Inciter les villes à encourager l'élevage, en réduisant l'impôt

Nous avons donc :
- 4 pour
- 4 contre
- 2 sans avis
- 1 non votant.

==> Pas de majorité.

Le Gouverneur tranche.

Il manque un vote en plus, celui de Soleil il me semble.

Oui, mais le temps de vote est clos, donc à mon sens c'est au Gouvereur de trancher. Mais bon, ce n'est pas un décret ou un changement au coutumier alors pourquoi pas...

bé, je suis de l'avis de hard moi, au gouverneur de trancher

Bon... Bien... Le délai étant en effet terminé, je vais trancher, même si j'ai horreur de ça, je vous avoue.

Citation :

Devons-nous offrir une réduction d'impôt par élevage de cochon et/ou mouton ?
Oui, de 2 écus : 20% [ 2 ]
Oui, de 3 écus : 20% [ 2 ]
Absolument pas, non! : 40% [ 4 ]
Pas d'avis sur la question : 20% [ 2 ]

Partant du principe que les 2 ayant voté pour une réduction de 3 écus sont forcément d'accord pour une réduction de 2 écus, partant également du principe que les "sans avis" ne sont pas "opposés" à la réduction (sinon ils auraient voté non je présume), j'en arrive à 6 qui n'étaient pas contre une réduction de 2 écus.

Je tranche donc dans ce sens-là.

Il ne reste plus qu'à mettre tout cela en forme et à l'annoncer (je le fais demain, ce soir je suis un peu débordée )

Citation :

A tous les sujets du Lyonnais-Dauphiné,
A tous ceux qui liront ou ouïront,

Qu'il soit su que le Conseil Ducal a décidé d'accorder une réduction symbolique des impôts aux villes à hauteur de 2 écus pour chaque élevage de cochons ou de moutons qu'elles comptent en leur sein.

Ce geste a pour but d'encourager et de récompenser les maires et les habitants ayant contribué à aider le Conseil Ducal et plus particulièrement l'économie du Lyonnais-Dauphiné, en faisant le choix d'investir dans un élevage porcin ou ovin. Le bétail est une importante source de revenus pour le Duché, mais aussi pour les villes et les habitants:

• Pour faire naître le bétail, le Bailli a besoin de blé ou de maïs qu'il rachète aux mairies, elles-mêmes s'en procurant auprès de la population. Ainsi, si la vente de bêtes supplémentaires bénéficierait aux finances ducales, elle permettrait également d'écouler d'avantage de ces céréales qui s'entassent sur nos marchés.
  
• Les cochons consomment du maïs pour grossir et fournir de bonnes carcasses que le boucher transformera en viande que le Duché utilise pour ses repas, mais aussi pour payer ses soldats qui défendent le Lyonnais-Dauphiné ainsi que dans le commerce.
  
• Les moutons donnent de la laine et du cuir permettant de fabriquer vêtements et bouclier, mais aussi des voiles pour les navires, sans compter que ces denrées sont souvent recherchées dans le commerce entre provinces
  
• Les élevages de cochons et de moutons nécessitent des couteaux que l'on achète auprès des forgerons à partir du fer de nos mines et du bois de Briançon et Embrun.

Les élevages nécessitent ainsi de nombreux métiers et de nombreuses ressources permettant à l'économie de tourner, que cela soit celle des villes ou celle du Duché. Il ne s'agit pas non plus d'inciter à la reconversion massive des champs en élevages, deux ou trois élevages de cochons et de moutons supplémentaires par ville permettraient d'augmenter quelque peu nos bénéfices sans déséquilibrer les autres filières et la fréquentation des mines.

Nous laissons le libre choix aux maires de reporter ou non cette baisse lors du prélèvement de l'impôt auprès des habitants. Le plus important est que tous prennent conscience, maires comme simples habitants, de l'importance et des bénéfices que peuvent apporter les élevages de cochons et de moutons au Duché dans son ensemble.

