Annonces / invitations / Evénements

Sur demande de notre porte-parole :

Citation :

Le bonjour dame Porte-parole,

Pouvez-vous inviter l'illustre ban du Dauphiné à ce grand événement ? Nous vous y attendons vous également, avec joie.

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Cordialement,

S.G. Marc-Antoine di Leostilla,
Duc de Nice, etc.

- Pour ma part, puisque j'avais reçu une invitation personnelle, j'ai répondu qu'on ne me verrait pas mettre les pieds dans un duché qui signe des traités avec les cantons brigands.

Citation :

De Lafa de Bussac, Reyne de France & d'Elias Juliani Fauville de Talleyrand Cheroy, Empereur du Saint-Empire Romain Germanique,
À tous ceux qui la présente, liront, ou se feront lire,


La dernière déclaration commune de la Couronne française & la Couronne impériale signifiait la nouvelle prorogation de la trêve conclue quelque quinze mois plus tôt. Cette décision de cessation des combats assortie de l’organisation de négociations de paix faisait suite au conflit opposant royaume de France & Saint-Empire depuis le printemps mille quatre cent soixante-trois. Il y a deux ans, à peu de choses près.

Deux ans qui ont vu les alliés historiques d’hier se confronter, aussi bien par la lame que par le verbe. Deux ans durant lesquels se sont succédé attaques & batailles sur le sol de nos deux pays; trêve de maintes fois renouvelée & émaillée d’accrocs; dialogue constant malgré les blocages; tractations mâtinées d’incompréhension. Il y aurait beaucoup à en dire & d’aucuns ne s’en priveront pas.

En ce jour, nous nous contenterons de faire savoir que c’est pour annoncer la conclusion de la paix entre nos deux pays que nous faisons de nouveau rédaction commune. La paix, toujours espérée malgré le temps écoulé, est, à compter de ce cinq avril.

Cette paix que nous annonçons à nos peuples & au monde se manifeste par la promulgation subséquente d’un traité-cadre. Un tel texte était nécessaire afin que de régler les litiges ayant abouti à la guerre ou en étant issus, de poser le cadre de relations & d’une collaboration renouvelées & de fonder cette nouvelle ère apaisée sur la primauté du dialogue & de l’échange. Ainsi est né le traité dit « Paix perpétuelle de Strasbourg », accord général assorti de quelques applications concrètes.

& parce que cette paix ne peut se contenter de solder le passif & d’énoncer des principes – pas en regard de notre histoire commune, pas après l’ampleur & la gravité du conflit, pas après la durée importante des pourparlers – nous n’atermoyons pas pour la rendre tangible. Ainsi édictons-nous d’ores & déjà deux traités annexes, l’un dit « Paix de Mercure » consacrant le tracé de la frontière franco-impériale, l’autre dit « Paix de Neptune » établissant une coopération navale.

Car que la paix, cette paix entre royaume de France & Saint-Empire, se signe, mais surtout, elle se vit. Elle n’est donc pas une fin, mais bien au contraire les prémices d’un avenir empli de possibles.


Donné le cinquième jour d'avril mille quatre cent soixante-cinq.


Pour le royaume de France,



Pour le Saint-Empire romain germanique,

Pour moi ce n'est pas une très bonne nouvelle...j'espère que sa famille avait exploré toutes les pistes...

Citation :

LYONNAIS-DAUPHINÉ / DÉSHÉRENCE D'UN FIEF DE MÉRITE

[hr-dotted=50]

A tous ceux qui la présente liront ou se feront lire,

Nous, Eléïce de Valten, Maréchal d'Armes Royal de France dicte Phylogène, faisons savoir :

Que conformément aux textes & coutumes héraldiques, nous faisons acte de la disparition d'Anne Blanche Cornedrue d'Ambroise*, Dame de La Mûre.

Considérant le Chapitre VI des Loys Héraldiques, dictes "Codex Levan" en vigueur dans le Royaume de France, et la volonté de la famille d'Ambroise de procéder à la succession anticipée,
Considérant que la défunte n'a aucun testament enregistré à son nom en Hérauderie Royale de France,
Considérant son mariage avec feu Homme_des_bois, et considérant leurs deux enfants Sylvain_d_aupic et Anne_marie_d_aupic, aujourd'hui également portés disparus et donc incapables d'hériter,

Nous faisons acte de la déshérence et saisie féodale du fief de La Mûre, sis en Lyonnais-Dauphiné.

