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 Suivi de la Provence

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Sagaben
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penelope

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MessageSujet: Re: Suivi de la Provence   Suivi de la Provence - Page 2 Icon_minitimeMar 11 Mai 2010 - 22:53

Et bien moi qui avait cru bon hier de faire transferer la discussion sur l armée de Savoie la bas pour que tu puisses participer aussi.........
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Sagaben

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MessageSujet: Re: Suivi de la Provence   Suivi de la Provence - Page 2 Icon_minitimeMer 12 Mai 2010 - 6:47

Ah oui, c'est pas ça que j'ai dit Razz

Cela je t'en remercie.

Ce que je demande c'est qu'on se penche sur quelque chose d'officiel, parce que pour certains sujets, on ne sait jamais où poster. Et, pour vous, c'est pire que pour moi Wink
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_geoffroy_

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MessageSujet: Re: Suivi de la Provence   Suivi de la Provence - Page 2 Icon_minitimeMer 12 Mai 2010 - 9:01

Quelque chose d'officiel concernant... ? Les lieux ou les annonces ?
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MessageSujet: Re: Suivi de la Provence   Suivi de la Provence - Page 2 Icon_minitimeMer 12 Mai 2010 - 12:35

Les lieux
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Sagaben

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MessageSujet: Re: Suivi de la Provence   Suivi de la Provence - Page 2 Icon_minitimeJeu 13 Mai 2010 - 18:29

Beuh... je sais plus trop où mettre les infos...

Citation :
A mes chers concitoyens,
Aux peuples de l'Empire,
Aux peuples de France,
A ceux qui me lisent,

J'ai pris ce jour ma plume pour répondre aux derniers évènements de ces derniers jours, pour répondre également à la missive Anthémios de Deliancourt, Connestable de France et de Son Altesse Armoria de Mortain, Grand Maître de France.

Dans sa missive, Son Altesse Armoria critique assez vertement l'Empire parce qu'il n'aurait pas envoyé de troupes qui aurait pu les soutenir dans leur guerre contre le Comté de Provence. Mais qu'est ce que pour elle l'Empire? Je vais la citer et insister sur certains éléments :
Citation:
Les Armées Impériales promises par le Haut Connestable Impérial Regwner ne bougèrent pas d'un cil alors que censées arriver à Aix ce jour. Que l'impression ressentie en fut que les Instances dirigeantes Impériales profitaient de notre présence pour assoir leur importance au sein de l'Empire, sans pour autant mettre en œuvre le nécessaire pour venir à bout des félons et ignobles dirigeants provençaux.


Donc pour Son Altesse, l'Empire se limite qu'au Haut Commandement Impérial? Ne sait-elle donc pas que le Haut Commandement Impérial ne représente que lui-même et deux provinces impériales du Cercle Francophone c'est à dire les duchés de Savoie et de Lorraine? L'Empire pour elle ne se limite donc qu'à deux provinces? Je la savais que peu douée en géographie surtout après sa pseudo croisade qui attaquait Genève alors que les hérétiques se trouvaient au Béarn...

Je vais donc prendre le temps d'expliquer à cette dame et à vous chers amis ce qu'est l'Empire.

De prime abord, l'Empire n'est pas le Haut Commandement Impérial (HCI)... Comment celui-ci peut représenter un Empire... Il ne représente même pas le Cercle Francophone depuis le départ de la Provence et de la Franche-Comté. Le HCI n'est plus, il vivote grâce à la Savoie et la Lorraine et il ne représente que ces dirigeants, décevants et sans envergure. Son Altesse Armoria espérait des troupes du HCI mais à part l'Ordre des Lames et l'Ost savoyard, elle n'aurait rien eu de la Franche-Comté. La Franche-Comté n'allait pas envoyer des troupes en Provence pour aider les troupes françaises qui ont souillé une première fois les terres d'Empire en violant l'intégrité territoriale de la Franche-Comté durant la pseudo croisade.

Ensuite, je rappelle à Son Altesse, que l'Empire ce n'est pas seulement le Cercle Francophone (Savoie, Lorraine, Franche-Comté et normalement la Provence) mais c'est également le Cercle Germanophone représenté par la reine Hulda (et 8 duchés et comtés), le Cercle Néerlandophone composé uniquement du Comté de Hollande et le Cercle Italophone (Milan, Modène, Sienne, Florence et normalement Gênes).

