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Historique : Depuis 1151 Bréziers est propriété des archevêques d' Embrun ; en 1251 l' archevêque ajoute à son titre de prince celui de "comte de Guillestre, Beaufort et Bréziers". Les armoiries de Guillaume d' Hugues se trouvent également sur le presbytère

Guillestre:

Beaufort:
Beaufort Burelé, au canton chargé d'une croix dans un orle de merlettes.
Beaufort Champ plain et un franc-quartier chargé de trois écussons plains.
Beaufort D'argent, semé de billettes de gueules, au lion du même, brochant sur le tout.
Beaufort D'azur, à une femme de carnation, posée de front, habillée d'or, ceinte de gueules, les cheveux épars, tenant de sa main dextre un miroir ovale d'argent et issante des créneaux d'une tour d'argent, maçonnée de sable, ouverte du champ, la herse levée. Bourlet d'argent et d'azur.
Beaufort D'azur, à une femme habillée, posée de front, les cheveux épars, le tout d'or, tenant de sa main dextre un miroir ovale d'argent et issante des créneaux d'une tour d'argent, maçonnée de sable, ouverte du champ, sans herse.
Beaufort De gueules, à trois écussons d'hermine.
Beaufort De sable, à la fasce vivrée d'or, acc. de deux léopards du même armés et lampassés de gueules, 1 en chef et 1 en pointe, celui de la pointe contourné. (Une branche obtint la permission de prendre le nom et les armes de Gellenoncourt qui sont d'or au léopard de gueules Une famille Pigenet obtint le 22 sept. 1646 l'autorisation de prendre le nom et les armes de Beaufort.).
Beaufort D'hermine, à la bande coticée de gueules.
Beaufort D'or, à la bande coticée de gueules (V. Beaufort-Spontin.).
Beaufort D'or, à trois fasces de gueules.
Beaufort D'or, au chef de gueules, ch. d'un lambel de cinq pendants d'argent. Cri: WILTZ!.
Beaufort Écartelé: aux 1 et 4, d'azur, au lion d'argent; aux 2 et 3, de gueules, au lévrier d'argent.
Beaufort Supports: à dextre une aigle couronnée du mesme, à senestre une antilope d'argent, ramée d'or, semée de besants du mesme. Les flancs de l'écu accolés de deux plumes d'autruche blanches, le canon componné d'argent et d'azur.
Beaufort Supports: à dextre une aigle d'or couronnée du même, à senestre une antilope d'argent, ramée d'or, semée de besants du même. Les flancs de l'écu accolés de deux plumes d'autruche blanches, le canon componné d'argent et d'azur.
Beaufort Une croix plaine.


Bréziers:

Blason de Ceillac
D'argent au chevron de gueules accompagné de trois têtes d'aigle arrachées de sable, languées de gueules et allumées de sinople.





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Office tourisme Drôme:

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Châtillon-en-Diois, village médiéval aux belles tuiles romaines, est lové autour du rocher sur lequel était édifié un château qui donna son nom au village.

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Réservation pour les visites guidées uniquement
Plus haut donjon de France (52 m), dominant la ville, la tour de Crest est la gardienne d'une des rares portes des Préalpes drômoises. Outre son aspect historique, la Tour de Crest offre une vue panoramique exceptionnelle. Laissez-vous imprégner par l'atmosphère de la Tour, des aménagements scénographiques vous guideront dans son histoire. Expositions et tables d'orientation. Durée de la visite : 1h30. Visite guidée tous les jours sur rendez-vous.
Le plus haut donjon de France (52m) vous invite à revivre 900 ans d'histoire
A découvrir : le Donjon médiéval (XIIe-XVe) ; la Tour prison (XVe-XIXe) et le panorama exceptionnel

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Abbaye Notre-Dame de Valcroissant Vallée de la Drôme

Descriptif : Abbaye cistercienne du XIIème siècle, ruinée aux guerres de religion

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CHATEAU DE GRIGNAN Drôme Provençale

Descriptif : Ensemble de bâtiments des XVI et XVII Le plus bel exemple architectural du Sud-Est de la France. Rien ne subsiste du château primitif mentionné au XIe , ni de la puissante forteresse érigée par les Adhémar au XIIIe. Maintes fois transformé entre la fin du XVe et le milieu du XVIe, puis au XVIIe, le château féodal perd sa fonction militaire et devient un lieu de séjour et de résidence voué à l'agrément

Grignan De gueules, au chevron d'or. acc. en chef de deux croix pattées du même et en pointe d'une rose d'argent.

