[RP - 22 septembre 1458] Mariage de Sarrasin & Jenah

La même question fut ensuite adressée à la fiancée dont les mains n'avaient pas quittées celles de son promis :
— Jenah, veux-tu prendre Sarrasin pour époux, dans la sainteté et la confiance, pour vivre avec lui dans l'amour de chaque jour? Veux-tu faire dépendre ton bonheur de son bonheur et donner par l'exemple de votre union un signe visible de l'amitié du Très-Haut sur terre?

Dernière édition par Jenah le Ven 24 Sep 2010 - 21:40, édité 1 fois

Jenah écoutait avec la plus grande attention chacun des mots s'échappant des lèvres entrouvertes de son tendre fiancé, que le Très-Haut la pardonne mais à cet instant elle avait très envie de joindre sa propre bouche à la sienne dans un délicat baiser, mais il fallait attendre. Elle se concentra donc de nouveau sur les somptueuses paroles dites, elles valsaient en son cœur, rythmées par les regards intenses que les fiancés s'échangeaient. La mariée, ou presque, sentait l'émotion grimper de plus en plus en elle-même, les larmes de bonheur qu'elle contenait jusque là lui chatouillaient les prunelles et sans crier gare se mirent à perler au rebord de ses yeux. Elle n'était pas triste mais au contraire, la plus heureuse des dames à ce moment-là, et l'émotion tellement forte la chamboula complètement. Du revers de sa main elle écrasa les quelques larmes qui avaient pu glisser le long de ses pommettes et laissa s'échapper un léger soupir de joie couvert par la reprise de parole de l'archevêque.

Celle-ci se rapprocha de Jenah et lui prit la main avant de la déposer dans celle de son tendre promis. Elle prononça les phrases habituelles et laissa à Sarrasin le soin de répondre, Jenah sentait des larmes bouillonnantes prêtes à s'échapper, mais se ressaisit craignant qu'un trop plein d'émotion la fasse chuter en pâmoison. Elle se concentra donc sur les paroles de l'archevêque puis au moment adapté entrouvrit ses lèvres ourlées juste pour quatre mots petits par la taille mais si grand par leur sens:
Oui je le veux!

Ça, c'était fait... on s'approchait du dénouement, enfin!

Ne sachant trop quels arrangements avaient été pris à ce niveau-là, regardant successivement témoins et fiancés, Ingeburge demanda :
— Les alliances je vous prie.

Les Moutons Bleus écouta l'échange des voeux de ses amis, et serra très fort la main de son fiancé Ragon, et elle lui chuhota : oui dans un mois ça sera nous mon coeur, et j'ai hâte d'être enfin ta femme.

Elle regarda Sarra et Jenah, ils étaient magnifiques, et leur Bonheur se lisait sur leurs visages, elle ne pû retenir ses larmes.

Frim écoutait la suite avec ... attention, losqu'elle vit s'assoir à quelques pas une personne qu'elle n'avait pas vu de puis longtemps. Elle mit un moment pour remettre un nom sur son visage, et après quelques minutes, trouva enfin ...

Erwyndyll ... et bien, ça faisait bien longtemps ... Drôles ... si on peu dire, de souvenirs.

Sur ce, elle reporta son attention à la cérémonie, sans pouvoir empêcher à certaines choses de revenir à son esprit.

C’est sur un double « je le veux » que le Baron fit son entrée dans l’édifice religieux. Il essaya de la faire la plus discrète possible mais il fallut pousser quelques badauds pour se frayer un chemin. Il n’allait tout de même pas rester derrière la gueusaille…
Beaucoup de bourguignons dans l’assemblée, Wolfar en salua une partie, notamment ses collègues militaires. Ils devaient avoir fait vite pour traverser tout le Duché, il faudrait faire aussi vite pour retourner à la tête de l’armée. Heureusement qu’il avait fait la route en carrosse, il pourrait dormir en chemin.
La cérémonie continuait pendant Wolfar salua d’un signe de tête la Duchesse de Guines puis son regard se porta sur Mallory.

Ravissante pensa til.

Nombre de messages : 2 Localisation IG : Luxeuil Date d'inscription : 22/09/2010

Tout le monde était enfin là et la cérémonie battait de son plein jusqu'au moment fatidique du credo!!
Sa pastorale, son baptême ou son mariage étaient bien loin et se souvenir du credo avec sa mémoire défaillante était chose ardue.Il fit donc du mieux qu'il put en essayant qu'on ne l'entende pas trop.

