer dedans Salah regarda tout à tour les visages de tous, que des personnes connu, il leur sourire, et essaya de paraitre entier et non blesser pour ne pas inquiéter certains ou montrer sa faiblesse du moment à d'autres. Il aperçu sa marraine, s'approcha d'elle avec un sourire cherchant à la rassurer et à être heureux d'être convié ici.

Gouverneur, Respect,

il inclina la tête et rapprocha ses lèvre de son oreille pour lui sussurer,
Marraine j'espère que le vent n'a pas porter que mauvaise nouvelle à mon sujet... je peux encore marcher

Puis il se tourna vers la Maréchal d'arme, en inclinant la tête vers elle en signe de respect et de bienvenue.

Pénélope était sûre de ne pas être en retard, elle avait pris son temps pour rejoindre le Castel de Lyon et pour une fois ne mena pas Xéna au galop.
Arrivée à Lyon elle donna son destrier au palefrenier en lui recommandant de l'avoine et de l'eau fraîche, puis grimpa quatre à quatre les marches qui la séparaient de la salle d'anoblissement.

Au détour d'un corridor elle tomba nez à nez avec Géro, ce qui la rassura.

Oh Géro comme tu tombes bien, j'ai du venir seule, Féa est souffrant, mais pour rien au monde je n'aurais manqué cela

Elle accepta son bras et le suivit jusqu'à la salle où déjà quelques personnes étaient arrivées. Pénélope gratifia d'un large sourire les filles et salua Salah d'un signe discret de la main.

Hardryan et Alwen arrivèrent de Montélimar où ils avaient passer quelques jours en famille et en compagnie de Lhunne et Jan. La marmaille n'avait pas été de tout repos -on les bourrait de sucreries à Montel- et de prendre la route avait fait en sorte de les calmer un peu. Arrivant à Lyon, ils avait flâné un peu dans les rues qu'il n'avait pas revues depuis quelques mois. Quand ils arrivèrent au château, il y avait déjà plusieurs personnes qui se dirigeaient vers la salle du Trône, ils les suivirent. Y arrivant, il saluèrent tout ceux qu'ils n'avait pas croisés jusque-là et allèrent trouver une place libre où s'asseoir avec leur petit dernier, Ewen, qui contrairement à ses sœurs avaient insisté pour venir... Ou alors c'est qu'il ne voulait pas quitter les bras de sa mère.

La jeune femme venait d'être rejointe par son neveu, à qui elle adressa un sourire de reconnaissance. Il était bon de se sentir entourée de gens qu'on appréciait.

Ce fut au tour d'Ulan de se présenter près d'elles, et en réponse, elle lui murmura à son tour :

Je suis heureuse également de te revoir, après ton magnifique mariage !
Les affaires attendront quelque peu !

Un sourire amusé et à présent détendu, elle lui fit un clin d'oeuil, et regarda les différentes personnes qui entraient.
Nyna toujours aussi resplendissante, quoique visiblement fatiguée par son mandat, accueillit alors comme il se devait la Dame qui attendait.

Nebisa, oui, voilà !
Par Aristote, comment avais je pu oublier ?

Zoyas se disait qu'elle aurait d$u retenir un nom porté par une personne si importante, désormais elle ne l'oublierais plus.

Souriant à Salah qui entrait avec Elorane, ronde et belle, et....

Geoffroy !

Décidément, elle le voyait de plus en plus, ce jeune garçon qui ne manquerait assurément pas de faire le beau diable durant la cérémonie...

Elle lui fit un signe discret, et toujours en attente de ce qui allait arriver, rajusta les pans de sa houpellande.

Dans sa cour de justice, il attendait que Salah vienne le chercher. Tout le petit monde avait quitté les lieux de bonne heure, les affaires à traiter ayant pu être vite expédier sans encombre pour une fois.

Le juge se trouva donc seul et en profita pour se changer rapidement ... il ne voulait pas que Salah le voit vêtu de sa robe de juge. Enfin, le vicomte arriva, et les cheveux tout ébourriffés de bonheur, Phelim l'accueillit. Il décida ensuite de les suivre et monta avec eux en voiture, direction la salle du trône.

Il regarda soucieux Salah peiner à se déplacer ... évidemment, comment avait-il pu oublier ... la blessure de Bordeaux ...
Il suivit les pas du maréchal de France qui se dirigeait vers la marraine. Il lui décocha un fabuleux sourire, salua Nebisa, puis ensuite se dirigea vers les autres personnes présentes, enfin de les saluer. En particulier vers Péné, qu'il n'avait pas vu depuis longtemps ...

