Coopérations judiciaires

Alors la réponse du Bourbonnais Auvergne est surprenante : ils ne désirent pas de coopération judiciaire mais la proposition a été tranmsise à Sa Grâce Sofio de Valmonte.

Voici le réponse du Chancelier intérimaire Sa Grâce Erandil :

Citation :

Le garde des sceaux écouta les raisons de la présence de la chancelière, les pages entre temps vinrent apporté diverses boisson, vin, hypocras, calva, hydromel.

Je dois vous avouez que vous n'êtes pas la première province à nous le proposer récemment, j'ignore d'où vient soudainement cette tendance.
J'irais demander les souhaits de la duchesse Sofio, mais je préfère être direct.

Le Bourbonnais-Auvergne par choix a mit fin à toutes les coopérations judiciaire depuis plus d'un an et demi, il en reste quelque uns qui nous ont échappé mais cela n'est qu'une question de temps avant que nous y mettons fin. Nous avons fait ce choix en considérant que ce type de traité est une aberration juridique.

Chaque province dispose d'une zone géographique déterminé où chacun exerce son pouvoir et sa législation, notre influence juridique n'a pas à dépasser nos frontières et la juridiction des autres n'ont pas à intervenir chez nous.
Certes, cela ne nous facilite pas la vie si les brigands prennent la fuite avant le procès, mais dans ces cas là, nous ne pouvons nous en prendre qu'à nous même, nous mettons cela dit un point d'honneur en partant du principe que nous n'avons pas à incommoder les autres par nos échecs.

Comme je l'ai dis plus haut cependant, j'irais quand même transmettre votre proposition à sa grâce Sofio