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CHATEAU DES HOSPITALIERS Drôme Provençale
Vieux village - 26160 Le Poët-Laval

Descriptif : Ancienne commanderie de l'ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem. Visite du château et du donjon

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Abbaye de Léoncel Vercors-Royans Drôme

www.amis-de-leoncel.com

Descriptif : Abbaye cistercienne fondée en 1137, avec un robuste clocher carré couronne d'une pyramide, typique de la région

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Romans sur Isère
- Collégiale St Barnard : Edifice roman et gothique, peintures murales des XIII° et XIV° siècles, exceptionnel ensemble de tentures du XV° siècle d'inspiration flamande, figurant des scènes de la passion du Christ.

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St Donat
- Collégiale des XII° -XVI° siècles.

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St Antoine l'Abbaye
- Abbaye chef d'ordre des Antonins, chanoines réguliers hospitaliers qui fondèrent des hospices dans toutes l'Europe pour lutter contre l'ergot du seigle.
Importante abbatiale gothique des XIIIe et XV e siècles.

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Abbaye de Valcroissant
Sur la commune et à six kilomètres du centre ville de Die, vieille cité voconce, romaine et médiévale, vestiges émouvants et suggestifs d'une abbaye cistercienne fondée en 1188.

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Abbaye d'Aiguebelle
Sur le plateau et la commune de Montjoyer, en Drôme provencale, autre monastère cistercien fondé en 1137.

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Château des Adhémar -

Descriptif : L'un des plus importants exemples d'architecture médiévale de la moyenne vallée du Rhône. Construit par les Adhémar de Monteil au sommet de la colline dominant la ville qui porte son nom (Montélimar signifie le petit Mont d'Adhémar). A l'intérieur de son enceinte défensive subsiste une chapelle du XIeme siècle et un logis du XIIeme siècle au décor exceptionnel.

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Temple et château de Pontaix Vallée de la Drôme
- 26150 Pontaix

Descriptif : Ruine du château du XIIIème s., chapelle surplombant la rivière avec fresques des XIIIème et XIVème s.
Dominant ce pittoresque village, se dressent les ruines d’un château-fort du XIIIème s. qui joua un rôle important pendant les guerres de religion

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CHATEAU DE ROCHEFORT EN VALDAINE Drôme Provençale

Descriptif : Château du XIIème siècle en partie rénové, chapelle du XIVème siècle.

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COLLEGIALE ST BARNARD Drôme des Collines
- 26100 Romans-sur-Isère

Descriptif : Pour les individuels : visites libres toute l'année. Visites guidées du 15 juin au 20 septembre.
Pour les groupes : visites guidées toute l'année sur réservation.
La Collégiale St-Barnard de styles roman et gothique doit son nom à Barnard, archevêque de Vienne (Isère) fondateur de la ville de Romans vers 837. Pendant huit siècles, les chanoines de la Collégiale exercèrent leur pouvoir sur la cité

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Collégiale et Palais Delphinal Drôme des Collines
- 26260 Saint-Donat-sur-l'Herbasse
Descriptif : Visite guidée de la chapelle des Evêques, de la collégiale , des salles du Palais Delphinal et du cloître. Durée de la visite : 1 heure.

Citation :

Monastère Saint Antoine Vercors-Royans Drôme
Font-de-Laval - 26190 Saint-Laurent-en-Royans

Dans l'écrin de verdure d'une vallée restée sauvage, un joyau d'art sacré : 600 m2 de fresques de style byzantin réalisées par un des meilleurs artistes russes contemporains

Citation :

Cathédrale Notre Dame Drôme Provençale
La cure Place de l'Esplan - 26130 Saint-Paul-Trois-Châteaux

www.office-tourisme-tricastin.com

Descriptif : Cathédrale de style roman provençal fin XII ème début XIII ème. Classée monument historique

Bressieux D'or, à la fasce écartelée d'argent et d'azur.
Bressieux (de) D'or, à la fasce échiquetée d'argent et de gueules.
http://bressieux38.free.fr/index.htm

Tullin Trois trèfles

Tullins en réalité, (il manque le "s" )
Baronnie...

Déjà, il a le château de Saint Crépy comme Vassal...

Sone (de la) Coupé d'or, à l'aigle de sable, membrée et couronnée de gueules, sur gueules à un mur maçonné ouvert d'une porte, le sommet de celle-ci disjoint et formant une porte. Supports: deux aigles
Ce n'est sans doute pas le bon blason pour 1454. Mais le fief existe.
Ancienne maison de La Reffreyrie, devenu ensuite château de la Sône.


