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 Blasons de nos villes

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MacCornell
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MacCornell

MacCornell


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MessageSujet: Re: Blasons de nos villes   Blasons de nos villes - Page 2 Icon_minitimeDim 21 Mar 2010 - 8:20

Citation :
Lyon

Proposition de description du blason:

De gueules au lion d'argent, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or qui sont de France.


Descriptions trouvées :

A040 Lyon D'argent au lion d'azur enclos dans un double trêcheur du même
A040 Lyon D'argent au lion de sable au chef d'azur chargé d'un croissant d'argent accosté de deux étoiles d'or

A074 Lyon La ville De gueules au lion d'argent au chef cousu de France
A073 Lyonnais Le Lyonnais relevait, dans les premiers temps de la féodalité, des comtes du Forez, dont les archevêques de Lyon, jaloux de se saisir de la souveraineté temporelle de leur diocèse, refusèrent de reconnaître la juridiction. Les démêlés qui surgirent de là furent favorables à l'autorité royale. Philippe-Auguste, en 1183, se fit rendre hommage par l'archevêque de Lyon, dont Philippe le Bel. acheta tous les droits en 1313. Ainsi rentra dans le domaine de la couronne la seconde ville du royaume par sa richesse et son commerce. Les archevêques et les chanoines de Lyon conservèrent le titre de comtes, comme souvenir de leur ancienne autorité temporelle. Les anciens comtes du Lyonnais et du Forez portaient d'or au lion de sable armé et lampassé de gueules On donne souvent au Lyonnais les armes de la ville de Lyon de gueules au lion d'argent
A075 Lyonnais (de) 1ère croisade. Guillaume III, comte de Lyonnais et de Forez, fut tué au siége de Nicée en 1097. Sa soeur porta son comté dans la maison d'Albon. D'or au lion de sable armé et lampassé de gueules
http://www.euraldic.com/aarm_ly.html

de gueules à un lion d'argent, au chef cousu de France
http://www.francegenweb.org/~heraldique/base/details.php?image_id=10478&mode=search
http://www.francegenweb.org/~heraldique/base/details.php?image_id=6149&mode=search

de gueules au lion à la queue léopardée d'argent, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or
http://www.newgaso.fr/homepag2.php3

de gueules au lion d'argent rampant et lampassé au chef d'azur à trois fleurs de lys d'or
http://fr.wikipedia.org/wiki/Lyon

de gueules au lion d'argent au chef d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Armorial_des_communes_du_Rh%C3%B4ne

De gueules au lion rampant armé, lampassé d'argent au chef d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or

http://fr.wikipedia.org/wiki/Armoiries_de_Lyon

http://fr.geneawiki.com/index.php/69123_-_Lyon

http://www.lyon.fr/vdl/sections/fr/decouverte/histoire/?aIndex=0

http://membres.multimania.fr/heratlas/lyonnais/clyonnais.htm


Citation :
Au Moyen-âge, les armoiries des comtes de Lyon sont constituées d'un lion d'argent sur champs de « gueules », c'est à dire sur la partie centrale du blason.. Le roi des animaux n'a aucun rapport avec l'origine du nom de la ville, puisque le nom primitif de Lyon était Lugdunum . C'est vers 1320, du fait de la protection royale, que les fleurs de lys sont ajoutées au lion. A la Révolution, les armoiries disparaissent mais, en 1809, Napoléon Bonaparte les restaure. Il remplace les fleurs de lys par trois abeilles qui représentent le Nouvel Empire. C'est à cette époque qu'apparaît la couronne murale au sept créneaux d'or, symbole des villes fortifiées de l'antiquité. Au début de la Restauration, la Ville reprend ses armes traditionnelles. En 1819, elle obtient du roi Louis XVIII l'ajout d'une épée dans la partie supérieure du lion, signe de reconnaissance au roi lors des événements de 1793. La Monarchie de juillet en 1830 rejette les fleurs de lys, sans reprendre les abeilles et les remplace par des étoiles qui se veulent neutre. A partir de ce moment, les plus libres fantaisies sont livrées sur le blason, des reproductions sont appelées « fausses armoiries ». Au début du XXe siècle la municipalité décide de reprendre le blason au lion sans épée, avec les trois fleurs de lys, emblème de la cité pendant six siècles.

Le blason de Lyon tel qu'il est au XXe siècle se compose d'un champ de « gueules » (rouge) et d'une partie supérieure « d'azur » (bleu roi) chargé de trois fleurs de lys d'or (jaune). Le champ de gueules porte un lion « d'argent» (blanc) qui est dit rampant c'est-à-dire prêt à bondir, lampassé car la langue est identifiée.

http://www.lyon.fr/vdl/sections/fr/decouverte/histoire/zoom/a_histoire_blason/?view_zoom=1


Dernière édition par MacCornell le Dim 4 Avr 2010 - 20:38, édité 1 fois
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MacCornell

MacCornell


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MessageSujet: Re: Blasons de nos villes   Blasons de nos villes - Page 2 Icon_minitimeDim 21 Mar 2010 - 8:33

Citation :
Blasons de nos villes - Page 2 Et_ly_10 Blasons de nos villes - Page 2 Et_ly_11 Blasons de nos villes - Page 2 Et_ly_12
Blasons de nos villes - Page 2 Et_ly_13 Blasons de nos villes - Page 2 Et_ly_14

Héraldisme
Ville de Lyon dans le Lyonnais-Dauphiné

Description du Blason :

De gueules au lion d'argent, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or qui sont de France.

Ancien nom : Lugdunum, Loudoun, Lion

Devise : Virtute duce, comite fortuna

Cri : avant avant lion le melhor

Nom des habitants : lyonnais - lyonnaise


Rang historique :


Seigneuries historiques :





Généralités historiques

  • Fondé en 43 av.J.-C.Par Lucius Munatius Plancus, Lugdunum devient sous Agrippa le grand carrefour des voies romaines en Gaule et fut doté par Auguste de nombreux monuments.
  • Le christianisme y apparut sous Antonin et fut persécuté : martyres de saint Pothin et sainte Blandine en 177.
  • Après avoir vaincu son rival Albin aux environs de la ville en 197, Septime Sévère l'incendia et fit égorger les chrétiens dont l'évêque Irénée.
  • Envahi par les Burgondes en 457, par les Francs en 534, Lyon fut rattaché à la Lotharingie à la mort de Charlemagne en 843.
  • A la fin du 10ème l'archevêque de Lyon s'empara du pouvoir temporel.
  • Cette autorité, contestée par les bourgeois de Lyon en 1274, entraîna le rattachement de la ville à la France en 1312 avec création d'un consulat par Philippe le Bel.
  • Le 15ème fut une période de prospérité : 2, puis 4 foires accordées par le roi en firent un carrefour commercial et bancaire international (bourse la plus ancienne de France).
  • Les guerres de Religion entraînèrent des massacres : "les vêpres lyonnaises".
  • Mais le 17ème vit l'épanouissement de la soierie qui atteignit son apogée au 18ème et prit un nouvel essor avec l'invention de Jacquard en 1802.
  • Pendant la Révolution, Lyon se souleva contre Paris et subit une terrible répression dirigée par Collot d'Herbois, Couthon et Fouché.
  • Au 19ème l'industrie de la soie domina la vie lyonnaise, mais la misère de la condition ouvrière entraîna la "révolte des Canuts" (les ouvriers de la soie) en 1831 et 1834.
  • Le 20ème est marqué par le rôle de "capitale de la Résistance" joué par Lyon, et par les règnes de ses maires : Édouard Herriot 1905-1957, et Louis Pradel 1957-1976.
  • Siège de l'archevêque "Primat des Gaules".
  • Au confluent du Rhône et de la Saône dont les alluvions, ou terreaux, entassées au pied de la colline de la Croix-Rousse ont formé une presqu'île ; Lyon s'est construit sur les deux rives de ces fleuves.
  • Cette situation explique le développement successif et la délimitation précise des quartiers de Lyon qui sont décrits par centres d'intérêt ; on verra ainsi en suivant : Ville ancienne ; Ville commerçante et artisanale ; Ville moderne ; Ville contemporaine.
  • La ville ancienne, romaine et médiévale, occupe la colline de Fourvière au pied de laquelle se sont développés du 15ème au 17ème les quartiers Saint-Jean, Saint-Georges et Saint-Paul.
  • Ville commerçante et artisanale : celle-ci s'est développée du 16ème au 19ème sur la presqu'île rattachée à la colline de la Croix-Rousse, ancien fief des canuts, et s'étend sur les quartiers des Terreaux, de la Bourse, de Bellecour et de Perrache.
  • Elle est encore aujourd'hui le cœur de la ville.
  • Ville moderne : elle a commencé dès le 19ème à se développer sur la rive gauche du Rhône : au nord le quartier résidentiel des Brotteaux, à l'est le quartier ouvrier de la Guillotière, au sud le quartier universitaire, les quartiers de la Mouche et Gerland.
  • Ville contemporaine : elle se développe a la périphérie : au nord La Duchère, à l'est La Part-Dieu, au sud le quartier des Etats-Unis, à l'ouest la colline Saint-Irénée.
  • 4 juillet 1987 : condamnation à perpétuité de Klaus Barbie, ancien chef de la Gestapo lyonnaise.


Vestiges préhistoriques et antiques

  • Ville ancienne (3 ha) : ensemble archéologique** de Fourvière (MH) : théâtre et Odéon gallo-romains ; temple de Cybèle (MH).
  • Amphithéâtre fédéral romain an 19 (MH), dans le Jardin des Plantes ; thermes (vers an 50) ; voie romaine pavée ; vestiges des mausolées romains de Trion (MH), place de Choulans ; substructions d'édifice gallo-romain (MH), lieudit "La Sarra".
  • Vestiges du site archéologique de Saint-Just (MH).
  • Vestiges d'édifice antique souterrain : 2 salles avec puits d'accès (MH), 1 place des Minimes.
  • Parties du mur romain dit "Mur Cléberg" (MH).
  • Vestiges de l'aqueduc gallo-romain du Gier, enclavés dans le fort Saint-Irénée (MH) et rue Roger-Radisson (IMH) ; réservoir d'eau gallo-romain : 2 bassins de décantation, rue Roger-Radisson; fontaine du Verbe Incarné qui servait à l'alimentation en eau du quartier, installée place du Trion ; réservoir de l'aqueduc (MH) dans le lycée de filles ; vestiges du réservoir d'aqueduc "de l'Angélique" (IC).
  • Égout romain rue Roger-Radisson et 3 place de Fourvière (MH).