Nombre de messages : 2383 Localisation IG : Lyon Date d'inscription : 27/08/2007

Elorane avait suivit ses hommes, aidant son mari de son mieux, bien que ce fut pour elle aussi pénible elle essayait de pas lui montrer qu elle était fatiguée, puis il ne restait plus que quelques semaines a tenir, et leur premier enfant a tout les deux verrait le jour.
Pour rien au monde elle n 'aurait manqué ce jour, elle était contente, surtout que Salah ne savait pas pourquoi il était la. Lui qui avait abandonné l'idée de remettre un jour les pieds a Monestier-Allemont.
Meme elle n'y était allée que rarement, mais elle avait beaucoup aimé la façon dont Salah avait fait faire la décoration, toutes ces pièces reflétaient tellement sa personnalité.
Elle n'avait pas du tout aimé le voir aussi triste, elle lui avait promis qu un jour il pourrait retrouner a Monestier-Allemont.
A chaque pas qu il faisait elle avait peur qu il tombe, elle le regardait tendrement, s inquiétant discrètement. Elle était aussi tres contente de revoir Phelim, c'était bien la personne qui lui avait le plus manqué après son fils bien sur.
Et dire qu'ils devaient retourner en Guyenne après cette cérémonie, elle se demandait ou elle allait finir par accoucher, et si Valerianne serait présente.
Une fois dans la salle elle sorti de ses pensées pour saluer les personnes présentent du simple geste de la tête, ne quittant pas du regard son époux, priant pour qu il puisse bientôt s'assoir.

Contente de voir quelques têtes connues, Elle sourit à ZOyas .

Bonsoir Zoyas . Je suis bien heureuse de te voir également . Et la fête, je pense que d'ici quelques jours, je pourrais la faire sans complexe .

Elle repensait à sa décision et ne la regrettait que pour une seule chose ... Mais tout ce qui l'attendait en valait la peine . Elle regardait ZOyas sous un autre regard . Elle avait pu admirer son travail au sein du Conseil et avait été l'un des nombreux membres a être tombés d'accord sur sa ténacité et le travail fourni .
Puis la jeune femme vit arriver Ulan:

Bonjour Ulan et encore toutes mes félicitations. Je te pensais en voyage de Noce .....à Montélimar !

Elle se mit à lui sourire grandement, puis Elle vit arriver Nyna et inclina la tête vers celle ci ...

Sa Grâce Nebisa ..... Elle en rougit de honte tout d'un coup, puisse dit que plus tard elle lui présenterait ses excuses .

Puis vint le Maréchal de France, Salah ... pour qui elle avait toujours cette affection de ces longues soirées à discuter .... Elle repensa aux nouvelles le disant mourant à Bordeaux, elle fut contente de constater qu'il n'en était rien .. soulagée .

Elle vit Gero et Pénélope d'un signe de tête et sourit à ses amis . Puis elle joignit les mains attendant sagement la venue d'autres à cette cérémonie .

Alors qu'elle saluait le Maréchal d'armes, Pénélope incita Géro à s'avancer vers Nyna. Elle sourit au Gouverneur en pensa qu' attendrait la fin de la cérémonie pour la rejoindre.

Elle s'approcha ensuite d'Elorane tout en la félicitant pour l'arrivée prochaine de son enfant, puis se retira vers le fond de la salle retrouver Phelim.
Elle lui trouva les traits tirés mais se garda bien de lui faire remarquer....Puis elle fit quelques pas vers Lady et Zoyas, sans manquer de saluer la toute jeune mariée Ullan.

Capitaine, Zoyas, heureuse de vous voir ici, de quelle fête parlez-vous ?.....leur dit-elle en souriant

Dans le grand couloir menant à la salle d'anoblissement, on pouvait entendre un sifflement tranquille et des pas assurés se rapprochant. Ka tourna et emprunta le couloir. Celui-ci arrivait tranquillement à la salle, habitué au rythme des dernières cérémonies, et s'arrêta le regard blême d'un coup! De nombreuses voix se faisaient entendre de la porte entre les 2 gardes tenants de la salle. Il fit alors quelques pas rapides et fût effaré de son retard... Son uniforme était maintenant certes des plus impeccable avec une coupe des plus droites, mais cela ne l'avait pas avancé !

