Guerre en Guyenne

Transmis par une Guyennaise :

Citation :

Nous BenDuguesclin, Comte du Périgord et de l'Angoumois,
avons une bien triste nouvelle à annoncer à notre peuple et au peuple de
Guyenne.





Comme vous le savez, la Guyenne a refusé notre aide pour
l'instauration d'une stabilité pérenne dans le grand Sudouest.


Ils ont refusé de constituer une armée commune avec la
Gascogne et notre Comté ce qui aurait évité l'instabilité actuelle aussi bien
chez nos amis Gascons que chez eux.


Suite à ce véritable camouflet pour la diplomatie du
Périgord-Angoumois, les relations entre nos deux provinces ont subi un sérieux
coup d'arrêt.





Nous avions prévenu la Guyenne qu'en refusant notre aide et
en nous rappelant qu'elle était forte et qu'elle n'avait besoin de personne, il
faudrait qu'elle soit irréprochable en terme de vigilance et de sécurité.





Hors depuis plusieurs jours, une bande de révoltionnaire de
Guyenne conduit par un certain Guige met la panique dans sa province mais aussi
depuis une semaine sur notre territoire, attaquant à la suite deux de nos
villes.


Il a été immédiatement mis en procès mais échappant à
l'attention de nos gardes, il a fuit dans un bosquet et a regagné
vraisemblablement la mère patrie.





Notre armée, la Primiera était prête à aller porter main
forte au Duc Estalabou de Gascogne dont le trône est menacé par les brigands.


Si la Guyenne n'avait pas fait barrage nous y serions déjà à
l'heure qu'il est et aucun de ces troubles n'auraient certainement eu lieus.


Au lieu de ça, menacé par des ressortissants de Guyenne,
elle a été obligé de faire demi-tour pour sécuriser sa frontière sud.





Nous avons tenté de nouer des liens durables et forts avec
la Guyenne, ça n'a pas marché.


Nous avons tenté avec le soutien de la Gascogne d'inciter la
Guyenne a faire alliance contre les brigands, ce fut un échec.


Nous avons tenté de laisser la Guyenne se débrouiller avec
ses problèmes, elle nous a prouvé qu'elle en est incapable.





Aussi, me devant d'assurer la sécurité et la stabilité du
Périgord-Angoumois, ayant épuisé tous les autres moyens envisagés durant mon
règne, je demande instamment à ces régnants de nous livrer les villes de
Marmandes et de Cahors. Nous les gèrerons sans heurt et avec tout le respect
qui se doit à sa population.


Les ressortissants de ces cités auront un statut spécial qui
leur permettra de conserver une identité particulière.


Dans l'intérêt de vos populations, en espérant que leur sort
vous intéresse un peu, je vous conjure d'accepter.





En l'absence de déclaration officielle en ce sens, je serai
contraint de déclarer la guerre au Duché de Guyenne.








Fait à Périgueux, le 11 avril 1457





BenDuguesclin, Comte du Périgord-Angoumois

Idem.

L'armée périgourdinne est à Marmande et assiège la ville.

Je n'ai pas beaucoup plus d'informations pour le moment. (Rien de très complet en tout cas).

Pour le principe, je condamnerais l'attaque périgourdinne et demanderait néanmoins à la Guyenne de veiller à la traque des brigands et à la stabilité de la région.

Etant encore en Guyenne, je veux bien directement poster en Gargote et proposer ma médiation (indirectement celle du Dauphiné dans le conflit).

Il me faut une réaction et une décision très rapide!

je souhaite qu'on indique condamner la prise d'assaut des villes qui sont territoire souverain de guyenne mais exhortons la guyenne à se plier aux exigences toutes fondées du périgord angoumois.

de plus, si on pouvait envoyer des troupes aider esta... ça ferait de l'occupation pour nos troupes.

d'accord.

Sam tu peux porter au Conseil de Guerre ou à l'Office des COLD.

Envoyer des troupes en Gascogne?