Architecture civile

  • Le centre historique de Lyon (environ 500 ha) est Inscrit au "Patrimoine mondial" de l'UNESCO (1998) ; il est (SI).
  • Il comprend le Vieux Lyon, entre la Saône et la colline de Fourvière, ancien centre de la cité; la presqu'île qui comprend la place Bellecour et les quartiers centraux et commerçants; les 2 collines : Fourvière qui domine les quartiers anciens, surmontée de la basilique 19ème, la Croix-Rousse, quartier des canuts.
  • Les quartiers anciens de Saint-Jean, Saint-Georges et Saint-Paul sont classés Secteur Sauvegardé.
  • Ensemble urbain constitué par les quais et les ponts de la Saône et les immeubles qui la bordent, entre le pont de l'Homme de la Roche et le viaduc du chemin de fer de la gare Perrache (SI).
  • Ville ancienne : nombreuses rues avec maisons** 15ème/17ème (secteur sauvegardé); rue du Boeuf : Tour rose Renaissance : ensemble d'immeubles autour de jardins suspendus, haute tour, escalier à vis, fenêtres en plein cintre.
  • Rue Gadagne : hôtel d'Amédée de Pierrevive 16ème (MH) (musées).
  • Rue de la Bombarde : maison du Chamarier, la première de style Renaissance.
  • Place du Change : maison Thomassin : façade gothique.
  • Rue Juiverie : maison des Bullioud (MH), hôtel Paterin 16ème; maison Philibert Delorme : galerie sur trompes; maison Dugas : façade à bossages début 17ème, têtes de lions ; hôtel de Gadagne début 16ème : belle façade, galeries, jardin suspendu (musée d'histoire de la ville); Petit collège 1730 : escalier à 4 piliers; le père Lachaise y fut recteur (mairie annexe du Vème).
  • Quai de Bondy; quai de Pierre Scize : école vétérinaire 18ème (la plus ancienne du monde); quai Fulchiron, maison Blanchon 1845 par Bossan, néo-gothico-mauresque.
  • Ruelle Punaise : égout médiéval à ciel ouvert.
  • Maison de la Bréda, dite "maison Pauline Jaricot, accès, chapelle et jardin (IMH), 42 montée Saint-Barthélemy.
  • Maisons* 15ème et 16ème rue Saint-Jean : façades, cours intérieures, galeries, puits.
  • : hôtel d'Estaing 16ème (MH), Maison des Avocats 16ème : galerie à arcades* ; Grande traboule, 54 rue Saint-Jean.
  • Maison (IMH), 11 rue Saint-Jean : galeries sur cour, allée d'accès et puits.
  • Rue Sainte-Croix ; rue Lainerie : au n° 14, maison Claude Debourg : façade gothique flamboyant 1516.
  • Rue de la Baleine : n° 1, maison 15ème, façade*, puits dans la cour ; maison 18ème, n° 5.
  • Place Saint-Paul.
  • Impasse Turquet : galeries médiévales.
  • Édifices monumentaux** : ancien archevêché 15ème (palais Saint-Jean), transformé par Soufflot en 1750, puis par Chenavard (MH).
  • Hôtel du gouvernement 16ème.
  • Hostellerie du Gouvernement : puits sous dais à coquille.
  • Grand palais 15ème.
  • Hôpital de l'Antiquaille d'origine 15ème.
  • Loge du Change 1630, reprise par Soufflot en 1748 (IMH) (église réformée).
  • Hôtel-de-ville : façade remaniée en 1700 par Mansart; cour d'honneur.
  • Palais de justice 1842 par Baltard.
  • Monument de L.Mourguet, père de Guignol.
  • Jacquemart, horloge-enseigne, rue de l'Hôtel-de-ville.
  • Fort Saint-Irénée 1831/41 (Ecole nationale supérieure des Sciences et techniques du théâtre).
  • Environ 320 traboules menant d'une rue à l'autre à travers les immeubles.
  • Ville commerçante et artisanale : ancien château de La Tourette : portail Renaissance* (MH).
  • École de tissage.
  • Les traboules*, passages couverts traversant les maisons.
  • Rue Mercière.
  • Place des Terreaux réaménagée par Christian Drevet et Daniel Buren en 1994 : fontaine de Bartholdi (MH) : groupe sculpté en plomb, 2 bassins, 69 jets d'eau ; Hôtel-de-ville** 1646, restauré par Mansart en 1700 et récemment (MH) : cour d'honneur, beffroi, carillon 65 cloches, fresques; palais Saint-Pierre* 17ème, ancienne abbaye bénédictine (IMH) : ancien cloître et jardin 19ème (Musée des Beaux-arts).
  • Opéra 19ème, rénové en 1990 par Jean Nouvel : voûte de verre.
  • Palais du commerce et de la bourse 1862, par Dardel : plafond de la salle de la Corbeille.
  • Lycée Ampère, ancien collège des jésuites* 1519 (IMH); chapelle baroque 1619.
  • Hôtel de la Couronne Renaissance : cour à galeries, escaliers à vis (musée de l'Imprimerie).
  • Place des Jacobins : fontaine 1886; parking : tour creuse, sculpture de Buren.
  • Théâtre des Célestins, rénové en 1991 : salle à l'italienne 1877.
  • Hôtel-Dieu** : base 12ème, façade et grand dôme de Soufflot (MH) (musée des Hospices civils).
  • Place Bellecour** 1713/38 (IMH et SC), une des plus vastes d'Europe : statue équestre 19ème de Louis XIV par Lemot et bas-reliefs de Coustou 1719.
  • Hôtel Villeroy* 18ème.
  • Hôtel de Lacroix-Laval* par Soufflot 1739 (IMH) (musée des arts décoratifs).
  • Place des Cordeliers : monument dédié aux deux fleuves, le Rhône "mâle impétueux" et la Saône "femelle".
  • Tour métallique 1893, réplique de la tour Eiffel, à côté de la basilique de Fourvière (radio-télévision).
  • Monument à Ampère 1888.
  • Ville moderne : quartier médical : hôpital Édouard-Herriot 20ème.
  • Préfecture 19ème.
  • Opéra 1832, réhabilité par Jean Nouvel.
  • Bâtiments de la foire internationale de Lyon : Palais des Congrès internationaux, par Renzo Piano, grand palais.
  • Ensemble universitaire de Lyon-la-Doua.
  • Grande halle des abattoirs de la Mouche et pavillons d'entrée (IMH).
  • Halle Tony Garnier : manifestations culturelles.
  • Stade olympique par Tony Garnier.
  • Ville contemporaine : La Part-Dieu (1er), complexe architectural** d'avant-garde : bibliothèque municipale, auditorium, centre commercial couvert et climatisé, maison de la Radio, halles, tour du Crédit Lyonnais.
  • La Duchère : ensembles immobiliers modernes.
  • Chais "Beaucairois" et la charpente (IMH), rue des Docks (9ème).
  • Hôtel Méridien Part-Dieu, le plus haut d'Europe : 245 chambres.
  • Murs peints : plus de 150 murs : fresque des Lyonnais (angle rue de La Martinière/quai Saint-Vincent); façades et fenêtres en trompe-l'oeil, rue Terme; Bibliothèque de la Cité (angle rue de la Platière/quai de la Pêcherie); Évolution des transports en commun, 98 avenue Lacassagne; portraits de grands hommes, 115 avenue Cacassagne; mur des Canuts, bd des Canuts; mur de la Cour des Loges, quai de Bondy; mur du Cinéma, angle cours Gambetta/rue de la Guillotière; partie de tennis, rue J.Callier; coureurs à pieds, cours Villon; Cynélyon, place Gabriel Péri; fresque du Mondial; Musée urbain Tony Garnier; mots croisés géants, avenue J.-Mermoz; Suspense au programme, 106 bis rue Marietton; Les Maccabés, église Saint-Just; fresque, église Saint-Laurent, etc.
  • Brasserie Georges, salle 1836, décor art-déco, fresques au plafond.
  • Parc de la Tête d'Or* : grandes serres, monument aux morts* dans l'île du Souvenir (IMH).
  • Saint-Rambert-l'Ile-Barbe : Logis de la prévôté* 16ème, ancien château.
  • Ile Barbe en partie (SC).
  • Ponts sur le Rhône : Pont Winston Churchill.
  • Pont de Lattre-de-Tassigny.
  • Pont Morand.
  • Pont du Collège.
  • Pont Lafayette 1899 : 3 travées, acier et tôle.
  • Pont Wilson.
  • Pont de La Guillotière 1958 : 3 travées métalliques.
  • Pont de l'Université 1899 : 3 travées, acier.
  • Pont Galliéni.
  • Passerelle suspendue 1844, reconstruite après la Seconde guerre : 3 travées.
  • Pont Pasteur.
  • Sur la Saône : Pont de l'Ile-Barbe.
  • Pont Masaryck.
  • Pont Clemenceau.
  • Pont du Général Koenig.
  • Pont Saint-Vincent.
  • Pont A.Juin.
  • Pont Bonaparte.
  • Pont A.Juin - Passerelle Saint-Georges 1853, reconstruite en 1999, sur la Saône : 1 travée suspendue.
  • Pont ferroviaire Kitchener 1902, sur la Saône : 3 travées.
  • Pont routier Kitchener 1949 : 3 travées, en béton armé.
  • Pont de La Mulatière.


Architecture sacrée

  • Ville ancienne : cathédrale Saint-Jean** 1180 à 1480 (MH) : horloge astronomique* 14ème, rosace 1393; vitraux* 13ème ; à côté, manécanterie 12ème/17ème (MH), ancien réfectoire des chanoine, puis maisons des chantres (archives municipales).
  • Vestiges aménagés d'une basilique funéraire fin 5ème et de nombreuses tombes (immeuble Highway).
  • Vestiges des églises Saint-Etienne : baptistère paléochrétien 5ème, et Sainte-Croix.
  • Église Saint-Paul* 9ème/13ème, restaurée en 1910 (MH) : dôme 12ème ; carillon.
  • Basilique Notre-Dame-de-Fourvière 1896 gothico-byzantine (IMH), par Bossan, sur la colline de Fourvière au-dessus de la Saône : 4 tours octogonales de 48 m de haut, portique couronné d'une galerie surmontée d'un fronton ; église supérieure de l'Immaculée-Conception, nef et 8 chapelles latérales, mosaïques, sculptures, vitraux, bourdon et carillon dans la tour sud-est ; crypte Saint-Joseph (IMH).
  • A côté, chapelle Saint-Thomas 18ème de Delamonce : clocher néoroman surmonté d'une statue de la Vierge (5, 60 m), par Fabisch ; statue de la Vierge miraculeuse, objet de pèlerinages, ex-voto ; chapiteaux 12ème de l'ancienne chapelle.
  • Vestiges de la basilique Saint-Just fin 4ème, agrandie à l'époque médiévale.
  • Église Saint-Just 15ème/18ème (MH) : façade 18ème (par Delamonce).
  • Église Saint-Irénée (MH) : abside paléochrétienne ; crypte restaurée.
  • Église Saint-Georges 19ème (IMH), par Bossan; vestiges de l'église primitive 6ème au chevet.
  • Basilique Saint-Martin-d'Ainay* (MH), de l'ancienne abbaye bénédictine 1107 : clocher-porche, tour carrée, baies géminées; coupole sur trompe, chapelle Saint-Michel gothique, baptistère 19ème avec remplois sculptés romans; crypte Sainte-Blandine 4ème; fragments de mosaïque 12ème, chapiteaux 12ème.
  • Ville commerçante et artisanale : église Saint-Polycarpe 17ème/19ème (MH).
  • Église Saint-Bruno-des-Chartreux*, baroque 17ème et 18ème (MH) : façade 19ème, dôme, baldaquin, décor.
  • Église Saint-Nizier* 14ème et 15ème, gothique flamboyant (MH) : portail* avec cul de four; pignon central et clocher sud 19ème ; Vierge de Coysevox; horloge.
  • Ancienne église Saint-Pierre : portail* 12ème/18ème (MH).
  • Église Saint-François de Sales 1830 : dôme, façade monumentale.
  • Église Saint-Vincent néo-classique (MH), restaurée 1990.
  • Chapelle* (MH) de l'ancien collège de la Trinité (lycée Ampère) par Martellange 17ème.
  • Église Saint-Bonaventure* 1325/1494 (IMH), seul vestige du couvent des cordeliers : abside à 5 pans 14ème, façade refaite au 19ème, rosace* ; chapelles et armoiries de confréries de métiers, orgue*.
  • Ancien couvent de la Visitation, ancien hôpital de l'Antiquaille : ensemble des bâtiments, parties reconstruites au 19ème, cloître, église et 2 chapelles latérales, cour d'entrée avec portail, aile triangulaire et pavillon au nord, aile orientale et pavillon, aile sud, bâtiment au sud de l'aile orientale du cloître avec pavillon central, 2 terrasses de l'ancien jardin (IMH) ; cavité dite "caveau de Saint-Pothin, autel, grilles, 19 lampes de sanctuaire, chapelle souterraine et autel, lampes et portique d'entrée, sol du cloître (MH).
  • Chapelle de l'Hôtel-Dieu 17ème.
  • Clocher de l'ancienne église de la Charité 1665.
  • Chapelle du bienheureux Antoine Chevrier, fondateur du Prado, 11 rue du Père-Chevrier.
  • Ville moderne : chapelle de l'hôpital Édouard-Herriot (IMH), à Grange-Blanche.
  • Grand temple (IMH), 6 cours de la Liberté.
  • Façade (MH) du temple protestant, ancienne Loge du Change 17ème, remaniée par Soufflot.
  • Synagogue (IMH), 13 quai Tilsitt.
  • Grande Mosquée contemporaine.
  • Saint-Rambert-l'Ile-Barbe : église Saint-Rambert.
  • Ancienne chapelle Sainte-Marie-Madeleine et ses peintures murales (IMH), immeuble "le Châtelard".
  • Église réformée dans l'ancienne loge du Change 18ème.