Revel
ça existe, mais pour le blason...
Revel D'or, à un demi-vol de sable.
Revel D'azur, au chevron d'or, au chef du même.
Revel D'or, à un demi-vol de sable acc. d'une étoile d'azur, posée au canton dextre du chef.
Revel D'azur, à une fasce diminuée d'or en divise, à laquelle est pendue une cloche d'argent.
Revel D'azur, au lion d'or, tenant un rameau de chêne du mesme, et acc. au canton dextre du chef d'une étoile aussi d'or.
Revel D'azur, au chevron d'or, acc. en chef à dextre d'un soleil naissant du même, à senestre d'une étoile aussi d'or et en pointe d'une cloche d'argent.

Dans le courant du 13ème siècle, la seigneurie de Ravel qui comprend les paroisses de Revel, Saint Jean le Vieux, La Combe de Lancey, Saint Mury Monteymond, passe aux mains de la famille Allemand.
Baronnie donc... et les paroisses deviennent seigneurie.


Bresson D'argent, à un écusson d'azur en abîme, ch. d'une épée d'or, en pal.
Bresson D'azur, à une flèche de gueules, posée en pal, la pointe en bas, au sautoir alésé d'or, brochant sur la flèche, accosté de deux croissants du même et ch. sur ses extrémités de quatre étoiles de gueules.

Armorial des Chevaliers Dauphinois tués à la bataille de Verneuil en 1424

http://gillesdubois.blogspot.com/2005/12/armorial-des-chevaliers-dauphinois-tus.html

Jean de GENAS. Ecartelé au 1er et 4e d'or au genêt à quatre branches passées en double sautoir de sinople; au 2e et 3e de gueules à l'aigle éployée d'argent

Genas à côté de Meyzieu.

Soit c'est une vassalité de Meyzieu, soit ce sont deux seigneuries.

Enfin, c'est serré dans ce coin.

+4, j'ai pas fais exprès.

Bourdeaux D'azur, à la fasce d'or, ch. d'une fasce ondée d'argent et acc. en chef d'un soleil d'or
Marsanne De gueules, au lion d'or, au chef du même, ch. de trois roses du champ.
Roybon (de) D'or, à cinq pals flamboyants de gueules, au chef d'azur, chargé d'un soleil d'or, accosté de huit larmes du même, rangées de chaque côté.
Vinay D'or, à une pensée de sable, tigée au naturel.
Vinay De gueules, à une tour d'argent

Saint Donat-sur-l'herbasse

http://www.geneawiki.com/images/1/16/26301_-_Blason_-_Saint-Donat-sur-l_Herbasse.png

Fief de Saint-Etienne en Devoluy:

Le Dévoluy fit d'abord partie du fief des comtes de Die, passa aux Aix-Artaud de Montauban en 1176, puis fut démembré. Les Flotte en 1500, les Clermont en 1522, les Prunier en 1558, les Bonne en 1600 y acquirent des droits, mais l'hôpital d'Embrun acheta, en 1729, la moitié de la seigneurie de Saint-Etienne et la conserva jusqu'à la Révolution. La paroisse de Saint-Etienne a été fondée par Laugier 1er de Mévouillon, évèque de Gap au XIe siècle, et confiée au prieuré clunisien de Saint-André de Gap. Le territoire de Saint-Etienne était défendu du côté du Dauphiné par les étroits de la Souloise et, en arrière de ceux-ci, par un très ancien château dont la motte est encore discernable. Au XIIe siècle, les comtes de Die, ou les Aix-Artaud, firent construire, au col du Noyer, des fortifications pour se garder contre l'évèque de Gap. On en voit encore quelques traces au lieu-dit "Le Barri". La commune de Saint-Etienne porte encore des armes symbolisant le martyre de Saint-Etienne, son patron : une pierre et deux palmes , dans un décor de montagnes.

(http://www.alpes-guide.com/sources/decouverte/histoire.asp?phistoire=48)

La région de Saint-Etienne doit son rattachement à la région Rhône-Alpes, région avant tout économique, à son passé de grande ville industrielle. Certes historiquement liée à l'ensemble Lyonnais, Forez, Beaujolais, qui ne faisait qu'une entité administrative jusqu'à la Révolution, elle n'en reste pas moins fortement enclavée et enfermée dans ses contradictions.

Ville de montagne posée sur les contreforts du Massif central, elle a aspiré tantôt à un rapprochement - parfois contraint - avec sa voisine lyonnaise, tantôt à une indépendance qui la portait à se tourner vers le Nord, c'est-à-dire vers Paris ou vers... l'Auvergne.