Il faudrait s'assurer que ce ne soit pas fini quand on arrive...

De plus, vous avez les deniers nécessaire pour le faire? Et puis, dans ce cas, je pourrais toujours vous attendre ^^

Citation :

A tous ceux qui ces lettres verront ou orront, Salut!

Nous Hardryan, dict le Montagnard, Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné, après avoir été duement informé par nostre chancelier et après en avoir discuté avec nostre Conseil, Scavoir faisons,

Que dans le respect de la souveraineté des Provinces sur leurs terres, nous condamnons l'attaque menée par le Périgord-Angoumois sur les terres du duché de Guyenne ;

Que nous sommes intimement convaincu que toute problème peut, avant tout, être réglé par les plumes ;

Que nous comprenons les raisons ayant poussé le Périgord à vouloir sécuriser ses frontières ;

Que nous demandons à la Guyenne de rester à l'écoute de ses voisins et de tout faire pour que la stabilité régionale soit rétablie ;

Que nous proposons aux parties notre médiation en la personne de nostre chancelier, Bastien d'Amilly, actuellement en terres guyennaises ;

Que nous appelons de tous nos voeux toutes les bonnes volontés pour que le calme du sud-ouest du Royaume de France soit retrouvé.

Faict au Castel Pierre Scize, en l'an quatorze cent cinquante sept, du mois d'avril le quinzième.

Un avis rapide?

Un sceel du gouverneur si positif?

moi je trouve cela plutôt pas mal !

très bien pour moi, pour les troupes par contre je suis pas forcément d'accord on a pas trop les écus pour je pense et comme dit Saga le temps qu'on arrive ce sera fini.

Je trouve ça bien

j'attends un peu l'avis des autres. (et je remplacerais plumes par dialogue ou quelque chose du genre.. et je ne comprends pas le mot "orront" au début même si je sais que ça veut dire entendront)

oui, c'est le futur "ancien" du verbe ouïr. Ce sont des formules types de la diplomatique.

Je trouve le terme de dialogue un peu plat. J'aimais plume pour l'image qu'elle représente. Mais si quelqu'un avait un terme autre.

J'aimerais pouvoir poster ce soir. Ca me permettra d'avoir une réaction quand je serai encore en Guyenne.

J'ai un petit peu parlé avec les Gascons ....

Ils sont loins .. on a foule de duché à traverser avant d'y arriver dont le Rouergue ..

Aux dernières nouvelles, la Gascogne s'en sort plutôt bien. L'armée ennemie est à Mimizan. Valerianne et Esta à Mont de Marsan en attente de la "grande bataille" comme ils m'ont dit ....

Bref, on ne va pas y envoyer des troupes ... c'est trop tard ....

Sinon le courrier de Bastien est très bien.

Merci, mon Phephe... ^^

Vous pouvez sceller vostre Grasce. Je posterai en Guyenne demain.

Citation :

A tous ceux qui ces lettres verront ou orront, Salut!

Nous Hardryan, dict le Montagnard, Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné, après avoir été duement informé par nostre Chancelier et après en avoir discuté avec nostre Conseil, Scavoir faisons,

Que dans le respect de la souveraineté des Provinces sur leurs terres, nous condamnons l'attaque menée par le Périgord-Angoumois sur les terres du duché de Guyenne ;

Que nous sommes intimement convaincu que toute problème peut, avant tout, être réglé par les plumes ;

Que nous comprenons les raisons ayant poussé le Périgord-Angoumois à vouloir sécuriser ses frontières ;

Que nous demandons à la Guyenne de rester à l'écoute de ses voisins et de tout faire pour que la stabilité régionale soit rétablie ;

Que nous proposons aux parties notre médiation en la personne de nostre Chancelier, Bastien d'Amilly, actuellement en terres guyennaises ;

Que nous appelons de tous nos voeux toutes les bonnes volontés pour que le calme du sud-ouest du Royaume de France soit retrouvé.