Fait au castel de Pierre-Scize le dix-huitième jour du mois de septembre mil quatre cent cinquante et huit.

Merci beaucoup, Messire Kernos.

Je laisse jusque demain soir à tout le monde pour ajouter ou modifier quelque chose.

Citation :

A tous les sujets du Lyonnais-Dauphiné,
A tous ceux qui liront ou ouïront,

Qu'il soit su que le Conseil Ducal a décidé d'accorder une réduction symbolique des impôts aux villes à hauteur de 2 écus pour chaque élevage de cochons ou de moutons qu'elles comptent en leur sein.

• Briançon: 14 élevages (moutons+cochons) soit 28 écus
  
• Die: 25 élevages (moutons+cochons) soit 50 écus
  
• Embrun: 11 élevages (moutons+cochons) soit 22 écus
  
• Lyon: 14 élevages (moutons+cochons) soit 28 écus
  
• Montélimar: 18 élevages (moutons+cochons) soit 36 écus
  
• Valence: 24 élevages (moutons+cochons) soit 48 écus
  
• Vienne: 25 élevages (moutons+cochons) soit 50 écus

Ce geste a pour but d'encourager et de récompenser les maires et les habitants ayant contribué à aider le Conseil Ducal et plus particulièrement l'économie du Lyonnais-Dauphiné, en faisant le choix d'investir dans un élevage porcin ou ovin. Le bétail est une importante source de revenus pour le Duché, mais aussi pour les villes et les habitants:

• Pour faire naître le bétail, le Bailli a besoin de blé ou de maïs qu'il rachète aux mairies, elles-mêmes s'en procurant auprès de la population. Ainsi, si la vente de bêtes supplémentaires bénéficierait aux finances ducales, elle permettrait également d'écouler d'avantage de ces céréales qui s'entassent sur nos marchés.
  
• Les cochons consomment du maïs pour grossir et fournir de bonnes carcasses que le boucher transformera en viande que le Duché utilise pour ses repas, mais aussi pour payer ses soldats qui défendent le Lyonnais-Dauphiné ainsi que dans le commerce.
  
• Les moutons donnent de la laine et du cuir permettant de fabriquer vêtements et bouclier, mais aussi des voiles pour les navires, sans compter que ces denrées sont souvent recherchées dans le commerce entre provinces
  
• Les élevages de cochons et de moutons nécessitent des couteaux que l'on achète auprès des forgerons à partir du fer de nos mines et du bois de Briançon et Embrun.

Les élevages nécessitent ainsi de nombreux métiers et de nombreuses ressources permettant à l'économie de tourner, que cela soit celle des villes ou celle du Duché. Il ne s'agit pas non plus d'inciter à la reconversion massive des champs en élevages, deux ou trois élevages de cochons et de moutons supplémentaires par ville permettraient d'augmenter quelque peu nos bénéfices sans déséquilibrer les autres filières et la fréquentation des mines.

Nous laissons le libre choix aux maires de reporter ou non cette baisse lors du prélèvement de l'impôt auprès des habitants. Le plus important est que tous prennent conscience, maires comme simples habitants, de l'importance et des bénéfices que peuvent apporter les élevages de cochons et de moutons au Duché dans son ensemble.

Par ailleurs, une erreur s'est glissée dans l'annonce de la levée d'impôt. En effet, l'annonce est datée du treizième jour du mois de mai de l'an de grâce quatorze cent cinquante et huit or, vous l'aurez compris voir rectifié de vous-même, il s'agit bien du treizième jour de septembre de cette année. Nous vous présentons des excuses pour cette petite étourderie.

Fait au castel de Pierre-Scize le dix-neuvième jour du mois de septembre mil quatre cent cinquante et huit.

Merci pour le rajout (demandé par moi, au passage).

Le Porte Parole peut annoncer en gargote, si il veut bien.
Pour ma part je vais prévenir les maires.

fait.