[Sainct Valentin] Declaration d'amour

Personne responsable : Darkdivina

Pour l'affiche, j'en prepare une pour mercredi soir au plus tard mais d'autres peuvent aussi en proposer!!
Dans l'affiche il faudrait dire que tout le monde peut participer, par écrit ou oral, en vers ou en prose, tout style et toute le monde est accepté!

Bonsoir Light.

Le 14 et le 15, je serais absente.
Je peux la lancer le 13 dans l'après midi?

Sans problème!

Sulfura a écrit:

SulfurA avec un a appris par une étoile, d’après un blond qu'il y a avait là un concours de déclaration. La jeune femme, réticente au tout début se laissa à poster son poème non pas pour le concours mais pour le plaisir d'écrire...


Pas à pas tu es entré dans ma vie pour m'offrir un avenir
Sans m'en rendre compte tu m'as tendu la main
Tu as balayé mes larmes d'un simple sourire
Nous frayant petit à petit notre propre chemin

Ce visage devenu terne s'est réveillée
Les vestiges du passé se sont envolés
D'un coup de vent tu as changé mon atmosphère
Tellement facile pour toi de m'offrir une nouvelle aire

Tu m'as bâti pièce par pièce cet empire d'un simple regard
Tu as percé cette carapace trop longtemps nourrie de peine
Mais nous venons de deux mondes différents, oui il est trop tard
Amour, amour, comment me défaire de toi qui m'a fait reine?


SulfurA ne chercha pas à relire ses lignes qui aujourd'hui lui faisait trop mal et s'en alla en pensant à lui....

Ca a l'air de plaire cette animation!!

Citation :

Qu’importe le passé quand mon cœur était en miettes, mon âme en guenilles, mes genoux en sang, mes trous de mémoire, mes lapsus, mes absences. Il manquait à ma vie ce que la tienne apporte.

Il me fallait cette eau, la montagne au-delà et le sous-bois derrière pour être ce que je suis.
Il me fallait ces rives, sa petite île et ses cascades pour écrire aujourd’hui.
Il me fallait le roc, l’herbe verte et la neige.
Il me fallait ces fleurs, ces oiseaux, ces nuages.
Aujourd'hui je t’emmène à la source, nous goûterons les mûres, le coeur des amandiers et le baiser des framboises
J’atteindrai la berge, je crierai ton nom et nous déplierons les mots dans le coffre du coeur.

Aujourd'hui tu recouds d’un regard tout mon ancien désordre.
Grâce à toi j'ai desserré les heures, coupé le fil des choses, brisé la chrysalide, et dans la grande nuit du monde, ma seule veilleuse est celle que tu allumes.
Je suis la terre couleur de ciel, la fraîcheur des feuilles sous le bleu de la pluie, l’infini qui éclot dans le regard des choses, la braise qui demeure dans la cendre des jours. J’ai parlé de toi aux oiseaux, aux plantes, à la montagne, à tout ce qui m’environnait. J’ai alors apprivoisé le vent, lui demandant d’aller jusqu’à toi pour t’envelopper d’un souffle caressant et de te rapporter dans un murmure les paroles d’amour dont je l’avais chargé.
Nos regards bout à bout atteignent l’horizon
Tu es là, debout dans mon regard, à l’abri de ma voix, dans la chaleur de mes bras et aujourd'hui, je fonds en larmes, en jubilations, en remerciements et toute la pointe aigue de mon âme vibre vers toi..

Je t'aime Hardryan !

Penelope

Citation :

Le duc de Queyras avait dit à son aimée qu'il viendrait concourir avec elle pour l'activité de la déclaration d'amour... Il était un peu en retard, maiiiiiiiiiiis.... L'amour pardonne bien des choses à ce qu'on dit, alors après qu'un petit oiseau lui ait murmuré qu'il se prendrait un bigorneau par la tête s'il n'allait pas là où il devait, il se fit un plaisir d'aller le faire, car après tout, déclarer sa flamme à l'élue de son coeur n'a rien d'un fardeau et tout d'un bonheur surtout après avoir entendu des mots aussi doux et touchants que ceux qu'elle avait récité quelques instants plus tôt.

Arrivant donc tout près de sa belle, le Montagnard posa genou au sol théâtralement, lui prit la main, un sourire aux lèvres ne l'ayant pas quitté depuis l'instant où il était arrivé. Se râclant la gorge, il entreprit ensuite de faire son discours, et tant pis pour ceux qui ne l'aimeraient pas!