L'Empire, Votre Altesse, c'est un conglomérat de duchés et de comtés unis dans la seule Foi Aristotélicienne et au service de Sa Majesté Impériale. L'Empire est un état d'une richesse culturelle incomparable. L'Empire se base sur le dialogue, le respect, l'entraide sous la bannière impériale.

Le seul problème de l'Empire, et surtout du Cercle Francophone, est qu'il lui faut des institutions stables, représentatives de son Peuple et respectueuses. Le HCI a échoué car il ne représentait que lui-même. Le HCI a échouécar il ne représentait que des personnes qui n'agissaient que pour eux-même et assoir leur pouvoir personnel... Vous avez du le constater avec les Haut Connétable Bobyzz de Sparte et Regwer von Valendras.

L'Empire n'est pas mort, l'Empire n'est pas cet Empire de haine que vous avez voulu faire passer en Provence... Votre action de haine et de destruction n'a fait qu'éloigner les provençaux de l'Empire. La Franche-Comté a de nombreuses fois condamnés vos actions de mort! Vous vous êtes associés avec des "Loyalistes" qui n'ont jamais été élu par le peuple de Provence, qui n'ont aucune légitimité que leur titre... Trouvez-vous cela normal que ces gens qui n'ont rien fait pour la Provence pendant des années, qui ont tout fait pour que leur titres soient reconnus par la Hérauderie Impériale en échange de rien, viennent subitement s'inquiéter du sort de la Provence? Vous vous êtes associés à des personnes sans scrupules et sans foi...

Votre échec en Provence est dû à votre méconnaissance de la situation... Vous avez préféré écouter des savoyards imbus d'eux-même et haineux, des loyalistes fort de leur titre et haineux également sans comprendre que le Conseil Provençal en place et la Marquise élue par les provençaux eux-même avait plus de légitimité. En ayant porté la guerre là-bas après votre échec devant Genève (car vous avez échoué également là-bas), vous n'avez fait que renforcer la haine des provençaux contre l'Empire! Comment voulez-vous que la Provence revienne vers nous si nous ne leur apportons que la haine, la mort, la violence et la destruction? En ayant créer des villes franches en Provence, vous avez également fait saigner l'Empire malgré votre promesse de ne pas toucher au territoire impérial, vous avez amputé deux villes (dont il n'en reste plus qu'une actuellement) de la terre d'Empire. Votre action en Provence, la Franche-Comté les condamne fermement!

Je me tourne maintenant vers mes frères de Provence. L'Empire ne vous déteste pas. Ce n'est pas parce qu'une poignée de personnes ont décidé de semer la misère au sein de votre population que tous les impériaux sont comme ça. La Franche-Comté a toujours été ouverte au dialogue et à la négociation. Certes, nous ne reconnaissons pas le Marquisat des Alpes Occidentales et encore moins votre indépendance mais nous sommes réalistes. Nous savons que la voie du rapprochement entre la Provence et nous se fera que par le dialogue et le respect mutuel. Nous reconnaissons donc que les seules personnes avec qui nous devons dialoguer sont les personnes qui détiennent réellement le pouvoir en Provence et qui ont la légitimité démocratique. Oui, amis provençaux, l'Empire n'est pas composé que des provinces qui vous nient, qui rejettent vos choix démocratiques, qui rejettent vos dirigeants. La Franche-Comté entend la Vox populi provençale, la Franche-Comté l'écoute, la Franche-Comté lui tend la main, la Franche-Comté aime le peuple de Provence.

C'est pourquoi la Franche-Comté en appelle à toutes les parties de cesser cette violence contre ce peuple fier et brave qu'est le peuple provencal. Il a su résister contre certains savoyards aveuglés par leur haine, des loyalistes imbus de leur titre et surtout des troupes françaises sans foi ni loi qui ont violé des traités, des accords et des promesses tenues.

La Franche-Comté est heureuse de constater le retrait de toutes les troupes françaises de Provence. Nous insistons que le retrait doit se faire également de la ville d'Arles. La Franche-Comté ne serait supporté que cette ville reste en dehors des terres d'Empire.

La Franche-Comté en appelle à chacun à la raison et notamment ses alliés de Lorraine et de Savoie. Il est temps d'arrêter de nier la Provence. Il est temps de reconnaître la légitimité du Conseil élu de Provence. Et il est surtout grand temps de discuter entre nous, Savoie, Lorraine, Franche-Comté et Provence, de notre avenir et de la paix dans nos régions. Le passé est le passé. Il faut lui laisser la place à l'avenir et à la paix. Cessons d'écouter les voix de haine dans nos camps respectifs.

