[Projet] Manoeuvre de siège , documentation...

je placerai ici toute la documentation trouver sur les armes ,empalcements enoncer dans la manoeuvre de siège et si possible des instructiosn pour les construire mais c'est plus dur car encore certaines techniques sont gardé secretes.pour les autres arumriers ,si sa vous dit,les rajouts et autre infos sotn les bienvenus aussi :)

Tout d'abord le mangonneaux

Citation :

Le mangonneau

Source

http://medieval.mrugala.net/Armes%20de%20siege/Mangonneau.htm

Enoncé complet

Mangonneau à roues de carrier
XIIe - XVe siècle
Portée : 150 m
Boulets : jusqu'à 100 kg
Cadence de tir faible : 2 tirs/h
Servants : 12 + les artisans
Engin à contrepoids fixe, nommé par Gilles de Rome « trabatium ».
Les premières machines de jet ne sont pas très bien équilibrées. Les ingénieurs n'ont pas encore compris les avantages du poids articulé qui équipera plus tard les trébuchets. Aussi, faut-il, pour rabattre le mât, des efforts considérables, nécessitant un treuil entraîné par de grandes roues : celles-ci sont actionnées par des hommes soit de l'intérieur, soit de l'extérieur.
L'appellation « carrier » provient du fait que ces treuils à roues, connues depuis l'Antiquité, équipaient notamment les carrières de pierre.
Le mangonneau possède un contrepoids fixe de plusieurs tonnes. Des cordes sont parfois ajoutées pour donner plus de rapidité au mouvement et permettre un meilleur décrochement de la fronde.
Il faut un important système de poulies et de treuil pour le réarmer et sa cadence n'excédait pas deux à trois tirs à l'heure. Ces machines présentent un gros défaut: la masse de terre ou de pierre contenue dans la huche du contrepoids finit toujours par se déplacer, provoquant des àcoups et des vibrations. Ces effets sont néfastes pour la charpente et nuisent à la précision de tir.
Cette machine sera utilisée jusqu'au XVe siècle. L'inventaire de l'artillerie du prince de Savoie, en 1433-1437, nous livre le détail des pièces qui constituent la machine dite « la Ruine ». Dans cet inventaire, Pierre Masuerieus; chef des pièces d'artillerie du seigneur, précise que « le dit engin a et possède 2 colonnes pour les roues nécessaires au même engin [. . . ] , de même 48 barres pour faire tourner les dites roues [...], de même une grande colonne de 28 pieds de long [...], de même 2 soles ou traves chacune de 32 pieds de long [ . . . ] , de même pour le dit engin 2 arches ou arcades dans lesquelles on pose les pierres... ».

Résumé utile

Engin de projection a contrepoids pouvant propulsé des poids de plus de 100 kg.Il a une autonomie faible et nécessite pas mal d'homme a son utilisation (une douzaine) il peut effectuer un ensemble de deux projections voir trois par heure.C'est l'une des premières machines de jets et fort instables encore.Un treuil enchainer par des grande roues et de grand effort ,rabbat les mêts pour pouvoir la réarmer

Images

Citation :

Le trébuchet

Les sources

http://fr.wikipedia.org/wiki/Tr%C3%A9buchet

Résumé

Longueur de la verge : 8 à 12 mètres ;
Masse du contrepoids : entre 10 et 18 tonnes ;
Masse des boulets : de 80 à 120 kilogrammes ;
Portée maximale : un peu plus de 200 mètres ;
Nombre de servants : environ 60 personnes (charpentiers, tailleurs de pierre, manœuvres, etc.) ;
Cadence de tir : 1 à 2 par heure.

C'ets le principal pour la desriptions détaillées ,je vous invite a regardé le lien on ne saurait le recoupé et il est fort complet.

Image

Citation :

Le couillard

les sources

http://fr.wikipedia.org/wiki/Couillard_%28arme%29

Contenus entier

Le couillard est un engin militaire offensif (un engin de jet), utilisé au Moyen Âge, pour détruire les fortifications.

Cet engin est composé d'une longue perche placée sur un axe. A l'une de ses extrémités on trouve deux huches ou bourses servant de contre-poids. Les projectiles sont placés à l'autre extrémité de la perche, dans une receptacle rappellant une fronde.

Le fonctionnement de l'engin est le suivant : On abaisse l'extrémité où se trouve le réceptacle au moyen de cordes, puis on place le projectile dans la fronde et enfin on relache le tout. La portée d'un tel engin dépassait la centaine de mètres.

Entre 8 et 16 personnes étaient nécessaire pour assurer le bon fonctionnement de cette arme de siège. La cadence de tirs pouvait atteindre les 10 coups/heures

De nos jours, quelques couillards ont été reconstruit pour des reconstitutions, en france, à Larressingle dans le Gers ou au Château de Calmont d'Olt dans l'Aveyron.

