Info relative à la Guerre

Citation :

A tous ceux qui la présente déclaration liront ou se feront lire,
Salut.

Qu'il soit su que, dès ce jour, à compter de cette heure, les provinces pourront trouver les annonces publiées par la Régence du Duché du Berry, ainsi que les annonces liées à la diplomatie berrichonne, à la Basilique Saint-André, siège de la diplomatie bourguignonne.

Qu'il soit su que la Bourgogne est, plus que jamais, désireuse d'aider le Berry à se reconstruire ; cette reconstruction passe aussi par la diplomatie. La Bourgogne, par l’intermédiaire de son Chambellan, assure donc Sa Grasce Ellesya de la Louveterie, Chambellan du Berry, de son entier soutien, et de son aide totale. La Bourgogne ne peut être que le relais de l'action entreprise par cette dernière, dans son désir de relancer la diplomatie berrichonne.


Le dixième jour d'octobre de l'an MCDLIX ;
A la Basilique Saint-André.

Arutha de Gisors-Breuil,
Chambellan de Bourgogne.

Citation :

Aux Chanceliers et Ambassadeurs étrangers,
A tous ceux présents et à venir,
Sincères salutations.


Nous dénonçons l’acte infâme d’Ellesya de la Louveterie Arduilet, Duchesse d'Amboise et de Luynes, Vicomtesse de Montbazon, Baronne de Vouvray qui prétend avoir été nommer Chambellan du Berry. Je tiens à rappeler que seul Alleaume de Niraco est reconnu Duc de Berry. Que lui seul a été élu et reconnu par le peuple berrichon. Et que lui seul est apte a nommer le dirigeant de la diplomatie Berrichonne.

C’est pourquoi nous déclarons l’appel à la révocation des lettres de marque des ambassadeurs et diplomates berrichons nulle et non avenue.

Nous appelons les Chanceliers et Ambassadeurs étrangers à la plus grandes prudences et de ne pas écouter les annonces d'usurpateurs qui ont renversés un conseil élue, qui étouffe la volonté de tout un peuple et se revendique d’un pseudo conseil de Régence soit disant légitime et reconnue. Ne vous trompez pas, ce sont eux qui ont choisi le camp de l'illégalité.

La parole du Berry ne peut se trouver en gargote berrichonne ainsi qu’aux palais diplomatiques de Touraine et de Bourgogne.

Le Berry demeure indépendant et ne sera jamais soumis aux Tourangeaux et aux Bourguignons. La diplomatie Berrichonne siège à l'Hôtel des Echevins.

Fait à Bourges, en ce treizième jour d'octobre de l'an 1459.

Zephir,
Chancelier du Berry.

Au sujet du diplomate provençal venu à Mercurol, il nous explique qu'ils ont fait une confusion entre "Provinces du Royaume de France" et "Domaine Royal", expliquant qu'ils ne voulaient pas rompre les relations avec nous...

Désolée... Je sors... Y a pire que moi comme diplomate... Je ne croyais pas ça possible...

Continue son petit tour en se marrant...

c'est exactement ce que j'ai fait

Citation :

Angers, le 13 novembre 1459

Prenant acte de l'hostilité injustifiée et répétée envers son territoire et ses habitants,
Constatant que la rupture du serment vassalique ne fait que mettre un terme à l'hypocrisie diplomatique qui prévalait jusqu'alors,
Saluant les pas effectués en cette direction par Kirke de Penthièvre, Vendettal Charnée-Chandos de Penthièvre et nombre de leurs prédécesseurs,

L'Anjou proclame haut et fort son indépendance vis-à-vis du royaume de France.

Ne sont en conséquence plus reconnus comme légitimes sur le sol angevin les institutions françaises et leurs représentants.
N'est plus reconnue la couronne de France qu'en tant qu'État étranger au même titre que l'Artois, la Bretagne et le Marquisat des Alpes Occidentales.
Sont reconduits le traité fondateur de l'Alliance du Ponant, le traité d'entente et de collaboration avec le Berry ainsi que le traité d'Angers relatif à la Hérauderie.

