Annonces du Grand Maitre de France

Citation :

----------De par le Grand Maître de France.


----Le vingt-et-un janvier dernier, honneur m'a été fait d'être nommée par Sa Majesté le roi à la charge de Grand Maître de France. Ce nouvel office, je l'ai accepté avec respect et humilité, consciente d'une part des devoirs qui sont désormais les miens et des attentes qu'ils suscitent et d'autre part des questions à régler sans tarder.

----Ce jour d'hui qui me voit pour la première fois m'adresser solennellement aux sujets du royaume de France, je souhaite avant toute chose faire savoir que je m'engage humblement mais résolument à continuer à défendre et protéger pour sa plus grande gloire les intérêts supérieurs de la Couronne de France et à pareillement m'investir pour ceux du Domaine royal. À ce Domaine royal régulièrement éprouvé, je promets par ailleurs loyauté et considération toute particulière. Je m'engage en outre à me montrer assidue, appliquée et dévouée à ma charge et notamment à la gestion de la Curia regis, d'être disponible pour ses Grands Officiers et de contribuer à y créer et maintenir sérénité, dialogue et transparence dans un but d'efficacité et de travail. Je m'engage aussi à être le lien entre ladite Curia et le conseil des Grands Feudataires d'une part, et de continuer à l'être entre la première et la Très Noble Assemblée des Pairs de France et d'être présente et à l'écoute de tous ceux composant ces importants conseils.

----Ensuite, il appert essentiel de faire un point sur le travail de la Curia regis. Dès ma nomination, j'ai ainsi demandé à chacun des Grands Officiers présents de me fournir un rapport de leur activité et ai indiqué attendre pareille synthèse à rythme régulier, ce premièrement pour disposer d'un état des lieux précis et ce secondement pour que je sois et que tous les Grands Officiers soient informés du travail en cours, des projets à venir et de la mise en œuvre de ceux-ci; il a été également demandé une mise à jour des registres des effectifs mis à disposition du public. Il est aussi attendu des Grands Officiers concertation, dialogue et présence accrue dans tous les conseils où ils siègent, soit celui du Domaine royal et des Grands Feudataires mais aussi dans le lieu de rencontre avec les Pairs de France. Et si j'ai exprimé certaines attentes, j'ai toute confiance, pour collaborer depuis quelques temps avec eux, en ceux qui sont présents et actifs.
Pour ce qui est du Secrétariat d’État qui connaît depuis des semaines une situation tendue, une visite a été faite chez les Secrétaires d’État, les diplomates du Domaine royal, un point demandé aux ambassades royales et des arbitrages seront rendus sous peu sur la direction de ce Grand Office et sur la réforme, par volonté de Sa Majesté, qui doit y être menée.
Enfin, d'autres orientations vont êtres communiquées et feront l'objet d'une publicité, que ce soit à propos des Grands Offices ou de la Curia regis en général.

----Pour conclure, je souhaite préciser que si la Curia regis a compétences et prérogatives totales pour ce qui est de la gestion du Domaine royal, elle est, tant par certaines spécificités la voyant dépêcher des officiers sur l'ensemble du territoire, que par son expertise, un interlocuteur des provinces vassales et est disposée et disponible pour intervenir auprès d'icelles si elles en formulent la demande.
Je veux pareillement rappeler que les Grands Offices recrutent régulièrement et que tout sujet intéressé, qu'il vienne du Domaine royal ou des provinces vassales, est invité à consulter les annonces faisant foi placardées en antichambre du Louvre et relayées localement.
C'est ensemble, en œuvrant en concertation et en bonne intelligence, que nous ferons se renforcer et rayonner la Couronne et le royaume de France.


----Le Très-Haut et Saint-Louis soient gardes de la Couronne de France.



Donné à Paris, le vingt-sept janvier MCDLXII.

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Citation :

----------De par le Grand Maître de France.


----Eu égard à l'absence inattendue et prolongée du Premier Secrétaire d’État, notre première visite a été pour le Grand Office qu'il dirige, et ce afin que de rendre compte de la situation dans laquelle sa disparition l'a plongé. Au fil de nos discussions et de nos constats, il nous est apparu que non seulement cette absence est dommageable, mais qu'elle s'inscrit en outre dans un déclin hérité du défaut de projet et d'orientations pour ce Grand Office depuis plusieurs mois et du temps mis à remplacer le duc d'Aumale. De cet enchaînement de faits négatifs, ont découlé démotivation, sentiment d'abandon, interrogations sur les attentes de la Couronne de France des officiers royaux concernés.

----Forte de nos constats et de nos réflexions, nous avons relaté notre visite auprès de la Curia regis et de Sa Majesté puis avons formulé nos conclusions. La première est qu'il faut sans tarder remplacer la comtesse de Turenne. La seconde est que les réformes demandées depuis des mois n'ont pas été menées et qu'une attention toute particulière doit être apportée à une institution qui ne tient plus que par le travail de ses membres, qu'ils soient Secrétaires d’État, provinciaux ou affectés à la diplomatie interne, ou ambassadeurs royaux.

----Après discussion à la Curia regis et approbation royale, nous annonçons ainsi ce jour d'hui que nous révoquons Esyllt de la Louveterie-Montfort, comtesse de Turenne, de sa charge de Premier Secrétaire d’État. Pour autant, compte-tenu d'une part du relativement peu de temps écoulé depuis la nomination d'icelle et d'une part, de l'état des lieux que nous avons dressé, nous choisissons pour le moment de ne pas ouvrir le poste à candidature.

----Le Grand Office est ainsi placé sous notre autorité directe, comme il l'est de fait de puis notre nomination, et le restera jusqu'à ce qu'une solution viable, diligente et préférentiellement issue de la promotion interne soit trouvée puis publiée. Là réside notre engagement, là est la source de notre travail.


----Le Très-Haut et Saint-Louis soient gardes de la Couronne de France.



Donné à Paris, le vingt-sept janvier MCDLXII.

----------[/quote]

Citation :

----------De par le Grand Maître de France.


----Par la présente nous faisons savoir que nous acceptons la résignation de sa charge de Grand Écuyer de France de Son Altesse Marie Alice de Meyrieux, princesse d'Igny.

----Nommée le vingt-six avril dernier, Son Altesse Marie Alice de Meyrieux a dès le début et tout le temps qu'a duré son mandat fait démonstration de ses qualités de présence, d'écoute, de rigueur, de disponibilité et de dévotion, celles-là mêmes dont elle fait bénéficier la Couronne de France depuis plusieurs années maintenant, que ce soit au travers de ses charges et dignités ou de son engagement au sein de l'Ordre royal de la Licorne. Nous la remercions donc pour tout ce qu'elle a apporté à la Curia regis et au Grand Office qu'elle quitte ce jour d'hui et lui prodiguons tous nos meilleurs vœux pour ce nouveau chapitre de sa vie qui s'offre à elle.

----Qu'il plaise conséquemment savoir aux chevaliers de France et iceux des ordres royaux que nous ouvrons incontinent à postulation la charge de Grand Écuyer de France, lesdits et seuls chevaliers français étant invités à nous mander leur candidature témoignant de leur parcours, de leur connaissance du Grand Office et de leurs projets endéans un délai de sept jours à compter de la promulgation de la présente annonce.


----Le Très-Haut et Saint-Louis soient gardes de la Couronne de France.



Donné à Paris, le vingt-sept janvier MCDLXII.

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Citation :

----------De par le Grand Maître de France.


----La mort d'un monarque n'est pas un achèvement, elle est une étape, un passage, vers une nouvelle ère; et dans cette fin de siècle où les rois de France depuis l'abdication de Levan III le Parricide et la mise en place par celui-ci d'une monarchie élective, inexorablement s'éteignent rapidement, elle semble être passée du statut de possibilité lointaine à celui d'un événement survenant régulièrement et à court terme.

----Mais, et heureusement, dans cette agitation incessante et ces fréquents soubresauts, la Couronne de France, perpétuelle et stable, survit.
La Couronne de France, sempiternelle et inébranlable, continue de veiller sur le royaume des trois lys et ses sujets.
La Couronne de France, éternelle et permanente, traverse les temps soutenue par ses coutumes et ses lois pérennes.
La Couronne de France, constante et solide, demeure par le travail et l'activité continus de ses institutions et de ses officiers.
La Couronne de France, inaltérable et protectrice, subsiste par l'attachement indéfectible de ses vassaux et de son peuple.

----Et cette Couronne de France, immuable et glorieuse, est ce jourd'hui confiée à Son Altesse royale Charlemagne von Frayner-Castelmaure, prince de France, duc du Nivernais, etc., suite à la décision de la Curia regis qui a dû se prononcer diligemment en l'absence de nomination royale. Ce régent ainsi investi est incontinent chargé d'administrer le royaume de France en bon père de famille, de veiller aux intérêts de celui-ci et de recevoir les serments des feudataires appelés à se succéder en Salle du Trône du Louvre, et ce, jusqu'à l'avènement par les urnes d'un nouveau roi de France.


