BRI/E53/Trahison - Abraxasbellum (prise de ville) [Relaxe - restitution des biens de la mairie]

Les faits :

Citation :

Dans la nuit du 26 au 27 Décembre de l'année MCDLX, Le sieur Abraxasbellum et ses sbires ont pris et pillé la ville de Briançon. Grasce aux nombreux témoignages des miliciens ainsi que celui du chef maréchal le Sergent Ninoua, Dame de Sablons, nous avons pu identifier le responsable de cette attaque, à savoir le sieur Abraxasbellum.

Signalement :


Preuves :

Citation :

27/12/1460 Révolte à Briançon ! Abraxasbellum prend le pouvoir

La loi :

Citation :

IV.1.b.iv : Révolte non autorisée contre une mairie, pillage et complicité.

Toute révolte ou tentative de révolte menée contre une mairie sans l'aval du conseil du duché sera considérée comme acte de trahison et pourra être poursuivi comme tel.

Tout pillage ou tentative de pillage des coffres municipaux sera considéré comme circonstance aggravante.

Toute complicité que ce soit pour la révolte, la tentative de révolte, le pillage ou la tentative de pillage sera considéré comme un acte de trahison et pourra être poursuivi comme tel.

Dépôt de plainte :

Citation :

Ciao Sir cosa Abraxasbellum

Nella notte dal 26 al 27 dicembre 1460 hai fatto una rivolta contro il sindaco non autorizzata di Briançon.

Vi informo che una denuncia è stata presentata contro di voi con i nostri tribunali in nome di tradimento.

Riceverai una citazione in giudizio che vi consigliamo di non ignorare se non si vuole aggravare il dolore.

cordialmente
Engherran di Kerbleiz Prevost marescialli Lyonnais, Dauphiné
Atto 27 dic 1460
____

Bonjour Sieur Abraxasbellum

Dans la nuit du 26 au 27 décembre 1460 vous avez opéré un révolte non autorisée contre la mairie de Briançon.

Je vous informe qu'une plainte a été déposé contre vous auprès de nos tribunaux, en son nom, pour trahison.

Vous allez recevoir une convocation du tribunal que je vous conseille de ne point ignorer si vous ne voulez pas agraver votre peine.

Cordialement
Engherran de Kerbleiz, prévôst des maréchaux du Lyonnais-Dauphiné
Faict le 27 Décembre 1460

Le prévenu a été relaxé.

Mad s'adressa à l'accusé ou plutôt à la chaise vide puisque ce dernier était loin.
Il s'adressa également à l'assemblée avec la mine des mauvais jours.

J'ai appris, pas mes connaissances, qu'un accord avait été décidé avec cet individu :
Il rendait ce qu'il avait pris à la mairie, il quittait le Duché et il n'était pas poursuivit.
Je me demande donc pourquoi je suis ici aujourd'hui.
L'individu a rendu ce qu'il avait pris et il a bien quitté le duché.
Je ne vois donc qu'une chose à faire : le relaxer des faits qu'ils lui sont reproché. Je ne cautionnerai pas qu'un accord passé soit bafoué.
J'en profite pour dire que si l'accusé est relaxé, certaines personnes devraient, elles, poursuivis pour avoir caché la vérité ou ne pas avoir tenu au courant la justice et de ce fait essayant de la tromper.

Justice a été rendue.
Mad frappa du marteau de la justice