En conséquence de cela, ce fief retourne dans le giron de la province dont il dépend et pourra être de nouveau octroyé en récompense de mérites et hauts faits.

Qu'il soit su par la même que le lien vassalique est de facto rompu avec les vassaux de ces terres. Les seigneuries vassales retournent donc dans le giron des fiefs dont elles dépendent afin d'être de nouveau octroyées selon le bon vouloir de leur nouveau suzerain.

Faict et scellé à Paris, le 31 août 1465.

[* IG : Anne_blanche]

Mince

Grmbl de grumf.

- Ma mère, la vicomtesse de Riverie et dame de La Motte Saint Martin est décédée. Les obsèques auront lieu dimanche à Saint-Denis, si certains d'entre vous souhaitaient s'y rendre.

Toutes mes condoléances, votre altesse ...

Recevez mes sincères condoléances , votre altesse

Toutes mes condoléances pour le décès de votre mère.

Recevez mes félicitations pour la naissance de votre fils et mes condoléances pour le trépas de votre mère.

Sa Majesté la Reyne n'est plus.

Citation :

«Le vrai tombeau des morts, c'est le coeur des vivants.»

A l'attention du loyal Peuple de France,
Aux Vassaux & aux Officiers du Royaume de France,
A tous ceux qui liront ou se feront lire,

De nous, Alvira de la Duranxie, Dauphin de France,
Et Acrisius de Beauharnais, Grand Maître de France,

Pleure, ô France, ta Souveraine !
Que sonne un funèbre tocsin,
L’ultime ennemi encor vainc :
Cette nuit a péri ta Reine.


L’aube de ce jour nous apporte un deuil nouveau. Sa Majesté Keyfeya Romanova de la Serna s’est éteinte hier soir après un tragique accident. Elle qui fut une Reyne admirée & audacieuse, une épouse aimée & aimante, une mère attentionnée, une femme fière & fidèle a désormais rejoint le Créateur. Nous réservons nos plus sincères prières pour son âme. Puisse-t-elle trouver sa place au Paradis solaire aux côtés des grandes figures qui l’y ont précédée.

Nos pensées vont naturellement à sa fille Yeleyna Romanova ainsi qu'à son époux, Origan de la Serna, & leur fils nouveau-né Arthur-Laurier, dit César.

Si l'horreur de sa fin tragique nous saisit tous, tant par sa soudaineté que par l'amour porté à notre Reyne, la France se doit de rester unie et tout aussi fière & forte que l'incarnait jusqu'alors sa représentante. Notre cohésion et nos valeurs ne seront point en berne bien que nos cœurs sont meurtris. & si nous invitons le peuple de France à pleurer sa Reyne et la perte de sa grandeur d'âme, nous l'enjoignons à conserver foi en la Couronne & à œuvrer toujours plus pour elle afin que rayonne par-delà les âges l'esprit de grandeur & de loyauté qui rassemble les sujets du Royaume de France.

Que jamais il ne s'efface.



Créateur, accueille la Reine.
Quand point l’hiver, meurt Keyfeya
Sombre douleur, tragique émoi !
Pleure, ô France, ta Souveraine.

Rédigé, signé et scellé au Louvre, le 3 décembre 1465.

Alvira de la Duranxie
Dauphin de France



Acrisius de Beauharnais
Grand Maître de France

Citation :

DECLARATION DE DEUIL ROYAL



Suite à l'annonce d'Alvira de la Duranxie, Dauphin et Régente de France et d'Acrisius de Beauharnais, Grand Maître de France, nous, Mélissandre de Malemort Armantia, Grand Chambellan de France rappelons les convenances en matière vestimentaire & les dispositions prises pour les Grand & Petit deuils.