Musées

  • Musée des Beaux-Arts** (palais Saint-Pierre), place des Terreaux (1°) : une des plus grandes collections d'œuvres d'art en France.
  • Musée d'Art contemporain, 16 rue Édouard-Herrriot (1er).
  • Musée des télécommunications, 12 bis, rue Burdeau (1er).
  • Musée Édouard-Herriot, Hôtel-de-ville (1er).
  • Musée des Arts décoratifs et musée des Tissus, hôtel de Lacroix-Laval, 30-34 rue de la Charité (2ème).
  • Musée des Hospices civils (Hôtel-Dieu), 1 place de l'Hôpital (2ème) : techniques médicales jusqu'au début du 20ème.
  • Musée de l'Imprimerie, 13 rue de la Poulaillerie (2ème), dans un bâtiment 15ème.
  • Musée des moulages de l'Université Lumière, 3 rue Rachais (3ème).
  • Maison des Canuts*, 10 rue d'Ivry (4ème) (vente à prix de fabrique).
  • Musée de la civilisation gallo-romaine** et parc archéologique de Fourvière, 17 rue Cléberg (5ème).
  • Musée mariste de Puylata, 4 montée Saint-Barthélemy (5ème).
  • Musée "la Renaissance des Automates", 100 rue Saint-Georges (5ème) : atelier d'automates.
  • Musée d'art religieux, trésor de la cathédrale Saint-Jean, Manécanterie, place Saint-Jean (5ème).
  • Jardin Archéologique : restes de l'église préromane et romane Sainte-Croix, traces de l'église Saint-Étienne, à côté de la cathédrale Saint-Jean (5ème).
  • Musée de Fourvière, 8 place Fourvière (5ème) : objets d'art sacré du 15ème au 20ème; ex-voto.
  • Musée-atelier de la miniature, 2 rue Juiverie (5ème) : miniatures d'art.
  • Musée historique de Lyon** (musée de Gadagne) et musée de la Marionnette (hôtel de Gadagne 16ème), 1 place du Petit-Collège (5ème).
  • Petit musée fantastique de Guignol, 6 rue Saint-Jean (5ème).
  • Musée d'art contemporain, Cité internationale, 81 quai Charles-de-Gaulle (6ème) : collections d'art de 1960 à nos jours.
  • Musée Guimet d'histoire naturelle, 28 bd des Belges (6ème).
  • Musée des moulages d'art antique de l'Université Lyon-II, 11 avenue Berthelot (7ème).
  • Centre d'histoire de la Résistance et de la Déportation, 14 avenue Berthelot (7ème) : lieu de mémoire, centre de documentation, expositions.
  • Musée des Missions africaines, 150 cours Gambetta (7ème) : arts et traditions d'Afrique Noire.
  • Musée du souvenir militaire de Lyon, de la Révolution à nos jours, 50 avenue Yves-Farge (7ème).
  • Centre d'Histoire de la Résistance et de la Déportation, 14 avenue Berthelot (7ème).
  • Muséum Testut-Latarjet de médecine et d'anatomie, 8 avenue Rockfeller (8ème).
  • Musée dentaire, rue G.-Paradin (8ème).
  • Cabinet des estampes.
  • Institut Lumière, 25 rue du 1er Film : production de Louis Lumière, 25 rue du Premier-Film (8ème).
  • Musée urbain Tony Garnier, 4 rue des Serpollières (8ème) : 24 fresques monumentales peintes sur les murs.
  • Musée des sapeurs pompiers du Grand Lyon, 358 avenue de Champagne (9ème).
  • Musée de la propagation de la foi.
  • Musée de la machine à coudre.
  • Bibliothèque municipale de La Part-Dieu (3ème).


Sites

  • Quais de la Saône et du Rhône.
  • Panoramas depuis Fourvière et La Croix-Rousse.
  • Ile Barbe.


Ressources et productions

  • Cuisine lyonnaise** et ses spécialités : andouillettes, cochonnailles, cervelas truffé, grattons, pieds de veau et de mouton, ravigote, entrecôte beaujolaise, poulet aux morilles, bugnes, matefaims, quenelles.
  • Cours d'œnologie, dégustation de vins régionaux.
  • Vins : crus du Beaujolais et des Côtes-du-Rhône.
  • Entreprises - Alimentaire : Panzani-William Saurin; Bellevue (semoule), Générale Traiteur.
  • Aménagement du territoire : Compagnie Nationale Rhône.
  • Automobile : Renault VI (poids lourds).
  • BTP : Jean-Lefèvre Sud-Est; SPIE Cintra; Dumez Rhône-Alpes.
  • Céramique : Novoceram.
  • Chimie : Rhône-Poulenc; Wackerchimie (PUC).
  • Déchetterie : Mos.
  • Électricité : L'Eletricfil Industrie.
  • Électroménager : SEB (Calor); CIAPEM (Brandt).
  • Équipements industriels : OREFI.
  • Extincteurs : Européenne Extincteurs; Desautel.
  • Grandes surfaces : Lalaudis.
  • Informatique : Focal; SQP (matériel); Soft (bureautique).
  • Librairie : Flammarion 2.
  • Loisirs : Olympique Lyonnais.
  • Métallurgie : Descours-et-Cabaud (acier, outillage).
  • Papiers/carton : Emin-Leydier; Lembacel.
  • Peintures : Zolpan; Vachon (et outillage).
  • Pétroliers : Pétro-Lyon; AGIP française.
  • Pharmacie : Lipha; Mérial (produits vétérinaires).
  • Plastiques : Burelle; PPP.
  • Presse : Comareg-Havas.
  • Produits agricoles : Monfer-France.
  • Produits laitiers : Cédillac.
  • Publicité : Delta diffusion.
  • Robinetterie : Comap.
  • Serrurerie : Ronis.
  • Tourisme : Républic Tours.
  • Transports : SLTC.
  • Travaux Routiers : Colas Rhône-Alpes.
  • Les Jardins d'Entreprise, parc d'activités au cœur de la Technopole de Gerland.



http://fr.wikipedia.org/wiki/Lyon
http://fr.geneawiki.com/index.php/69123_-_Lyon
http://www.lyon.fr/vdl/sections/fr/decouverte/histoire/?aIndex=0



Nota Bene : * : Notoire - ** : Exceptionnel - IMH : Inscrit Monument Historique - MH : Monument Historique - SI : Site Inscrit - SC : Site Classé
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MessageSujet: Re: Blasons de nos villes   Blasons de nos villes - Page 2 Icon_minitimeDim 21 Mar 2010 - 8:47

Citation :
Embrun

Proposition de description du blason : ( Laughing )

D'azur à la croix d'argent


Descriptions trouvées :

d'azur à la croix d'argent
http://www.newgaso.fr/homepag2.php3
http://fr.wikipedia.org/wiki/Embrun_%28Hautes-Alpes%29
http://fr.geneawiki.com/index.php/05046_-_Embrun

D'azur à la croix d'argent. Couronne murale d’or à trois tours crénelées. Tenants:Dauphins d’azur, crêtés, barbés, lorés, peautrés et oreillés de gueules.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Armorial_des_communes_des_Hautes-Alpes

En 1204 le comte de Forcalquier autorisa la ville d’Embrun à se servir de son sceau pour sceller ses actes; les consuls s’en servaient encore en 1237 ; en 1254 le sceau représente, d’un côté, les cinq consuls debout, et, de l’autre, une porte de ville. Les armoiries d’Embrun sont: D’azur à la croix d’argent.
http://hautes-alpes1789.ifrance.com/

http://membres.multimania.fr/heratlas/dauphine/cdauphin.htm

http://www.ville-embrun.fr/la_commune/histoire_de_notre_commune

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MessageSujet: Re: Blasons de nos villes   Blasons de nos villes - Page 2 Icon_minitimeDim 21 Mar 2010 - 8:59

Citation :
Blasons de nos villes - Page 2 Et_em_10 Blasons de nos villes - Page 2 Et_em_11 Blasons de nos villes - Page 2 Et_em_12
Blasons de nos villes - Page 2 Et_em_13 Blasons de nos villes - Page 2 Et_em_14

Héraldisme
Ville de Embrun dans le Lyonnais-Dauphiné

Description du Blason : D'azur à la croix d'argent

Ancien nom : Eburodunum

Devise :

Nom des habitants : embrunais, embrunaise


Rang historique :


Seigneuries historiques :





Généralités historiques

  • Anciennement "Eburodunum", une des principales villes des Caturiges, étape sur la voie romaine de Briançon à Arles.
  • Siège d'un évêché fondé au 4ème par saint Marcellin, puis d'un archevêché.
  • Les archevêques étaient seigneurs temporels conjointement avec les Dauphins.
  • Ils portaient le titre de princes et battaient monnaie.
  • La dignité de chanoine de la cathédrale d'Embrun, conférée à Louis XI, fut transmise à ses successeurs et actuellement au président de la République.


Vestiges préhistoriques et antiques




Architecture civile

  • Tour Brune* (MH) : ancien donjon carré 12ème des archevêques, 4 étages à salles voûtées (caserne de Laharpe).
  • Vestiges des anciens remparts.
  • Ancien archevêché, cours (IMH).
  • Maison 12ème en face de la cathédrale (IMH).
  • Maison des Chanonges 12ème (MH).
  • Ancien hôtel des Gouverneurs : porte Renaissance* à vantaux (MH) ; façade (IMH).
  • Maison (IMH), 6 rue de la Liberté.
  • Immeuble (IMH), 29 rue Clovis-Hugues.
  • Cadrans solaires.
  • Vieilles fontaines (IMH), place Eugène-Barthelon, rue de l'Hôpital 18ème, rue de la Liberté, rue Principale 16ème.
  • Jardin de l'Archevêché (SI), aménagé en jardin public.
  • Barrage de Serre-Ponçon 1959 (SI).