----Le Très-Haut et Saint-Louis soient gardes de la Couronne de France.



Donné à Paris, le six février MCDLXII.

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Citation :

----------De par le Grand Maître de France.


----Par la présente, nous faisons savoir qu'après consultation de la Curia regis, nous élevons à la dignité de Grand Officier de la Couronne de France et nommons à la charge de Grand Écuyer de France messire Optat de Sainte-Colombe, chevalier de l'Ordre royal des Hospitaliers de Saint-Jean-de-Jerusalem.


----Le Très-Haut et Saint-Louis soient gardes de la Couronne de France.



Donné à Paris, le six février MCDLXII.

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Citation :

----------De par le Grand Maître de France.


----Par la présente, nous faisons savoir qu'après consultation et délibération de la Curia regis, nous avons autorisé les deux armées battant pavillon breton dénommées « l'Ost du Nord » et « les Crocs du Cerbère » à traverser les frontières extérieures du royaume de France, afin pour icelles que d'aller porter assistance à la Provence. Cette acceptation, motivée et pourpensée, fait suite à l'acceptation du Grand-duché de Bretagne de conditions précises, comme aux garanties diligemment exprimées.

----Nous précisons que cette autorisation vaut pour le voyage aller et qu'elle exclut tout passage sur le sol du Domaine royal.

----Nous ajoutons aussi, et avec fermeté, que cet accord ne vaut que pour ledit franchissement, et que pour ce qui est du passage sur le territoire de provinces vassales françaises, il revient à icelles de déterminer une position, position qui ne saurait être exigée sur le fondement de la présente, en ce que notre décision ne lie en rien lesdites provinces.

----Et puisqu'il s'agit là d'une question grave et délicate, une collaboration active et efficace a été incontinent mise en place et met en présence responsables diplomatiques et militaires des deux états concernés.


----Le Très-Haut et Saint-Louis soient gardes de la Couronne de France.



Donné à Paris, le dix-sept février MCDLXII.

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Citation :

----------De par le Grand Maître de France.


----Par la présente, nous faisons savoir que nous révoquons de ses charges de chef de cabinet de la Surintendance des Finances et d'intendant ad interim le sieur Alexandre Olund*, icelui ayant fait montre, et avec persistance, d'un comportement incompatible avec l'état d'officier royal, tant envers le roi et la Surintendante pro tempore, qu'envers les feudataires du Domaine royal. Une telle attitude ne saurait être plus longuement tolérée et se voit donc justement sanctionnée.

----La Surintendance des Finances fera connaître prochainement les ajustements nécessaires découlant de cette révocation.


----Le Très-Haut et Saint-Louis soient gardes de la Couronne de France.



Donné à Paris, le onze mars MCDLXII.

[* IG = Alexandre908]

Citation :

De Sa Majesté et de ses Grands Officiers
Aux membres du collège nobiliaire du Maine,
Au conseil élu du Maine,
Au peuple du Maine.


Connaissance prise de votre courrier en date du 7 juin 1463 et des pièces qui l'accompagnaient, nous tenons à vous féliciter de la vigilance avec laquelle votre collège suit chaque élection comtale en Maine.

Nous vous rappelons néanmoins le principe selon lequel une liste entière ne saurait être tenue pour responsable des infractions commises par certains de ses membres. De même, nul ne saurait être tenu de faire valider son éligibilité avant de se présenter à une élection ducale.
Ces deux principes à portée générale seront d'ailleurs prochainement rappelés en une annonce ad hoc.

Ceci posé, il est évident que la liberté que Sa Majesté entend garantir à ses sujets ne va pas jusqu'à leur permettre de violer les lois en vigueur dans les duchés et comtés du Royaume.
La loi mainoise édicte des conditions d'éligibilité, notamment quant à la durée de résidence dans le Comté et au non-cumul des charges, qui n'ont pas été respectées par certains des actuels conseillers.
Par souci de garantir le respect des lois, sans pour autant empêcher le bon fonctionnement des institutions mainoises, nous vous faisons donc part des décisions suivantes:

• Compte tenu de leur inéligibilité pour irrespect de la durée de résidence exigée, nous demandons aux sieurs Henry_d et Goery. de démissionner de leur charge de conseiller
  
• Compte tenu de son inéligibilité pour irrespect du non-cumul de charges, mais ne souhaitant pas perturber la gestion économique comtale ou municipale, nous accordons dérogation exceptionnelle à la dame Dryne_de_Myr. Celle-ci se voit donc autorisée à cumuler les charges de Commissaire au Commerce du Maine et de maire du Mans mais sous condition de la vérification régulière des comptes de la mairie et du comté par l'intendant aux finances du Maine ou à défaut par la Surintendante des Finances.

Que le Très-Haut garde les Mainois et leur accorde sa bienveillance.


Donné le vingt troisième jour de juin de l'an 1463

Citation :

Par la présente,  Nous, Deedlitt de Cassel d’Ailhaud, Grand Maitre du Royaume de France

A tous ceux qui liront ou se feront lire,

Nommons ce jour, son Altesse Ingeburge Malzac d'Euphor, comme notre secrétaire particulière, qui aura la charge de mettre sa plume talentueuse au service de la communication publique.


Fait en Champagne, le 22 ème jour du mois de Septembre de l'an de Grâce MCDLXIII.

Citation :

REPRISE EN MAIN DE LA COMMUNICATION DE LA COURONNE

-------Aux sujets du royaume de France, ainsi qu'aux visiteurs, qui la présente déclaration liront ou se feront lire,
-------Salut.


----La communication de la Couronne de France autour du conflit opposant celle-ci à l'Empire a été défaillante. Cela, ce jourd'hui, nous le reconnaissons fermement par-devers vous. C'est un fait & nous n'entendons ni le contester, ni en amoindrir la réalité.

----Nous pourrions inventorier tout un tas de causes expliquant ce qui a parfois constitué un véritable silence mais cela ne changerait rien au passé. Nous n'en ferons ainsi rien, parce que nous estimons que cette reconnaissance publique faite, il est temps d'avancer & que le conflit qui perdure ne laisse pas la place à des études porteuses de sens Quand cette guerre sera derrière nous, nous pourrons nous retourner sur ce qui a été fait ou non & tirer des leçons pour l'avenir.

---Nous choisissons donc résolument le présent, pour rompre avec hier, prendre en compte aujourd'hui & envisager demain plus forts & plus unis. & ce présent s'ouvre avec une reprise en main de la communication de la Couronne de France, à destination de tous ceux qui constituent le royaume dont elle est la garante. Pour ce faire & dans les jours à venir, des actions concrètes seront lancées à destination des divers interlocuteurs du royaume & le cœur de l'information sera le bureau de la Curia regis.


---Que le Très-Haut soit garde de la Couronne & du royaume de France.



Le vingt-quatrième jour de septembre de l'an de grâce MCDLXIII :
La princesse de Dourdan, secrétaire particulière, a proposé & rédigé,
La marquise d'Épernon, Grand Maître de France, de son seing & de son scel a ratifié.

Deedlitt de Cassel d'Ailhaud,

Citation :

PRISE DU CASTEL MANCEAU

-------Aux sujets du royaume de France, ainsi qu'aux visiteurs, qui la présente déclaration liront ou se feront lire,
-------Salut.


----C'est un automne bien rude qui a commencé de s'abattre sur le Domaine royal. Après la prise de Reims, c'est au tour du Mans d'être tombé il y a deux jours.

----& pas dans une guerre loyale & régulière, non, mais du fait de menées angevines opportunistes. En effet, comme cela est déjà arrivé par le passé, le gouvernement renégat de l'Anjou a choisi, dans un sursaut de probité, d'attaquer alors que le Domaine royal doit déjà faire face aux intrusions & attaques impériales. Ainsi le Maine qui a pris sa part dans l'assistance à sa sœur champenoise s'est vu pris pour cible, une fois de plus, ce qui tend à prouver que ceux qui en Anjou se déclarent lassés de la France succombent toujours à la tentation d'y revenir.

----Nos pensées sont directement allées vers les Mainois, ceux qui sont tombés & ceux qui sont en butte à l'occupant, & elles sont toujours ce jourd'hui dirigées vers eux. Nous les assurons de notre soutien, comme nous leur affirmons notre volonté de leur voir restituer leur ville & le château de leur comte.

---Nous tenons également à saluer la solidarité des grands feudataires s'étant exprimés suite à ce funeste événement. Le royaume de France, quoique d'aucuns se plaisent à affirmer est uni malgré la tourmente & les incompréhensions, & c'est uni qu'il règlera les problèmes qui l'assaillent.


---Que le Très-Haut soit garde de la Couronne & du royaume de France.



Le vingt-septième jour de septembre de l'an de grâce MCDLXIII :
La princesse de Dourdan, secrétaire particulière, a proposé & rédigé,
La marquise d'Épernon, Grand Maître de France, de son seing & de son scel a ratifié.

