[Archives][ARMURERIE] Forge

Francinette qu idevait remmettre a juste l'armure d4eneidre et la sienne pris en meme temps les armes et les fleches utiliser.Elle entra dans la forge surchargée et lacha tout sur une table

Et bien sa va pas etre de la tarte ici.. au moin une meule c'ets moin compliqué ,voyaont voir comment sa marche...

Elle fouilla partout pednant une demis heure pusi tomba sur un livre qu idisait omment s'occuper des amres elle le lut dans les grande lignes.Puis prennant une fleches , avec un chiffon lustrant presant ,elle la froota puis alla limer cette derniere .Voyant que cela marchait ,elle fit de meme avec le reste des fourniture et assise sur une chaise.Les 30 ene de fleche ,les épées ,les dagues,...allant chaque fosi que c'etait finis remettre le groupes d'armes dans l'armurerie centrale et reprennant un autre .Ayant terminer elle se leva et alla examiné les armures .

Bon dieu...si seulement sa aurait été du tissus..

Elle souleva les plastrons les regardant et examinant le moindre recoins.elle vait pris les armures les moin completes.Puis les braconniere .Elle eux comme un scintillment dans les yeux regardant cette derniere .Elargir les hanche allait etre le plsu facille.Avec les outils disponible ,elle scindat sur le coter la pièce.Elle pensait comme pour du tissus faire un rajout de metal et remodeler.Elle fis chauffer la partie detruite et avec du fer presant dans la forge chauffa se dernier et alla souder la partie a la braconniere une fois tout remis .Elle mis la piece sur l'enclume et comme dans du beurre ,elle amrtela la braconniere pour qu'elle retrouev sa forme normale.Le resultat apres quelque heure de travail fut satisfesant meme bon .L'armurer etait toujours aussi neuve mais la partie etait plus grande,assez pour qu'elle ne gene pas une femme dans ces deplacements et qu'elel puissent rentrer dedans.Francinette fit cela avec le nombre qu'il fallait d'armurer d'armes puis alla s'assoir pour boire un coup et se reposer .

Quel chaleur..8) .Me reste les plastrons a faire ... je vais faire comment moi.. Si je prend comme ma vieille armure coupée sur le dessus ,le haut ne sera pas complet a moin que ...

Elle venait de trouver.Elle allait faire pareil et se remis au meme proceder pour les plaastrons mais devant.Elle coupant a hauteur de la porine l'armure,fit comme avec son armure une sore de buste pur les seins .Pusi une fosi fais et la taille bonne .Elle replaca le reste du morceau pour que tout fusse recouvert.Avec toute les armures cella donnat pas mal ,même si des pareils etait pas courante mais porter ,cela donnait bien.Francinette en essayat une et se dit que cela convenait au mieux .Elle alla lustrer le tout pusi les replacer dans les armoires .Contente d'avoir finis ,elle sortit et alla porter l'armures a Eneidre avant son depart.

Matador pénétra dans la forge que dirigeait Francinette.

L'air était chaud et lourd.

La salle était sombre et semblait vide.

Matador tenait dans ses mains une relique.

Une dague noircie par les années et le temps qui passe, dont le tranchant avait totalement disparu.

Un manche fin et métallique auquel on avait , mélange de corne et d'argent venait orner une fine et longue lame qui indiquait : Toledo...


Matador, voyant que Dame Francinette n'était pas présente, lui laissa une note.

Citation :

Francinette,
Je souhaiterais voir avec vous la possibilité de restaurer une lame, héritage de ma terre natale. C'est le seul souvenir que je possède de ma famille et je voudrais lui rendre son lustre d'antan. Je ne compte point m'en servir comme d'une arme, pour autant il ne sert à rien de l'éguiser.
Je repasserai plus tard afin que nous voyons ensemble si c'est réalisable.
Merci et à trés bientôt. Matador

De l'autre côté du papier qu'il laissait, il y avait un dessin trés précis de la dague en question...



Matador se dirigeait alors vers la porte de la forge, emportant avec lui "son trésor" forgé en Castille.

Francinette repassat a la forge et retrouva un message de matador ainsi qu'une vieille lame.Elle examina cette derniere puis s'installa dans une chaise et reflechissat .Une lame a neuf masi non comme arme .Précieux donc..Elel alal consulter des livres voir commetn elle pourrait -ci prendre et mis un mot a matador

Citation :

Cher matador ,j'ai bie nrecu al lame et je vais l'examiné ,voir quoi faire ,je ne susi pas forgeronne mais je ferais au mieux et j'irais voir dans les alantours de Dié si on ne peut pas m'aider.Je te la rammenne le plus tot possible et comme tu le souhaite.
A bientot
Francinette

Matador passa à la forge où il vit Francinette. Il avait le visage sombre... quelque chose le minait.

Francinette tenait en ses mains "la dague".

Francinette avait réalisé un travail d'orfèvre. Elle brillait comme jamais.

Matador récupéra alors son bien et son visage s'illumina soudain.

Je te serai éternellement redevable Francinette! Lui dit-il.

Puis, reprit par ses soucis, il repartit vers le village.

Shad tapa un ou deux coups de bottes dans la grosse porte qui ne s'était pas ouverte du premier coup...
Vu l'état des poussières à l'extérieur, j'ose imaginer ce que je vais trouver en dedans...
Il ne se faisait pas de fausses idées, il y avait effectivement des tonnes de poussière...
Rien de grave, et puis je suis pas venu pour faire les poussières...Il alluma toutes les torches avec celle qu'il avait trouvé sur le mur de l'amurerie... quel foutoir!
Bon, où sont les bûches que je ranime les flammes de ce lieux...
Une grosse demi heure se passa avant que tout soit enfin prêt... Shad avait retiré son mantel et sa chemise, certe il faisait froid dehors mais avec ce feu rougoyant, il perlait déjà de sueur...!
Il saisit son épée ainsi que la masse et se mit au travail...
Le plaisir qu'il prenait à ressasser tous ces souvenirs de jeune coutilier et armurier de Valence, l'enivrait d'euphorie... Il faisait sûrement beaucoup de bruit à cette heure et s'en excuserait dès le lendemain! Il faisait des aller et retour entre le feu et l'enclume remodelant son fer avec grande précision!
Plus d'une heure se passa jusqu'à ce que le tavernier de la garnison ne vint le chercher afin de l'inviter à passer à table, un peu dépité de l'heure tardive à en voir sa tête
"excusez mon brave, je me dépêche, je suis a vous tout de suite, le temps de calmer les braises, et de me revêtir. Sortez une bonne bouteille de vin bien de chez nous... merci"
Il calma les braises, remis sa chemise, inspecta une dernière fois son épée encore chaude malgré la température du bain d'eau et s'exclama: "Parfait, les écorcheurs ne sentiront même pas la douleur"
Il éteignit les torches et referma la porte...