En accord avec la Franc Comtesse Yde de Laviron

Pour la Franche-Comté!
Pour l'Empire!
Pour l'Empereur!
Pour la Paix!

Imladris Van Ansel
Vicomte de Voiteur
Seigneur de Charency
Chancelier de Franche-Comté
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Akmer

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MessageSujet: Re: Suivi de la Provence   Suivi de la Provence - Page 2 Icon_minitimeJeu 13 Mai 2010 - 22:01

Sont jamais content les franc comtois ^^ D'ailleurs ils veulent envoyer une lettre ouverte au roy pour essayer de le faire réagir sur l'élection d'aurelien comme duc d'anjou. Ils arrivent pas à se faire à l'idée que deux de ses vassaux soient des pilleurs de chateau Razz
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Sagaben

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MessageSujet: Re: Suivi de la Provence   Suivi de la Provence - Page 2 Icon_minitimeJeu 13 Mai 2010 - 22:01

Note, je les comprends...
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Akmer

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MessageSujet: Re: Suivi de la Provence   Suivi de la Provence - Page 2 Icon_minitimeJeu 13 Mai 2010 - 22:03

Ha ben moi aussi, de toute manière je doute que les deux angevins se soucient beaucoup de leur image auprès du roy
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Akmer

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MessageSujet: Re: Suivi de la Provence   Suivi de la Provence - Page 2 Icon_minitimeDim 16 Mai 2010 - 20:01

Une petite réponse au armoria que j'ai trouvé sans même faire exprès ^^

Citation :
A son Altesse Armoria de Mortain, Grand Maistre de France
Aux Grands Feudataires du Royaume de France
Au peuple du Rouergue


Nous, Celia, Comtesse du Rouergue, tenons ce jour à porter explication sur les faits s'étant produit il y a environ une semaine concernant les troupes françaises de Provence et répondre à la déclaration commune d'Armoria de Mortain, Grand Maître de France et d'Anthémios de Deliancourt, Connestable de France, dont nous avons eu connaissance ces jours derniers.


Il y a quelques semaines de cela, motivé par le dévouement du Rouergue envers la cause de notre Roy, le précédent Conseil Comtal du Rouergue avait accepté de faire bénéficier de notre haut prestige de l'époque en accordant un agrément militaire à Messire Didiers de Sars et Messire Flex, et avions fourni à ce dernier des vivres en dépit de nos faibles moyens.

Cependant, alors que le nouveau Conseil Comtal du Rouergue se mettait tout juste en place la semaine passée, des informations sont parvenues à notre capitaine selon lesquelles des attaques seraient imminentes contre des villes provençales alors même que le retrait des forces françaises en Provence était déjà évoqué. Aussi le doute est apparu de savoir quelles causes servaient ces actions, si elles étaient toujours menées dans le cadre de l'intervention française en Provence, dont les contours ne cessaient d'ailleurs de devenir de plus en plus flous tant la situation stagnait et surtout vu le trop peu d'informations, malgré tout souvent contradictoires, qui filtraient. Le retrait de l'agrément du Capitaine Namay par le Comté du Limousin ne faisant que rajouter à la confusion.

Si nous n'aurions jamais dévié de notre devoir envers notre suzerain et cessé de soutenir sa représentante en Provence en la personne d'Armoria de Mortain, il n'était en aucun cas question de cautionner des actes devenus simples pillages si menés par des résidus n'agissant pas ou plus au nom du Roy.

Aussi dans le doute, et disons-le la précipitation, une décision a été prise concernant nos agréments, agréments de surcroît diminués dans leur qualité par le repli de notre prestige à des valeurs habituelles. Notre capitaine a du donc faire le choix entre retirer ceux-ci, ou prendre le risque de voir bafouer les valeurs d'honneur et de morale dont le Rouergue ne saurait se départir.


Son choix s'est donc porté sur la première option, il est vrai sans nous consulter au préalable, la décision lui semblant urgente à prendre comme nous l'avons expliqué précédemment. La suite des évènements, à commencer par la déclaration de la Grand Maistre de France, lui a donné tort. Néanmoins, nous ne saurions la condamner sur son choix dont les intentions étaient nobles et n'avaient comme fondement que le refus de ternir l'image du Rouergue en participant indirectement à des actes innommables. Des excuses doivent cependant être présentées, qu'il soit assuré que nous nous y associons.

Qu'il soit su aussi que nous regretterions profondément que certains puissent s'être senti lâchés car cela est autant contraire à l'idée de nos engagements envers notre bien aimé suzerain qu' à l'esprit de solidarité qui nous anime envers les provinces françaises dont notre estimé voisin languedocien qui ont mobilisé des troupes sur place.