Deedlitt de Cassel d'Ailhaud,

Citation :

POINT SUR LA SITUATION EN MAINE

-------Aux sujets du royaume de France, ainsi qu'aux visiteurs, qui la présente déclaration liront ou se feront lire,
-------Salut.


----C'est avec une attention soutenue que nous suivons l'évolution de la situation en Maine suite à la prise de sa capitale il y a cinq jours de cela.

----Sur le terrain, la situation est contrastée.
D'un côté, nous déplorons que le château comtal reste aux mains des renégats angevins malgré les élections provinciales d'il y a deux jours. Nous avons également appris qu'un travail d'annexion du comté est en cours, plusieurs nœuds étant passés sous le contrôle de l'Anjou.
De l'autre, la nuit même de la résolution du scrutin, une révolte pour reprendre la ville de Mayenne a été menée avec succès & maître Cricril, soutenu en cela par une quinzaine de courageux compagnons, a pu entrer dans la mairie.

---Cette manœuvre couronnée de réussite est un espoir pour l'avenir & un baume pour tous ceux qui meurtris par l'attaque angevine n'en sont pas moins décidés à se battre. Nous remercions avec chaleur les révoltés de Mayenne ainsi que tous ceux qui œuvrent pour qu'un pouvoir légitime & un territoire complet soient restaurés en Maine.


---Que le Très-Haut soit garde de la Couronne & du royaume de France.



Le derrain jour de septembre de l'an de grâce MCDLXIII :
La princesse de Dourdan, secrétaire particulière, a proposé & rédigé,
La marquise d'Épernon, Grand Maître de France, de son seing & de son scel a ratifié.

Deedlitt de Cassel d'Ailhaud,

Citation :

DU 27 SEPTEMBRE 1463 À REIMS

-------Aux sujets du royaume de France, ainsi qu'aux visiteurs, qui la présente déclaration liront ou se feront lire,
-------Salut.


----L'on a beaucoup parlé de ce qui est arrivé à Reims le vingt-sept septembre dernier, ou plutôt de ce qui n'est pas arrivé, selon le point de vue que l'on adopte. C'est là chose naturelle car notre nature humaine fait que nous avons soif de savoir & que nous avons non seulement de cesse de ne rien ignorer mais aussi très souvent de comprendre. L'arrivée de deux armées royales devant une ville de Reims occupée & tenue par l'ennemi a suscité un espoir légitime chez tous ceux espérant la libération de la capitale du duché de Champagne.

----Las, la guerre n'obéit pas à des combinaisons invariables & dont on ne peut sortir, elle n'est pas présages immuables à la survenue certaine, auquel cas elle serait affaire des vaticinateurs & des devineresses que l'on placerait à la tête des états-majors. Elle n'est pas davantage la réalisation parfaite d'un plan lui aussi parfait, auquel cas il n'y aurait jamais de blessés, de morts & de prises de châteaux & de mairies. Non, la guerre, c'est la théorie confrontée au réel, c'est la rencontre des hypothèses & des actes. C'est pourquoi, si elle est anticipation & imagination avec l'étude des données, la prise en compte d'éléments divers émanant de sources nombreuses, elle est aussi adaptation aux dernières nouvelles & informations arrivant tout au long du jour, parfois juste avant la réalisation d'un mouvement. & c'est parce que la guerre est terrible d'exigences & de sollicitations qu'il faut savoir s'affranchir de la passion & de l'excitation au profit de la pondération.

---La guerre est aussi affaire de principes & de convictions. Il y a ceux qui sont communes à tout un chacun. Il y a ceux partagés par une communauté, ils sont de souventes fois d'ailleurs encore plus coercitifs que ceux admis par la majorité. Aussi, ceux qui tâchent de guerroyer en suivant leurs préceptes particuliers sont parfois assaillis de doutes, surtout quand en face d'eux, les interrogations ne sont pas ou plus. & il y a, comme pour la tactique, la confrontation de ce que l'on croit à la réalité. Un des principes chers à la Couronne de France est le respect de la trêve dominicale. Il s'agit d'un canon simple dans son expression mais d'application peu aisée. Non pas que de déposer les armes soit un geste difficile, il suffit de lâcher prise. Mais parce que l'idée de le faire l'est tout à fait, justement parce que l'on peut se trouver dans une position favorable, dans une situation permettant une avancée en sachant qu'en quelques heures, tout peut basculer dans l'autre sens.

---Ce vingt-sept septembre, nous étions & un dimanche, & un dimanche où les estimations des derniers jours ne tenaient plus le soir même. Le risque était trop grand, sur le plan militaire pur, de voir des innocents partir à la mort sans garantie de pouvoir reprendre Reims réellement. Les armées royales n'ont donc pas, pour ces deux causes, été autorisées par l'État-major royal, à mener d'assaut. D'aucuns se sont tout de même révoltés dans l'espoir d'aider : nous les en remercions avec sincérité car nous les savons mus par la volonté de casser le joug impérial pesant sur la cité rémoise. Cette volonté est aussi nôtre & nous n'entendons pas nous en affranchir. La Champagne, bien que toujours occupée & dépecée, n'est pas abandonnée. Elle occupe les pensées & anime les décisions que nous prenons au quotidien.


---Que le Très-Haut soit garde de la Couronne & du royaume de France.



Le derrain jour de septembre de l'an de grâce MCDLXIII :
La princesse de Dourdan, secrétaire particulière, a proposé & rédigé,
La marquise d'Épernon, Grand Maître de France, de son seing & de son scel a ratifié.

Deedlitt de Cassel d'Ailhaud,

Citation :

DE LA GOUVERNANCE DU DUCHÉ DE CHAMPAGNE

-------Aux sujets du royaume de France, ainsi qu'aux visiteurs, qui la présente déclaration liront ou se feront lire,
-------Salut.


----Le duché de Champagne est province française & entité du Domaine royal, en ce qu’elle est la propriété de la Couronne de France. L’occupation infâme & criminelle de Reims par les troupes impériales n’a pas changé cet état de droit & ne le changera pas, & ce peu importe les menées d’un ennemi qui prétend ne pas vouloir de la Champagne mais accumule méthodiquement le actes démontrant le contraire. Ladite occupation n’a pas non plus entamé la volonté & la résolution de son dernier conseil élu qui continue d’œuvrer au quotidien & pour la préservation des intérêts champenois & pour la libération du duché.

---C’est pourquoi, ce jour d’hui, nous faisons savoir que nous remettons la gouvernance du duché de Champagne entre les mains sa dernière duchesse légitime, à savoir dame Klouska d’Hauteroche & que nous rendons finalement formel & officiel un état de fait que la prise de Reims du dix-huit septembre dernier n’a pas changé. Nous profitons d’ailleurs de cette annonce pour remercier les conseillers ducaux renversés & les membres de l'état-major local pour la constance de leur engagement à l’endroit de la Champagne.

---Par conséquent & jusqu’à décision ultérieure commandée tant par les événements que par l'application du droit royal, la dame de Champigneulles-en-Bassigny, Klouska d’Hauteroche, est & demeure la première représentante champenoise & la première interlocutrice de la Curia regis & à ce titre, se voit & verra toujours accueillie dans les divers salons & assemblées où est mise en œuvre la collaboration avec les régnants du royaume de France.


---Que le Très-Haut soit garde de la Couronne & du royaume de France.



Le quatrième jour d'octobre de l'an de grâce MCDLXIII :
La princesse de Dourdan, secrétaire particulière, a proposé & rédigé,
La marquise d'Épernon, Grand Maître de France, de son seing & de son scel a ratifié.

Deedlitt de Cassel d'Ailhaud,

Citation :

DE LA GOUVERNANCE DU COMTÉ DU MAINE

-------Aux sujets du royaume de France, ainsi qu'aux visiteurs, qui la présente déclaration liront ou se feront lire,
-------Salut.


----Le comté du Maine, encore que pour d'autres causes que celles affectant le duché de Champagne, voit lui aussi le siège de son pouvoir provincial confisqué par un envahisseur. Comme sa sœur champenoise, il n'en demeure pas moins province du Domaine royal & par là, propriété de la Couronne de France devant être administrée. Les élections comtales récentes ayant installé un nouveau conseil sans que celui-ci ait pour autant pu reprendre en main la gestion de la province, la Curia regis, gouvernement royal & gestionnaire du domaine de la Couronne, a été sollicitée pour déterminer qui serait son relais sur place & qui serait à la tête d'un groupe chargé de préserver les intérêts du Maine occupé.

---Ainsi, ce jour d’hui, nous faisons savoir que nous remettons la gouvernance du comté du Maine entre les mains son dernier comte légitime, à savoir Tommaso « Tomnissa666 » Leone di Monteroni. À celui-ci, nous demandons de composer un conseil mêlant d'une part nobles mainois résidant effectivement dans le comté & d'autre part membres d'expérience du conseil sortant & de celui dernièrement élu. Nous indiquons également que ce conseil auquel il est confié la gestion & de ses biens & la préparation des travaux à mettre en œuvre une fois que celle-ci aura été libérée pourra compter & s'appuyer sur la Curia regis pour ce faire.