Citation :

Durant le Grand deuil , dont la durée est de six jours, soit jusqu'au 8 Décembre 1465 inclus :

- Leurs Altesses les fils et filles des Souverains royaux porteront du pourpre.
- Les hommes porteront des tenues modestes de noir ou de blanc.
- Les femmes porteront des tenues modestes de noir ou de blanc & seront voilées.
- Les épées seront portées avec un ruban de deuil.
- Les blasons nobles seront portés en noir & blanc.
- Le peuple sera vêtu autant que faire se peut sans couleur, donc en noir &/ou blanc. S'il ne peut se le permettre, il portera un tissu blanc &/ou noir à la taille [hrp: une bande blanche & noire sur la bannière ou l'oriflamme]
- Les bijoux, parures sont bannies.

Durant le Grand deuil, toute cérémonie est proscrite, à l'exception des funérailles royales. Une veillée se tiendra à compter de demain au sein de la chapelle royale du Louvre.

Durant le Petit deuil, dont la durée sera de vingt jours après l'entrée en Grand deuils, soit jusqu'au 23 Décembre 1465 inclus :

- Leurs Altesse les fils et filles des Souverains royaux continueront de porter le pourpre.
- Les hommes & les femmes porteront des tenues modestes de noir &/ou de blanc.
- Si les blasons retrouvent leurs couleurs, les nobles doivent porter en sus un tissu blanc &/ou noir à la taille [hrp: une bande blanche & noire sur la bannière ou l'oriflamme]
- Le peuple devra autant que faire se peut, s'habiller de façon claire.
- Les bijoux, parures sont bannies.

Concernant les allées & venues de la cour en le Palais Royal du Louvre [hrp : Forum I & Forum II] tous devront porter le deuil comme détaillé ci-dessus. Quiconque & sans distinction y contreviendrait ne sera pas admis au Palais durant les périodes de deuil. Toute autorité est donnée à l’Office des Huissiers Royaux & de l’Office de la Chambre Royale pour le respect de cela.

Durant le Petit deuil, les cérémonies peuvent reprendre leur cours, dans la réserve & la décence qui sied à un deuil.

Rappelons au Chancelier de France que par usage & tradition, & aux fins de marquer la pérennité de la justice en le Royaume de France, il ne portera pas le deuil de son Roi.

Afin d'aider le peuple de France à porter dignement le deuil royal, la Maison Royale met à disposition différents rubans de tissu noir et de tissu blanc.

Rédigé, signé et scellé au Palais du Louvre le troisième jour du mois de Décembre de l'an mil quatre cent soixante-cinq.

Voici pour information. Elle avait beaucoup travaillé à la douane dans l'ombre. Elle a disparu aussi discrètement.

Citation :

CERTIFICAT DE SUCCESSION ANTICIPÉE

Moi, Eléïce de Valten dicte Phylogène, Maréchale d'Armes Royale :

• Prends acte de la disparition de Gaelle de Montestier*, Dame de Morestel, depuis le 8 octobre 1464 ;
  
• Considérant l'absence de mariage légitime reconnu ainsi que de descendance ;
  
• Que la famille de Montestier a été consultée via son chef de famille Poucelyna de la Mirandole-Montestier et qu'elle a donné son accord joint à ce document ;
  
• Considérant qu'aucun testament n'a été enregistré pour la disparue ;
  
• Considérant les lois héraldiques en vigueur dans le Royaume de France dictes Codex Levan et plus précisément les Chapitres VI correspondant au lignage noble et à l'hérédité, ainsi que le décret concernant les disparitions datant du 21ème jour de juillet de l'an de grâce MCDLXI ;
  
• Acte la déshérence du fief de Morestel mouvant du Lyonnais-Dauphiné ;
  
• Entérine par la même, la commise dudit fief par la province.

Scellé le XXXème jour de décembre de l'an de grasce MCDLXV.




[*IG : [char]Gaelle[/char] ; [char]Poucelyna[/char]]

Spoiler:

Je suis encore triste aujourd'hui de vous apprendre la nouvelle... encore une page qui se tourne pour les plus anciens d'entre nous.