Citation :: Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Bière,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son pro-fête,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner l'ivresse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristo..icienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Seins;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Il espérait ne pas avoir fait trop de fautes audibles et se fit tout petit jusqu'au moment de l'autre moment important ... blabla bla ou qu'il se taise à jamais.
Il leva la main presque en sautillant mais la pauvre Inge avait du être prévenue et il fut royalement ignoré, quelles sales bêtes ces Francais quand même.
Aucun sens de l'humour, que de boulot il aurait pour décoincer tout ca.Il n'insista pas car il trouvait déjà la cérémonie bien longue et écouta les voeux que le vieux Sarrasin avait eu bien du mal à rédiger.Puis la miss d'église parla d'alliance et il se souvint que c'était lui qui était responsable.
Il n'avait pas l'habitude d'avoir des poches et du chercher un moment avant de les retrouver, il se leva alors précipitamment, assez pour que la chaise tombe avec fracas puis se dirigea vers les mariés manquant de peu de se retrouver les quatre fers à l'air.
Il tendit alors l'objet tant convoité a son vieil ami.

[RP - 22 septembre 1458] Mariage de Sarrasin & Jenah - Page 3 Coussin-pour-alliance

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Oh mais si, elle avait bel et bien vu Sacrai d'Eirbal, ex-Franc-Comte, Vicomte de Saint-Loup-sur-Semouse et de Saint-Sauveur, celui qui refusait de payer la taxe comtale au grand dam de certains des autres maires et du parlement. Et oui, elle savait beaucoup de choses Ingeburge et ce qu'elle savait, elle qui venait de séjourner près de trois semaines en Franche-Comté, c'est qu'elle en avait sa claque des Francs-Comtois, toujours occupés à se chercher querelle et à roupiller, pour ça que les Francs-comtois, en ce jour plus qu'un autre, elle en faisait abstraction. Adressant un sourire venimeux au sautillant vicomte, elle s'empara du coussin tout plein de franfeluches et en extirpa les alliances.

Les anneaux furent aspergés d'eau bénite à l'aide d'un petit goupillon – et oh, sans faire exprès, Sacraï aussi – et la bénédiction proprement dite débuta :
— Saints Archanges, qui chantez sans cesse les louanges du créateur de toute chose, qui ne respirez que la gloire du Très-Haut, et qui resplendissez du feu de son amour, qui présentez au Père les misères et les vœux de ses Enfants, qui volez à notre secours, bénissez ces anneaux.
Saints Archanges, qui nous soutenez dans tous nos justes combats, qui nous protégez de nous même comme vous avez protégé les justes à Oanylone, qui portez nos âmes devant notre Juge et Créateur, bénissez ces anneaux.
Que les Saints Archanges et les saints Apôtres Titus et Kyrène, dont la puissance et l'autorité à notre confiance, intercèdent personnellement pour nous auprès du Très-Haut!
Que par les prières et les mérites des bienheureux de la communauté aristotélicienne vous apportent la paix, la prospérité, la force et le salut par la foi et l’amour de notre Créateur.
Et que cette bénédiction permette à la quintessence divine de descendre sur ces anneaux et y demeure à jamais.

Une fois les bagues bénies, Ingeburge confia à chacun des fiancés celle qu'il passerait à son futur époux et déclara :
_ Les alliances sont le symbole visible du mariage. Elles représentent par leur forme continue la fidélité et l'unité.
Jenah, Sarrasin, en glissant ces bagues, vous répèterez: " Par cet anneau, je t'épouse ".

Attrapant le linge qu'on lui tendit, Ingeburge s'essuya les mains.

Sarrasin vit Sacraï mettre son temps à chercher les alliances pour enfin les trouver. Manquerait plus qu'il les ai perdu cet andouille, pensa t'il avant de le voir avec et les tendre à Ingeburge. Il ne pu s'empecher de sourire quand il vit Ingeburge, malencontreusement, mouiller Sacraï; à se demander si elle cherchait à le bénir ou le purifier de l'alcool. Il prit l'anneau de Jenah dans sa main et la regarda avec un large sourire avant de le prendre entre ses doigts pour le rapprocher de l'annulaire gauche de Jenah. Tentant de dissimuler sa joie, il tremblait légèrement mais réussi quand meme à lui mettre l'alliance au doigt et prononca les mots scellant à jamais l'apposition de cet alliance sur son doigt.