Nous espérons malgré tout que le ralentissement voire l'arrêt des hostilités qui découle de cet incident puisse trouver comme conséquence imprévue mais heureuse de ne pas être que temporaire, et que les adversaires de ce conflit sauront remplacer les armes par la sagesse qui n'apporterait pas moins de gloire aux belligérants.



Fait à Rodez, le 15 mai 1458

Celia84000
comtesse du Rouergue
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Sagaben

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MessageSujet: Re: Suivi de la Provence   Suivi de la Provence - Page 2 Icon_minitimeMer 2 Juin 2010 - 13:44

Citation :
2010-06-01 17:36:03
Un pillage de guerre perpétré par un Français
ARLES (AAP) - Alors que les troupes françaises ont quitté le front provençal et que la guerre a pris fin, la mairie d'Arles, mise sous autorité française durant le conflit, s'est vue délestée d'une partie de ses biens d'après un rapport de la connétablie de France.

Courant avril, le chef de l'armée "Tocos Y se Gausos" commandée par Titan, membre de la garde des 45, était maire d'Arles avant de céder la main au maréchal de France Flex. D'après le rapport précédemment mentionné, ce ne seraient pas moins de 1200 écus, recettes générées par la présence exceptionnelle de nobles de robe et d'épée à Arles dans le cadre de la guerre, qui auraient été subtilisés sans autorisation par le chef d'armée Titan.

Le Chacal, pour l'AAP
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penelope

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MessageSujet: Re: Suivi de la Provence   Suivi de la Provence - Page 2 Icon_minitimeMer 2 Juin 2010 - 13:52

Pfff..j'ai vu ça oui, un ancien Cap du BA et surtout un des 45 Suivi de la Provence - Page 2 Icon_rolleyes

Edit pour ajout d'infos : il aurait pris les sous gagnés grace à la noblesse (IG) le temps qu'il a géré la ville.
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Sagaben

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MessageSujet: Re: Suivi de la Provence   Suivi de la Provence - Page 2 Icon_minitimeMer 2 Juin 2010 - 15:15

C'est ce qui est dit dans l'article.

C'est vrai que Titan est loin d'être un enfant de coeur...
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tenshikuroi

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MessageSujet: Re: Suivi de la Provence   Suivi de la Provence - Page 2 Icon_minitimeMer 2 Juin 2010 - 23:01

Et après on s'étonne que tout le monde commence à se méfier dès qu'un étendard portant une fleur de lys débarque quelque part Rolling Eyes
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penelope

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MessageSujet: Re: Suivi de la Provence   Suivi de la Provence - Page 2 Icon_minitimeMer 16 Juin 2010 - 0:45

Après vous pourrez aller dormir vu la longueur de l'article Suivi de la Provence - Page 2 Icon_study

Citation :
Montpellier (AAP) – La Guerre de Provence qui vient de s’achever a duré près de 6 mois et enflammé pendant longtemps les cœurs, les esprits, mais aussi les terres au sud-est du Royaume de France

Les raisons de cette guerre restent encore obscures, puisque chaque partie a eu son interprétation des faits. D’un côté on a qualifié cette guerre d’opération sécuritaire, voir de guerre pour l'Empire, tandis que l'autre côté l’on a pris le partie de qualifier cette guerre d’injuste et d’injustifiée, une guerre contre leur liberté. Cette campagne des volontaires français et impériaux a duré près de 6 mois, et a vu défiler nombre d'évènements d'importance.
Il semble important aujourd’hui pour l’AAP, de revenir sur cet événement d’importance qui a enflammé le Royaume et l’Empire, et revenir aussi sur les évènements concomitants qui se sont passés en Italie.


Rappelons d'abord le départ des quatre armées françaises pour la Croisade. Le Lion de Judas, organisation réformée et jugée hérétique par L'Église Aristotélicienne, mettait à rude épreuve le Comté du Béarn, et un appel à une réaction armée fut relayé auprès des autorités des Feudataires du Royaume. Cet appel se mu bientôt en croisade, et vit le débarquement de quatre puissantes armées composées de volontaires de France devant les murs de Genève. L'Église, au dernier moment, préféra le dialogue, et les troupes françaises, pourtant prête à en découdre furent déboutées de leur volonté offensive. Les armées se tournèrent alors vers un nouvel objectif. Feignant de partir rejoindre les terres béarnaises, pour les "débarrasser du Lion", les soldats de France se concentrèrent vers un nouvel objectif : La Provence.