---Par conséquent & jusqu’à décision ultérieure commandée tant par les événements que par l'application du droit royal, Tommaso « Tomnissa666 » Leone di Monteroni est & demeure le premier représentant mainois & le premier interlocuteur de la Curia regis & à ce titre, se voit & verra toujours accueilli dans les divers salons & assemblées où est mise en œuvre la collaboration avec les régnants du royaume de France.


---Que le Très-Haut soit garde de la Couronne & du royaume de France.



Le cinquième jour d'octobre de l'an de grâce MCDLXIII :
La princesse de Dourdan, secrétaire particulière, a proposé & rédigé,
La marquise d'Épernon, Grand Maître de France, de son seing & de son scel a ratifié.

Deedlitt de Cassel d'Ailhaud,

Citation :

PATAY LIBÉRÉE

-------Aux sujets du royaume de France, ainsi qu'aux visiteurs, qui la présente déclaration liront ou se feront lire,
-------Salut.


----C'est une bonne nouvelle qui est tombée dans les premières heures de ce dimanche : la ville de Patay a été reprise aux brigands qui s'en étaient emparé à la suite d'une révolte légale. Celle-ci a permis à maître Silfiac, fort d'une douzaine de mandats à la tête de la cité patichonne & maire renversé, de reprendre la mairie des mains des malandrins.

---C'est une bonne nouvelle, oui, à l'heure où le Domaine royal en proie à l'envahisseur impérial, voit des canailles & des pillards profiter du trouble & de la mobilisation pour s'adonner à leurs forfaits. Voilà pourquoi nous tenons à remercier avec force le conseil orléanais & les révoltés libérateurs de Patay pour leur détermination & leur courage.

---C'est ainsi que partout en Domaine royal, nous vaincrons.


---Que le Très-Haut soit garde de la Couronne & du royaume de France.



Le cinquième jour d'octobre de l'an de grâce MCDLXIII :
La princesse de Dourdan, secrétaire particulière, a proposé & rédigé,
La marquise d'Épernon, Grand Maître de France, de son seing & de son scel a ratifié.

Deedlitt de Cassel d'Ailhaud,

Citation :

Nous, Leda, Dauphin de France,
Nous, Deedlitt de Cassel d'Ailhaud, Grand Maitre de France,
Nous, Agnès de Saint Just, dicte Montjoye, Roy d'Armes de France,
Nous, Nikolaï Jagellon, Premier Secrétaire d'État,
Nous, Grégoire de Cassel d'Ailhaud, Chancelier de France,
Nous, Hersent, Grand Ambassadeur Royal de France,
Nous, Fred de Castelviray, Connétable de France,
Nous, Cerise de Bonnemaison Plantagenet, Grand Prévôt de France,
Nous, Keena, Surintendante des Finances,
Nous, Elianor de Vergy, Grand Chambellan de France,

À tous ceux qui liront ou se feront lire ce qui suit,




La prise du château du Maine dans la nuit du 24 au 25 septembre 1463 par les armées « le Purgatoire » et « Mon Petit Poney » , ainsi que toutes les personnes ayant contribué volontairement de près ou de loin, de façon active ou passive, à cet acte de guerre, ont délibérément & gravement porté atteinte à la stabilité du Royaume de France.

Qu'il soit su que les personnes suivantes sont déclarées Traitre à la Couronne de France avec tout ce que cela comporte :

Finam
Eikorc
Rose
Sylphide
Ladyphoenix
Larentina
Melchiore
Daithe
Ninon_
Catnys
Minounette
Salebete
Agravain_du_bellay
Alatariel
Alessandro.di.roja
Alude
Amat
Archimede
Bella.snow
Brennus_de_reikrigen
Celdrick
Cune
Daithe
Damiosr
Falco.
Hibou.
Jehan_
Layke
Lormet
Magda
Mordy
Nox
Pendarric
Ricks
Sam_.
Seanmaclane
Shanephillips
Syagrius
Umbrella


Qu'il soit su que les groupes suivants sont déclarées Ennemies à la Couronne de France avec tout ce que cela comporte :

Les membres de l'armée "Mon Petit Poney "
Les membres de l'armée "Le Purgatoire. "

Point de surprise de constater qu’en Anjou, l’ennui ne fait que gagner du terrain, tant les habitants de ce duché ne savent que vouloir en sortir pour aller semer la discorde dans un Royaume déjà en proie au conflit avec l’Empire. Force est de constater qu’il n’y a encore une fois aucun honneur dans les actions angevines.
Qu'ainsi, en étant venus verser le sang des sujets de France, que ces individus ne s'étonnent pas qu'en tous lieux & à la moindre occasion, il en soit désormais fait de même avec le leur.

En foy de quoi, ordonnons aux personnes installées illégalement en les murs du Mans d'immédiatement libérer la ville de leur indésirable présence s'ils ne désirent en faire leur tombeau.

Faict le 3eme jour du mois d’octobre de l’an de grâce 1463.

Deedlitt de Cassel d'Ailhaud,
Grand Maitre de France.



Leda,
Dauphin de France.


Cerise de Bonnemaison Plantagenêt,
Grand Prévôt de France.


Fred de Castelviray,
Connétable de France.


Agnès de Saint Just, dicte Montjoye, Roy d'Armes de France


Hersent d'Ar Sparfel
Grand ambassadeur royal de France


Elianor de Vergy
Grand Chambellan de France



Keena de Montbazillac
Surintendante des Finances



Nikolaï Jagellon,
Premier Secrétaire d'État



Grégoire de Cassel d'Ailhaud,
Chancelier de France.

Citation :

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-------De Nous, Deedlitt de Cassel d'Ailhaud, Grand Maître du royaume de France & Leda, dauphin de France,
-------Au conseil ducal d'Orléans & aux défenseurs de Blois,
-------Salut.


----Chez les renégats des provinces angevines, artésiennes & berrichonnes, la question ne cesse d'être posée : comment profiter de la situation créée par la guerre entre la Couronne de France & l'Empire? Ainsi, les jours se suivent & se ressemblent, & dernier événement en date, ce sont les dévoyés berrichons qui ont décidé de se joindre aux réjouissances. Ainsi donc, jeudi soir, ils ont entrepris de prendre la mairie de Blois, en Orléanais. Ils ont essayé & échoué car dans la cité blésienne, on s'était préparé à les accueillir comme il se doit.

---En ce jour, nous tenons tout d'abord à saluer le courage & la résistance de tous ceux qui à Blois, qu'ils en soient résidents ou qu'ils se soient trouvé de passage, ont contribué à ce que la ville tienne bon. Nous souhaitons aussi les remercier avec chaleur & sincérité, pour leur engagement & leur détermination. Ce sont cette unité & cette résolution qui font que le Domaine royal peut tenir bon malgré les affres dans lesquels il est plongé & qui feront qu'il s'en sortira. Merci à vous!


---Pour un royaume de France, fier & honnête!


Le dix-septième jour d'octobre de l'an de grâce MCDLXIII :
La princesse de Dourdan, secrétaire particulière, a proposé & rédigé,
La marquise d'Épernon, Grand Maître de France, & le duc de Vire, dauphin de France, de leurs seings & sceaux respectifs ont ratifié.

Deedlitt de Cassel d'Ailhaud,



Leda,

Citation :

DE LA GOUVERNANCE DU COMTÉ DU MAINE – TER

-------Aux sujets du royaume de France, ainsi qu'aux visiteurs, qui la présente déclaration liront ou se feront lire,
-------Salut.


----Soucieuse de voir le Maine, ses intérêts & ses actifs gérés au mieux, dans l'idée d'une reprise du château du Mans, nous avons décidé il y a une douzaine de jours de remettre la gouvernance entre les mains du dernier comte légitime mainois, à savoir Tommaso « Tomnissa666 » Leone di Monteroni. Il ne s'agissait nullement d'une dignité sans obligations, mais bien d'une mission à remplir activement.

---Ce jour d’hui, la disparition dudit ancien comte étant établie & la nécessité d'administrer la province royale mainoise ne s'étant elle pas évanouie, nous faisons savoir que nous remettons la gouvernance du comté du Maine entre les mains de Erwelyn Corleone de Jeneffe. La mission assignée ne varie pas. Il s'agira tout d'abord de composer un conseil de personnes présentes & expérimentées comprenant d'un coté nobles mainois résidents du Maine & de l'autre conseillers comtaux, qu'ils soient issus d'anciens conseils ou de celui dernièrement élus. Ce conseil de gouvernance installé, il s'agira ensuite d'administrer les biens protégés du Maine, assurer la défense du comté & préparer la reprise du château & des villes démantelés & enfin prévoir les travaux à mener quand le pouvoir sera effectivement à nouveau détenu.