Par cet anneau, je t'épouse Jenah

Il posa sa main sur la sienne la recouvrant un instant avant de la laisser faire de même, le sourire aux lèvres et les larmes aux yeux.

Nombre de messages : 7 Localisation IG : Fécamp Date d'inscription : 13/08/2010

Les sentiments mielleux c'était pas pour la blonde. Oui chez elle on ne s'étale pas en public, chez elle on se retient mais elle n'était pas chez elle et elle devrait faire avec. Pense à Jenah Eli, tu es là pour elle ! Elisabeth se cale un peu plus contre son fiancé, seule trace de son affection pour lui avant de prendre le bras de la rouquine venue se placer à côté d'elle. Elle écoutait les gens, décidément des fois elle avait du mal avec cette culture, elle regarda Ulrich en coin, il risquait d'être déçu le pauvre s'il s'attendait à ça.
Visiblement l'homme faisait peu de cas de son histoire avec sa mère, elle haussa les épaules signe de son désintéressement pour cette histoire, c'était sa mère, c'était le passé, ce n'était pas sa vie, aussi cela lui importait peu, elle pensait à elle et cela suffisait. A quoi bon remuer ce qui est vieux et enterré si ce n'est pour faire de la peine aux gens.
Elle attendit donc la suite de la cérémonie ...

Les alliances, elles n'arrivaient pas? Pourtant tout avait été méticuleusement prévu Sacraï devait les amener à l'archevêque, portées sur un coussin brodé, l'avait-il oublié? Petit drame pour Jenah la guimauve, la dame Lecoy attendit toujours plongée dans le regard de son tendre qui avait l'air au moins aussi ému qu'elle. Puis Sarrasin fixa Sacraï, Jenah quant à elle en profita pour regarder un peu l'assemblée et apercevoir notamment le baron de Cudot, un de ses amis chers, un ami de longue date maintenant sur qui elle avait plus compter au plus mauvais moment, qui venait surement d'arriver puisqu'il était maintenant dans les premiers rangs, yeux rivés sur la dame de St Martin des champs. Elle continua de scruter l'assemblée mais fût interrompue par un lourd bruit de bois. Jenah poussa un soupir de surprise et sursauta, ne s'attendant pas à ce que la chaise chue. Automatiquement elle leva les yeux au ciel puis retourna son regard vers Ingeburge qui imperturbable pris les alliances en sa possession afin de les bénir puis de les distribuer au couple.

Jenah tenait le précieux anneau dans sa main droite, le manœuvrant dans ses doigts tandis que Sarrasin lui prenait la main gauche. Il lui glissa la bague au doigt tout en prononçant le sésame ouvre toi tant désiré et Jenah fit de même avec le second anneau, le passant délicatement au doigt du sieur Dumas.

Par cet anneau, je t'épouse.

C'était dit, elle l'épousait, la cérémonie était allée très vite, forte en émotion, et déjà le mot avait été lancé, ce n'était pas encore terminé, mais elle avait maintenant en main l'anneau symbole de leur union devant le Très-Haut. Tout sourire, elle regarda un instant Célia, sa très chère enfant, leur petite aux boucles blondes puis reporta son attention de nouveau sur la cardinale.

Et voilà, emballé, c'est pesé, vœux + consentement + échange des alliances = un mariage! Ne restait plus qu'à prononcer la phrase magique, la phrase qui ferait de Jenah et Sarrasin un couple marié aux yeux du monde, la phrase tant attendue, la phrase... bon d'accord j'y vais !

Fermement et solennellement, la phrase sacramentelle fut donc prononcée :
— Par les pouvoirs qui me sont conférés par la Très Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, moi, Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, Cardinal-Archevêque de Lyon, vous déclare à compter de cet instant, vous Jenah Lecoy et vous Sarrasin Dumas, mari et femme. Ce que le Très-Haut a béni par mon entremise, nul ne pourra le défaire.
Soyez bénis ainsi que la descendance qui sera vôtre.

Quoi? Ce n'est pas ça la phrase magique, attendue, tout ça, tout ça? Ah oui, c'est vrai :
— Sarrasin, vous pouvez embrasser la mariée!