Architecture sacrée

  • Ancienne cathédrale Notre-Dame** 12ème (MH), restaurée 20ème : pas de transept, clocher lombard, porte ouest romane (pierres bicolores, tympan peint); porche nord tympan sculpté, dit le Réal; 4 colonnes soutenues par des lions; intérieur en pierres blanches et noires alternées, vitraux* 15ème/16ème, nef voûtée d'ogives; peintures murales 15ème, orgues 1465 restaurées récemment, fonts baptismaux 11ème, stalles 15ème, trésor et ornements liturgiques", triptyque allemand 16ème.
  • Ancien couvent des Cordeliers* 15ème (aujourd'hui syndicat d'initiative) : voûtes gothiques, 4 chapelles latérales couvertes de peintures murales 15ème/16ème (MH); réfectoire et bâtiments conventuels (IMH).
  • Ancien couvent des visitandines (hôpital actuel).
  • Ancien collège des jésuites, en partie démoli.
  • Chapelle du mont Saint-Guillaume, au bord d'un petit lac : reliquaire de la main du saint (pèlerinage 2ème dim. Juill.).
  • Chapelles dans les hameaux : Les Séyères, Le Château-Caléyère, Caléyère, Les Bonnafous, Le Petit-Puy.


Musées

  • Trésor de la cathédrale* : ornements sacerdotaux 15ème/18ème, orfèvrerie, tableaux.


Sites

  • Site* de la ville, sur un promontoire dominant la Durance.
  • Plaine alluvionnaire de la Durance dite "Sous le Roc" (SC) : 2 km de long sur 1 km de large.
  • Lac de Serre-Ponçon* (SI).
  • Rives de la Durance.
  • Panoramas multiples de l'environnement.
  • Parc national des Écrins**.


Ressources et productions

  • Exploitation forestière.
  • Élevage.
  • Charcuterie, tomme, champignons.
  • Industrie alimentaire.



http://fr.wikipedia.org/wiki/Embrun_%28Hautes-Alpes%29
http://fr.geneawiki.com/index.php/05046_-_Embrun
http://www.ville-embrun.fr/la_commune/histoire_de_notre_commune



Nota Bene : * : Notoire - ** : Exceptionnel - IMH : Inscrit Monument Historique - MH : Monument Historique - SI : Site Inscrit - SC : Site Classé


Dernière édition par MacCornell le Mer 24 Mar 2010 - 18:20, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Blasons de nos villes   Blasons de nos villes - Page 2 Icon_minitimeMer 24 Mar 2010 - 18:12

Citation :
Die

Proposition de description du blason :

De gueules au château d'or ouvert et maçonné de sable, crénelé de cinq pièces en son centre et de quatre sur les murailles de côté, donjonné de trois tours de même, celle du milieu plus haute et crénelée de cinq pièces aussi, ajourées et maçonnées de sable.


Descriptions trouvées :

A040 Die De gueules à un château sommé de trois tours d'or
http://www.euraldic.com/aarm_di.html

de gueules au château donjonné de trois pièces d'or, la tour du milieu plus haute, ouvert, ajouré et maçonné de sable
http://www.newgaso.fr/homepag2.php3

de gueules au château d'or sommé de trois tours du même, celle du centre plus élevée, le tout crénelé, maçonné, ouvert et ajouré de sable
http://fr.wikipedia.org/wiki/Die_%28Dr%C3%B4me%29

http://fr.geneawiki.com/index.php/26113_-_Die

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MessageSujet: Re: Blasons de nos villes   Blasons de nos villes - Page 2 Icon_minitimeMer 24 Mar 2010 - 18:19

Citation :
Blasons de nos villes - Page 2 Et_di_10 Blasons de nos villes - Page 2 Et_di_11 Blasons de nos villes - Page 2 Et_di_12
Blasons de nos villes - Page 2 Et_di_13 Blasons de nos villes - Page 2 Et_di_14

Héraldisme
Ville de Die dans le Lyonnais-Dauphiné

Description du Blason : De gueules au château d'or ouvert et maçonné de sable, crénelé de cinq pièces en son centre et de quatre sur les murailles de côté, donjonné de trois tours de même, ajourées et maçonnées de sable, celle du milieu plus haute, ajourée doublement et crénelée de cinq pièces aussi.


Ancien nom : - Dea Aug(usta) Andarta (Long : Recherches sur les Vocontiens, 382)
- Col(onia) Dea Aug(usta) Voc(ontiorum), IIIe siècle (ibid., 77)
- Civitas Voc[ontiorum], 245 (ibid., 381)
- Civitas; Dea Vocontiorum, 333 (Itin. à Burdeg.)
- Venatores Deensium (Long : ibid., 390)
- Ad Deam Augustam Vocontiorum (ibid., 403) - Civitas Deensium, Ve siècle (Noticia Gall., 169)
- Urbs Diensis, VIe siècle (Grégoire de Tours, IV, 45)
- Dea, 614 (Element. jur. can., Il, 416)
- Dia, 1086 (Cartulaire de Romans, 161)
- Dia, 1157 (Cartulaire de Saint-André-le-Bas, 297)
- Civitas Dia, 1165 (Cartulaire de Die, 28)
- Diensis civitas, 1168 (ibid., 20)
- Cives Diensis, 1218 (ibid., 19)
- Civitas Diensis, 1321 (ibid., 80)
- Dya, 1374 (Cartulaire de Romans, III, 204)
- Dye, 1575 (Mémoires des frères Gay).

Devise :

Nom des habitants : diois, dioise


Rang historique :

Seigneuries historiques :





Généralités historiques

  • Capitale des Voconces.
  • Au 11ème passe sous la suzeraineté des empereurs d'AIlemagne, puis des évêques de Die.
  • Au 15ème fut réuni à la France, puis ravagé lors des guerres de Religion.
  • Abbaye Notre-Dame au "Vas Croissant", huitième et dernière fille de l'abbaye de Bonnevaux (Isère).


Vestiges préhistoriques et antiques

  • Nombreuses découvertes gallo-romaines* : autels, statues, bijoux, monnaies, stèles, inscriptions.
  • 3 autels* tauroboliques du 3ème (MH).
  • Passage de l'aqueduc romain sous le rempart.


Architecture civile

  • Restes des remparts* d'origine gallo-romaine 3ème/4ème, restaurés au moyen-âge : tour carrée et courtines est, tour ronde, boulevard du Gagnard, partie nord des remparts (MH); porte Saint-Marcel 3ème (MH), porte Sainte-Agathe 13ème, ancien arc*, dalles et épitaphes d'époque romaine.
  • Maison Renaissance dite de Diane de Poitiers.
  • Vieilles demeures* avec voûtes 15ème, façades 16ème/18ème, escaliers à vis, plafonds peints.
  • Maison "du notaire Chambron", allées d'accès, cours et jardin (IMH), place du Marché.
  • Tribunal et mairie (mosaïque) dans l'ancien palais épiscopal.
  • Presbytère : salon chinois (IMH).
  • Buste de la comtesse de Die, poétesse 13ème.
  • Château Saint-Laurent (IMH), au hameau Chamarges-et-Saint-Laurent.
  • Châteaux ruinés d'Aurel et de Purgnon.


Architecture sacrée

  • Ancienne cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption 11ème/13ème (MH), démolie par les protestants, reconstruite au 17ème : clocher-porche 12ème de 3 étages, avec chapiteaux* sculptés, tympan représentant la Crucifixion ; nef 13ème de 6 travées ; mobilier*, boiserie du choeur, chaire en bois sculpté ; sacristie 11ème.
  • Ancienne abbaye cistercienne de Valcroissant 1188 (exploitation agricole) ; bâtiments subsistants (MH et SI) : abside d'origine, voûte en berceau, rosace romane, chaire, boiseries du choeur, maître-autel 17ème; traces de peintures du 12ème au 14ème, salle capitulaire couverte d'une croisée d'ogives, réfectoire.
  • Ancienne chapelle des jésuites 1697, temple protestant depuis 1832 : porte d'entrée Louis XIV sculptée et vantaux* (IMH), chaire 17ème.
  • Chapelle Saint-Nicolas 12ème de l'ancien palais épiscopal (mairie) : fresques médiévales, mosaïque romane* 12ème, vision du monde terrestre ; papiers imprimés peints à la gouache début 18ème sur certains murs.
  • Vestiges de l'église des Cordeliers : abside polygonale 15ème.
  • Chapelle (quartier Saint-Laurent) : peintures rustiques 18ème.
  • Chapelle de l'hôpital, ancienne église des dominicains 18ème.
  • Presbytère : salon chinois, peintures 18ème.
  • Chapelle Notre-Dame-d'Espérance de Purgnon 19ème, ancienne tour du château restaurée et convertie en chapelle.


Musées

  • Musée d'histoire et d'archéologie*, dans un hôtel 17ème : collections archéologiques importantes.
  • Musée de la Clairette de Die à la cave coopérative : outillage, vinification, historique, dégustation; spectacles audiovisuels.
  • Maquette en relief des hauts plateaux du Vercors : au col de Rousset.
  • Jardin des Découvertes : des centaines de papillons exotiques en liberté ; centre de démonstration de culture hydroponique.


Sites

  • Abords de l'ancienne abbaye de Valcroissant (SI).
  • Au confluent de la Drôme et de la Meyrosse.
  • Sentier forestier de Justin, nombreux lacets.
  • Panorama de la Croix de Justin (1004 m) : table d'orientation.
  • Col du Rousset; table d'orientation.
  • Forêts de Ménil.
  • Sources de Rays.


Ressources et productions

  • Anciennes carrières de pierre de taille et de pierre meulière.
  • Anciens établissements thermals.
  • Vigne, lavande, arbres fruitiers, céréales.
  • Bovins, ovins, caprins.
  • Volailles.
  • Vin AOC* "Clairette de Die", "Crémant de Die", Vins de Châtillon.
  • Cave coopérative : visites commentées, expositions; foire aux vins.
  • Caveau de dégustation, visites.
  • Picodon.
  • Noix.
  • Coopératives agricole, céréalière, vinicole et laitière.
  • Scieries.
  • Entreprises - Vins : Sud-Est Appellations (Clairette).


http://fr.wikipedia.org/wiki/Die_%28Dr%C3%B4me%29
http://fr.geneawiki.com/index.php/26113_-_Die


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MessageSujet: Re: Blasons de nos villes   Blasons de nos villes - Page 2 Icon_minitimeMer 24 Mar 2010 - 18:31

Citation :
Briançon

Proposition de description du blason :

D'azur à la porte de ville d'argent crénelée de dix pièces, donjonnée de trois tourelles, le tout maçonné et doublement ajouré de sable, et ouverte sur le champ.