Citation :

CERTIFICAT DE SUCCESSION ANTICIPÉE

Moi, Eléïce de Valten dicte Phylogène, Maréchale d'Armes Royale :

• Prends acte de la disparition de Charles de la Croix de Bramafan*, Baron de Montmeyran, Seigneur de Savigny-sur-Orge et de Claveyson, depuis le 14 mai 1465 ;
  
• Considérant son légitime mariage avec feue Lisa-Marie de Penthièvre* dont naquit Clelia de la Croix de Bramafan - Penthièvre ;
  
• Que la famille de la Croix de Bramafan a été consultée via un membre du Conseil de famille formé pour l'occasion composé de Clelia de la Croix de Bramafan - Penthièvre et qu'elle a donné son accord joint à ce document ;
  
• Considérant qu'aucun testament n'a été enregistré par le disparu ;
  
• Considérant les lois héraldiques en vigueur dans le Royaume de France dictes Codex Levan et plus précisément les Chapitres VI correspondant au lignage noble et à l'hérédité, ainsi que le décret concernant les disparitions datant du 21ème jour de juillet de l'an de grâce MCDLXI ;
  
• Acte l'héritage de la Baronnie de Montmeyran, sise en Lyonnais-Dauphiné, des Seigneuries de Savigny-sur-Orge sise en Ile-de-France et de Claveyson sise en Lyonnais-Dauphiné en faveur de Clelia de la Croix de Bramafan - Penthièvre ;
  
• Précise que la nouvelle baronne et dame ne pourra jouir des droits, usufruits et devoirs afférant au dit fief qu'après prime hommage et allégeance et l'invite donc à prendre contact avec les héraut en charge des marches concernées ;
  
• De même que si des seigneuries vassales de ladite baronnie sont octroyées, le lien vassalique est de facto rompu, elles retournent donc dans le giron du fief dont elles dépendent.

Scellé le Xème jour de janvier de l'an de grasce MCDLXVI.




[*IG : [char]Strakastre[/char] ; Fifounijoli ; [char]Clelia[/char]]

Spoiler:

Citation :

[hr=50]

SUCCESSION NOBILIAIRE

DÉCÈS

[hr=25]

A tous ceux qui liront ou se feront lire,

Au regard des lois héraldiques en vigueur, chapitre six, article trois, en présence d'un contrat de mariage valide, les titres sont dévolus selon les conditions du dit contrat,
Et sachant,


• Le trépas de Rosalinde Wolback-Carrann*, Vicomtesse de Riverie, Dame de La Motte-Saint-Martin, de Foulletorte et de Brétigny.
  
• Que le défunt a convolé en juste noce avec June Sidjéno**.
  
• Que le défunt a eu un hoir légitime & majeur, Madeleine de Firenze***.
  
• Que le défunt a désigné son époux & sa fille comme héritiers.


Nous déclarons, June Sidjéno :


• Héritier du vicomté de Riverie mouvant du duché du Lyonnais-Dauphiné.


Et, Madeleine de Firenze


• Héritière de la seigneurie de La Motte Saint-Martin mouvant du duché du Lyonnais-Dauphiné.


Au regard des lois héraldiques en vigueur, chapitre six, les seigneuries issue du mérite ne sont pas transmissibles,


• Nous actons la déshérence de la seigneurie de Foulletorte mouvant du Vicomté de Evron sise à la province du Maine & de la seigneurie de Brétigny mouvant de la Baronnie d'Auneau sise à la province d'Orléans.


Au regard des lois héraldiques en vigueur, chapitre un, article trois, la vassalité est un lien entre deux personnes (suzerain & vassal),
Au regard des lois héraldiques en vigueur, chapitre un, article trois, le serment vassalique est nécessaire pour prendre possession de ses fiefs,
Dès lors :


• Les héritiers pourront arborer les armes et se prévaloir du rang et titre qu'après prime allégeance en bonne et due forme.
  
• Nous intimons aux héritiers de prendre contact avec le héraut royal en charge de la marche de la province dont sont mouvant leurs fiefs afin de remplir les devoirs et obligations relatifs à leur héritage.


Au regard de la réforme partielle des Lois Héraldiques du Royaume du 11 avril 1465, lorsqu'un fief suzerain n'a plus de titulaire le lien contracté entre le suzerain et ses vassaux est rompu de facto.

[hr=30]

Afin que nul ne puisse contester cette décision, Nous signons et scellons de notre main.
Elisabeth Stilton, Maréchal Royal d'Armes, dicte Mnémosyne.
En ce jour, le 11 janvier 1466.

[*Rosalinde, **June & Madeleine_df]

Grumf.
Nous avions nos désaccords mais ... Strakastre, quoi ...