D'une réponse aux accusations du Pair de France Argael Devirieux

J'ouvre une nouvelle discussion, ce qui permettra d'ouvrir un nouveau sondage sans supprimer le précédent.

Je suppose que vous avez tous vu la missive publique du Pair de France Argael, à moins que vous ne soyez aveugles, au vu du nombre de copies ayant été déposées aussi bien en place publique qu'en ces lieux (Salon du Gouverneur, AN, Salle des doléances, etc...).

Puisque comme vous le savez tous la position adoptée est celle du Conseil Ducal, pas la mienne, que la réponse à la Saisine de la Pairie était adressée au Conseil Ducal également, que sa lettre à lui est adressée au Conseil Ducal, etc... qu'en résumé, le tout concerne le Conseil Ducal et pas le Gouverneur, il me semble pour le moins logique que la réponse à tout ceci soit une réponse du Conseil Ducale, et pas de ma propre personne.

Je propose ceci comme réponse, et j'aimerais que celle-ci soit votée.

J'ouvrirai le vote vers 19h00, afin de vous laisser à tous un minimum de temps pour proposer des modifications.

Je sais, je vous presse à nouveau, mais bon, je ne pense pas que cela serve à quelque chose de laisser les choses s'envenimer encore plus.

Citation :

A Sa Majesté Levan de Normandie, Roy de France et notre Suzerain,
A Leurs Seigneuries de la Très Noble Chambre des Pairs de France,
A Sa Seigneurie Argael Devirieux, dict "le Fier", Pair de France, Premier Secrétaire d'Etat, Vicomte du Monestier de Briançon, Baron de la Tour du Pin, Seigneur de Saint-Giraud,
A tous ceux qui la présente lirons et ouïront, salut et paix!

Etant donné les lettres placardées en terres du Lyonnais-Dauphiné signées de la main de Sa Seigneurie Argael Devirieux accusant le Conseil Ducal d'incurie et insinuant un acte de félonie, nous, Conseil Ducal du Duché "souverain" du Lyonnais-Dauphiné, prenons la plume pour donner réponse et précisions sur les accusations à notre égard.

Qu'il soit su que Sa Seigneurie a bien reçu accès au castel de Pierre-Scize, siège du Conseil Ducal du Lyonnais-Dauphiné, le 25e jour de septembre, en sa qualité de témoin de la Pairie, sur proposition et invitation du Conseil Ducal, lors de la saisine introduite le 19e jour de septembre auprès de la Chambre des Pairs de France.
Que celui-ci, en tant que témoin y a droit de regard et d'écoute sur tous les débats, affaires et travaux traités par le Conseil Ducal, et s'est vu attribué un office particulier pour intervenir auprès du Conseil Ducal selon son propre gré.

Etant donné ces faits, et considérant les propos de Sa Seigneurie Argael Devirieux à notre encontre, nous tenions à affirmer et rappeler les choses suivantes.

Que nous sommes province vassale de la Couronne de France mais souveraine sur nos terres, qu'en conséquence, conformément aux Statuts régissant le Royaume de France, la Chambre de la Pairie a certes grand pouvoir en ce qui concerne les affaires des institutions royales et le Domaine Royal mais compétences bien moindre en ce qui concerne les provinces vassales de la Couronne.
Que si la Très Noble Chambre des Pairs est très haute institution du Royaume et à l'oreille de Sa Majesté, la réponse à notre saisine engageait la parole des Pairs de France, non celle de notre souverain.
Que la saisine invitant à un témoin de la Pairie a été faite à notre initiative suite au conseil émis par la réponse des Pairs de France le 15e jour de septembre légitimant l'élection de notre Gouverneur, où il est question qu'un Pair "assiste en qualité de témoin à ce mandat", chose que nous avons accomplie.
Que nous appelons Sa Seigneurie Argael Devirieux à d'avantage de modération dans ses propos et actes, et qu'avant de menacer le Conseil Ducal de la sorte, il aurait pu choisir le dialogue.
Que les accusations portée à l'égard du Conseil Ducal sont forts graves et infamantes, et bien que nous soyons habitués aux propos outranciers et vindicatifs de Sa Seigneurie Argael Devirieux en place publique du Lyonnais-Dauphiné, nous ne tolérerons pas pareilles insultes envers les autorités ducales du Lyonnais-Dauphiné.
Que nous espérons que les propos de Sa Seigneurie Argael Devirieux ne reflètent que son avis personnel, et qu'il ne s'agit point de l'avis de la Chambre des Pairs à l'égard d'un des Grands Feudataires de la Couronne de France.
Que si Sa Seigneurie Argael Devirieux n'est point satisfait de sa condition de témoin auprès du Conseil Ducal du Lyonnais-Dauphiné, qu'il démissionne de l'honneur qui lui a été fait, et qu'un nouveau Pair de France, plus enclin aux discussions, soit désigné pour le remplacer dans cette mission.

Nous espérons que Sa Seigneurie Argael Devirieux dict "le Fier" finira par entendre raison, et que Sa Majesté, ainsi que la Chambre des Pairs de France, constateront la conduite droiturière du Conseil Ducal du Lyonnais-Dauphiné, dont la fidélité ne saurait être remise ainsi en cause.