Descriptions trouvées :

A040 Briançon Armes anc D'azur à la herse d'or Armes mod D'azur à la croix d'or
A040 Briançon D'or à la fasce d'azur acc en chef de trois roses de gueules et en pointe d'une coquille du second
http://www.euraldic.com/aarm_br.html

d'azur à la tour crénelée d'argent, ouverte du champ et sommée de trois tourelles aussi d'argent, le tout ajouré et maçonné de sable
http://www.francegenweb.org/~heraldique/base/details.php?image_id=3856&mode=search

d'or à une fasce d'azur accompagnée en chef de trois roses de gueules,et en pointe d'une coquille d'azur.
http://www.francegenweb.org/~heraldique/base/details.php?image_id=7307&mode=search

d'azur à la tour crénelée de cinq pièces d'argent, ouverte du champ et sommée de trois tourelles aussi d'argent, le tout ajouré et maçonné de sable
http://www.newgaso.fr/homepag2.php3

D'azur à une porte de ville crénelée d'argent surmontée de trois tourelles du même, le tout maçonné et ajouré de sable et ouvert du champ.
D'azur, à deux pals échiquetés d'or et de gueules de trois pièces.
De trois d'argent, surmontées d'une quatrième, avec la devise : “PETITE VILLE, GRAND RENOM”.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Brian%C3%A7on

D'azur à une porte de ville crénelée d'argent surmontée de trois tourelles du même, le tout maçonné et ajouré de sable et ouvert du champ.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Armorial_des_communes_des_Hautes-Alpes

http://fr.geneawiki.com/index.php/05023_-_Brian%C3%A7on

De la ville : d'azur a une porte de ville d'argent, surmontée de trois tourelles égales à toits pointus, portillée et ajourée de sable.
http://hautes-alpes1789.ifrance.com/

D'Azur à une porte de ville crenelée d'argent sommée de trois tourelles du même, le tout maçonné et ajouré de sable et ouvert du champ.
http://www.briancon-online.com/historique.htm

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MessageSujet: Re: Blasons de nos villes   Blasons de nos villes - Page 2 Icon_minitimeMer 24 Mar 2010 - 18:35

Citation :
Blasons de nos villes - Page 2 Et_br_10 Blasons de nos villes - Page 2 Et_br_11 Blasons de nos villes - Page 2 Et_br_12
Blasons de nos villes - Page 2 Et_br_13 Blasons de nos villes - Page 2 Et_br_14

Héraldisme
Ville de Briançon dans le Lyonnais-Dauphiné

Description du Blason : D'azur à la porte de ville d'argent crénelée de dix pièces, donjonnée de trois tourelles, le tout maçonné et doublement ajouré de sable, et ouverte sur le champ.


Ancien nom : Brigantium

Devise : petite ville, grand renom

Nom des habitants : briançonnais - briançonnaise


Rang historique :


Seigneuries historiques :





Généralités historiques

  • Ancienne station romaine de Brigantium, mentionnée dès le 8ème.
  • Ancien chef-lieu de la principauté du Briançonnais qui obtint son autonomie par la charte de 1343 accordée par le dernier Dauphin, Humbert Il, confirmée jusqu'en 1789.
  • A partir de cette charte, Briançon devint le centre de la "république des Escartons", apparentée aux républiques italiennes (les Escartons étaient des assemblées locales élues).
  • Ville de garnison importante, Briançon fut fortifiée en 1690 d'une enceinte bastionnée par le maréchal Catinat; Vauban fit renforcer cette défense en 1692, et reconstruire le château médiéval.


Vestiges préhistoriques et antiques




Architecture civile

  • Ville d'art et d'histoire.
  • Citadelle de Vauban** 1692 et ses puissants remparts (MH et SI) : porte de Pignerol et colombier, portes Dauphine, d'Embrun, poudrière des Cordeliers et son enceinte, porte de la Durance, clocher du Son de Serre, chemin de ronde, poudrière est et son enceinte, parties de remparts.
  • Ville ancienne* intacte et fortifications (SI) : chemin de ronde, rues pittoresques à canalisation centrale ouverte telles la Grande Gargouille* et la rue Mercerie.
  • Maison des "Templiers" (IMH), Renaissance.
  • Ancienne Maison du Roi, salle d'audience du tribunal et son décor (IMH), 49 rue de la Grande-Gargouille.
  • Maison des Têtes (IMH), 13 Grande-Rue.
  • Portail à vantaux et fenêtre sculptée (IMH), 37 rue de la Grande-Gargouille.
  • Hôpital avec une belle porte 1714.
  • Campanile-beffroi.
  • Portant la cloche du "Son du Serre".
  • Mairie 18ème, aux voûtes épaisses.
  • Portail et fenêtre à motif sculpté (IMH) rue de la Grande-Gargouille.
  • Grand cadran solaire 1823, restauré, place d'Armes.
  • Colossale statue "la France" par Bourdelle.
  • Buste par Basset.
  • Pont d'Asfeld* 1731 (MH) : belle arche sur la Durance.
  • Nombreux forts et redoutes dans les environs : plans de Vauban pour ceux des Trois Têtes (MH et IMH), de Randouillet (IMH), de Point-du-Jour, du Dauphin, des Salettes (IMH), de l'Infernet, fort d'Anjou (IMH); redoute du Point du Jour (IMH).
  • Fontaine des Soupirs* (IMH).
  • Fort de la Croix-de-Toulouse* (SI) : bâtiments militaires, oratoire Notre-Dame-de-la-Délivrance, croix, table d'orientation.
  • Téléphérique militaire de Terre-Rouge ou des Gondrans (IMH) : recettes inférieure et supérieure, 10 pylônes (également sur Cervières).


Architecture sacrée

  • Collégiale Notre-Dame* 18ème (MH), dans la ville haute, selon des plans de Vauban : bâtiment vaste et lourd, 2 lions de pierre au portail subsistent de l'église précédente, plusieurs autels dorés et polychromes, tapisserie 16ème, Christ 17ème en bois peint, ornements sacerdotaux 18ème, fonts baptismaux sur-montés d'un groupe 18ème, 2 clochers carrés à coupoles ; cadran solaire 1719 sur la tour gauche.
  • Ancienne église des Cordeliers* 14ème (IMH) : façade austère, nef gothique* 14ème, fresques 15ème/16ème représentant Adam et Ève, dans l'ancienne sacristie, voûtes peintes ; cadran solaire 1795, restauré sur la façade méridionale.
  • Ancienne chapelle des Pénitents Noirs : clocher 15ème (IMH).
  • Ancien couvent des récollets (ancienne caserne du Muy) (IMH).
  • Église à Pont-de-Cervières 19ème : pietà 16ème, cadrans solaires 18ème/19ème.
  • Alentour nombreuses chapelles pour la plupart à nef unique et de style gothique tardif.
  • Église 19ème à Saint-Blaise.
  • Oratoire de Notre-Dame-de-la-Délivrance et croix (SI), sur l'Eperon de la Croix-de-Toulouse.


Musées

  • A la mairie, charte* de 1343 et portraits*, cadastre* de 1593.
  • Bibliothèque A.Albert, histoire locale, herbier alpin et minéraux.
  • Musée de la Mine.
  • Musée du Temps : du premier cadran solaire à l'horloge atomique, plus de 200 objets.
  • Musée du Ski, à la Maison du Parc.


Sites

  • Des remparts, vue** sur la vallée de la Durance, le Pelvoux et la Barre-des-Écrins.
  • De la vallée de la Guisane, vue sur la ville haute dans son enceinte.
  • Plateau des Trois-Têtes.
  • Cluse de la Durance Bois de l'Infernet.
  • Maison du Parc national des Écrins.


Ressources et productions

  • Charcuterie.
  • Le pelvoux, fromage de vache.
  • Huile d'amande.
  • Cures et post-cures, à Forville.


http://fr.wikipedia.org/wiki/Brian%C3%A7on
http://fr.geneawiki.com/index.php/05023_-_Brian%C3%A7on
http://www.briancon-online.com/historique.htm



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MessageSujet: Re: Blasons de nos villes   Blasons de nos villes - Page 2 Icon_minitimeMer 24 Mar 2010 - 18:44

Dans la foulée, un petit bonus

Citation :
Blasons de nos villes - Page 2 Et_du_10 Blasons de nos villes - Page 2 Et_du_11 Blasons de nos villes - Page 2 Et_du_12 Blasons de nos villes - Page 2 Et_du_13
Blasons de nos villes - Page 2 Et_du_14 Blasons de nos villes - Page 2 Et_du_15

Héraldisme

Duché du Lyonnais-Dauphiné

Description du Blason :

Écartelé : en 1 et 4, de gueules au lion d'argent et au chef cousu d'azur chargé de trois lys d'or, qui est de Lyonnais ; en 2 et 3, d'or au dauphin d'azur crêté, barbé, loré, peautré et oreillé de gueules, qui est de Dauphiné.


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MessageSujet: Re: Blasons de nos villes   Blasons de nos villes - Page 2 Icon_minitimeMer 24 Mar 2010 - 18:46

Une fois que vous aurez fait des remarques et commentaires, les fiches et gonfanons seront mis à la disposition de tout un chacun. Une fois cela fait, j'attaque autre chose Mr.Red
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MessageSujet: Re: Blasons de nos villes   Blasons de nos villes - Page 2 Icon_minitimeMer 24 Mar 2010 - 22:12

Vienne
Blasons de nos villes - Page 2 Et_vi_16
D'or à l'orme arraché de sinople, chargé d'un calice d'or surmonté d'une sainte hostie d'argent, au liston d'argent brochant sur le fût, chargé de la devise VIENNA CIVITAS SANCTA en lettres capitales de sable.

Valence
Blasons de nos villes - Page 2 Et_va_10
De gueules, à la croix d'argent, chargée d'une tour d'azur, ouverte et ajourée.

Montélimar
Blasons de nos villes - Page 2 Et_mo_10
De gueules au globe ?cousu? d'azur, cerclé et cintré d'argent bordé d'or et sommé d'une croisette du même.

Sont pas encore d'accord à Saint-Antoine

Lyon
Blasons de nos villes - Page 2 Et_ly_10
De gueules au lion d'argent, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or qui sont de France.

J'aime mieux celle là:
De gueules au lion d'argent au chef cousu de France
je ne le trouve pas très beau ce lion ...


Embrun
Blasons de nos villes - Page 2 Et_em_10
D’azur à la croix d’argent

Dié
Blasons de nos villes - Page 2 Et_di_10
De gueules au château d'or ouvert et maçonné de sable, crénelé de cinq pièces en son centre et de quatre sur les murailles de côté, donjonné de trois tours de même, ajourées et maçonnées de sable, celle du milieu plus haute, ajourée doublement et crénelée de cinq pièces aussi.

Trop lourde... je dirais

De gueules au château d'or donjonné de trois tours du même , celle du centre plus élevée, le tout crénelé, maçonné, ouvert et ajouré de sable



Briançon
Blasons de nos villes - Page 2 Et_br_10
D'azur à la porte de ville d'argent crénelée de dix pièces, donjonnée de trois tourelles, le tout maçonné et doublement ajouré de sable, et ouverte sur le champ.


Je dirais...

D’azur à une porte de ville crénelée d’argent donjonnée de trois tourelles du même, le tout maçonné,
ajouré de sable et ouvert du champ


Citation :
D’azur à une porte de ville crénelée d’argent sommée de trois tourelles du même, le tout maçonné et
ajouré de sable et ouvert du champ
Les armoiries de Briançon sont d’abord constituées d’un écu bleu (=azur) sur lequel apparaît une porte
de ville crénelée, surmontée de trois tours également crénelées et grises (=argent). Sous l’Ancien
Régime, l’écu est traversé par des hachures verticales noires qui apparaissent sur un fond rouge
(=gueules). Le bleu de l’écu ne s’est substitué au rouge que dans le courant du 18ème siècle.
Portes et tours sont dites « maçonnées » car elles montrent un décor qui imite l’appareillage de la
pierre. Elles possèdent des ouvertures, matérialisées par la couleur noire (=sable) : on emploie
« ouvert » pour la porte, et « ajouré » pour les fenêtres. Cet ensemble rappelle sans doute la présence
du château fort médiéval qui domine la ville.
Au 11ème siècle, l’empereur germanique Henri III


Il était donc de gueules et pas d'azur Razz


Donc ce n'est pas le bon blason... une autre surprise aussi...