Cette terre, située géographiquement dans le Sud-Est du Royaume de France, fait cependant partie historiquement du Saint Empire, dirigée par sa Majesté Impériale, LongJohnSilver. Depuis trois ans déjà, la Provence avait déclaré son indépendance vis à vis de la couronne impériale, et instaurer un nouveau pouvoir, non reconnu par les autorités impériales, le Marquisat des Alpes Occidentales (MAO). Sans entrer dans les détails, ce marquisat ne prêtait pas allégeance à l'Empereur, et sa gestion temporel était laissé à un Comtesse et un Conseil élu, tandis qu'un ou une Marquis-e, assurait la cohésion des instances. Le Marquisat se dota dès lors d'institutions "libres" tel qu'une chambre héraldique et une cour d'Appel. On peut, en terme d'organisation faire un parallèle avec le système Breton ou même le système Orléannais.
Les armées françaises se dirigèrent donc vers la Provence, sans déclaration de guerre préalable et pénétrèrent alors sur les terres provençales.
S'en suivit la première partie de la Guerre.


Les Armées françaises, au nombre de quatre, mirent alors le siège devant la Capitale Aixoise, où flottaient les étendards des armées provençales, à l'abri derrière les murailles. Les Généraux français, regroupées en Connétablie de France, parurent hésiter sur la marche à suivre, puisque 3 jours passèrent sans que nuls combats viennent poindre, seulement quelques timides escarmouches. Puis l'assaut fut lancé, mais les troupes provençales s'étaient renforcées, et ce fut un échec.

Les armées françaises passèrent alors au delà d'Aix, et se postèrent à Brignoles. S'en suivit une période de calme relatif, où les forces françaises tentèrent de prendre les villes plus à l'ouest de la Capitale. Brignoles tomba bientôt, et fut rattachée aux terres impériales, Draguignan fut à deux doigt d'en faire autant. Mais les troupes françaises semblaient en infériorité, alors que les provençaux, grâce à l'apport en hommes des villes, semblaient se concentrer sur la Capitale. Finalement, les armées françaises campèrent à Brignoles, et un statu quo s'installa. Mais celui-ci fut de courte durée, puisque les armées provençales partirent à l'offensive, aidées par une armée venue de Gênes. Une terrible bataille s'engagea alors devant les murs de Brignoles, et les armées françaises furent défaites, à l'exception d'une seule, l'armée bien nommée, "In Phooka Mémoriam"(*). Les forces françaises ayant survécu se replièrent dans la ville, et bientôt, un étendard de Provence trôna devant les murs brignolais, et y mit le siège.

En parallèle, les forces provençales loyales à l'Empire, mirent à profit le départ des armées d'Aix, et prirent le château par révolte. Après des combats courts mais intense, ils tinrent les commandes, rouvrant les mines, et remettant en route l'économie du Comté. Ils tinrent le siège pendant 15 jours, mais durent se plier à la loi du champs de bataille, quand une armée provençale, combattant la milice et les défenseurs de la ville, pénétra dans l'enceinte d'Aix, et repris le contrôle du Castel Comtal. Mais les renforts français pointaient déjà à l'ouest...


La Seconde partie de la guerre vit l'arrivée de 2 nouveaux étendards, regroupant nombre de volontaires de tous bords. Une armée "mercenaire", commanditée par Son Eminence Ingeburge, et une autre, sous responsabilité de la Connétablie de France. Ces armées se dirigèrent vers Arles. Assaut fut mené en bon et dû forme et, malgré une vaillante résistance des arlésiens restés en ville, celle-ci tomba au bout de 2 jours. Aussitôt, la ville fut passé sous statut franc et déclaré de retour dans le giron impérial.

Pendant qu'une partie des français résistaient à Brignoles, et se remettaient de leurs blessures, l'autre partie, située à l'ouest, se regroupaient alors. Les deux étendards ayant fait le plein, ils se dirigèrent alors de nouveau, à l'assaut d'Aix, Capitale de Provence. Après 3 jours d'une marche harassante, les oriflammes pointèrent bientôt leurs nez, et les hostilités démarrèrent le jour même. Ces combats furent d'une cruelle violence, et les soldats, d'un côté comme de l'autre, se battirent avec détermination. Lors du premier assaut, les armées provençales furent repoussées, sans que les forces françaises n'arrivent à prendre pied devant la capitale. Le deuxième assaut fut de nouveau meurtrier, mais aboutit au même statu quo. Lors du troisième assaut, les armées françaises concentrèrent leurs forces sur une armée, qui fut décimée, mais firent un malheureux mouvement, qui les amena à passer la capitale en direction de Forcalquier, l'impasse de Provence. Les forces françaises étaient gravement amoindries, et durent dès lors se replier sur Forcalquier, tandis que les armées provençales, aussi largement touchées, se replièrent sur Aix.

