A la rigueur, je serai assez d'accord pour faire une légère distorsion temporelle, et passer justement au stade "Ambroise Paré" (même si ce n'est que dans un siècle, comme dit) de la chirurgie militaire: compléter (et seulement compléter, car pensez qu'on ampute encore aujourd'hui pour nombre de blessures du champ de bataille) cautère et amputations par onguents et précision chirurgicale minimale basée sur des dissections?
Par contre, sauf votre respect capitaine, massage cardiaque et respiration artificielle, je crains qu'il faille les laisser aux vestiaires du bloc: Harvey, c'est encore dans 200 ans, et pour le moment la trachée est encore une artère...