---Par conséquent & jusqu’à décision ultérieure commandée tant par les événements que par l'application du droit royal, Erwelyn Corleone de Jeneffe est investie de la mission d'être le premier représentant mainois & le premier interlocuteur de la Curia regis & à ce titre, se voit accueilli dans les divers salons & assemblées où est mise en œuvre la collaboration avec les régnants du royaume de France.


---Que le Très-Haut soit garde de la Couronne & du royaume de France.



Le dix-huitième jour d'octobre de l'an de grâce MCDLXIII :
La princesse de Dourdan, secrétaire particulière, a proposé & rédigé,
La marquise d'Épernon, Grand Maître de France, de son seing & de son scel a ratifié.

Deedlitt de Cassel d'Ailhaud,

Citation :

De Nous, Leda, Dauphin de France,
De nous, Deedlitt de Cassel d'Ailhaud, Grand Maître de France

Au conseil de la Noblesse Mainoise
Aux Mainoises et Mainois

A tous qui liront et à ceux qui se feront lire.

Salutations.

Par ce courrier, tenons à rappeler quelques points concernant la communication des ordres. Il n'y a qu'un et unique flux d'ordres. Celui- ci s'établit comme tel:

• Les ordres relatifs aux armées sont gérés par le Connétable de France Fred de Castelviray [Fred] et le Maréchal de France Nakoor [Nakoor]. Ces derniers transmettent leurs consignes au Capitaine Royal du Maine Grégoire d'Ailhaud [Thegregterror], à son aide de camps Caelthas [Caelthas], et/ou à la Première représentante Erwelyn Corleone de Jeneffe [Erwelyn]. Ces trois derniers sont en charge de mettre en place les ordres au sein du Comté du Maine.
  
• Les ordres relatifs à la prévoté sont gérés par le Grand Prévot de France Cerise de Bonnemaison [Cerise]. Cette dernière transmets ses consignes au Prévôt légitime Philios [Philios] et/ou à la Première représentante Erwelyn Corleone de Jeneffe [Erwelyn]. Ces deux derniers sont en charge de mettre en place les ordres au sein du Comté du Maine.
  

Toutes ces consignes se discutent de façon collégiale entre l'Office de la Connétablie et celui de la Prévôté. Tout ordre qui ne proviendrai pas d'un des nom mentionnés ci-dessus devra être ignoré. Toute initiative personnelle ou groupée allant à l'encontre des consignes transmises par les Grands Offices devra être évitée sous peine de poursuites pénales pour Trahison.

Faict au Louvre le 19 Octobre 1463,

Leda, Dauphin de France


Deedlitt de Cassel d'Ailhaud,

Citation :

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Nous, Deedlitt de Cassel d'Ailhaud, Grand Maitre de France,

A tous ceux présents et à venir, qui la présente liront ou se feront lire,

Salut et paix.


Par la présente annonce et en vertu des prérogatives déléguées par la volonté de Sa Majesté la Reyne de France, Zelha 1ère, annonçons le renvoi de messire Nikolaï Jagellon [Nikolai_jagellon] du poste de Premier Secrétaire d'Etat, son manque de présence nuit gravement au bon fonctionnement de l'office et c'est avec regret, aux vues des efforts faits pour le recrutement, que nous lui retirons sa charge.

Annonçons donc l'ouverture du poste de Premier Secrétaire d'Etat, tout candidat dispose de Trois jours, date de la présente annonce incluse, pour nous faire parvenir sa candidature en bonne et due forme*;

Le 22 octobre à minuit, plus aucune candidature ne sera acceptée. Celles qui auront été reçues dans les temps, seront étudiées par la Curia Régis et la Très Noble Assemblée des Pairs de France.



Faict le 19 Octobre 1463 ,

Deedlitt de Cassel d'Ailhaud,
Grand Maitre de France.



*Candidature à envoyer à Deedlitt

Citation :

De Nous, Leda, Dauphin de France, Co-Régent de France,
De Nous, Deedlitt de Cassel d'Ailhaud, Grand Maitre de France, Co-Régent de France,

A Vous, Hadrien 1er, Empereur,

A tout ceux qui liront ou se feront lire,

Salutations.


La guerre fait depuis longtemps rage sur nos terres comme sur les terres impériales. Notre objectif n'a jamais été de faire couler tant de sang et nous souhaitons y mettre fin.

Ainsi, suite à votre dernière proposition, il nous semble raisonnable de proposer une mouture modifiée qui, Nous en sommes sur, permettra de sceller une trêve devenue volonté commune.

Nous n'accepterons plus d'allégeance venant du Duché de Lorraine tant que son statut n'aura pas été discuté et tranché. Néanmoins, si nous nous engageons à retirer troupes et navires de vos territoires et eaux, nous entendons que ce retrait soit mené simultanément à celui des effectifs de votre propre camp. Il conviendra d’ailleurs de définir ce que sont les eaux concernées respectives.

Second point, l'Artois est une province vassale française. Si la Couronne souhaite intervenir sur ce territoire, c'est son plus grand droit. Si il n'y aucune raison d'y aller, alors la France n'interviendra pas plus dans cette province que dans les autres provinces du Royaume de France. Ainsi, si l'Artois n’attaque pas d’autres provinces du Royaume de France, ni ne s’en prend à ses intérêts, il n'y a pas de raison à voir la Couronne attaquer sa propre province. Des discussions sur le statut accordé par l'Empire à l'Artois devront néanmoins être lancées durant les négociations de paix.

Afin de prendre en compte votre dernier courrier, Nous souhaitons emmetre désormais des délais dans les réponses afin que chaque partie sache où s'en tenir. Ainsi, si notre proposition vous convient, Nous vous invitons à y répondre sous 7 jours, date symbolique du 24 Octobre donc, puisqu'on fêtera la Sainte Raphaëlle, archange de la conviction. De plus, Nous ne rejetons pas l'idée d'une rencontre, bien au contraire, mais nous estimons qu'il faut une cessation des combats et des attaques pour ce faire; oui à une rencontre donc, une fois la trêve signée et mise en œuvre.

Nous apposons donc nos sceaux à cette proposition de trêve légèrement modifiée qui devrait convenir à toutes les parties. Dès la trêve mise en place, des négociations pour la paix pourront être enclenchées afin d'avancer sur les points sur lesquels les deux belligérants s'opposent. Vous trouverez celle-ci en annexe de notre déclaration.


Donné et scellé au Louvre, à Paris, le 17 Octobre 1463.

Leda, Dauphin de France, Co-Régent de France,


Deedlitt, Grand Maitre de France, Co-Régent de France,

Citation :

Trêve entre le Royaume de France et le Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae

Préambule

Ce document se veut un accord initial de trêve entre le Royaume de France et le Saint Empire Romain Germanique devant mener à des négociations de paix. Tout autre point, comme la présence des armées dans des villes ou leurs positions par rapport aux frontières, peut être discuté lors d’une table ronde en marge des négociations de paix.

Le Royaume de France s’engage à ;
1. Fournir sous 5 jours un document signé par les Grands Feudataires et la Curia Regis confirmant ne plus recevoir le serment d’un Duc Lorrain pendant la période de la régence, ainsi qu’exhorter la Reyne Zelha ou le prochain souverain français, si elle ne remet pas de sa maladie, à valider cette décision et renoncer au rattachement de la Lorraine au Royaume de France.
2. Retirer ses troupes de Lorraines, lesdites troupes et celles de ses alliés devant avoir quitté le territoire sous cinq jours après l’acceptation conjointe de ce traité, et ce de façon pacifique (plus de faucheuse et de liste d’ennemis).
3. Retirer ses troupes et navires de toutes les terres et eaux impériales, ainsi qu’à demander officiellement à leurs alliés de faire de même. Ne plus lancer d’attaques contre l'Empire et ses alliés. Les troupes et les navires français, ainsi que ceux de leurs alliés, devront avoir complètement quitté les eaux et territoires impériaux sous cinq jours après l'acceptation conjointe de ce traité, et ce de façon pacifique (plus de fauchage ou de liste d'ennemis).
4. Demander à la Bourgogne de suspendre les procès des ressortissants impériaux en sa province, celle-ci étant province vassale et non royale.

Le Saint Empire Romain Germanique s’engage à ;
5. Retirer ses troupes et navires de toutes les terres et eaux françaises, ainsi qu’à demander officiellement à leurs alliés de faire de même. Ne plus lancer d’attaques contre le royaume de France et ses alliés. Les troupes et les navires français, ainsi que ceux de leurs alliés, devront avoir complètement quitté les eaux et territoires français sous cinq jours après l'acceptation conjointe de ce traité, et ce de façon pacifique (plus de fauchage ou de liste d'ennemis).
6. Suspendre les procès en Champagne.
7. Ne pas valider la liste électorale impériale en Champagne.