Il entra alors dans la salle et vit que de nombreux conseillers ducaux étaient là, ainsi que l'ancien gouverneur, des seigneurs de lances, des conseillers militaires...Il salua son ami le plus proche, Hard, de loin d'un regard. Il se fît alors petit et approcha du plusieurs conseillers ducaux...

Hum Je ne vous avais pas vu! Vous êtes la depuis longtemps?

Il se retourna alors vers une dame qu'il ne connaissait pas, et qui semblait diriger la cérémonie. Etait-ce..? Il lui fit une révérence digne de ce nom et ensuite fît de même face au gouverneur.

Géro salua ses amis, péné la poussa un peu vers nyna qui semblait en pleine discussion avec la comtesse.
Il salua le capitaine et le maréchal de France qui semblait mieux que ce qu'il lui avait annoncé dans sa dernière missive.
Il s'avança vers les deux femmes quand elles eurent fini.

Madame la comtesse, gouverneur, bonsoir. Je suis ravie de voir que vous avez pu trouver un peu de temps pour venir vous même présider cette cérémonie. Le voyage a du long.

Il regarda la salle qui se remplissait petit à petit.

Thierrylafrance arriva à la cérémonie, il avait laissé les dossiers sur lesquels il était penché depuis le début de soirée et était arrivé au plus vite. La salle était déjà bien remplie

Il salua Le gouverneur, les conseillers ducaux, les conseillers militaires ainsi que les autres

Bonjour à tous

Nombre de messages : 6454 Localisation IG : Dié Date d'inscription : 02/08/2007

Dossiers à classer, rangement à effectuer, tri à réaliser... Une fin de mandat était un point obligé mais relativement fastidieux. Le bureau du Premier Conseiller ne désenplissait pas. Des piles de dossiers devant lui, des valets attendant des directives. Il faut dire qu'une partie de ces dossiers venaient de Mercurol, où il passait le plus clair de son temps pendant les absences de sa soeur. La double fonction était prenante, mais elles étaient tellement passionnantes! La diplomatie restait son art de prédilection. Il en avait soupé de l'économie et était ravi de ne plus devoir y toucher directement. Laissant ce soin à d'autres.

Il regarda par la fenêtre et se leva ensuite.

Messieurs, je vous laisse. Continuez sans moi...

Son page, François, avait attrapé une cape, plus légère que d'ordinaire par cette saison. Elle avait un pâle reflet dans sa teinte bleutée. Elle était relevée de fourrure. Il réajusta la dague qu'il portait à la ceinture et lissa les pans de ses vêtements. Il termina par passer une main dans ses cheveux et François lui ouvrit la porte. Faisant tournoyer sa cape par son allure moyennement rapidement, il emprunta les différents couloirs de Pierre Scize qu'il commençait à maîtriser comme sa poche. Il se rendait en salle d'annoblissements. Les Conseillers en avaient reçu invitation le jour-même. Des voix se faisaient déjà entendre dans la salle. Le Premier Conseiller y entra et embrassa la pièce du regard. Plusieurs conseillers ducaux, le gouverneur, le maréchal d'armes, le maréchal de France qui semblait se remettre de ses blessures, et bien d'autres.

Le vicomte, comme il se devait, se dirigea vers le Gouverneur, en discussion avec le maréchal d'armes. Il s'agenouilla devant elles.

Votre Grasce, Votre Grandeur, mes Hommages les plus respectueux.

Il se releva et regarda l'une puis l'autre dans les yeux.

Que voilà donc cérémonie organisée avec célérité. J'espère que chacun aura eu le temps de quitter ses affaires pour venir jusqu'ici.

Terminant quelques affaires en garnison Jeremdehuit eu vent d'une cérémonie d'anoblissement.
Il fit préparer sa monture et se dirigea à Lyon.

Le voyage étant terminé, il laissa son destrier aux écuries du Castel de Lyon et rejoignit la salle d'anoblissement.

Il salua les personnes présentent.

Il avait vu l'invitation dans la salle de l'Assemblée Nobiliaire, et ne pouvait ne pas être là.
Tomek avait vêtu sa plus belle tenu, laissé son bouclier dans sa propriété, et avait pris le cheval pour se rendre au Château.

Arrivé à destination, il avait laissé son cheval - qui n'avait pas encore récupéré de son voyage - à l'écurie, et se dirigea dans la salle de cérémonie.
La salle était déjà bien remplie, et du beau monde continuait à arriver.
Le Seigneur de Sathonay se fit discret et s'installa pour ne pas déranger l'entrée aux arrivants.