Faict au Castel Pierre Scize, en l'an quatorze cent cinquante sept, du mois d'avril le quinzième.

bon ben dans ce cas. on ne transmet pas au conseil de guerre alors. tant pis...

Citation :

A Sa Grandeur Hardryan, dict le Montagnard, Gouverneur du Lyonnais-Dauphiné et à son Conseil.

Faisons savoir que nous avons pris connaissance de votre intérêt porté aux événements qui assombrissent les relations entre le Comte du Périgord et de l'Angoumois et le Duché de Guyenne.

Dans leur grande sagesse, le Comte du Périgord et de l'Angoumois et les institutions de Guyenne s'entendent à régler leurs différents par voie diplomatique.

Le Comté du Périgord et de l'Angoumois remercie le Duché du Lyonnais-Dauphiné pour sa proposition de médiation. Mais le Comté du Poitou remplissant actuellement cette mission à la demande des deux parties, elle ne sera pas nécessaire. Nous prenons note néanmoins du geste généreux du Lyonnais-Dauphiné pour oeuvrer à la diplomatie dans le Royaume de France.

Signé en le château de Periguers, le dix-septième jour du mois de avril de l’an de grasce mil quatre cent cinquante sept.

Pour le Périgord & Angoumois.
Le Chancelier-Comte d'Aubeterre, Messire Valnor de Lande Morte

Un groupe de Guyennois Félons a attaqué et pris la Mairie de Labrit, en Gascogne, voici les déclarations des ducs de Guyenne et Gascogne:

Citation :

Au Peuple Guyennois,
Au Peuple Gascon, à sa Grâce Godgaby et son Conseil,
De Garzimlebo, Duc de Guyenne :


Guyennoises, Guyennois !

Je vous annonçais hier craindre quelque action irréfléchie de l'armée franche de La Desembarranta, dirigée et composée de membres de la Compagnie du Renard, groupuscule qui n'a jamais daigné répondre aux interrogations ducales légitimes. C'est aujourd'hui chose faite.

Cette nuit ils ont pris d'assaut la cité gasconne de Labrit,
Cette nuit des Conseillers de Guyenne et des Guyennois ont délibérément enfreint les directives ducales,
Cette nuit des Guyennois ont rompu la trêve instaurée entre les deux duchés le temps des négociations de paix,
Cette nuit la Desembarranta et la Compagnie du Renard ont fait échouer plus de trois mois de négociation,
Cette nuit trois Conseillers de Guyenne : les dames Muriperle et Fishcat et le sieur Elvis, ont trahi la Guyenne, entrainant à leur suite de nombreux guyennois.

Au nom de la volonté du Peuple de Guyenne qui m'a porté à sa tête,
Au nom de sa Majesté le Roy levan troisième du nom qui m'a reconnu pour Duc légitime de Guyenne et confié ce duché,
Au nom de la Paix du Sud-Ouest aujourd'hui à nouveau contrariée,
Au nom de la trêve conclue entre les duchés de Gascogne et de Guyenne, ainsi que des négociations en cours sous l'arbitrage bienveillant de la Très Sainte Eglise Aristotélicienne,

Je déclare l'armée franche de La Desembarranta armée ennemie de Guyenne. Ses membres sont désormais traitres au duché de Guyenne et ne trouveront pas refuge en nos terres. La Compagnie du Renard est désormais bannie des terres guyennoises. Toute personne s'en réclamant sera considérée comme traitre à la Guyenne. Les Conseillers Fishcat, Muriperle et Elvis sont renvoyés du Conseil Ducal de Guyenne et accusés de Haute Trahison.


Combat sera engagé contre eux, procès sera intenté à leur encontre.

Pour la Guyenne, son unité et sa force.


Que cela soit su de tous.

Fait à l'Ombrière, le dixième jour de mai 1457.