* siffle...

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MacCornell

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MessageSujet: Re: Blasons de nos villes   Blasons de nos villes - Page 2 Icon_minitimeJeu 25 Mar 2010 - 6:40

Merci pour les commentaires.

Super tes sources ! Cela donne alors

Pour Montélimar
Blasons de nos villes - Page 2 Et_mo_15
De gueules au globe d'argent, cerclé, cintré et sommé d'une croisette du même.

Plus de soucis avec le cousu Very Happy


Pour Embrun
Blasons de nos villes - Page 2 Et_em_15
De gueules à la croix d'argent.

Cela fait un peu Savoie


Pour Briançon,
Blasons de nos villes - Page 2 Et_br_15
De gueules vergeté de sable, à une porte de ville crénelée d’argent donjonnée de trois tourelles du même, le tout maçonné, ajouré de sable et ouvert du champ.


Pour Lyon,

C'est le seul lion que j'avais en très/assez bonne résolution. Et puis, je trouvais que le lion que l'on voit actuellement ressemble trop au lion flamand. cat
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Nynaeve87

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MessageSujet: Re: Blasons de nos villes   Blasons de nos villes - Page 2 Icon_minitimeJeu 25 Mar 2010 - 8:13

Pour Bri non... en fait les hachure verticale veulent dire de Gueules je crois...
horizontale c'était azur, dans un sens et l'autre sable.......



Je ferais un scan, mais je crois que j'ai vu ça sur un site...


J'ai tiré les photos d'un armorial que m'a donné Gérault...il date de la fin du 17ème...

C'est énorme quand même les différences...va falloir que je pose la question à Saint-Antoine...
mais à voir les réponse je m'aperçois qu'ils n'en savant souvent pas beaucoup plus que nous.
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geronimo2751

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MessageSujet: Re: Blasons de nos villes   Blasons de nos villes - Page 2 Icon_minitimeJeu 25 Mar 2010 - 21:12

ben nan, nous on est la fine fleur de l'hérauderie, alors forcement ils n'en savent pas plus que nous Razz
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Thomas Zwyrowsky

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MessageSujet: Re: Blasons de nos villes   Blasons de nos villes - Page 2 Icon_minitimeVen 26 Mar 2010 - 0:48

Nynaeve87 a écrit:
Pour Bri non... en fait les hachure verticale veulent dire de Gueules je crois...
horizontale c'était azur, dans un sens et l'autre sable.......

Je confirme, à la base c'est une méthode héraldique pour représenter les couleurs sans en faire usage. Ici les hachures verticales sont la représentation de gueules (donc si on fait les hachures ont ne rajoute pas le rouge)
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MacCornell

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MessageSujet: Re: Blasons de nos villes   Blasons de nos villes - Page 2 Icon_minitimeVen 26 Mar 2010 - 11:31

Oui, je devais pas être bien éveillé quand j'ai lu le texte. Mr.Red En y regardant il est vrai qu'on a ici un mélange de couleurs et de représentation de couleurs.

Voilà donc ce que cela donnerait:


Blasons de nos villes - Page 2 Et_mon12 Blasons de nos villes - Page 2 Et_mon10 Blasons de nos villes - Page 2 Et_mon11
Blasons de nos villes - Page 2 Et_mon13 Blasons de nos villes - Page 2 Et_mon14

Blasons de nos villes - Page 2 Et_emb10 Blasons de nos villes - Page 2 Et_emb11 Blasons de nos villes - Page 2 Et_emb12
Blasons de nos villes - Page 2 Et_emb13 Blasons de nos villes - Page 2 Et_emb14

Blasons de nos villes - Page 2 Et_bri10 Blasons de nos villes - Page 2 Et_bri11 Blasons de nos villes - Page 2 Et_bri12
Blasons de nos villes - Page 2 Et_bri13 Blasons de nos villes - Page 2 Et_bri14

De gueules à une porte de ville crénelée d’argent donjonnée de trois tourelles du même, le tout maçonné, ajouré de sable et ouvert du champ.
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Thomas Zwyrowsky

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MessageSujet: Re: Blasons de nos villes   Blasons de nos villes - Page 2 Icon_minitimeVen 26 Mar 2010 - 11:34

Pfff, ça fait un grand changement quand même passé de gueules à azur...
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MacCornell

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MessageSujet: Re: Blasons de nos villes   Blasons de nos villes - Page 2 Icon_minitimeVen 26 Mar 2010 - 11:44

Oui, c'est un grand changement. L'idéal serait de trouver dans un autre armorial (plus ancien que celui de Nyna) une information qui confirmerait ou infirmerait les changements.
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Nynaeve87

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MessageSujet: Re: Blasons de nos villes   Blasons de nos villes - Page 2 Icon_minitimeVen 26 Mar 2010 - 12:33

En fait nous avons aussi récemment changé celui de Valence...


Je trouve assez cohérent moi tous ces gueules, une unité de le région...

En fait il faudrait pouvoir fouiller les archives sur place et moi je suis bien loin hein...
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MacCornell

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MessageSujet: Re: Blasons de nos villes   Blasons de nos villes - Page 2 Icon_minitimeVen 26 Mar 2010 - 17:33

Oui d'accord avec toi Nyna, mais tout comme toi, je suis bien loin...

Voilà cependant quelques informations supplémentaires sur les villes du Duché, tirées de l'article "Le Dauphiné en 1698" publié en 1867 dans le deuxième tome du Bulletin de la Société départementale d'archéologie et de statistique de la Drôme, p. 349- :


Citation :
II. Villes et bourgs

Il y a dix villes en Dauphiné : (1)

(1) La dénomination de ville, accordée ici à quelques centres de population en regard de celle de bourg donnée à un plus grand nombre d'autres, n'implique pas nécessairement, comme on pourrait le croire, une plus grande importance de ceux-là; quelques bourgs, tels que la Côte-Saint André, le Buis et Saint-Marcellin étant, soit par le fait du chiffre de leur population, soit à cause des administrations dont ils étaient le siège, plus considérables que certaines villes, telles que Die, par exemple. Elle désigne simplement celles des communautés dauphinoises qui, en vertu d'un droit dont nous ne connaissons pas l'origine, mais, en tout cas, fort ancien, se faisaient représenter comme corps aux États généraux de la province, où leurs députés siégeaient immédiatement après ceux de la noblesse, à la tête du tiers-état.

Villes et bourgs jouissaient, du reste, à quelques petites modifications près et d'ailleurs étrangères à ces différentes appellations, des mêmes franchises, privilèges et immunités, et possédaient la même organisation municipale. Chez les uns et les autres, un conseil, recruté parmi les habitants en nombre proportionnel dans les trois ordres, choisissait (presque partout obligatoirement dans la bourgeoisie), les consuls, magistrats responsables, qui réunissaient dans leurs attributions la gérance des affaires de la communauté, la défense de ses intérêts, la conservation de ses immunités, la police de son territoire et le maniement des deniers publics, à quoi un édit royal de mars 1673 ajouta encore'une juridiction semblable à celle de nos tribunaux de commerce.

Dans les villes épiscopales, cette organisation datait de l'époque romaine. Défendu et ensuite protégé par les évêques au milieu des révolutions qui suivirent la chute de l'empire romain, le municipe, avec ses droits, ses privilèges et ses franchises, s'était perpétué dans la commune, où les syndics, les procureurs, les prudhommes, puis les consuls avaient remplacé les flamines, les duumvirs, les décurions et les questeurs. Dans les autres villes et bourgs, soit d'origine gallo-romaine, soit de fondation moderne, le point de départ de la commune est une charte émanée du seigneur du lieu, émancipant et affranchissant ses vassaux, établissant leur droit de former désormais une communauté administrée par leurs délégués, et stipulant enfin les obligations de cette communauté envers lui. Quelquefois, cet acte, comme la plupart de ceux octroyés au XIVe siècle par les Dauphins, n'était que l'effet d'une vente ou cession de droits par le seigneur obéré; mais le plus souvent c'était un compromis entre les parties, à la suite de longs démêlés.

Maintes fois, le pouvoir royal chercha à s'immiscer dans l'administration des villes, saisissant avec empressement l'occasion du plus léger dissentiment et du moindre conflit pour intervenir, malgré les protestations des communes, jalouses et fières à juste titre de leur indépendance. Tels furent les édits d'août 1692 et mars 1697, établissant dans chaque ville et communauté un maire de nomination royale, dont les fonctions primaient celles du corps de ville ; mais en cette circonstance les malheurs du royaume vinrent en aide aux communes dont la liberté était en péril. Épuisé par la guerre, le gouvernement permit à chacune d'elles, trois ans après, de s'exonérer des nouveaux fonctionnaires, moyennant finance. (Recueil des Édits, etc., II, N.° 84; IV, N." 223; V, N.° 335.)

Grenoble, capitale de la province et évêché (1),

(1) De la charte de libertés accordée en 1244 aux habitants de Grenoble par leurs deux co-seigneurs, l'évêque Joffrey et le dauphin Guigues-André, on peut inférer que les institutions municipales, très - anciennes dans cette ville, ainsi que l'attestent diverses inscriptions de l'époque romaine , avaient souffert des révolutions qui suivirent le démembrement de la monarchie karolingienne; cependant, il ressort du texte de cet acte que le but principal de l'évêque et du Dauphin était moins de rétablir et de confirmer les franchises et les libertés de leurs vassaux que d'établir d'une manière précise le chiffre de l'amende qui leur était due par les criminels et les délinquants, suivant la nature du méfait; crimes et délits étant ici tarifés comme dans l'ancienne loi salique : si aliquù infra civilatem vel terminas ejusdem cutellum vel ensem extraxerit, velgladium, vel maciam ferream vel ferratam contra aliquem causa offendendi seu animo injuriandi elevaverit, quinquaginta solidos curies dabit, si verô sanguinem tantùm e/fuderit, ila quod morlem Ixsus non posset ob hoc incurrere vel usum membri amittere, centum solidos dabit curise

Il est d'ailleurs patent que, vraisemblablement par le fait de l'action plus directe et plus constante du Dauphin ou de son représentant, les franchises municipales de la ville de Grenoble étaient bien précaires, comparativement à celles des autres communautés dauphinoises, et cet état de choses se reflète d'une manière très-accentuée dans le mode de l'élection des consuls, qui, suivant un règlement établi eu 1467 par Jean de Ventes, Claude Laitier, juge des appeaux, et Clause Coct, trésorier de la province, délégués à cet effet par le gouverneur du Dauphiné, Jean de Foix, comte de Comminges, devaient être au nombre de quatre, renouvelables chaque année par moitié, et dont un devait être docteur ou licencié, un autre bourgeois ou noble, le troisième marchand honnête, et enfin le quatrième manouvrier (manu operarius). Quelques jours avant l'élection, qui se faisait ordinairement le dimanche après la fêle des Rois, les deux consuls sortants dressaient une liste de huit noms, parmi lesquels le gouverneur faisait un choix qu'il notifiait le lendemain au conseil de ville composé de quarante membres. Ainsi saisi, celui-ci faisait annoncer à son de trompe l'élection qui, après une messe du Saint-Esprit célébrée dans l'église Saint-André, avait lieu au palais, mais sans ordre ni méthode, tout individu qui se présentait ayant droit de vote; de telle façon que les gens éclairés dédaignant d'y prendre part, il en résultait naturellement que les noms favorisés par le scrutin étaient habituellement ceux qu'avait désignés le gouverneur qui, du reste, faisait casser l'élection par le roi, quand, par extraordinaire, elle n'était pas conforme à ses vues.