C'est ici je pense! Se dit Landelin à lui même, tenant dans sa main droite la missive de Zoyas, dans laquelle la demoiselle qu'il aimait tant lui demanda de venir à la cérémonie afin de l'accompagner.

Il se redressa afin d'avoir une hallure un peu plus convenable et poussa la porte de la salle.
La pièce était déjà bien pleine et Landelin salua de la tête les quelques personnes qui se retournèrent sur lui.
Il chercha du regard la belle chevelure rousse de Zoyas qui était déjà installée puis s'avança vers elle en se faufilant comme il pouvait et s'excusant auprès de chaque individu qu'il devait éviter.
Il tomba alors nez à nez avec ce bon vieux Phelim, à qui il serra la main chaleureusement.

Content de vous voir mon cher ami! Lui dit avec un grand sourire Landelin. Il reprit aussitôt:

Je dois vous laisser, une amie m'attend, on se revoit plus tard si vous le souhaitez mon cher Phelim.

L'allée dans laquelle était assise Zoyas était déjà occupée et il fut contraint de prendre celle de derrière.
Il s'y engagea et prit place juste derrière elle puis posa délicatement sa main sur son épaule afin d'attirer son attention et approcha sa tête de son oreille, et lui murmura:

Bonjour belle demoiselle. Merci pour votre invitation, cela m'a fait grand plaisir de savoir que vous avez pensé à ma personne.

Zoyas tourna doucement la tête vers lui, Landelin lui fit un grand sourire...

Pour rien au monde elle ne raterait cette cérémonie, la Baile...
L'invitation en gargote lyonnaise disait que tout le monde était invité, et c'est avec un plaisir étonnant et indicible qu'elle s'était fondue dans ce "tous" qui lui déplait tant...
Mais là, là il s'agissait de Nyna, et elle était en Lyonnais-Dauphiné.. Elle ne pouvait pas ne pas assister à la cérémonie, c'était plus fort qu'elle...
Elle s'était faite discrète en entrant dans l'château, même si elle savait pertinemment bien que Nyna lui aurait ouvert toutes les portes qu'elle voulait.. 'fin presque..
Sourit en se d'mandant si elle lui aurait ouvert les portes du coffre-fort aussi...
Mais l'idée partit aussi vite qu'elle était venue, car elle avait abandonné depuis quelques temps son habit d'Libertadienne, et bien qu'elle ne s'identifiât plus du tout à ce duché, elle ne lui ferait plus le mal qu'elle se croyait capable de faire hier encore...
Il portait trop de personnes qu'elle aimait, en son sein...

Elle avait évité de tomber sur des gardes jusqu'à présent, mais devant la salle d'anoblissement, elle s'étonna sincèrement de ne pas en trouver! Comment pouvait-on laisser cette pièce sans surveillance? Ou alors surveillaient-ils ailleurs? Ils avaient interet à n'être pas loin, car laisser ainsi Nyna sans protection était inconcevable pour la tueuse qu'elle avait été... Si quelqu'un voulait faire du mal à la Gouv', c'était plus que facile et elle maudissait l'incompétence des responsables, aujourd'hui.
Mains serrée sur la dague cachée sous sa ch'mise, elle s'avança lentement vers la porte. Comme depuis un certain temps, elle ne venait plus armée en certains lieux, pour bien signifier ses intentions pacifistes. Mais la dague et son amour pour Nyna suffiraient, si danger éventuel il y avait...

Elle entra aussi silencieusement qu'elle pût et se cacha derrière une colonne.
Beaucoup de monde était d'jà là, et elle reconnut avec un petit rictus la Maréchale d'Armes qu'ils avait si gentiment provoquée au banquet royal du Limousin, ya un bail...
Elle ne la détestait absolument pas, la Baile, mais elle ne voulait pas qu'elle la voit, pour ne pas causer du tort à Nyna, même involontairement.
Alors elle se tassa un peu plus contre la pierre froide puis ses yeux se posèrent sur elle, la Gouv' en fin d'mandat mais qui aura été une des meilleures pour ce Duché...
Aucun titre au monde ne la rendrait plus noble qu'elle ne l'était déjà, en pensées et en acte, mais aujourd'hui, la Baile était fière que cette femme si simple soit reconnue pour ses valeurs par tous...

Elle la fixait intensément, s'disant qu'elle sentirait peut etre son regard et la verrait.
Lui dire merci avant de repartir, pour cette paix qu'elle l'aide à retrouver, même sans l'savoir...

Le Procureur peu loquasse pour une fois vint faire acte de préséance à la cérémonie

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