L'herbe humide leur faisait une couche moelleuse, mais Zoyas ne voyait que la beauté des goutelletes traversées par le soleil couchant.
Elle voyait des étoiles à présent, de ses yeux, dans son coeur, dans son corps...
Leurs corps étaient scéllés l'un à l'autre, seuls les vêtements les séparaient... Lorsque Thierry effleura le dos de Zoyas de sa main, celle ci ressentit un long frisson dans tout le corps. Les yeux fermés, elle respirait l'odeur de son amour, et goûtait au doux parfum de l'ivresse des sens.
Elle rouvrit les yeux et fixa Thierry, s'aprettant à lui révéler un secret sur elle même, lorsqu'elle entendit des bêtes hurler...
Qu'est ce que ca peut bien être ??? ahhhhhhhhh ! Les moutons qui ont perdus les joutes, pour le méchoui !!!
Zoyas se releva alors, regardant Thierry avec envie mais pudeur, lissa sa chemise, ses braies, et lui dit, faisant mine den'avoir point vécu cet interlude :
Bien, le bois, tu prends ta hache, moi je cherche si quelqus stères ne sont pas déjà au sol ?