Après une nuit de lutte ....

Le badaud mandaté par la Dame à la l'epaisse chevelure blond roux avait fait vite. En fait il avait couru tout ce qu'il avait pu le message en tête . Il revenait des remparts ou une bataille avait eue lieu ... une rixe, des cris , du sang .

Essoufflé, il se présenta dans le hall de l'hospital en criant :

Vite ! Bataille ! Mort! Une blessée ! C'est grave ! QUELQU UN ?

Affolée , il était affolé. Ses bras brassait l'air en attendant que quelqu'un vienne le voir.

Nombre de messages : 1810 Localisation IG : Lyon Date d'inscription : 21/06/2007

Il était tard, ce soir le capitaine ne lui avait pas demandé d'aller sur les remparts, le Gouverneur était encore dans les couloirs, elle venait de finir son travail et s'apprêtait à retourner dans ses appartements lorsqu'elle entendit crier:

Vite ! Bataille ! Mort! Une blessée ! C'est grave ! QUELQU UN ?

Elle arriva en courant, chercha autour d'elle, elle ne voyait ni blessé, ni mort.

Messire expliquez vous, si c'est une blague ce n'est pas drôle! Je ne vois ni blessé, ni mort, il n'y a que vous et moi!

Le gouverneur était en colère, la blague n'était pas à son gout, pourtant à voir la tête du messager, elle se dit qu'il devait bien y avoir quelque chose.

[ Le badaud mandaté par Antlia]

Il ouvrit de larges yeux en voyant le gouverneur en personne se déplacer ... houlala .... sérieux tout ça !
Fallait pas dire de betises .... il essaya de retrouver son calme mais, pas certain que cela fasse effet:

b"soir Madame * révérence des plus absurdes mais révérence tout de même .

Ma Dame ... blessée la Vicomtesse, Sang mais partout ... Les brigands ... viennent l'amener . fallait prévenir pour préparer.

et de faire les cent pas entre le Gouverneur et la porte , guettant l'arrivée du convois.

Nombre de messages : 3836 Localisation IG : Lyon Date d'inscription : 08/03/2009

Peu de temps après l'arrivée du messager, les battants des lourdes portes de l'hospital grincèrent et deux hommes vigoureux y firent irruption, la nervosité se lisant sur leurs traits angoissés. L'un portait une jeune femme inconsciente au teint livide, enveloppée dans un long mantel blanc qui, à l'éclat des torches éclairant de leurs flammes dansantes le seuil d'entrée, avait pris une coloration rouge carmin. Essoufflé par l'allure vive à laquelle il avait marché, l'homme s'époumonait dans le couloir désert :

De l'aide ... quelqu'un ! Elle ... elle perd tout son sang !

Apercevant alors le messager puis reconnaissant ensuite l'identité de l'illustre Dame qui accourait vers eux, l'homme baissa d'un ton et bafouilla en s'inclinant maladroitement :

Vot' Grâce ... cette noble Dame qui défendait la capitale est ... dans un état critique ! Fichue lame ennemie qui a transpercé l' abdomen ... la plaie est profonde mais ... elle respire encore.

L'urgence de la situation ne lui permettait pas de s'éterniser en palabres. Aussi ôta t'il d'un coup sec le mantel pour montrer la gravité de la blessure, la démonstration valant mieux qu'un long discours, levant un regard inquiet vers le Gouverneur.

Nombre de messages : 5920 Localisation IG : Dié Date d'inscription : 02/12/2005

[Vienne - A un jour de marche]

Partit de Dié en compagnie de Pénélope et Feanaro, Demons s'était rendu tout d'abord à Valence où il n'était resté que quelques heures puis à Vienne. Durant le chemin Demons rumina quelques peu tout en regardant le paysage, la journée était belle mais il trouvait la distance trop longue entre Lyon et Dié pour qu'il puisse venir aussi souvent qu'il le voulait à Lyon. En effet il lui était important de venir à Lyon chercher quelques affaires dans son appartement et occuper ses fonctions à l'université du duché .

Les routes du duché était ces jours si incertaines mais heureusement ses deux compagnons de voyage étaient deux soldats bien entrainés qu'il appréciait beaucoup. Shootant un caillou qui traînait devant lui Demons continua la route, plus qu'un jour de route et ils apercevraient enfin les remparts de la capitale...

Nombre de messages : 1810 Localisation IG : Lyon Date d'inscription : 21/06/2007

Voya réalisa qu'il y avait une personne réellement blessée, une blessure à l'abdomen, il lui fallait agir vite, elle regarda les messager:

Cesser vos courtoisies ce n'est pas le moment, amener moi la blessée dans la salle d'opération, je prépare les instruments!

Voya arriva dans la pièce avec les messagers,il y avait une table, la femme fut installée dessus, heureusement qu'elle avait les clés de tout le château! Elle ouvrit les placard et trouva les instruments nécessaire pour soigner, l'hôpital était bien fourni heureusement. Elle n'avait qu'une chandelle pour s'éclairer mais il faudrait faire avec.

Elle remonta ses manches, heureusement un tonneau remplit d'eau était prévu. Elle versa un peu d'eau dans une vasque et se lava les mains, elle avait sortit du linge et était prête à s'occuper de la blessée.

Elle laissa les hommes allonger la femme sur table, elle commença à la déshabiller, le sang saignait beaucoup. Elle plaça un linge sur la plaie pour faire un point de compression. Elle réussit à calmer le flux sanguin, regardant la plaie pour voir les dégats.

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