Les consuls de Grenoble étaient exempts de tailles.

Cette ville porte pour armoiries d'argent à trois roses de gueules posées deux et une. (valbonnais, I, 22. — Revue du Dauphiné, V, 125. — Mémoire pour l'usage qui se pratique à Grenoble pour l'élection consulaire, etc., etc. — Chorier, État polit., III, 636.)

Vienne, archevêché (1),

(1) Vienne, antique et puissante métropole de la Gaule, longtemps siège d'un sénat, jouissait de temps immémorial du droit italique, suivant lequel ses magistrats avaient droit de basse justice, et aucun pouvoir, que je sache, n'avait porté atteinte à ses franchises municipales, quand l'archevêque Jean de Bernin, héritier des droits des empereurs germaniques, dans le but de prévenir tout conflit, publia vers le milieu du XIII" siècle une charte par laquelle furent réglés les attributions et les privilèges des habitants de celle ville. Ceux-ci pouvaient se réunir pour nommer des conseillers et des consuls chargés de l'expédition des affaires de la communauté, s'imposer à leur gré pour les besoins de celle-ci; enfin, ils étaient francs de tout impôt direct ou indirect au profit du seigneur archevêque, qui avait cependant la garde des clefs de la ville.

Anciennement, le nombre des consuls dans cette ville était de huit, élus par les habitants et prêtant serment entre les mains de l'archevêque, sauf refus par celui-ci de le recevoir, auquel cas ils pouvaient exercer leurs fonctions quand même, et nommaient, avec l'approbation des citoyens, un procureur de la ville chargé de la défense de ses libertés et de ses privilèges et recevant pour cet effet quinze florins de gages annuels. Mais, en 1609, un arrêt du conseil du roi, confirmé le 13 février 1612 et le 9 août 1613 par le parlement de Grenoble, réduisit à cinq le nombre des magistrats municipaux de Vienne, dont quatre, appelés consuls et renouvelables chaque année de deux en deux, devaient être choisis par le banneret et les dix-neuf pennoniers formant le conseil de ville ; quant au cinquième, désigné sous le nom de maire, il prenait rang après le premier consul et était élu dans l'Hôtel-Dieu, dont l'administration lui était spécialement confiée, par les consuls et les délégués du clergé. L'élection des premiers se faisait le dernier jour de chaque année, celle du maire le jour de Saint - Thomas. L'arrêt de 1609 déclara les consuls exempts de tailles, mais ils furent privés de cette exemption en 1639. (A. Thierry, Essai sur l'histoire du tiers-état, in-12, II, 89. - Chorier, État polit., III, 6420

Armoiries : d'or, à un arbre arraché de sinople, chargé d'un calice d'or, supportant une hostie d'argent, avec l'écriteau, aussi d'argent, voltigeant sur le tronc de l'arbre et portant ces mots en lettres de sable : VIENNA CIVITAS SANCTA.

Romans (1),

(1) L'établissement du régime municipal ou plutôt d'une indépendance communale quelconque paraît avoir suivi de près, sinon la fondation de cette ville, dont le point de départ extrême est la fondation de l'abbaye de Saint-Barnard vers le milieu de IXe siècle, du moins l'assiette d'un certain développement. Le premier acte qui donne à Romans le titre de ville (villam ecclesie s adjacenlem) est, en effet, de 1096, et dès 1160 nous voyons les Romanais, appelés burgenses, faire, conjointement avec les chanoines de Saint-Barnard, un traité avec le seigneur de Clérieu, qui s'opposait à la clôture de la ville. Cependant, il est douteux que les droits des habitants, de même que ceux des chanoines et de l'archevêque de Vienne, seigneur de Romans comme abbé de Saint-Barnard, aient été définis d'une manière précise avant la transaction intervenue en 1212 entre les parties à la suite d'un soulèvement populaire. Par cet acte, il était établi que toute juridiction et seigneurie appartenaient à l'archevêque et au chapitre, sans la permission de qui les habitants de Romans ne pouvaient faire à l'avenir ni collège, ni assemblée, si ce n'est une société privée de marchands. Les consuls n'eurent désormais aucune autorité, restèrent seulement un conseil de l'église et de la ville, où devaient être débattues les questions d'utilité publique, et des syndics chargés de convoquer les habitants pour l'imposition de la taille, dont devaient être exempts les ecclésiastiques et gens de leur maison.

Cette compression des libertés municipales donna naturellement lieu à bien des réclamations plus ou moins menaçantes de la part des Romanais, qui obtinrent en 1274, par la médiation du pape Grégoire X, une amélioration à leurs statuts, dont les clauses onéreuses furent enfin définitivement abolies en 1342 par une charte du dauphin Humbert II, qui devint en 1244 seigneur parier de Romans, en vertu d'un échange fait avec le pape Clément VI.

En 1366, l'empereur Charles IV, dans le but d'accentuer ses droits sur l'ancien royaume de Bourgogne, accorda aux habitants de Romans l'affranchissement de toute espèce de tribut dans l'empire, plus la faculté de s'assembler librement et d'élire leurs consuls, concessions qui furent confirmées la même année par le roi-dauphin, puis de nouveau en 1368, et cela malgré les protestations du chapitre de Saint-Barnard.

Il serait, du reste, beaucoup trop long de relater ici toutes les phases de l'existence municipale de cette ville, dont l'histoire, due à la plume de M. P.-E. Giraud, est un véritable monument.

Les armes de la ville de Romans sont : d'azur, à une parle de ville ouverte en forme de tour carrée d'argent, pavillonnée et girouettée de même, flanquée de deux guérites aussi pavillonnées et giroueltées, également d'argent; le tout maçonné de sable; à un grand R d'or couronné du même et posé dans l'ouverture de la porte.

Valence, évêché (1)

(1) A Valence, l'évêque, après avoir été durant plusieurs siècles le défenseur des libertés de la commune, en fut le contempteur, et l'histoire de cette ville pendant le moyen âge révèle à chaque ligne la résistance des citoyens aux empiétements du prélat. Tantôt celui-ci faisait appel à la puissance impériale, comme en 1178, époque à laquelle il obtint de Frédéric I" l'abolition de tous les privilèges des Valentinois : Cives communilatis nullum faciant juramenlum, nee aliquam jurent societalem, sine arbitrio et consensu episcopi, dit la bulle; tantôt il avait recours aux armes, comme en 1228, pour détruire la maison de la confrérie, siège des assemblées populaires. Cependant, à la suite de ce dernier conflit, une charte accorda aux habitants de Valence la liberté de leurs personnes et de leurs biens et l'affranchissement de tout impôt direct ou indirect. En 1425 seulement, une transaction faite avec l'évêque Jean de Poitiers, leur concéda le droit de s'assembler, au nombre de quatre-vingts, pour la délibération des affaires publiques sans la permission de l'évêque, en l'absence de qui ils avaient la garde des clefs de la ville. De plus, l'évêque et ses officiers étaient tenus, l'un à son avènement, les autres à leur entrée en fonctions, de prêter serment de respecter et garder les libertés, franchises, usages et coutumes de là cité, bourgs et faubourgs.

Valence a pour armoiries : De gueules, à la croix d'argent chargée en cœur d'une tour d'azur. (CouiMBi, De reb. Episc. Valent., 38. — A. Thierry, ibid., 90. -• Chorier, Hist. gén., H, 107. — J. Ollfvier, Essais historiques sur la ville de Valence; Valence, Borel, 1831, in-8°).

Montélimar (2)

(2) Montélimar, qui occupe, dit-on, l'emplacement d'Acusium, station de la voie domitienne dont on prétend retrouver le nom dans celui à.'Aigu que porte un quartier de son territoire, emprunte sa dénomination actuelle (Montilium Adhemari) à l'ancienne et puissante famille Adhémar, qui l'a probablement fondé, en tout cas longtemps possédé, et à qui cette Tille est redevable de son émancipation. Le 21 mars 1094, une première charte d'affranchissement fut accordée aux habitants de Montélimar par quatre frères Adhémar, Lambert, Giraud, Giraudet et Giraudonet, à la veille de partir pour la première croisade avec leur oncle, l'évêque du Puy, légat du saint-siège; mais cet acte n'eut vraisemblablement pas d'effet, car la charte de 1198, considérée comme le point de départ de la commune de Montélimar, sans rappeler le souvenir d'aucune liberté antérieure, stipule expressément que désormais les hommes de Montélimar ne pourront être soumis à aucun impôt direct ou indirect de la part du seigneur, et que dans le cas où celui-ci tenterait de violer ce droit acquis, ses vassaux seraient exonérés vis-â-vis de lui de tout lien de fidélité et d'hommage. Les divers traités et compromis survenus dans la suite ne furent que le commentaire plus ou moins développé de cet acte, dont la ville de Montélimar conserve une transcription sur pierre, qui paraît être contemporaine de l'acte lui-même.

Armoiries de la commune de Montélimar : D'azur à un monde cintré et croisé d'or. (PiTHON-CufcT, Hist. de la Noblesse du Gomtat-Venaissin, IV, 20-23, etc.)

Crest (1),

(1) La charte par laquelle Aimar de Poitiers, comte de Valentinois, concède quelques libertés aux gens de Grest, est en date de mars 1188; mais il est évident que ceux-ci jouissaient déjà d'une organisation communale où association quelconque de citoyens, sans laquelle ils n'auraient pas pu acquérir, comme ils l'avaient fait environ douze années auparavant ( 1164-1167), le ban ou impôt sur le vin, moyennant soixante sous valentinois, de l'évêque de Die, cessionnaire d'une partie des droits d'Arnaud de Crest depuis 1146, et d'un Guillaume de Crest qui n'est autre que Guillaume de Poitiers, père du susdit Aymar. Plus tard, l'état précaire des comtes de Valentinois permit aux habitants de Crest d'élargir, moyennant finance, le cercle de leurs immunités, mais ce n'est guère qu'après l'union à la France des deux comtés, qu'il leur fut accordé une définition exacte et précise et une interprétation détaillée de leurs libertés et de leurs franchises municipales.

Dans cette ville, la commune fut administrée tout d'abord par les notables du lieu, à la tête desquels on trouve, dès les premières années du XVe siècle, deux consuls élus pour deux ans et exerçant chacun une année. En mai 1610, un arrêt du conseil du roi, dans le but de mettre fin aux contestations qui depuis longtemps existaient entre les protestants et les catholiques de cette ville, fixa définitivement le nombre des membres du conseil général de la commune à quatre-vingt-cinq, dont treize de la religion réformée. Ce conseil, à qui appartenait le choix des consuls, élisait en outre les membres d'un second conseil appelé conseil ordinaire ou particulier, plus spécialement chargé de la gestion des affaires publiques.