Ainsi, le bassin stéphanois appartient au Massif central tout en constituant, à plus vaste échelle, une transition Nord-Sud.

On peut retrouver là l'ambiguïté de la position stéphanoise, notamment par rapport à Lyon : identité avec le Nord, liens économiques obligés. Saint-Etienne se place très volontairement sous la bannière royale, divergences que l'on retrouve dès le Moyen Age dans le problème du partage des terres entre le Comte de Forez et l'archevêque de Lyon.

En 1926, le Bulletin de la Chambre de commerce de Saint-Etienne écrit : « Nous reprochons à Lyon ce que Lyon reproche à Paris et demandons la décentralisation même en Province ».

En fait, la situation est plus complexe car il existe une véritable « région économique » révélée par des filières complètes de production depuis les matières premières jusqu'au produit fini prêt à la consommation. De nos jours, la filière aciers spéciaux-machines outil-électronique-robotique en constitue l'un des cas les plus frappants. C'est par exemple la profonde mutation de la métallurgie stéphanoise qui va servir de point de départ au développement du capitalisme en Rhône-Alpes sous la forme de la « grande industrie ».

A l'image de la légende des « métallurges », hommes mystérieux vivant au fond de la forêt, Saint-Etienne est une ville au climat rude et fut longtemps surnommée « ville noire » du fait de ses activités industrielles, de l'atmosphère de pollution qui y régnait, mais aussi de l'omniprésence d'une population ouvrière tout à fait rebutante pour une bourgeoisie soucieuse de concilier gestion des affaires et plaisirs esthétiques.

Saint-Etienne est restée ainsi largement méconnue et peu de Français imaginent qu'elle figure démographiquement parmi les dix premières villes de France. Comme si, inconsciemment, l'on s'aperçevait qu'il n'y avait a priori aucune condition favorable au développement d'une grande ville sur le site de la vallée du Furan.



A une altitude d'environ 550 mètres, Saint-Etienne s'allonge dans la vallée du Furan, du crêt de Saint-Priest (Nord) aux hauteurs du Guizay (Sud, Parc naturel régional du Pilat).

Elle est enfermée dans une dépression - un dépôt carbonifère : au sud, les contreforts du Pilat (Rochetaillée, le Guizay - aux environs de 1.000 mètres) sont profondément entaillés par les cours d'eau ; le nord est bordé par la butte de Saint-Priest et Montreynaud ; l'ouest est dominé par le plateau de Roche-la-Molière. A l'Est s'élèvent les premiers contreforts des Monts du Lyonnais.

On accède à Saint-Etienne :

- de Lyon par la vallée du Gier (col de Terrenoire à l'Est) ;

- du Puy-en-Velay (route de Toulouse) par la vallée de l'Ondaine (col de la Croix-de-l'Orme à l'Ouest) ;

- de Roanne (route de Paris) et de Clermont-Ferrand par la plaine du Forez (entre les hauteurs de Saint-Priest et de Montaud, par la vallée du Furan au Nord) ;

- de la vallée du Rhône (au Sud), par la route qui traverse le massif du Pilat (vallée en amont du Furan et col de la République).

Un cours d'eau : le Furan
Le Furan prend sa source à 10 kilomètres en amont de la ville, au Bessat, dans le Massif du Pilat. Sa pente s'atténue dans la traversée du bassin houiller et devient même marécageuse aux pieds de Saint-Priest (le Marais).


De nombreux affluents
Saint-Etienne est située au coeur d'un réseau hydrographique particulièrement riche. Le Massif du Pilat y joue le rôle de véritable château d'eau. Plus de quinze cours d'eau sont recensés sur le territoire communal.

Le Furan et ses nombreux affluents, déblayant les parties tendres, ont formé les collines. Cet ensemble offre un réservoir d'eau et une force motrice à une température excellente pour le travail des aciers.


Entre terre et eau
Si a priori, peu de conditions favorables prédisposaient à la naissance d'une grande ville, on doit reconnaître que la force des eaux du Furan a permis le développement, dans tout le pays stéphanois, de nombreux moulins qui ont alimenté une importante activité métallurgique.

La proximité du fleuve Loire permettait l'exportation du charbon vers le Nord. La présence du canal Rhône-Loire, projeté au milieu du XVIIIe siècle, aurait fait de Saint-Etienne une « ville d'eau ». Mais paradoxalement, le développement du chemin de fer, le premier réseau français, a réorienté cet élan, faisant provisoirement du pays stéphanois l'une des régions les moins enclavées, ceci en pleine Révolution industrielle...

(http://www.emse.fr/AVSE/site.htm)