Et pendant que les désormais mari et femme faisaient ce qu'ils avaient à faire, Ingeburge passa derrière l'autel afin de signer le registre de l'église.
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Elle s'exécuta :
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Puis laissa la place aux témoins, aux mariés et à Célia, bien sûr.

Les cloches retentirent à nouveau tandis que l'assistance étaient invitée à communier puis à féliciter les nouveaux époux.

Il sentit sa douce passer l'alliance à son doigt et fut transporté de bonheur, de joie et d'émotions. Il était ailleurs, n'entendant que de loin les paroles d'Ingeburge qui suivirent... Ca y est ils étaient enfin unis devant le Très Haut, pour le pire mais surtout pour le meilleur... oui, il le savait ce couple qui venait de se former ne promettait que de bonnes choses, des instants magiques, une vie heureuse, tant de bonheur.
Il entendit la dernière phrase de l'archevêque... vous pouvez embrasser la mariée... il l'avait souvent embrassé pour lui montrer son amour, mais jamais dans leur vie, ce geste n'aurait pareil importance qu'à présent.
Il caressa tendrement sa joue de la main gauche et la fixa un moment, elle était merveilleuse, il rapprocha son visage du sien et deposa ses levres sur les siennes en un long et tendre baiser, l'émotion se lisant aux bords de ses yeux par ces perles de bonheur menacant de couler le longe de ses joues. Son autre bras alla autour de sa taille pour les maintenir ensemble dans ce moment magique où il ne sentait plus rien autour d'eux.
Quand il termina ce baiser il la regarda ému, avant de la serrer à nouveau dans ses bras, le bonheur et la joie l'inondant.

Cet instant guimauve prenant (enfin?) fin, il regarda Sacraï, puis Mallory, les témoins de cet union et les invita du regard à se joindre à eux pour signer le registre de l'église, laissant sa femme signer en premier avant d'aposer à son tour sa signature, ainsi sur le papier ils étaient également unis.

Il regarda l'assemblé heureux que toute leurs connaissances se soit déplacer pour un des évènements les plus important de leur vie et le début de leur vie commune. Quand elle fut prête il lui prit le bras et traversèrent la nef, suivi de leurs témoins, quittant ainsi le lieu de leur mariage pour se diriger vers le second lieu de leur mariage, où la célébration serait bien moins aristotélicienne

Par les pouvoirs qui me sont conférés.... mari et femme, ces bribes de phrases s'entrechoquaient dans sa tête. Sarrasin lui caressa la joue, ne la lachant pas du regard, il n'avait d'yeux que pour elle et elle que pour lui, à cet instants-là ils étaient comme seuls tous les deux devant le Très-Haut. ELle passa sa main dans ses cheveux, il rapprochait déjà son visage et le couple s'embrasse longuement. Elle sentit le bras de son tendre glisser sur sa taille, elle resta tout contre lui même une fois le plaisant baiser échangé.

Elle était divinement heureuse en ce jour, elle était l'épouse de Sarrasin et se mot raisonnant en sa tête illuminait son visage d'un large sourire. Puis elle déplaça son regard sur les deux témoins de l'hyménée, puis sur sa fille qui fut aussi invitée à venir signer le registre.

Jenah s'appliqua autant qu'elle pouvait à la tâche ce qui n'était pas vraiment facile étant donné l'émotion qui lui parcourait les nerfs. Mais le registre fut ratifié.
[RP - 22 septembre 1458] Mariage de Sarrasin & Jenah - Page 3 Jenah

[RP - 22 septembre 1458] Mariage de Sarrasin & Jenah - Page 3 Jenah

Cette signature fut suivie par celle de l'époux, puis par la jeune Célia, Ingeburge ayant merveilleusement prévu le coup. Célia n'écrivit que son prénom, c'était déjà bien assez complexe comme cela, son nom fut donc complété par sa maman.
[RP - 22 septembre 1458] Mariage de Sarrasin & Jenah - Page 3 C2lia