A Brignoles, la défense française tenait toujours la ville. Mais la pression devenant de plus en plus forte, une partie de forces, profita de l'obscurité nocturne pour passer les lignes et se rendre dans les abords de Toulon. Après des combats intenses avec les défenseurs toulonnais, la ville tomba. L'étendard "In Phooka Memoriam" vint donc s'y adjoindre, et commença à regrouper les forces françaises de la première offensive. Des deux côtés, de nouvelles forces firent leur apparition : du côté français, une armée aux couleurs impériales, battant pavillon de la "Compagnie Saint Maurice" fut érigé à Arles et composée de nombreux volontaires de l'Empire francophone ; du côté provençal, des volontaires catalans vinrent se joindre à la guerre, et assiégèrent rapidement Toulon. Pendant 2 semaines, les français résistèrent alors à l'offensive catalane, et tinrent les murs, malgré de lourdes pertes d'un côté comme de l'autre. L'armée française fut finalement victorieuse, et réussit à repousser les catalans hors de la campagne toulonnaise, ainsi que l'armée provençale du Scorpion venue aider les catalans. Les français sortis, ils se reformèrent et se rallièrent, et tentèrent l'offensive contre les catalans repliés à Marseille, mais durent finalement faire marche arrière après avoir failli dans la destruction de l'armée catalane. A Forcalquier, les troupes françaises se réorganisèrent, et se mirent en mouvement, dans le but de passer le noeud d'Aix, en compagnie de l'armée de Saint Maurice, venant d'Arles. Les Trois armées passèrent à l'offensive conjointement, mais au bout de 2 jours d'âpres combats, elles durent se replier. Commença alors une période d'attente, où chacun pansa ses blessures. Mais le bénéfice de l'offensive, fut reprit bientôt par les provençaux, bénéficiant de l'appui de conseillers militaires bretons.
S'engagea alors la troisième partie de la guerre.


Alors que les français pansaient encore leurs plaies, le retour des combattants provençaux blessés lors de la première attaque, permit d'acquérir un avantage stratégique certain en terme numéraire. De plus, les armées françaises se retrouvaient alors isolées : Deux armées se trouvaient à Forcalquier, affaiblies par les combats précédents, une partie des troupes françaises de la première vague se trouvaient conjointement à Brignoles et Toulon, tandis qu'une autre prenait campement en ville franche d'Arles.

A Arles justement, de nouveaux renforts français et impériaux vinrent remplir les rangs, et 2 nouvelles bannières apparurent. A Aix, les armées provençales se renforcèrent, notamment par l'adjonction des forces de célèbres brigands. Ainsi renforcées, elles passèrent alors à l'action, tournant leurs courroux successivement vers les armées bloquées à Forcalquier, puis l'armée campant à Toulon. Les premiers combats de Forcalquier furent féroces. Les français, ayant eu le temps de barricader leurs positions résistèrent pendant 2 jours aux coups de boutoirs de 3 armées, et à des forces 2 à 3 fois supérieures en nombre. En effet, les armées provençales attaquaient de concert, sortant des murs de Forcalquier, et de ceux d'Aix. Le troisième jour fut le dernier jour d'une défense héroïque pour les armées françaises, qui furent défaites et dispersées.

Les armées provençales se tournèrent alors vers la ville de Toulon encore tenue par les français. Quatre armées se joignirent à la bataille côté Provence, face à la seule armée « In Phooka Memoriam ». Portant l'estocade, les provençaux, pourtant 3 fois plus nombreux, furent d'abord refoulés et ce pendant 2 jours. Un mal inhabituel prit alors la Marquise Hersende, et une trêve, plus ou moins respecté fut déclarée. Cette trêve, ne dura pas, et deux jours après, les provençaux repartirent à l'assaut, tandis que des armées françaises, parties d'Arles s'approchaient dangereusement d'Aix. L'armée française à Toulon subit de lourdes pertes, mais son oriflamme tint bon. Le chef d'armée, préférant préserver ses hommes, cacha l'étendard, et dispersa ses hommes. Les armées provençales, victorieuses finalement à Toulon, remontèrent en urgence à Aix, où un nouveau combat opposa une armée impériale et une armée française, à 5 armées provençales. Après un féroce combat, les 2 armées se replièrent sur Arles, et les armées provençales les suivirent...Les français arrivèrent en avance, et en profitèrent pour intégrer des renforts, et décidèrent alors de profiter de l'atout des remparts. Dans la confusion, l'une des armées françaises, ayant pris du retard, et étant en première ligne face à un éventuel assaut provençale, dut de résoudre à abattre son oriflamme, pour faire entrer tous les soldats en ville.