Le Royaume de France et le Saint Empire Romain Germanique s’engagent conjointement à ;
8. Respecter la trêve pendant un minimum de 3 mois, reconductibles. Pendant cette période, des négociations de paix devront être menées et pourront ainsi l’être dans un climat serein.
9. Annoncer la fin du protectorat Impérial sur la Champagne et la fin du protectorat Français sur la Franche-Comté.

Le Royaume de France et le Saint Empire Romain Germanique sont autorisés à;
10. Récupérer tous les territoires qui leur appartenaient avant le début du conflit sans que cela soit considéré comme une rupture de trêve.

Signé et scellé le 17 octobre MCDLXIII


Pour le Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae,

Hadrien 1er, par la grâce de Dieu et des Urnes, Empereur


Pour le Royaume de France

Leda, Dauphin de France, Co-Régent de France,


Deedlitt, Grand Maitre de France, Co-Régent de France,

Citation :

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De Nous, Deedlitt de Cassel d'Ailhaud, Grand Maitre de France, Co-Régente de France,
De Nous, Leda, Dauphin de France, Co-Régent de France,
De Nous, Hersent d'Ar Sparfel, Grand Ambassadeur Royal de France,


A vous, Grand_sage de Kerdraon, Grand Duc de Bretagne,
A vous, Liz de Dénéré, Duchesse de Bretagne ,

Salutations.

Ce n'est pas sans émotion que nous avons appris l'entrée d'une armée bretonne, "Karr an Ankou" dirigée par Monsieurpatate, sur le territoire français en date du 16 Octobre 1463 au matin.
Nos deux royaumes étaient jusque là sur la voie de l'entente cordiale, ainsi nous ne comprenons pas cet acte qui pourrait être jugé comme belliqueux au vu de la situation Française actuelle.
Il est évident que cette armée n'a demandé aucun laissez passer, alors que les frontières du Domaine Royal sont fermées depuis le 3 Octobre 1463 à tout étranger.
Ainsi, nous demandons au Grand Duché de Bretagne de faire preuve de discernement et de donner ordre à son armée de regagner la Bretagne.

En raison des menaces pesant sur la France, nous vous laissons 48h pour apporter réponse à la présente annonce. Passé ce délai, nous considérerons l'armée "Karr an Ankou" comme ennemie et enjoindrons la Reyne de France, Sa Majesté Zelha 1ère à revenir sur traité, encore frais, de reconnaissance de la noblesse Bretonne.

Faict le 19 Octobre 1463 ,

Deedlitt de Cassel d'Ailhaud,
Grand Maitre de France.


Leda,
Dauphin De France.


Hersent d'Ar Sparfel
Grand ambassadeur royal de France

Citation :

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De Nous, Leda, Dauphin de France, Co-Régent de France,
De Nous, Deedlitt de Cassel d'Ailhaud, Grand Maitre de France, Co-Régent de France,

A Vous, Yvon-Ulrich Borgia-Diftain d'Embussy-Taschereau, Cardinal-Archevêque de Lyon,
A Vous, Arnault d'Azayes, Cardinal-Camerlingue.




Salutations,

En ce jour, nous prenons la plume pour marquer notre profond désappointement. En effet, nous avons noté vos annonces à l'encontre de nos soldats situés en Franche-Comté, notamment celles à l'encontre du Général Namaycush et Coleen de Colmarker, accompagnant tristement celles parues au sujet de soldats ayant simplement respecté les ordres. Ordres, qui plus est, en accord avec l'interdiction de pénétrer dans la ville de Dole.

Nous comprenons la volonté de l'Eglise de protéger ses plus grands serviteurs et nous l'encourageons. Néanmoins, l'Eglise devrait pouvoir reconnaitre que la tentative de rejoindre la ville de Dole n'était probablement pas adaptée à la situation. Il nous semble que les mesures prises sont exagérées au regard de la volonté du Général d'épargner des vies en précisant ouvertement que la ville était fermée. Nous vous prions de bien vouloir reconsidérer cette décision surtout en ces temps où chaque Aristotélicien doit pouvoir se retrouver en sa foi.

Pour conclure, nous souhaitons signaler que d'autres situations n'ont toujours pas trouvé réponse auprès de vous, qu'elles concernent la rupture de la trêve dominicale en Champagne, ou encore l'intégration des membres religieux au sein des armées impériales.

Nous prions chaque jour et sommes de pieux serviteurs d'Aristote, en témoigne la récente bénédiction avec Monseigneur Pie II de Valence, Primat de France. Ainsi, nous gageons que l'Eglise trouvera tout autant de temps pour s'occuper des affaires que nous venons de mentionner que le temps qu'elle a pris pour prendre une décision, à nos yeux, hâtive pour ces soldats croyants et aristotéliciens.




Donné et scellé au Louvre, à Paris, le 21 Octobre 1463.



Leda, Dauphin de France, Co-Régent de France,



Deedlitt, Grand Maitre de France, Co-Régent de France,

Citation :

PRUDENCE EN DOMAINE ROYAL

-------Aux sujets du royaume de France, ainsi qu'aux visiteurs, qui la présente déclaration liront ou se feront lire,
-------Salut.


----Si un accord de trêve a été trouvé & conclu avec l'Empire, la Couronne de France n'en demeure pas moins en guerre, ne serait-ce que du fait des attaques opportunistes de renégats en provenance des provinces vassales entendant faire sécession du royaume. Car non contents d'attaquer les châteaux & les villes du Domaine royal, ces individus-là s'en prennent également aux habitants & aux voyageurs empruntant les chemins de ce territoire.

----Aussi, compte tenu des exactions à déplorer & de l'attitude résolument hostiles des profiteurs de tout poil, nous mettons en garde quiconque entend circuler sur le sol du Domaine royal, que ce soit par nécessité, agrément, commerce, etc.. Les routes du Domaine royal sont périlleuses : certaines des armées indésirables peuvent attaquer sans sommation, certains groupements suspects peuvent brigander.

----Il est donc impératif, s'il n'est pas possible de remettre un déplacement, de prendre langue avec les autorités provinciales concernées ou la Grande Prévôté de France, avant de prendre la route.


---Que le Très-Haut soit garde de la Couronne & du royaume de France.



Le vingt-deuxième jour d'octobre de l'an de grâce MCDLXIII :
La princesse de Dourdan, secrétaire particulière, a proposé & rédigé,
La marquise d'Épernon, Grand Maître de France, de son seing & de son scel a ratifié.

Deedlitt de Cassel d'Ailhaud,

Citation :

-----


-------De Nous, Deedlitt de Cassel d'Ailhaud, Grand Maître du royaume de France & Leda, dauphin de France,
-------À vous, Hadrien, Empereur,
-------Salut.


----En ce jour qui voit le délai de cinq jours prévu par l'accord de trêve expirer, nous tenons à faire publicité de la mise en application dudit accord.
Premièrement, le document à propos de la situation du duché de Lorraine a été mis en signature au salon des Grands Feudataires, à destination de ceux-ci & des Grands Officiers, ledit document fera l'objet d'une publication dédiée.
Deuxièmement, pour ce qui est de la Lorraine toujours, nulle troupe française n'y est plus déployée.
Troisièmement, toutes les armées françaises relevant de la Couronne de France se sont retirées du sol impérial, sans mouvement hostile, le même constat pouvant être fait en mer.
Quatrièmement, le duché de Bourgogne avait déjà, depuis plus d'une semaine avant la signature conjointe de l'accord de trêve, suspendu les procès lancés à l'encontre de ressortissants impériaux.
Cinquièmement, le protectorat sur la Franche-Comté a été dénoncé.

---Concernant les négociations de paix, nous réitérons l'accord donné il y a quelques jours : nous viendrons à Trêves, accompagnés d'une délégation. Celle-ci est en cours de formation, point qui avec d'autres fait l'objet de travaux préparatoires auprès des Grands Officiers & pairs de France. Nous fournirons donc sous peu des propositions en vue de la bonne tenue des pourparlers de paix souhaités par les deux camps en présence.

---Nous avons appelé à la paix & nous n'entendons pas nous dédire malgré ce qui est colporté par d'aucuns.


---Pour un royaume de France, fier & honnête!


Le vingt-deuxième jour d'octobre de l'an de grâce MCDLXIII :
La princesse de Dourdan, secrétaire particulière, a proposé & rédigé,
La marquise d'Épernon, Grand Maître de France, & le duc de Vire, dauphin de France, de leurs seings & sceaux respectifs ont ratifié.

Deedlitt de Cassel d'Ailhaud,



Leda,

Citation :

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Nous, Deedlitt de Cassel d'Ailhaud, Grand Maitre de France,

A tous ceux présents et à venir, qui la présente liront ou se feront lire,

Salut et paix.