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Enfin Mallory à son tour émargea le registre de sa belle calligraphie.
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Il ne manquerait plus maintenant que la griffe de Sacraï, Jenah espérait qu'il n'écrirait rien d'ennuyeux étant donné son penchant pour l'humour. Jenah profita de ce moment pour admirer l'assemblée réunie, elle venait d'appercevoir Ronron qu'elle n'avait vu depuis longtemps et à qui pour le coup elle adressa un clin d'oeil. Elle vit Breiz qui avait rejoint Elisabeth et celui qui devait être "la souris" ainsi que Rodrielle, Pelotine, Nad et sa fille qui étaient placées non loin, tant d'autres encore étaient présents Robi, Keltica, Lmb et son fiancé qu'elle avait déjà croisé dans l'aile des réservistes, Frim aussi ... Elle croisa également les regards de Totos et de Seb, deux grands amis mâconnais, elle vit Strong non loin évidemment, Shishi également présent qui avait dû faire l'effort de sortir de sa grotte, Kirisou présente malgré sa triste mine. D'autres personnes qu'elle ne connaissait pas personellement étaient présentes, la duchesse, bien placée, des personnes dont le visage ne lui disait rien, surement amis de son tendre époux. Elle fut étonnée mais heureuse d'appercevoir Erwyn qui avait pu se libérer, l'ancienne tête de liste DD, une amie que Jenah avait perdu de vue. Bref il y avait du monde et du beau monde qui avait pu partager avec le couple leur union devant Lui.

[parenthèse HRP: la signature des registres par Mallory est assurée par moi-même après autorisation de LJD Mallory absente pour les 5 ou 6 prochains jours]

Petite larme au coin de l'oeil... Pas moyen que sa douce, et la rouquine le voient...

Grosse toux pour masquer cet instant, puis coup d'oeil discret en direction de ses voisines...

Puis Ulrich ferma les yeux, dévotement, histoire d'être certain que ça ne se reproduise plus... Elle parlait bien la curette, il songeait à l'embaucher pour son propre mariage, mais elle avait l'air de couter bonbon...
Il faudrait qu'il en parle à sa fiancée, et qu'ils prennent un moment pour réfléchir à l'organisation de leur propre convolage...
Tiens, c'était amusant, dans convolage, il y avait "volage"... un signe des cieux?

Jenah et Sarrasin, à présent époux, marchèrent dans la nef, heureux que cette cérémonie ait scellé et officialisé leur amour. Un peu avant le parvis il lui lacha la main, et vit son regard étonné d'un tel geste. En réponse il se contenta de sourire avant de la prendre dans ses bras et la soulever dans le dos et derrière ses genoux pour se mettre à la porter sur le parvis descendant les marches précautionneusement pour ne pas tomber.
Une marche... deux marches.... trois marches.... quatre marches... Eh zut un mauvais calcul... Il commence à se pencher en arrière mais se cambre et tente de se rattraper, sentant son amour s'aggriper à son cou pour ne pas tomber elle aussi et après quelques vascillements il parvint à retrouver l'équilibre. Il la regarda en rougissant, ils s'étaient souvent amusé à s'entrainer à ce porté, mais même bourré il ne l'avait jamais faite tombé. Il fallait que ca arrive aujourd'hui... Il se sentit gêné, en plus plusieurs avaient dû le voir, malin le Sarrasin.
Il se remit de cette presque chute et arriva sur la place avec sa belle dans ses bras. Il apercut sa surprise arriver, en effet les villes avaient beau être proche cela faisait quand même une trotte jusque la salle des fêtes. Il laissa son amour se retourner pour apercevoir une calèche couverte de fleurs tiré par deux chevaux se dirigeant vers eux avant de s'arrêter à leurs pieds.
Il la déposa sur le sol à nouveau et lui tint la main pour l'aider à monter dans la calèche. Après qu'elle soit montée il invita leur fille, cette jolie petite blonde, qui s'était très bien tenue pendant la messe. Il monta en dernier et fit signe au cocher d'attendre que les invités soit tous en selle sur leurs chevaux ou autres montures diverses pour les suivre.

C'est ainsi que le cortège du mariage se dirigea vers la salle des fêtes de Mâcon où allait se passer la suite des festivités, une fois tout le monde sur le départ. Durant le voyage il ne cessait de regarder sa tendre lui tenant la main et caressant son alliance comme pour accentuer l'importance de leur union à ses yeux, tenant de son autre main celle de Célia. La famille était ainsi réuni pour le début de leur voyage vers une nouvelle vie, une vie de famille.

http://bienvenue-a-macon.forumpro.fr/salle-des-fetes-f1/rp-festivites-du-mariage-de-jenah-et-sarrasin-22-septembre-1458-t4090.htm#63117

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Nombre de messages : 3 Localisation IG : Cosne Date d'inscription : 22/09/2010

Mini regardait les mariés sortir et souria lentement, heureuse pour leur bonheur. Elle attendit que tout le monde sorte avant de sortir elle même.