Faict en le Castel de Pierre-Scize, à Lyon, le vingt-sixième jour du mois de septembre de l'an MCCCCLVIII,

[scel d'or]

Rien à redire pour ma part

une réponse du conseil ducal ?

Hum non je ne vois pas les choses ainsi, une réponse de la part du gouverneur pour moi est indispensable c'est la personne qui montre l'autorité dans le duché, même si il est assisté par le conseil. C'est au gouverneur de répondre aux attaques contre son conseil.

Dame Soleil : Conseil Ducal ça ne veut pas dire "les conseillers et pas le Gouverneur". Conseil Ducal, c'est un ensemble de douze personnes (onze si on décompte le cadavre qui encombre un siège).

Quand une lettre est adressée au Conseil Ducal, c'est au Conseil Ducal d'y répondre.

De la même façon que l'invitation de la Pairie était adressée au Conseil, et pas au Gouverneur seul.

Parce que si ça avait été le cas, le Gouverneur seul aurait décidé de la façon de gérer les clés, les droits de parole, etc... Je ne m'étendrais pas sur la différence que cela aurait provoquée, parce que depuis le départ je ne gère pas les choses comme moi seule l'aurait fait, mais bien en étant la voix d'un groupe de douze personnes (non, onze, quand on est mort on ne parle pas, suis-je bête).

Après, si vous préférez que je décide et gère seule, faut le dire. On gagnera du temps, et moi je me prendrais un peu moins la tête.

J'adore votre façon de prendre les choses votre grasce, on sent tout de suite la possibilité d'avoir une discussion et un échange

Si vous saviez tout ce que j'adore.... La présence, l'activité, la manie qu'on les gens de juger en trois seconde trente parce que plus de réflexion c'est épuisant, ceux qui craignent de se mouiller, etc... etc... Mais bon, je ne pense pas que le sujet de cette discussion soit nos goûts en matière de relations humaines. Un jour, si vous le voulez, en d'autres lieux, je serai ravie de m'entretenir avec vous à ce sujet, et nous pourrons même parler de mes goûts en matière de représentants de la gente masculine.


Pour rappel : la question était donc : avez-vous des propositions de modifications? (pour la lettre, je précise)

Je ne suis pas là pour mettre de l'huile sur le feu, j'émettais une opinion, mon silence paraissait avoir assez duré, mais je me rend compte que malgré vos dires, vous préférez des conseillers muets.

Et non Votre grasce , je en suis pas incline à venir partager mes opinions et mes gouts avec vous. Je préfère le faire avec une personne qui saura m'écouter

Bafouille pas Mily, c'est juste Soleil qui se réveille pour non pàas discuter mais imposer son opinion.


Pour ma part cette lettre me convient parfaitement, puisque réponse collégiale.

Très bien. D'avantage s'écrit davantage

Des sanctions à son encontre sont prévues?

Je tiens juste à dire que la seconde lettre de la Pairie était "différente" de la première par rapport au rôle que devait jouer le Pair de France.

La première c'est "témoin"

La seconde c'est "assiste"

Alors non nous n'avons pas donné notre accord pour cette 2e missive, mais bien pour la première, et c'est de la que leur confusion, ou plutôt celle de sa Seigneurie Argael, peut venir.

Mais "assiste" peut vouloir dire aussi "écouter".

De toute façon ça ne fait pas partie des conditions que nous avons acceptées et qui faisaient partie de la lettre -la première- à laquelle nous avons répondue en premier lieu. Par ailleurs, nous n'avions et n'avons aucune obligation envers eux, nous pourrions lui fermer la porte quand nous le désirons.

Puisque personne n'a d'objection mis à part Dame Soleil, j'ouvre le vote.

Voila la version corrigée (suite à la remarque de messire Hardryan, plus deux ou trois fautes de grammaire dont je me suis rendue compte), et un peu plus ajourée, pour la forme.

Citation :

A Sa Majesté Levan de Normandie, Roy de France et notre Suzerain,
A Leurs Seigneuries de la Très Noble Chambre des Pairs de France,
A Sa Seigneurie Argael Devirieux, dict "le Fier", Pair de France, Premier Secrétaire d'Etat, Vicomte du Monestier de Briançon, Baron de la Tour du Pin, Seigneur de Saint-Giraud,
A tous ceux qui la présente liront et ouïront, salut et paix!


Etant données les lettres placardées en terres du Lyonnais-Dauphiné signées de la main de Sa Seigneurie Argael Devirieux accusant le Conseil Ducal d'incurie et insinuant un acte de félonie, nous, Conseil Ducal du Duché "souverain" du Lyonnais-Dauphiné, prenons la plume pour donner réponse et précisions sur les accusations à notre égard.

Qu'il soit su que Sa Seigneurie a bien reçu accès au castel de Pierre-Scize, siège du Conseil Ducal du Lyonnais-Dauphiné, le 25e jour de septembre, en sa qualité de témoin de la Pairie, sur proposition et invitation du Conseil Ducal, lors de la saisine introduite le 19e jour de septembre auprès de la Chambre des Pairs de France.