Par la présente annonce et en vertu des prérogatives déléguées par la volonté de Sa Majesté la Reyne de France, Zelha 1ère, annonçons la nomination de la Baronne Neyco de Fronsac [Neyco] du poste de Premier Secrétaire d'Etat, cette nomination fait suite à un vote et une décision collégiale prise entre la Très Noble assemblée des Pairs de France et les Grand Officiers de la Couronne de France.

Nous remercions tous les candidats s'étant donnés la peine de nous écrire et nous invitons chacun de ces participants à écrire à la nouvelle PSE pour rejoindre cet office et à s'investir pour la couronne de France.



Faict le 23 Octobre 1463 ,

Deedlitt de Cassel d'Ailhaud,
Grand Maitre de France.

Citation :

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-------De Nous, Deedlitt de Cassel d'Ailhaud, Grand Maître du royaume de France & Leda, dauphin de France,
-------Aux dirigeants de l'Empire,
-------Salut.


----Conformément à l’un des points de l’accord de trêve signé avec l’Empire le dix-sept octobre dernier portant sur le statut du duché de Lorraine & son avenir, nous présentons ce jour d’hui un texte d’engagement en la matière, ledit texte ayant été signé par les Grands Officiers & Grands Feudataires de France réunis au Louvre à cette occasion.

---Pour ce qui est des pourparlers de paix, nous n'oublions rien, bien au contraire, puisque nous préparons avec soin l'entrevue projetée & acceptée devant se tenir à Trêves.


---Pour un royaume de France, fier & honnête!


Le troisième jour de novembre de l'an de grâce MCDLXIII :
La princesse de Dourdan, secrétaire particulière, a proposé & rédigé,
La marquise d'Épernon, Grand Maître de France, & le duc de Vire, dauphin de France, de leurs seings & sceaux respectifs ont ratifié.

Deedlitt de Cassel d'Ailhaud,



Leda,

Citation :

De Nous, Leda, Dauphin de France, Co-Régent de France,
De Nous, Deedlitt de Cassel d'Ailhaud, Grand Maitre de France, Co-Régent de France,
Des Grand Officiers de la Couronne,
Des Grands Feudataires du Royaume,

A Vous, dirigeants de l'empire,

A tout ceux qui liront ou se feront lire,

Salutations.


Comme stipulé dans les accords pour la trêve, nous confirmons par la présente que cette Régence ne prendra plus les allégeances du Duché de Lorraine. De plus, nous appellerons notre Reyne Zelha, première du nom, ou le futur Souverain, à valider cette décision et renoncer à l'attachement de la Lorraine à la Couronne.

Il reste néanmoins important que la situation de la Lorraine soit discutée durant les négociations de paix, car comme d'autres points à aborder, cette situation nécessite d'etre clarifiée sans revenir sur notre engagement.


Donné et scellé au Louvre, à Paris, le 3 Novembre 1463.

Les Régents:

Leda, Dauphin de France, Co-Régent de France,


Deedlitt, Grand Maitre de France, Co-Régent de France,



Les Grands Officiers de la Couronne:

Fred de Castelviray, Connétable de France


Hersent d'Ar Sparfel, Grand ambassadeur royal de France


Cerise de Bonnemaison Plantagenêt, Grand Prévôt de France.


Grégoire de Cassel d'Ailhaud, Chancelier de France.


Elianor de Vergy, Grand Chambellan de France


keena de Montbazillac
Surintendante des Finances


Agnès de Saint Just dicte Montjoye, Roy d'Armes de France.



Les Grands Feudataires:

Lisa de Niraco, Duchesse de Bourgogne.


Vera Von Bretzel, Comtesse du Limousin & de la Marche


Lilys, Duchesse de Touraine


Valeria Gambiani de Valrose duchesse d'Orléans


Donnae de Marsac, Régente de Rouergue


Spartacus , Comte du Poitou


Theobald Bonacossi, Comte du Périgord Angoumois



Tatou de La Calonne, Régent de Normandie


Arcadhias de Vaudalm, Comte du Languedoc



Erandil, duc du Bourbonnais-Auvergne



Azilize d'Herbauge, pour le Béarn


Wayllander de Leffe-Miras, comte des Flandres.



Arwel Chanvigny-Dagincourt, dicte la Bienveillante, Duchesse du Lyonnais-Dauphiné

Citation :

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Nous, Deedlitt de Cassel d'Ailhaud, Grand Maitre de France,

A tous ceux présents et à venir, qui la présente liront ou se feront lire,

Salut et paix.


Par la présente annonce et en vertu des prérogatives déléguées par la volonté de feue Sa Majesté la Reyne de France, Zelha 1ère, annonçons la démission de messire Fred de Castelviray[Fred] du poste de Connétable de France, le manque de temps l'a fait choisir la voie de la raison, nous saluons ce geste et le remercions sincèrement pour tout ce qu'il a pu faire durant son mandat.

Annonçons donc l'ouverture du poste de Connétable de France, tout candidat dispose de Cinq jours, date de la présente annonce incluse, pour nous faire parvenir sa candidature en bonne et due forme*;

Le 23 novembre à minuit, plus aucune candidature ne sera acceptée. Celles qui auront été reçues dans les temps, seront étudiées par la Curia Régis et la Très Noble Assemblée des Pairs de France afin d'être soumise au prochain monarque.

Jusqu'à la nomination d'un nouveau Connétable de France, Son Altesse Royale Leda aura la charge de la Connétablie de France et se voit nommé connétable Pro Tempore


Faict le 19 Novembre 1463 ,

Deedlitt de Cassel d'Ailhaud,
Grand Maitre de France.



*Candidature à envoyer à Deedlitt

Citation :

De nous Leda, Dauphin de France et Co Régent
De nous Hersent d'Ar Sparfel, Grand ambassadeur royal de France

A vous Vostre Altesse Sérénissime Ducale Findecano de Brancion, Régent du Saint Empire Romain,

Salutations et paix,

Nous avons bien reçu votre réponse à notre précédent courrier et souhaitons donc vous apporter, à notre tour, notre point de vue.

Vous semblez vouloir accuser Tannissa de nombreux maux mais il semble que vous n'ayez pas les bonnes informations. Reprenons donc au commencement.

Le groupe naval connu sous le nom de la "Koiné" est une source de problèmes et vous en aviez pleinment conscience il y a peu quand nous combattions ensemble ces pirates.
Aujourd'hui, vous n'êtes pas sans savoir que leurs navires ont coulé, en pleine trêve, un bâtiment marchand navigant bien en dehors de leurs eaux territoriales, au sud de la Sicile. Il y avait à son bord un Officier de la Royale : l'Empire peut-il fermer les yeux sur un tel acte s'il touchait un de ses officiers? La Couronne de France ne le fait pas. L'Amiral de France n'a fait que relater la stricte vérité, même si elle est embarrassante.

Vous pensez que notre Amiral aurait imposé un embargo sur Florence, et ignorerait toutes notions de la trêve que nous avons pu signer ensemble. Il n'en n'est rien.
L'Amiral de France, dès la proclamation de la trêve a ordonné le retrait des navires de la Royale des eaux territoriales de l'Empire.
Par contre, Florence n'a attendu que deux jours après la trêve pour placer sur les têtes des Capitaines de la Royale des mises à prix. Inutile d'ajouter au passage que les faits reprochés datent de la guerre, comme si demain nous venions mettre à prix la tête de vos soldats car ils sont venus en champagne.

Suite à cet incident des plus regrettables, l'Amiral a fait savoir que la navigation en Méditerranée était de nouveau à la normale.
Aussi, les bateaux marchands du SRING auraient pu naviguer en toute tranquillité hors et dans les eaux impériales et françaises, protégés comme d'habitude par la Royale, sauf, et en raison de la décision de leur duc, les bateaux de Florence qui, s'ils sortaient des eaux impériales, auraient été coulés sans sommation. C'est dans ce cadre bien précis que la "Koiné" a décidé de tirer avantage de la trêve et de couler un de nos navires marchands invoquant que nous ne pourrions ensuite entrer dans les eaux de l'empire, protégé qu'elle est par Florence.

De plus, les capitaines Royaux n'ont jamais été à 4 miles de vos côtes. Nous ne savons où vous avez tiré ces informations mais cela n'a jamais été le cas. Nous en avons la certitude et Tanissa nous l'a confirmé.

Nous maintenons notre avis quant à la duplicité de Florence qui aide le groupe de la Koiné alors que la Couronne de France et l'Empire n'ont cessé de combattre ce groupe avant la guerre. La Royale a toujours protégé les navires marchands, notamment ceux de Florence, de la piraterie afin qu'ils puissent venir commercer en toute quiétude avec la France. Il n'avait jamais été question de changer cela avant que Florence ait émis le souhait de voir nos Capitaines coulés.

Nous avons collaboré en ne faisant qu'un devant la "Koiné". Nous n'en appelons qu'à votre bon sens et la continuité de ces faits pour vous demander de prendre une position vis à vis de ce groupe. Mais dans tous les cas, Tanissa recevra ordre de couler à vue les bateaux de ce groupe et ceux qui feront parti de la même flotte quelque soit leur pavillon quand ceux-ci se trouvent en dehors de vos eaux territoriales.