Que chacun se fasse le porte-parole de la liberté proclamée !
Qu'aucune frontière ne vienne faire obstacle à la bonne nouvelle !
Que tous enfin retroussent leurs manches, car le plus beau reste à bâtir...

Ni Français, ni Bretons, Angevins nous sommes, Angevins nous resterons !

Pour le peuple,
Sous l'égide de son Duc bienveillant, Brennus de Reikrigen,
Le Conseil Ducal d'Anjou réuni en assemblée : Clélia, Globs, Leandre, Le Fou, Linon, Marquise, Regort, Salebete et Shiwan.

et de fait un article aap qui ne nous apprend pas grand chose en plus

Citation :

Angers (AAP) - Après l'Artois, c'est en date du 13 novembre 1459 que l'actuel duc d'Anjou, non reconnu par la Couronne, a déclaré l'indépendance angevine vis-à-vis du royaume de France.

Les élections ducales avaient auparavant l'habitude de bercer paisiblement la petite province d'Anjou, à peine perturbée par la guerre faisant rage chez ses voisins et la mobilisation de nombre de ses figures emblématiques aux côtés de l'alliance du Ponant. Il y a un mois pourtant, la Confédération Indépendantiste Angevine a fait surface et a donné le ton du mandat qui allait suivre.

Elle a ainsi rassemblé 49% des voix face à deux autres listes concurrentes, lesquelles se sont immédiatement alliées pour reconnaître un duc issu de leurs rangs ; au terme de plusieurs jours d'éclats de voix et d'intenses négociations, les deux nouveaux hommes forts d'Anjou, à savoir le dénommé "le Fou" pour la C.I.A. et le nouveau duc élu Brennus de Reikrigen, se sont accordés sur un programme commun. Suite à quoi, dès le matin du 13 novembre, la déclaration d'indépendance angevine votée par le conseil a été officiellement publiée et envoyée à la plupart des chancelleries européennes.

Opportunisme lié au conflit en cours, ou aboutissement durable d'un éternel désir d'indépendance ? Il faut savoir que le petit duché n'en est pas à son coup d'essai, ayant déjà tenté par le passé des déclarations similaires au prix de graves crises et de guerres sanglantes. La fameuse "Indomptable fille de France" renie donc une fois de plus sa mère à l'occasion de son retour sur la scène politique. A l'heure actuelle, aucune réaction concernant cette déclaration n'est à signaler.


K, pour l'AAP

Citation :

Tours (AAP) - Malgré l'annonce de la trêve il y a quelques semaines entre les forces loyalistes et les provinces du Ponant, les combats ont repris, ce jeudi, sur tous les fronts.

Le phénomène est inexplicable. Alors que les armées des deux camps avaient jusqu'ici respecté l'arrêt des combats, des escarmouches ont éclaté simultanément un peu partout dans le Royaume. Lassitude générale de la paix, intervention du Très-Haut ? L'AAP enquête. Les différents États Majors semblent débordés et n'ont jusque là pas réagi officiellement. Alors que les bellicistes trinquent joyeusement, les défenseurs de la paix vocifèrent contre cette folie. Le fait est pourtant qu'à Paris, à Rennes, à Tours, à Poitiers, les combats font à nouveau rage.

« Mais comment se fait-ce ? » , s'interroge un officier dépassé, « Nous avions confisqué les armes pour éviter les débordements malheureux ! ». Mesure préventive manifestement insuffisante, l'inventivité des belligérants ayant été sous-estimée : ils utilisent à présent une arme jusqu'ici inconnue sur les champs de bataille, la boule de neige. « Ils ne reculent donc devant rien » , accusent, chacun de leur côté, la Reyne et le Grand-duc.

Si des observateurs inconscients peuvent ne voir dans tout cela qu'un jeu bon enfant, il n'en est rien : des petits malins glissent des cailloux dans leurs boules de neige, les rendant ainsi non moins dangereuses mais beaucoup plus vicieuses que des lames.