Citation :

A tous ici et à venir, qu'il plaise d'entendre,

Devant la situation actuelle de Labrit se voyant envahit d'une trentaine de guyennois déclaré félons par leur province, cherchant à mettre à mal les négociations pour le retour de la paix et abusant ainsi l'autorité des provinces concernés et l'Eglise, avons dut prendre les décisions suivantes :

• Toutes les frontières de Gascogne sont fermés pour une durée indéterminé, les laisser passer sont réexaminés
  
• Les ressortissants de Guyenne se voient formellement interdits de séjour et seront considérés comme une menace pour la sécurité de la Gascogne s'ils entrent sur notre territoire.
  
• Les ressortissants de Guyenne déjà présents sur notre sol doivent quitter dans les plus brefs délais le territoire, 48 heures pour les villes frontalières, 72 heures depuis Bayonne.
  
• Les étrangers en situations irrégulières seront automatiquement mis en procès pour Trouble à l'Ordre Public et parcourront nos terres à leurs risques et périls.

Donné par nous, Gabriel Von Wittelsbach, Duc de Gascogne,
Au château de Mont de Marsan le dixième jour du mois de juin 1457.

Nous restons à l'affut de toute information supplémentaire,mais pitet que les correspondances ont d'autres renseignements,on cherche à en savoir plus...

J'ai une liste de membres de la Compagnie du Renard, que m'a passée une de mes parentes, conseillère ducale dans le Sud-Ouest. A vérifier cependant, on ne sait jamais :

Agbador
Archidruide
Arkel.
Ecross
Elvis_
Isoril
Papou81640
Sebji
Thesno
Toenn
Turandot8573
Yusukevans

Merci infiniment et merci aussi pour la transmission de ce qui suit:

Citation :

A tous présent et advenir, salutations.

Nous, Enguerrand Louis Perceval d' Auxonne & de Dublith, ci-nommé Flex, Comte du Périgord & Angoumois par la volonté des Hommes, du Roy et de Dieu. Faisons savoir la présente décision prise en ce jour, le neuvième de juin de l'an de grasce quatorze cent cinquante-sept.

Par notre toute puissance et divine grâce, levons le ban : en vertu du Deuxième Livre,

Citation :

Article 2.1.10. - Le Comte peut à tout moment lever le ban de la noblesse du Comté, lever les forces armées du Périgord-Angoumois, afin d'user du droit d'ingérence, de défendre sa province, de répondre à l’appel du Roy ou de l'un de ses alliés.

demandons à la noblesse du Périgord-Angoumois, de retraite, de mérite ou issue de mérite - si tôt celle là représenterait légitiment son suzerain- de rejoindre les rangs de nos armées.

Les dits nobles auront à leurs dispositions des campements & montures & armes réservés et attribués selon leur rang. Qu'ils portent fièrement leurs bannières !

Qu'il soit lu & vu & entendu & connu de tous !



Fay en Periguers,
Flex d' Auxonne & de Dublith

Aucune certitude,mais il y a de grandes chances que la levée du ban en Périgord soit une réaction à ce qui précède,à moins que quelque chose nous ait échappé.J'en appelle également aux correspondances pour toute information complémentaire...

je vais faire appel aux correspondances.

Les corres, votre grasce, en LD, ont pour but de rassembler des informations susceptibles de protéger le LD, et non pas de renseigner ceux qui se poseraient des questions ...

• 11 juin 1457

La ville est désormais franche. L'assaillant à la tête de la mairie a ouvert les portes à une armée qui attendait derrière les remparts. La ville a été déclarée franche et l'armée est en cours d'installation à l'intérieur de la ville.
Si rien n'est fait, demain, elle sera à l'intérieur est prête à se défendre des pouvoirs ducaux.
L'armée ne possedant pas l'étendard Guyennois, la ville ne peut pas etre rattachée au Duché de Guyenne.
____
Réaction première de l'Archeveque de Bordeaux

Citation :