Résumées utile

C'est une armes de jets portant son nom dut aux deux huches et à leurs formes évocatives.Il est manipulé par 8 à 16 personnes ayant une portée de +-100m et pouvait tiré plus ou moin 10 projectile par heure.On le rabbaissait a l'aide de corde puis chargait la sonde de projectiles et les envoyaient.

images

Citation :

Les méthodes de sape

Les sources

http://fr.wikipedia.org/wiki/Sape

Contenu principal

Les sapeurs construisaient un tunnel, étayé par du bois, sous l'enceinte du château. Ils remplissaient ensuite le tunnel de produits inflammables avant de mettre le feu aux étais : ceux-ci, en brûlant, privait la galerie de soutien ; elle s'effondrait, ce qui entraînait la muraille avec elle.

Plus tard, on utilisa de la poudre, puis des explosifs qui donnaient de meilleurs résultats. Si la sape était bien faite, et surtout au bon endroit (juste sous les murailles), la muraille s'effondrait, créant une brèche par laquelle l'assaillant pouvait s'engouffrer.

Pierre des Vaux-de-Cernay raconte ainsi comment, lors du siège de Carcassonne pendant la croisade des Albigeois après que les pierrières aient endommagé le couronnement des murailles, nos sapeurs ont réussi avec beaucoup de difficultés à approcher près du pied des murailles une charrette à quatre roues, couverte de peaux de bœuf (fraîches, donc ininflammables), à l'abri de laquelle ils ont commencé à saper les murs.

Comme au siège de Carcassonne, les défenseurs luttaient contre la sape en envoyant toutes sortes de projectiles sur les sapeurs. En effet, une sape réussie signifiait généralement la fin du siège, les défenseurs ne pouvant plus combattre et devant faire leur reddition, ou bien l'assaut ayant lieu.


Méthodes de défense [modifier]

Prévention de la sape lors de la construction [modifier]
Une méthode sûre de prévenir la sape est de construire les fondations de la courtine dans un terrain rendant la sape impraticable :

soit directement sur le roc,
soit dans un terrain sablonneux,
soit encore dans un terrain marécageux (mais évidemment les deux dernières solutions posent des problèmes supplémentaires de construction).
Un fossé très profond creusé en avant des murs est aussi une garantie contre la sape : au pire, il complique le travail de sape, au mieux, s'il atteint la roche mère, il la rend quasiment impossible. C'est la solution adoptée au château de Pembroke ; le château de Kenilworth, également en Angleterre, est doté de lacs artificiels qui imbibent la terre d'eau et rendent le creusement de galeries problématique.

Enfin, si une brèche est malgré tout ouverte, des obstacles peuvent être disposés afin de gêner les assaillants, comme les chevaux de frise, ou la construction d'une contrescarpe. Ainsi, une forteresse comme le château de Beaumaris, à Anglesey a été conçu de façon à ce que les murs intérieurs forment une contrescarpe toute prête ; ainsi, si les assaillants pénétraient par une brèche, ils auraient été pris dans un couloir et voués au massacre entre le mur externe plus bas et le mur intérieur plus haut.


Contre-mesures lors du siège [modifier]
Les défenseurs de la place peuvent en effet repérer une activité de sape opérée par les assaillants (la nuit, les bruits de creusement étaient parfois audibles par les sentinelles). Les défenseurs peuvent également creuser des contre-sapes. Elles peuvent leur permettre de déboucher dans les galeries des assaillants, et de les y tuer. Ils peuvent aussi creuser des galeries sous celles creusées par les sapeurs, puis les incendier en espérant qu'elles s'effondreront saperont les galeries sapeurs.



Résumé utile

Les sapeurs construisaient un tunnel, étayé par du bois, sous l'enceinte du château. Ils remplissaient ensuite le tunnel de produits inflammables avant de mettre le feu aux étais : ceux-ci, en brûlant, privait la galerie de soutien ; elle s'effondrait, ce qui entraînait la muraille avec elle.Pour cela il faut a la limite recourir a la poudre et si al sape est bien placé ,la muraille peut s'ecrouler et faire une breche pour l'assaillant.

Une méthode sûre de prévenir la sape est de construire les fondations de la courtine dans un terrain rendant la sape impraticable :

-soit directement sur le roc,
-soit dans un terrain sablonneux,
-soit encore dans un terrain marécageux (mais évidemment les deux dernières solutions posent des problèmes supplémentaires de construction).

Attention, j'ai souvent vu la wikipédia contredite par d'autres sources (je m'en était servi pour les articles sur le siège), notamment Mrugala, ou d'autres.

Je vous rappelle la bibliothèque de l'Arsenal et l'article sur le siège, qui essayait de faire la meuilleure synthèse possible de tout cela:

https://chateau-de-lyon.forumactif.com/viewtopic.forum?t=5473

Par contre, si vous trouvez quelque chose comme un plan de montage (Pao, le Seigneur des lances de Briançon, m'avait dit avoir des choses, mais ne les a jamais transmis)

Tout d'abord : c'est un excellent travail. bravo.

Je me dit par contre qu'il devrait y avoir quelques armes infernales à poudre désormais à notre époque : bouches à feu, couleuvrines, bombardes, canons.... par contres ces appellations représentent parfois le meme matériel. Les canons sont de petites bombardes par exemple à notre époque. de plus ils sont souvent montés sur un affut à roues.