Le 15 janvier 1661, un second arrêt réduisit à quarante-huit les membres du conseil général, dont sept réformés, deux nobles et trois chanoines, et ceux du conseil particulier à douze, dont neuf catholiques et trois réformés.

L'Armorial de 1696 ne renferme pas d'armoiries de la ville de Crest ; cependant un sceau de l'administration municipale au XVIIIe siècle porte un écusson d'azur à la tour carrée d'or fenestrée, portillée et maçonnée de sable, au chef d'argent chargé de trois crêtes de coq de gueules. (Cartul. de l'évêché de Die. — Archives communales.)

Die, évêché (1),

(1) Die (Dea Vocontiorum), ancienne capitale du premier district des Voconces, passée sous la domination de ses évêqnes à la chute du royaume burgondien, est une des villes dauphinoises dont les libertés municipales étaient les plus étendues. De temps immémorial, ses magistrats possédaient la justice, moyenne et basse, c'est-à-dire la juridiction des cas de non paiement des contributions communales et des crimes et délits autres que l'homicide et l'adultère commis par un citoyen de garde, ainsi que nous l'apprend une charte de confirmation et d'aveu octroyée aux habitants de cette ville en 1218 par l'évêque Didier.

En 1246, une rédaction générale des privilèges et coutumes de la cité, faite d'un commun accord entre les habitants et le comte-évêque, reconnut aux consuls le droit de police et de voirie urbaines, celui de garde des fortifications de la ville, plus un pouvoir législatif, non-seulement en fait d'administration municipale, mais encore relativement à la procédure et à l'organisation du tribunal épiscopal.

Les armoiries de cette ville sont : De gueules, au château d'or maçonné de sable.

Gap, évêché(2),

(2) 11 est peu de villes dont l'existence municipale ait été plus agitée que celle de Gap, dont le domaine supérieur, avec tous les droits régaliens, appartenait à l'évêque, en vertu d'un diplôme impérial de l'an 1180.

Non contents des libertés dont ils jouissaient depuis les temps du municipe, les Gapencais s'étant insurgés vers le commencement du XIII" siècle, exclurent le prélat de toute participation aux affaires communales, et conférèrent à des consuls de leur choix la plénitude des pouvoirs politiques ; toutes choses sanctionnées en 1240 par l'empereur Frédéric II, alors en guerre avec le saint-siège, mais qui furent néanmoins de courte durée. Dix-neuf ans après, en effet, l'évêque Eudes ayant fait avec le dauphin Guigues VII une alliance, les habitants révoltés, pour en atténuer les effets probables, reconnurent, dans une assemblée tenue en 1271, que le consulat de leur ville était un fief du domaine delphinal, ce qui engagea le prélat à chercher appui auprès du comte de Provence, à qui il soumit sa temporalité.

Celui-ci fit assiéger la ville de Gap par ses troupes en 1282 et y rétablit le prélat; mais, alors ce dernier, oubliant les clauses de son traité, dénia au comte toute ingérence dans la seigneurie de sa ville épiscopale.

S'ensuivirent de longs démêlés, jusqu'à ce qu'enfin un traité, conclu le 5 septembre 1300, accorda les parties. Le Dauphin, détenteur des droits que lui avaient donnés les habitants, eut Ions les droits de péage et de marché, autrefois perçus par les consuls, entière juridiction dans la banlieue de Gap et moitié de la juridiction civile dans les murs; à l'évêque échut la haute justice criminelle, le droit d'ordonnance et de proclamation, la garde des clefs et la police de la ville. Tout conflit n'était pas cependant terminé : plus entreprenant peut-être, en tout cas mieux posé pour faire valoir ses prétentions, l'évêque de Gap s'attribua bientôt une plus large part dans les affaires de la commune. De nouveaux troubles s'ensuivirent, et le prélat fut contraint par jugement d'arbitres de constater par écrit les privilèges et immunités des citoyens de Gap, astreints de leur côté à faire confirmer leurs élections par le juge de l'évêque, dont les officiers eurent le commandement de la milice urbaine. — M. Théodore Gauthier, ancien conservateur de la bibliothèque de Gap, a publié une très-bonne histoire de cette ville, qui porte pour armoiries : D'azur, à la tour d'or, portillée, crénelée et maçonnée de sable. (valb., I, 53, 152. — A. Thierry, I, 104.)

Briançon, archevêché (1),

(1) Briançon (Brigantium ou Briganlio), qui doit son nom aux Drigantii, ancienne peuplade alpestre, qui, suivant Strabon, poussait la cruauté envers ses ennemis jusqu'à tuer les femmes enceintes que leurs devins désignaient comme portant des mâles, avait un municipe à l'époque romaine, et une inscription antique rappelle le souvenir de Quirinus Gratus, qui en était alors questeur et duumvir. Au moyen âge, comme ville elle ne jouissait pas, que je sache, d'autres libertés que celles appartenant aux autres communautés briançonnaises, indépendantes de tout autre seigneur que du Dauphin, à qui elles devaient seulement un tribut convenu.

Armoiries de Briançon : D'azur à trois pals échiquetés d'or et de gueules de trois traits.

Embrun, archevêché (2).

(2) Embrun (Ebrodunum), ancienne capitale des Caturiges, devenue sous les Romains la métropole des Alpes maritimes, reçut de Néron le droit de latinité et de Galba celui d'alliance. Cette ville passa ensuite sous la domination de ses évoques, à qui l'empereur Conrad II octroya en 1147 tous les droits régaliens (justicias, monetam, pedaticum, utraque strata telluris et fluminis Durantia), non-seulement dans leur ville archiépiscopale, mais encore dans tout leur diocèse. Cette puissance fut nuisible aux libertés des habitants qui, après de longues luttes, virent abolir le consulat en 1257 et enlever toute juridiction au conseil de la commune, dès lors soumis au contrôle incessant des officiers seigneuriaux. Chaque chef de famille dut, en outre, s'engager à aller toutes les années entendre dans l'église cathédrale une messe à laquelle il offrirait un denier, comme signe de vassalité envers le prince-archevêque.

Les armoiries d'Embrun sont : De gueules, à la croix d'argent, — (Chorier, Hist. gén., I", 197; II, 114 etsuiv., 137-38. - A. Thierry, ibid., I, 106.)


Les principaux bourgs de cette province sont :

La Côte-Saint-André (1),
Saint-Symphorien-d'Ozon (2),
Bourgoin (3),
Crémieu(l),
La Tour-du-Pin (2),
Saint-Georges-d'Espéranche (1),
La Mure, ancienne résidence delphinale (2),
Voiron(3),
Mens (4),
Moirans (5),
Saint-Marcellin, chef-lieu d'un bailliage considérable (1),
Moras (2),
Tain (3),
Chabeuil (4),
Étoile (1),
Loriol (2),
Pierrelatte (1),
Saint-Paul-trois-Châteaux, évêché (2),
Nyons(3),
Le Buis (4),
Saillans (1),
Veynes (2),
Chorges (3).

http://books.google.com/books?id=TDYPAQAAIAAJ&dq=armorial%20dauphin%C3%A9%20brian%C3%A7on&hl=fr&pg=RA1-PA357#v=onepage&q=&f=false
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MessageSujet: Re: Blasons de nos villes   Blasons de nos villes - Page 2 Icon_minitimeVen 26 Mar 2010 - 17:41

En résumé, pour ce qui nous intéresse ici, cela donne:

Grenoble, capitale de la province et évêché,
d'argent à trois roses de gueules posées deux et une.

Vienne, archevêché,
d'or, à un arbre arraché de sinople, chargé d'un calice d'or, supportant une hostie d'argent, avec l'écriteau, aussi d'argent, voltigeant sur le tronc de l'arbre et portant ces mots en lettres de sable : VIENNA CIVITAS SANCTA. cheers

Romans,
d'azur, à une parle de ville ouverte en forme de tour carrée d'argent, pavillonnée et girouettée de même, flanquée de deux guérites aussi pavillonnées et giroueltées, également d'argent; le tout maçonné de sable; à un grand R d'or couronné du même et posé dans l'ouverture de la porte.

Valence, évêché
De gueules, à la croix d'argent chargée en cœur d'une tour d'azur. cheers

Montélimar
Armoiries de la commune de Montélimar : D'azur à un monde cintré et croisé d'or. Confused

Crest,
d'azur à la tour carrée d'or fenestrée, portillée et maçonnée de sable, au chef d'argent chargé de trois crêtes de coq de gueules.

Die, évêché
De gueules, au château d'or maçonné de sable. cheers

Gap, évêché,
D'azur, à la tour d'or, portillée, crénelée et maçonnée de sable.

Briançon, archevêché,
D'azur à trois pals échiquetés d'or et de gueules de trois traits. Confused Question

Embrun, archevêché
De gueules, à la croix d'argent cheers

http://books.google.com/books?id=TDYPAQAAIAAJ&dq=armorial%20dauphin%C3%A9%20brian%C3%A7on&hl=fr&pg=RA1-PA357#v=onepage&q=&f=false


Dernière édition par MacCornell le Sam 27 Mar 2010 - 6:12, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Blasons de nos villes   Blasons de nos villes - Page 2 Icon_minitimeVen 26 Mar 2010 - 18:02

Pour Briançon, il semblerait que plusieurs blasons se soient succédés:

Citation :
Briançon — d'azur, à la croix d'or. Au XIII° siècle, Briançon portait d'azur à la herse en pal d'or. Dauphiné.

Briançon (V.) — d'azur, à la croix d'or. Dauphiné.

Embrun (V.) — de gueules, à la croix d'argent. Dauphiné.

Montelimart (V.) — d'azur, à un monde cintré et croisé d'or. Dauphiné.

Valence (V.) — de gueules, à la croix d'argent chargée en cœur d'une tour d'azur.

Vienne (V.) — d'or, à un arbre arraché de sinople, fruité d'argent, chargé d'un saint ciboire d'or; le tronc lié d'une légende d'argent en fasce, portant les mots : Vienna civitas sancta, de sable.


http://books.google.com/books?id=3FE-AAAAYAAJ&pg=RA1-PA209&dq=armorial+dauphin%C3%A9+brian%C3%A7on&hl=fr&ei=Bs6sS4SYNMXK-QbvmeGXDQ&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=2&ved=0CDsQ6AEwAQ#v=onepage&q=&f=false

Dictionnaire héraldique de 1852
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MessageSujet: Re: Blasons de nos villes   Blasons de nos villes - Page 2 Icon_minitimeVen 26 Mar 2010 - 21:57

Sont encore différents sauf pour Embrun

J'ai demandé au Roy d'arme de passer ici afin d'avoir son avis.
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MessageSujet: Re: Blasons de nos villes   Blasons de nos villes - Page 2 Icon_minitimeVen 26 Mar 2010 - 22:30

Je suis d'accord également au niveau de l'unité du Duché. Maintenant il faut essayer de rester cohérent avec ce courant de pensée, si on modifie l'un, on modifie tout au final.
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MessageSujet: Re: Blasons de nos villes   Blasons de nos villes - Page 2 Icon_minitimeMar 30 Mar 2010 - 14:35

Eh bien vivement qu'il passe, ainsi on pourra lancer la révision des uniformes de la prévôté et refaire les blasons de l'ost qui en auraient besoin.
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MessageSujet: Re: Blasons de nos villes   Blasons de nos villes - Page 2 Icon_minitime

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