Nous, Mgr Aurélien Maledent de Feytiat, Archevêque de Bordeaux, ayant eut à notre connaissance les derniers évenements sur la ville de Labrit,

condamnons avec la plus grande fermeté l'attaque de la ville de Labrit et de la Gascogne

rappelons que l'Eglise ne saurait tolerer que ses fidèles prennent les armes les uns contre les autres, au méprit des enseignements de nos prophetes sur l'amitié

demandons au duc de Guyenne que toute la lumière soit faite sur les vrai responsables et qu'ils soient livrés à la justice, comme il se doit

appelons les Ducs de Guyenne et de Gascogne à la reprise des négociations pour qu'une paix durable s'instaure entre les deux duchés

exhortons la population au calme et au respect d'autrui

fait à Bordeaux, ce 11 juin 1457

Citation :

A tous ici et à venir, qu'il plaise d'entendre,

Une journée s'est écoulé et la situation est maintenant plus net. Aujourd'hui, la Gascogne a perdu Labrit qui est devenue ville franche. En effet une trentaine de ressortissant Guyennois après avoir pris la mairie on ouvert les portes de la ville à une de leurs armées.

La Gascogne se mobilise déjà et se rassemble pour restaurer l'intégrité territoriale. Toute personne désireuse de s'y associer doit prendre contact avec les autorités.

La Guyenne a condamné cette agression et a prêter son assistance, désireuse de punir elle même ses dissidents qui viennent mettre à mal les négociations de paix et retarder le dédommagement qui revient à la Guyenne. Ces hommes, blessant la Gascogne, blesse également leur duché et le déservent, le privant des ressources auxquelles il a droit et instaurant un climat de suspicion.

Hors loin de s'y tromper, nous avons accepté l'aide généreuse de la Guyenne et formé un commandement conjoint pour diriger les opérations. Ensemble nous escomptons venir à bout des renégats rapidement et informons que nous ne tolérerons pas que certains tentent de profiter de la situation. La Guyenne et la Gascogne se veulent souder et tentent de reconstruire leurs relations sur des bases saines que nous ne laisseront pas détruire par des félons dont le profit personnel importe plus que l'intérêt de leur peuple et de leur patrie.

Donné par nous, Gabriel Von Wittelsbach, Duc de Gascogne,
Au château de Mont de Marsan le onzième jour du mois de juin 1457.

• 12 juin 1457

Alors que de l'aide a été demandée à l'Armagnac, entre autre, voici une copie de la missive que leur capitaine a envoyé aux 'renards', ainsi se font-ils appeler. Petite précision, ils n'ont rien à voir avec les renards de Gascogne, qui selon notre Etiquette est le surnom des ambassadeurs de Gascogne.

philipaurus a écrit:

De philipaurus Mattei dit le Lude aux membres de la compagnie du Renard. Nous avons pris connaissance de vos déclarations. Vous justifiez vos actions par le soutien de votre conseil aux activités du Cartel, Pourtant ce n’est pas le conseil de Guyenne que vous affrontez. Vous justifier votre action par une déclaration fracassante. « Tout gouvernement, quel qu’il soit s’associant avec le Cartel et leurs alliés l’armée franche de Memento Mory (de Namayscush) sera un ennemi du peuple de Guyenne. » Pourtant c’est le peuple de Gascogne et son comte GodGaby que vous affrontez. Nul ne comprend en quoi la Gasgogne ou son comte GodGaby soutiennent le Cartel, Memento Mori ou Namaycush. Vous rappeler que l’ancien maire de Labrit fit piller Bazas. Nul ne comprend pourquoi vous vous attaquez à la ville et pas à son ex maire. Vous vous présentez en justicier pour en rendre partie à la ville de Bazas. Nul ne comprends pourquoi vous ne publier pas, l' état exhaustif des biens pillés et restitués. Nous avons condamné l’action de Mémento Mori en Guyenne. Mais pas après pas vos actions s’éloignent de vos cibles et deviennent autant de leviers pour les ennemis de la paix. Les peuples du Sud vous regardent et nul ne vous comprends. Philipaurus Mattei dit le Lude. Capitaine d'Armagnac

Dans le même temps, le Capitaine d'Armagnac a rédigé une lettre ouverte au Duc de Gascogne

philipaurus a écrit:

De Philipaurus Mattei - Capitaine d’Armagnac au Duc Godgaby

Salutation et respect à la Gascogne.