Je t'aime! Je t'aime! Je t'aime! Je le déclare, je t'aime Pénélope!

Je le déclare comme l'on déclarerait un vol, car oui c'est un vol pur et simple que tu as commis dans ma vie. Tu m'as volé l'ennui, tu m'as volé la morosité, tu m'as volé la solitude de l'être malheureux et peiné et tu l'as disséminé derrière moi, derrière nous sur le chemin de croix que nous avons parcouru ensemble pour en sortir heureux et surtout, tous les deux. Je t'aime, comme ton prénom, ce mot Amour, je le déclarerai toute la vie, je le chérirai comme je te chérirai je le réciterai en prière car tu es une bénédiction du ciel, un ange, mon ange, toi qui fait mon paradis sur Terre. Pénélope mon Amour. Des mots tu m'en as écris mille et dix mille, tu m'en as dit dix fois plus et je suis prêt à en lire et en entendre des centaines de millions... Car je ne me lasse pas. Je ne me lasse pas de t'aimer sans demi-mesure, d'entendre nos coeurs à l'unisson battre à la démesure de l'immensité de notre Amour. Je ne me lasse pas de ces rayons de miel, de ces alvéoles de bonheur, de toutes ces petites choses comme les grandes que nous partageons et construisons de nos mains, de nos yeux, de nous deux, ensemble tout est possible. Je te le déclare Pénélope, c'est avec toi que je veux tous les aujourd'hui de ma vie et tous les demain et matins, toi, la gardienne de mon bonheur et la chérie de mon coeur. Je t'aime, ton tien pour toujours, Hardryan.


Se relevant en gardant les mains de son aimée dans les siennes, le Montagnard n'avait d'yeux que pour elle, son regard fondu dans le sien, elle était tout ce qui importait.

Hardryan

Citation :

Un loqueteux au visage gonflé par trop de coups reçus trainait misérablement dans cette capitale bien éloignée de la sienne, il n'était pas genre à parler mais plutôt à grommeler si tant est qu'il fût de bonne humeur.

Une affiche au loin et un regard distrait pour titiller le bourru


Une lettre d'amour ?
Diantre... C'est qu'il en avait de l'amour à donner, pas du mielleux, pas du "verveux" mais bel et bien de l'amour selon sa conception toute personnelle.
C'est donc sans retenue qu'il se lança dans une ôde à l'amour

Sur un fil de soie à jongler au dessus d'un précipice
Je me décide, moi, Mirwais, Roi d'une falaise abrupte
A m'ouvrir à toi, citadin d'un vaste Royaume

Poing sous le menton, je te jauge de ma curiosité
Et me décide à te parler dans un premier temps
A Montauban, la ville des réformés

Tu m'accueilles chaleureusement et pour te remercier
Je te donne mon coeur pour te servir
Une bataille suffit et me voilà salis par trop de sang infligé par l'ennemi

Alors, au sol gisant, je te croise, toi, belette lascive
Et de tes mains expertes, tu me relèves et me proposes de te suivre
Un voyage suffit et me voilà coincé dans une ville au doux nom de Genève

Assiégée, tu m'apprends à me nourrir d'amour et d'eau fraîche
Enfin, surtout d'eau fraîche car là encore, c'est de guerre qu'il s'agit
De pierre, je me contente et de misère, je survis

Une fois envahie, de Genève, il ne reste que la folie
Alors, dans un dernier sursaut d'énergie
De m'enfuir je choisis

Bâton en main, je ne désespère pas, au détour d'un chemin,
De te croiser citadin, et ô miracle, je t'aperçois à l'horizon
Un sourire suffit et de tes coups, je m'effondre tandis que de mes sous tu fécondes

Alors, encore, gueule en sang, je lève la main
Et là, généreux donateur du Dauphiné, tu me souffles qu'un bandit
N'a pas sa place ici

De tes geôles, je m'extasie et de tes attentions je m'attendris
Plus rien en poche si ce n'est le souvenir de ton pied sur ma trogne
En milicien, pour finir, on te travestit le temps d'une nuit

Aujourd'hui, citadin, de te découvrir,
je n'en ai plus envie
Non pas que tu m'ennuies

Mais, du haut de ma falaise
Malgré le précipice qui m'appelle
On y prend moins de coup et on perd moins de sous...