Comment réagira l'Église ? Frappera-t-elle d'interdit, comme elle avait menacé de le faire, le camp fautif ? Auquel cas elle n'est pas sortie de ses peines, car à l'heure actuelle nul ne sait répondre à cette question simple : qui a commencé ?

Bartholomé, pour l'AAP

Pour info, vu chez les feudataires...

Oui, il faut que la Provence choisisse son camps là, non ? ...

Du rififi entre la touraine et l'EA

Citation :

13-01-2012 Des vagues en Touraine

Tours (AAP) - Le 10 janvier 1460, un conflit a éclaté entre l'actuel duc de Touraine, Llyr et le Cardinal-Archêque de Tours, Clodeweck.

Tout a commencé par une lettre du duc de Touraine actant la dissolution du Concordat signé entre le duché et l'Église Aristotélicienne. Le motif avancé est le refus par certains prélats de lever l'immunité de l'ancienne mairesse de Tours, Camille d'Anclair, accusée d'avoir ouvert la porte aux forces du Ponant qui assiégeaient la capitale tourangelle. Les prélats n'ont en effet pas jugé suffisant le compte-rendu d’enquête de la Grande prévôté de France, et ont estimé que les conditions de mise en procès ne permettraient pas un procès juste et équitable. Soeur Camille aurait demandé elle-même cette levée d'immunité deux jours avant la dissolution du Concordat.

Dans sa réponse, le Cardinal-Archevêque de Tours défend Camille d'Anclair et accuse l'actuel duc de Touraine Llyr d'avoir« déclenché une guerre qui a ruiné de nombreux duchés et comtés », d'être« responsable de la famine qui a sévi » et d'être «responsable de l'attaque de Tours et de la perte de la capitale ». Clodeweck Montfort-Toxandrie fait également savoir que l'Église ne prenait pas d'ordre d'un « homme de paille à la solde d'un brigand de grand chemin, qui viole les femmes et prêche la tolérance ». En effet, le duc Llyr est servi par la compagnie franche du Coeur Navré, aux ordres du brigand réformé Falco.

Cette dernière accusation a rapidement fait le tour des provinces environnantes. En effet, une des listes présentées aux élections ducales champenoises, OEGA, n'a pas hésité à proposer une « prise de distance avec la Touraine » en accusant son capitaine d'être un brigand et un hérétique. Ledit capitaine Spm étant un fidèle aristotélicien, on peut supposer que les colistiers OEGA l'ont confondu avec Falco de Cartel.

M., pour l'AAP

Clodeweck a demandé une audience à la Reyne pour parler du soucis avec Llyr.

C'est juste clodeweck qui veut se faire un Duc de Touraine. Ils mettent une immunité juridique sur un maire... Cela sent l'attaque politique à plein nez et l'objectif n'est pas le duc. Il sait très bien le clodclod que neb ne peut lâcher l'un des derniers fidèles lieutenants de la royauté. Si je voulais favoriser le Ponant, je ne ferais pas mieux. Soit c'est neb soit c'est llyr qui sera jugé comme antiaristotélicien. Enfin, tout dépend comment les autres prélats vont se positionner. S'il va jusqu'où bout, il pourra récolter un beau fruit.

Felix_auguste a écrit:

Par la présente, nous, Félix-Auguste de Chéroy, comte du Rouergue, et son conseil,
À tout ceux qui liront, verront, ou ouïront,

Adissiatz.

Par la présente, nous réa-affirmons notre soutien à la couronne, dans le conflit qui l'oppose au ponant.
Le Rouergue ne rejoindra pas cette organisation, et continuera d'effectuer son rôle de vassal, et ses obligations envers son suzerain.
Dès lors, nous ne manquerons pas à notre serment, et notre province restera la plus loyale possible.

Certaines rumeurs discutent quant à une possible alliance. Tant que ce conflit perdurera, rien de cela n'existera. Cela ne nous empêche
cependant point d'avoir des dicussions.

Fait le 11 janvier 1460 en notre Castel de Rodez,

Félix-Auguste de Chéroy, comte du Rouergue.

Les autorités guyennoises trouvent la position branlante du Comte rouerguat très alarmante.