Nous avons suivi avec peine les attaques du Cartel soutenu par le conseil de Gascogne de l’époque contre la Guyenne et sa jeune Capitale Bordeaux.

Nous avons vu avec horreur la félonie de votre Capitaine Namaycush demandant autorisation à la Guyenne d’entrer sur son sol pour la défendre de l’armée franche d'Améliane.

Nous avons vu vos armées une fois en place faire cause commune avec les brigands et le Cartel.

Nous avons dénoncé en son temps cette traitrise entachant le nom de la Gascogne.

Sans même attendre ses appels, ses voisins et les ordres royaux sont venus à son secours.

Nous avons alors vu la Gascogne réagir et avons salué son retour dans l’honneur.


Nous avons vu se lever contre cette sagesse l’armée franche Memento Mori du Cartel et de son fidèle allié Namaycush.

Sans attendre vos voisins et les ordres royaux sont venus vous apporter aide et assistance.

A la tête de volontaire j’ai passé deux semaines sur votre sol.

Le Cartel et le fourbe ont fuit en violant le territoire de vos Voisins, de Guyenne, d’Armagnac et de Toulouse. J’ai été mortellement blessé par cette armée en voyageant seule au centre de ma province.

Duc Godgaby

C’est votre terre qui est aujourd’hui agressé à Labrit.

Nous avons vu, vos voisins ont vu, les ordres royaux on vu.

Nous avons reçu vos appels et notre conseil va prendre ses responsabilités.

Duc Godgaby

J’entends votre appel.

J’entends aussi de l’entourage de Namaycush que celui-ci ce fait fort de diriger de bientôt une armée sous votre responsabilité. Son retour près de vous s’organise.

Cette information circule dans le sud et ricoche dans toutes les provinces et bientôt dans tout le royaume.

Duc Godgaby, vous demandez à ma province de vous aider.

Dois-je envoyer nos soldats se battre sous le blason de ce maitre en traitrise et en bavures ?

Doit on prêter l’oreille à ceux qui assimile l’attaque de Labrit à une manœuvre à tiroir comme l’était l’armée Améliane en Guyenne ?

Je vous demande de démentir votre soutien à ce félon.

Je vous demande de vous opposer à son retour comme chef d’armée à vos côté.

Fait le12 à Muret.

Philipaurus Mattei dit le Lude

Capitaine d’Armagnac.

Les brigands ont donc pour ennemis affichés, les membres du Cartel, entre autre, qui ont attaqué la mairie de Bazas il y a de cela un certain temps. Ils ont décidé de s'en prendre à la Gascogne qui selon eux soutient le Cartel. Réaction du chef de ces derniers.

Citation :

Soldats et mercenaires vous avez fait deux erreurs facheuses.

La premiére est d'avoir suivi des gens qui vont mourir.
Le seconde c'est de fonder une guerre sur une chimére.

Cartel n'a plus rien de Gasconne. Vous exigez de Gascogne chose impossible puisque nul membre inscrit aux registres de ma Compagnie ne réside en ce duché.
Aucune personne ayant appartenu a ma Compagnie résidant actuellement en Gascogne ne fait partie des effectifs actuels.

Cartel est une Franche Compagnie, ses membres sont de Cartel le temps qu'ils le désirent. Qui quitte la Compagnie n'est qu'un individu comme tant d'autres . Regardez vous les uns les autres. Vous avez peut être vécu en Bretagne ou en Champagne. A present dit on de vous que vous êtes Breton, Champenois, ou Guyennois?

Voila la chimére que poursuivent vos chefs.