Une "drôle de guerre" se produisit alors, puisque aucun combat ne vint émailler les nuits arlésiennes, les provençaux préférant assécher les réserves en vivre françaises, plutôt que de passer à un assaut meurtrier. Un nouveau mal prit alors la chef de l'armée impériale de la Compagnie Saint Maurice, et cet étendard disparue de derrière les remparts.
Cependant, réunis autour de 4 étendards, les provençaux s'étaient regroupés, et ils finirent par aller au combat. Les remparts furent pris d'assaut et la bataille fut d'une violence inouïe. A l'aube, les provençaux se retirèrent et comptèrent de très nombreux blessés dans leurs rangs, alors que les français ne comptaient que peu de pertes. Les armées de Provence, affaiblie durement, durent alors se repliés sur Aix, non suivie par l'armée du brigand Gmat, qui resta devant les remparts, seul, finissant, au bout de deux jours, par se replier, mais pas sur Aix...
S'engage alors la quatrième phase de la Guerre.


Les armées provençales s'étant retirés sur Aix pour panser leurs blessures, Gmat choisit une autre voie, et "disparut provisoirement de la circulation". Des étendards français pointèrent alors de nouveau à l'ouest, frappés des étoiles synonymes d'une force de combat grandissante, et se rallièrent rapidement à la ville impériale d'Arles. Les blessés français de la première heure, furent rapatriés derrière les lignes, venant renforcer les rangs français. Gmat, prenant alors la tangente, vint réapparaître à Alais, et prit d'assaut la ville du Languedoc. Malgré une défense héroïque, qui permit de sauvegarder les biens de la municipalité notamment, la ville tomba et fut passée sous statut franc. Les forces languedociennes réagirent rapidement, se mobilisèrent, et reprirent la ville, défaisant l'armée de Gmat, et faisant de nouveau flotter l'étendard du Languedoc sur les murailles Alaisiennes.

Les forces françaises se remirent petit à petit, et profitèrent dès lors de l’abri de la ville d’Arles, pour mettre en place leurs rangs, fort des armées étoilés arrivées en renforts. Cependant, la décision de la Connétablie de passer à l’offensive mit du temps à arriver...les soldats français et impériaux commençaient à trépigner d’impatience. Les forces de l’Etat-Major français avaient développé un profonde offensive diplomatique en direction de l’Italie, pour contraindre les forces armées impériales, et notamment les puissantes forces armées mobilisées en Italie par les provinces de Milan, Venise, Sienne et Modène, à enfin prendre leur part dans un conflit mené au nom de l’Empereur. Cependant, malgré les efforts déployés, et les promesses d’intervention, rien ne vint. La Connétablie de France, ayant fondé son offensive sur ce point précis, fut débouté de son attente. Les soldats français à Arles, pourtant nombreux, restèrent à l’extérieur des armées, et le pire finalement fut au rendez-vous.

Un nouveau Conseil Comtal fut choisit en Rouergue, et la nouvelle Capitaine Rouergate, supprima les autorisations aux armées françaises, qui perdirent leurs bonus offensifs. Dès lors, une offensive des troupes françaises était compromise et après des mois d’attentes…la guerre prit fin, aussi rapidement qu'elle était arrivée. Les volontaires français et impériaux se retirèrent petit à petit de Provence, et le Connétable signifia dans une longue lettre la fin de la Guerre en Provence. Dans cette déclaration, Le Connétable de France, Lekaiser, signifia son « amertume » « dans le fait que le peuple provençal reste sous l'emprise de dirigeants sans scrupules, félons, hérétiques et sorciers à bien des égards ». S’en suivit alors une longue liste de récriminations à l’encontre des évènements et faits qui mirent, selon lui, en grave difficulté l’offensive en Provence. Une condamnation fut envoyé au Comte du Limousin et de la Marche d’alors, le Sire Jakamer, qui retira à l’armée du Capitaine franc Namaycush « l'agrément […] le soir même de l'assaut d'Aix ». Même condamnation fut signifié pour le retrait de l’agrément rouergate à « la Capitaine rouerguate, Eléïce de Valten dicte "Linoa", dame de Tyx », les mots prenant une tournure plus dure, puisque le Connétable qualifia son geste de « stupidité » et de « traîtrise à l'égard de la centaine de Volontaire Français et Impériaux ». S’en suivit aussi une déclaration à l’encontre des autorités impériales, et d’une condamnation à leur encontre, regrettant « que l'Empire [ne] s'engage à hauteur de la France ». Enfin, les derniers mots furent écrit à l’encontre des impériaux de Provence les invitant à continuer leurs combats, et aux volontaires français, remercier grandement par les mots, « pour leur loyauté, leur bravoure et leur courage ».