Un souffle plus tard, le loqueteux, par son oeuvre ébahi, repartit en grommelant persuadé qu'à défaut d'être riche et bien portant, qu'au moins, d'un grand poids, il s'était soulagé. Il salua les personnes présentes et se dirigea vers une ruelle puante dans l'espoir que cette nuit, il éviterait la prison et trouverait ne serait-ce qu'une miette de pain pour remplir sa carcasse vide et quelque peu affaiblie par trop de coups reçus...
Des beaux rêves plein la tête...

Euh...Light???

On garde? Parce que oui c'est original...

Citation :

mon amour ce message t'ai destiné

je veux que tu sache que je t'aime
mon amour pour toi est telle que je te veux a mes coté pour la vie
tu ai douce , adorable , gentil , belle , attentive , je n'ai même pas de mots
tu as ouvert mon cœur , tu en ai la clef

il faut laissé parler les gens , notre vie ne les regardes pas
ce qui compte c'est toi , tu ai mon essentielle
je t'aimais , je t'aime , et je t'aimerais
ton amour pour moi me suffit pour vivre
ton souffle , ta douce chaleur , ton cœur qui bat pour moi
ceci fait mon bonheur et ma joie de vivre

je t'aime , je t'aime , je t'aime

https://www.youtube.com/watch?v=ZBFo9XCmSXs

et hors de ma déclaration , pour ceux que sa dérange , mon amour pour toi

https://www.youtube.com/watch?v=V2TZS70hRTc

Jusaoclu

Citation :

Mon Ange tu te reconnaitras ,

Mon Amour , je t' Aime avec un grand A ,
Mon coeur ne bat que pour toi et s' éveille chaque jour avec joie et amour ,
Je t' Aime plus que tout ,
Ma vie sera avec toi pour la vie ,
Je t' Aimeeeee,
Notre Bonheur est notre vie ,
Si cela plait a personne ,
On s' en fiche , on s' aime et ca a jamais .


Je t' Aimeeeeeeee mon Ange et suis heureuse d étre a tes cotés .

Citation :

Julia arriva et écrivit<. Elle savait que les fetes étaient passées mais elle recopia le message qu'elle avait reçu et qu'elle adorait.

Ferme les yeux, le temps s'en va
et si tu veux reste avec moi.

Nous deux sous les étoiles sur les montagnes sous les étoiles
ensemble hissons les voiles comme un signal hissons les voiles.

Par milliers tes baisers
te diront avec le vent,
les oiseaux: bonne nuit
bonne nuit.…

Par millions…
les poissons
te diront avec les vagues,
les sirènes: Julia
Julia.

Puis Julia écrivit le message suivant :
Merci pour ce magnifique poème mon admirateur.

Julia

Citation :

C'est la mine défaite et les yeux bouffis que Colombine se présenta à une Dark en colère.

Si çà ne dérange pas, j'aurai aimé déclamer ces quelques vers à mon défunt amour, Léon Devirieux... lui susurra t'elle

Elle commença comme dans un cri...

Pour toi mon Léo!
Puis laissant couler ses larmes, elle déclama...


Une mélodie aussi mélancolique
que la douceur de ton sourire
je voudrais que l'on m'explique
pourquoi s’arrête mes soupirs?

Mes larmes au goût de miel
coulent sur ma peau si pâle
avec toi je me sentais belle
pourquoi au fond de moi j'ai mal ?

Je voudrais que tu m’emmènes avec toi
et qu'enfin heureux l'on soit
que mes larmes cessent de couler
quand sur mes lèvres tu déposeras un baiser

Parmi ces étoiles dans le ciel
un jour je te rejoindrai
et mes larmes au goût de miel
de mes yeux cesseront à tout jamais

A nouveau je serai la plus belle
dans le ciel avec toi je brillerai
que sur nos amis les plus chers nos âmes veillent
afin qu'ils sachent à quel point on les aimaient
et que pour nous c'est enfin une lune de miel...

Elle n'attendit son reste et partit presque en courant, soulagée d'avoir pu adresser ses quelques vers à feu son Léo.

Colombine

DarkDivina a écrit:

Et puis quoi encore? Tu ne veux pas non plus que je nettoie les murs du Castel?

Mettre un nom à côté du texte c'est franchement trop demander?