Vos chefs vont mourir.
Parce que je ne vais pas traquer le Renard ou des Guyennois.Vous êtes des soldats, je suis Capitaine d'infortune. Aujourd'hui sommes opposés, demain peut être serons nous côtes à côtes.
Je vais traquer vos chefs . Malheur à ceux qui les suivent, vie sauve à qui s'en délie.

Chaque personne que Cartel combat connait nos régles.
Nous visons les Officiers, Nobles et chefs d'escouades.
Qui les suit ne peut prétendre l'avoir fait sans savoir.

Nous proposons Condotta à Guyenne et Gascogne.
Les termes de cette Condotta sont ceux en usages .
-Ne pas nuire aux interêts de l'employeur.
-Donner entier soutien armé.
-S'accorder sur ses régles de conflit.
-Pas de changement d'employeur ou de rupture de contrat pendant la Condotta signée.


Gens du Renard, buvez le vin de Labrit, festoyez. Nous nous fichons que la ville brule ou que l'enfer ravage telle ou telle terre. Car la guerre est notre metier.La ou elle est, nous sommes.
Et sachant ces mots, regardez vos chefs et demandez vous si vous êtes prêt à mourir pour eux.

Falco de Cartel

Extrait d'une déclaration de Garzimlebo, en date de dimanche :

Citation :

* Guyenne et Gascogne s’accorde à refuser les services de la compagnie franche dicte Le Cartel et dirigée par le sieur Falco. Cette organisation verra les poursuites à son encontre abandonnées en cas de destruction dés ce jour du dimanche 14 juin 1457 de l’armée en cours de création en la cité de La Teste de Buch. Le Cartel disposera alors de 48h pour quitter le territoire guyennois sans commettre quelque exaction que ce soit. Si l’armée de La Teste de Buch venait à poursuivre sa création, les procès seraient maintenus et action armée serait engagée à l’encontre des membres du Cartel. De même si passé le mardi 16 juin 1457 ils étaient encore en Guyenne.

* Guyenne ne tolérera pas rassemblement de la Memento Mori commandée par le sieur Namaycush sur ses terres. A compter du mardi 16 juin 1457, tout membre de Memento Mori ne présentant pas laissé passer de la Prévôté de Guyenne pourra être mis en procès et subir le poids des armes guyennoises.
Dés à présent, tout membre de Memento Mori qui tentera de passer Bazas afin de s’en prendre aux Guyennois de Labrit ou se rendre en Gascogne sera stoppé par nos armées. Ceci jusqu’à ce que Gascogne informe Guyenne de ses positions vis-à-vis de Memento Mori.

Autre extrait :

Citation :

* Le duché de Guyenne entend que les responsables des événements de Labrit soient punis pour leurs actes.
* Le duché de Gascogne ayant déjà mis en procès les acteurs identifiés de la révolte et étant donné que l’état de guerre toujours actuel entre les deux duchés ne permet pas l’application des traités de coopération judiciaire, la Guyenne n’entamera pas de poursuites en rapport avec cette révolte.
* Guyenne ne saurait entreprendre action plus poussée que Gascogne lors de la prise de Bazas concernant les révoltés en eux-mêmes.
* Guyenne s’attachera cependant à sanctionner les meneurs de cette action, lesquels ont agi en connaissance de causes et en parfaite désobéissance aux directives ducales. Commettre délits en terres étrangères et, hélas, encore aujourd’hui « ennemie » sur le papier ne permet pas d’être poursuivis en Guyenne, se rendre coupable de trahison le permet bel et bien en revanche.
* La Guyenne s’engage à poursuivre jusqu’au dénouement de cette affaire d’appliquer les plans communs aux deux duchés en collaboration avec les autorités gasconnes.
* Notre volonté de conclure une paix franche et durable entre nos duchés demeure intacte et la Guyenne sera au rendez-vous des négociations qui étaient sur le point d’aboutir.

C'est effectivement l'imbroglio. J'ai bien l'impression que ce sont les Compagnies Franches qui décident, là-bas, que ce soit celle de Falco. ou celle de Namaycush.