Elle les regarda de loin et ne connaissant personne a part le marié en cette journée de joie pour lui elle se demanda encore si elle allait les rejoindre pour la fête qui suit après.

Elle ne voulait point gâcher le bonheur des épousés par sa douleur et sa souffrance. ce qui ne manquerait pas de faire si jamais elle devait parler.

Elle espérait qu'il l'avait vu qu'elle avait été là malgré tout mais maintenant la place était à la fête et elle son coeur son âme ne l'était point.

Elle monta sa jument regarda une dernière fois les convives et le nouveau couple fraîchement marié en calèche et se mit en route, mais dans le sens opposé

Mini retourna à l'auberge, et remis sa tenue de route.... Elle quittait la bourgogne, après avoir fait un tour express à Cosne pour rechercher Duncan et Thaïs..

Jenah remonta le long de la nef, tenant bien fermement son tendre par la main, bien décidée à être liée à lui. Mais voila qu'il s'echappait déjà de son étreinte, il lui relachâ les doigts. Surprise elle le dévisagea, se demandant ce qu'il avait en tête, son sourire ne l'aidait point à le deviner. Puis il la prit dans ses bras, la portant pour sortir de l'église. Elle le laissa faire, n'ayant de toute façon trop de choix, faisant juste attention à ce que sa robe ne le gêne pas trop pour marcher. Il la portait avec précaution mais tant de précautions ne suffirent pas à éviter l'incident, le voila qui vascillait dans les marches, elle s'aggripa à lui et ferma les yeux pour ne pas voir la chute, qui n'arriva pas , fort heureusement, puisqu'il retrouva l'équilibre. Elle laissa alors se briser une rire cristallin, elle riait aux éclats... La dame Dumas fût ainsi portée jusqu'à la calèche devant laquelle son mari la déposa et l'aida à monter. il aida de même Célia qui rejoingnit sa mère puis il entra à son tour.

Jenah fit une grosse bise à sa fille avec qui elle n'avait pas pu être pendant la cérémonie, la petite ayant dû rester à sa place, certes au premier rang, mais déjà trop loin du couple. Puis, la mère se cala contre son époux et ils restèrent tous trois partageant leur bonheur durant tout le voyage.

[ La suite ici : http://bienvenue-a-macon.forumpro.fr/salle-des-fetes-f1/rp-festivites-du-mariage-de-jenah-et-sarrasin-22-septembre-1458-t4090.htm#63117 Vous pouvez poster en invité Wink

Pratique: ]

… Garde le silence à jamais...

Le pouvoir et la force des mots. Ces derniers projetés sur les murs épais de la petite église et prononcés par Ingeburge résonnaient encore en écho dans la teste de la jolie brunette. La cérémonie s'était alors poursuivie sans anicroche aucune puis les fiancés s'étaient échangés leurs vœux et leurs consentements mutuels à se prendre pour époux. L'émotion avait empli les asmes et les cœurs de l'assemblée. Sarrasin avait glissé l'alliance bénie à l'annulaire de Jenah et vice versa. Les anneaux parfaitement ajustés engageaient l’homme et la femme à s’aimer pour l’éternité et à rester fidèles devant le Très Haut. Formée d'un cercle, forme parfaite, l'alliance marquait un amour parfait et une union sans retour. L'or représentait la solidité et la pureté de l’amour qui subsistait entre le couple.

Les opalines noisette quittèrent un instant le couple pour se poser sur les vitraux. L'esprit de Sebelia vagabonda un long moment puis elle poussa un profond soupir. Un jour peut estre la jeune femme recevrait elle aussi une demande en mariage et fonderait une famille mais pour l'heure...

… Vous déclare mari et femme...

Ainsy avait parlé le cardinal-archevesque.

La mâconnaise se redressa cherchant du regard son bien aimé en vain. Le puits sans fond de ses yeux fut légèrement troublé en constatant son absence. Elle s'avança vers la travée, eut quelques hésitations jetant un œil par dessus son épaule dextre; l'assemblée s'était approchée des nouveaux époux afin de les féliciter. Elle recula à petits pas profitant du brouhaha général et se dirigea vers la sortie, mince silhouette sombre encapuchonnée.

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