La Guerre de Provence, se finit donc ainsi, mais ses conséquences risquent d’être nombreuses et de se faire sentir dans le futur du Royaume de France.


A L’Est du Royaume de France, en terres italophones de l’Empire, un autre conflit se menait conjointement.

Rappelons d’abord que la province de Gênes, membre du groupe italophone du SRING, s’était ralliée juste avant le début de la guerre au Marquisat des Alpes Occidentales. Une armée génoise avait d’ailleurs combattu aux côtés des provençaux, puis s'était retiré lorsque les pressions diplomatiques des voisins de Gênes étaient devenues trop pressantes.

L'italie, sollicité de nombreuses fois par les instances impériales, pour agir "plus fermement" contre la dissension génoise et provençale, s'était tout d'abord borné à agir par la voie diplomatique. Sienne, Modène, Venise et Milan s'étaient joint à un effort diplomatique semblable, devant "ramener" Gênes dans le giron impérial. Cependant un évènement força la main italienne à agir avec plus de fermeté. Profitant de la nuit et du couvert de la route traversant la campagne de la ville Milanaise d'Allessandria, les soldats génois rentrés de Provence, se faufilèrent jusqu'au territoire savoyard et, mettant à profit l'effet de surprise, prirent le château du Duché. La réponse du conseil savoyard en place fut assez surprenante : n'arrivant pas à reprendre le château, malgré l'infériorité numérique des assaillants comparé à l'ensemble de la population disponible, la Duchesse en place, "négocia" la reprise du château, et autorisa en contrepartie, la constitution d'une armée génoise en territoire savoyard. La polémique enfla alors sur le petit territoire de l'empire francophone, et des accusations fusèrent contre les volontaires de Savoie, descendus honorer leurs serments à l'Empereur. Cependant, cet incident eut pour conséquence de déclencher la riposte des provinces italiennes, qui envahirent Gênes et, après un rapide combat devant la Capitale, parvinrent à faire signer la reddition unilatérale de la province. Ordre fut donné de disloquer les armées génoises.
Cependant, les autorités génoises eurent des réticences à répondre aux exigences des vainqueurs et, malgré le retrait des armées italiennes de son territoire, à l'exception de l'armée du Temple Italien, ne se plièrent pas aux demandes.

Rapidement, la situation redevint la même. Devant le refus des autorités génoises de clarifier leurs positions et de répondre aux demandes formulées par les provinces italiennes, et malgré l'accord par vote de la population génoise au retour dans le SRING, les armées italiennes reprirent alors le chemin de Gênes, pour accélérer les choses. La province fut soumise à rude épreuve et des combats sporadiques éclatèrent suite au retour des armées italiennes sur le sol génois. Bientôt, 4 armées campèrent devant la Capitale génoise, et un Conseil de transition fut choisi. Après d’âpres batailles diplomatiques et de quelques combats, Gênes revint dès lors dans le giron impériale, prouvant que la mobilisation conjointe des forces impériales, pouvaient remettre les choses en place.

Pendant 6 mois donc, le Sud du Royaume de France fut le théâtre d’une longue et terrible guerre, qui économiquement et humainement représenta un terrible coût. 6 mois qui ont vu de grandes batailles, de durs combats, des actes de bravoure, de courage, et des actes de sorcellerie. Le bilan de cette guerre semble difficile à tirer si peu de temps après, mais nul doute que les répercussions de cette longue offensive poindront dans le futur des affaires du Royaume de France.

(*) Phooka, Ancien Duc de Normandie, assassiné par les artésiens CharlesMauriceDeT. et Raoul d'Andrésy. Ce personnage historique normand est aujourd'hui l'objet d'un culte reconnu par l'Eglise Aristotélicienne. Phooka est reconnu officiellement comme étant d'Essence Divine.

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