Plutot que de désigner Tanissa comme "persona non grata", vous devriez plûtot la considérer comme un atout essentiel pour assurer la sécurité de vos bateaux marchands comme des nôtres en collaboration avec votre amirauté. Car c'est bien le retour d'une collaboration qui devrait nous permettre de nous débarrasser de ces pirates.

Nous prenons bonne note de vos décisions et nous espérons que vous prendrez note des nôtres, le tout pour que la trêve durement signée puisse être pérennisée et ne soit pas mise en danger par des pirates que vous nous avons, tous les deux, toujours combattus.

Respectueusement

Faict au Louvre le vingt-septième jour du moy de novembre de l'an de grâce mil quatre cent soixante trois

Leda, Dauphin de France et Co-Régent de France,


SE Hersent d'Ar Sparfel, Grand ambassadeur royal de France

Citation :

De Nous, Leda, Dauphin de France, Co-Régent de France,
De Nous, Deedlitt de Cassel d'Ailhaud, Grand Maitre de France, Co-Régent de France,

A tous ceux présents et à venir, qui la présente liront ou se feront lire,

Salut et paix.



Il est venu pour nous le temps de passer la main. Cette régence n'a pas toujours été simple, ni pour Nous, ni pour le Royaume mais nous avons tenus à nous affranchir de la tâche du mieux que Nous le pouvions. Pour conclure celle ci, Nous souhaiterions remercier chacun des gens qui ont contribué au bon fonctionnement du Royaume durant notre régence. En premier lieu, Nous souhaiterions remercier nos Grands Officiers, gages de stabilité au sein du Royaume. Commençons par la majoritaire et intraitable gente féminine.

A vous, Agnès de Saint Just, dicte Montjoye, plus connu sous le sobriquet de "Mamie Zinzin" Nous ne saurions exprimer notre gratitude pour le travail que vous avez fourni. Il nous tiens à coeur de souligner qu'à notre demande, votre travail a aussi consister à apporter vos précieux conseils à la Connétablie, au détriment de votre office, Nous en avons bien conscience. Voilà pourquoi Nous vous sommes infiniment reconnaissante et tenons à endosser la responsabilité de tout retard qui aurait pu survenir à l'Héreauderie du fait de votre investissement à la Connétablie.

A vous, Cerise de Bonnemaison-Plantagenêt, "petit traumatisme"de notre GMF, merci pour toutes ces attaques anticipées, ces espions placés et cette volonté, au delà de tout, d'assurer la sécurité de nos personnes et de notre Royaume.

A vous, Elianor de Vergy, merci d'avoir mis vos compétences maritimes au service de la Couronne pour contribuer au ravitaillement de ses armées, en plus de la gestion de votre Office.

A vous, Hersent d'Ar Sparfel, à l'aube de votre carrière de Grand Ambassadeur Royal, Nous ne pouvons que vous encourager à persévérer sur ce chemin tortueux qui vous oblige à délaisser vos charges locales.

A vous, Keena de Montbazillac, dévouée à la couronne de France, vous avez toujours fait au mieux pour en sauvegarder les intérêts même quand cela a été difficile pour vous.

A vous, Neyco de Fronsac, vous avez pris les reyne de la Secrétairie depuis peu et espérons que votre action sera à la hauteur de l'intérim que vous aviez assuré précedemment.

Puis, à vous, pauvre gente masculine subissant les sautes d'humeurs de toutes ces femmes qui vous entoure.

A vous, Julien Giffard, nous savons votre mission ardue, mais vous avez toujours varier fermeté et dialogue et, ainsi, assurer cette mission du mieux qu'il est possible, comme un grand.

A vous, Grégoire de Cassel d'Ailhaud, nous savons votre temps précieux car vous n'avez jamais hésité à le mettre au service de la Couronne, pas uniquement à la Grande Chancellerie mais aussi au service du Maine et la Connétablie. Nous prenons donc une infime partie de notre temps pour vous remercier de consacrer l'entièreté du votre à notre service.

A vous, Fred de Castelviray, Nous savons que vous n'avez pas compté votre temps et votre investissement pour faire face durant cette guerre qui n'a que trop durée. Quoique chacun en pense, nous avons sincèrement apprécié même si vous avez souhaité vous retirer de cette charge.

A coté de la Curia, qui nous a toujours soutenu, nous souhaiterions ajouter d'autres noms.

Nous tenons à remercier tous les chefs armées: Myriam la grande, Jeroen, Lexhor, Poli de Motteville, Agnes, Actarius, Namaycush, Coleen, Thibali, Keyfeya, Halgar ainsi que ceux qui les précédé, pour avoir mené nos armées avec courage et abnégation durant tout le conflit.

Continuons avec l'aide, non négligeable, de son Altesse Ingeburge afin d'améliorer une communication qui nous faisait défaut en mettant sa plume à notre service. Personne ne doutait de la qualité de la plume, Nous voulions vous remercier d'avoir consacrer votre temps pour améliorer grandement notre communication.

A notre amiral de France, la redoutable Reyne des mers, Tanissa Imperiali, vous avez montré avec force et détermination que la flotte Française est une fierté pour le royaume et que nul ne vous égale dans ce domaine.

Enfin, nous tenions à remercier chacun des feudataires et officiers royaux qui contribuent chaque jour au bon fonctionnement de notre royaume de part leur travail et leur collaboration avec nos Grands Officiers.

A tous, sincèrement, merci.



Donné et scellé au Louvre, à Paris, le 27 Novembre 1463.

Leda, Dauphin de France, Co-Régent de France,


Deedlitt, Grand Maitre de France, Co-Régent de France,

Citation :

De Nous, Leda, Grand Maître de France,
A ceux qui liront ou se feront lire,

Salutations,

Après entretien avec sa Majesté Lanfeust de Troy et échanges épistolaires avec la Surintendante du Cabinet Royal des Finances Keena de Montbazillac, il a été décidé d'ouvrir à candidature la charge de Surintendant du Cabinet Royal des Finances.

Nous remercions Keena de Montbazillac, pour son travail et son soutien au sein de la Curia qui a notamment permis de fournir de la nouriture à toutes nos armées lors du dernier conflit. Bien que lui ayant proposé de conserver une charge au sein de l'office, celle-ci a préféré se retirer et nous la remercions pour sa franchise. Elle assurera l'intérim à son poste le temps de lui trouver un(e) remplaçant(e).

Les candidatures, à Nous faire parvenir jusqu'au 7 Décembre inclus, devront contenir une brêve description du candidat et de sa connaissance de l'office du Cabinet Royal des Finances, mais aussi et surtout la présentation d'un projet pour le fonctionnement et le développement de ce même office.

Donné et scellé au Louvre, à Paris, le 30 Novembre 1463.

Leda, Grand Maître de France,

Citation :

De Nous, Leda, Grand Maître de France,
A ceux qui liront ou se feront lire,

Salutations,

Après une étude attentive des candidatures et écoute des avis émis par les Grands Officiers et les Pairs de France, Nous avons décidé, en accord avec sa Majesté Lanfeust de Troy, de nommer Méladius Jhaelen Irseï [Meladius] au poste de Connétable de France. Il est invité à se présenter, sans plus tarder, à la Curia Regis et faire les démarches nécéssaires pour prendre en main la Connétablie royale.

Il restera, dans un premier temps, en très proche collaboration avec Nous, pour faire face à l'étendue du travail qui l'attend au sein de cet office. La tâche est immense et nous lui souhaitons donc bon courage dans la difficile mission qui lui ait confiée.

Nous remercions tous les candidats au poste de Connétable de France et les invitons à se mettre en contact avec la Connétablie afin de rejoindre cet office qui aura besoin de toutes les personnes motivées à s'investir.

Donné et scellé au Louvre, à Paris, le 1er Décembre 1463.

Leda, Grand Maître de France,

Citation :

De Nous, Leda, Grand Maître de France,
A ceux qui liront ou se feront lire,

Salutations,

Par la présente, souhaitons mettre en place une base de fonctionnement pour la Surintendance en attendant qu'un Surintendant des Finances soit nommé.

Ainsi, Simba maca [Simba.maca], chef de cabinet administratif, à toute les prérogatives pour prendre en charge le fonctionnement du pôle administratifs, assurer la distribution des clés au régnants et à leur pôle économique, maintenir la mise à jour des bilans des intendants avec la collaboration de ces derniers ainsi que soutenir pour l'intendant des mines et l'intendant du prestige dans leurs missions.

Le pole commercial restera sous le contrôle du Grand Maitre de France Leda.


Pour rappel les postes d'intendant administratif pour la Champagne et le Maine sont ouverts à candidatures. Toute candidature doit être transmise à Simba maca [Simba.maca].

Donné et scellé au Louvre, à Paris, le 6 Décembre 1463.
Leda, Grand Maître de France,