Que celui-ci, en tant que témoin y a droit de regard et d'écoute sur tous les débats, affaires et travaux traités par le Conseil Ducal, et s'est vu attribué un office particulier pour intervenir auprès du Conseil Ducal selon son propre gré.

Etant donnés ces faits, et considérant les propos de Sa Seigneurie Argael Devirieux à notre encontre, nous tenions à affirmer et rappeler les choses suivantes.

Que nous sommes province vassale de la Couronne de France mais souveraine sur nos terres, qu'en conséquence, conformément aux Statuts régissant le Royaume de France, la Chambre de la Pairie a certes grand pouvoir en ce qui concerne les affaires des institutions royales et le Domaine Royal mais compétences bien moindres en ce qui concerne les provinces vassales de la Couronne.

Que si la Très Noble Chambre des Pairs est très haute institution du Royaume et à l'oreille de Sa Majesté, la réponse à notre saisine engageait la parole des Pairs de France, non celle de notre souverain.

Que la saisine invitant à un témoin de la Pairie a été faite à notre initiative suite au conseil émis par la réponse des Pairs de France le 15e jour de septembre légitimant l'élection de notre Gouverneur, où il est question qu'un Pair "assiste en qualité de témoin à ce mandat", chose que nous avons accomplie.

Que nous appelons Sa Seigneurie Argael Devirieux à davantage de modération dans ses propos et actes, et qu'avant de menacer le Conseil Ducal de la sorte, il aurait pu choisir le dialogue.

Que les accusations portée à l'égard du Conseil Ducal sont forts graves et infamantes, et bien que nous soyons habitués aux propos outranciers et vindicatifs de Sa Seigneurie Argael Devirieux en place publique du Lyonnais-Dauphiné, nous ne tolérerons pas pareilles insultes envers les autorités ducales du Lyonnais-Dauphiné.

Que nous espérons que les propos de Sa Seigneurie Argael Devirieux ne reflètent que son avis personnel, et qu'il ne s'agit point de l'avis de la Chambre des Pairs à l'égard d'un des Grands Feudataires de la Couronne de France.

Que si Sa Seigneurie Argael Devirieux n'est point satisfait de sa condition de témoin auprès du Conseil Ducal du Lyonnais-Dauphiné, qu'il démissionne de l'honneur qui lui a été fait, et qu'un nouveau Pair de France, plus enclin aux discussions, soit désigné pour le remplacer dans cette mission.

Nous espérons que Sa Seigneurie Argael Devirieux dict "le Fier" finira par entendre raison, et que Sa Majesté, ainsi que la Chambre des Pairs de France, constateront la conduite droiturière du Conseil Ducal du Lyonnais-Dauphiné, dont la fidélité ne saurait être remise ainsi en cause.


Faict en le Castel de Pierre-Scize, à Lyon, le vingt-sixième jour du mois de septembre de l'an MCCCCLVIII,

[scel d'or]

Merci de voter rapidement.

A voté.

voté

a voté aussi, que j'y pense.

je n'avais pas d'objection, j'émettais une doute, et un sujet de discussion.
Je m'aperçois seulement que dans ce conseil certaines personnes n'ont pas le droit d'apprendre.
Je sais, la jeunesse tue
Pardonnez moi d'être jeune.
Et Dame Colombine, je n'ai point entendu Dame Milyena bafouiller.

A voter

Hum... Et bien désolée si cela est né d'un malentendu, Dame Soleil.

Pour ma part au départ j'ai bien pris cela comme une question, oui.

Soleil a écrit:

une réponse du conseil ducal ?

Hum non je ne vois pas les choses ainsi, une réponse de la part du gouverneur pour moi est indispensable c'est la personne qui montre l'autorité dans le duché, même si il est assisté par le conseil. C'est au gouverneur de répondre aux attaques contre son conseil.

Et je vous ai donné une réponse qui n'avait rien d'agressif, loin de là, même si vous en avez eu l'impression.

Terwagne a écrit:

Dame Soleil : Conseil Ducal ça ne veut pas dire "les conseillers et pas le Gouverneur". Conseil Ducal, c'est un ensemble de douze personnes (onze si on décompte le cadavre qui encombre un siège).

Quand une lettre est adressée au Conseil Ducal, c'est au Conseil Ducal d'y répondre.

De la même façon que l'invitation de la Pairie était adressée au Conseil, et pas au Gouverneur seul.

Parce que si ça avait été le cas, le Gouverneur seul aurait décidé de la façon de gérer les clés, les droits de parole, etc... Je ne m'étendrais pas sur la différence que cela aurait provoquée, parce que depuis le départ je ne gère pas les choses comme moi seule l'aurait fait, mais bien en étant la voix d'un groupe de douze personnes (non, onze, quand on est mort on ne parle pas, suis-je bête).

Après, si vous préférez que je décide et gère seule, faut le dire. On gagnera du temps, et moi je me prendrais un peu moins la tête.

Bref, vraiment navrée de ce malentendu.