Questions au(x) recteur(s)

Citation :

A vous recteur(s) aux tristes caractères,
Nous Sa Seigneurie Argael Devirieux, Pair de France, Vicomte de Monestier de Briançon, Baron de la Tour du Pin, Baron de Milly la Forêt, Seigneur de Saint Giraud.

Salut et paix!!

Nous interrogeons ce jour sur la possibilité que possède semble t'il nombres d'étudiants d'enseigner sans avoir au préalable signé la charte. Nous notons également en exemple remarquable l'absence de signature de l'un des deux recteurs qui montre par la une volonté plus franche à l'évidence de vouloir un pouvoir bien utopique et illusoire que de connaitre les rouages et les us et coutumes d'une province prestigieuse. N'est ce point la parmi les responsabilités premières d'un recteur que de veiller sur ses institutions universitaires?

Nous aimerions également savoir comment sera t'il possible en dernier recourt pour nos recteurs d'assurer un cours auquel un professeur n'aura pas postulé, au regard des connaissances des plus minces affichées, sans de plus revenir sur le premier point abordé.

Constatons avec tristesse, que comme le beurre sur une tranche de pain, certains semblent vouloir afficher savoir et connaissance sans avoir au préalable l’humilité que cela requiert.

Permettez moi de citer une fable d' Esope, dont bien sur vos connaissances ne vous feront pas ignorer de qui il s'agit, et dont nous vous laissons la libre interprétation:

La Fourmi faisait sécher son froment qui avait contracté quelque humidité pendant l'hiver. La Cigale mourant de faim, lui demanda quelques grains pour subvenir à sa nécessité dans la disette où elle se trouvait. La Fourmi lui répondit durement qu'elle devait songer à amasser pendant l'été pour avoir de quoi vivre pendant l'hiver. " Je ne suis point oisive durant l'été, répliqua la Cigale, je passe tout ce temps-là à chanter. - Oh bien, repartit la Fourmi, puisque cela est ainsi, je vous conseille de danser maintenant ; vous méritez bien de mourir de faim. "

Sa Seigneurie Argael Devirieux

Citation :

A Sa Seigneurie Argael Devirieux, Pair de France, Vicomte de Monestier de Briançon, Baron de la Tour du Pin, Baron de Milly la Forêt, Seigneur de Saint Giraud.

Nous rappelons que nous sommes en poste depuis peu et que nous ne sommes donc pour rien dans les manquements qu'il y avait avant notre arrivé. En effet à ma prise de fonction j'ai pu constater que la liste des étudiants ainsi que celles des professeurs n'étaient pas à jour. J'ai déjà refait celle des étudiants me reste encore celle des professeurs. J'en profite pour rappeler qu'il n'y a pas deux recteurs.... Mais UN SEUL RECTEUR moi même et messire Tazspike comme RECTEUR ADJOINT.. Ensuite quand à vos accusations de non respect des règles de l'université.... Vous trouverez la signature de messire Tazspike en date du 17 mai et la mienne le 12 février de l'année suivante(https://chateau-de-lyon.forumactif.com/t8001p135-charte-des-professeurs-imperatif-pour-pouvoir-enseigner)

Concernant les remplacements même du temps de la Baronne Ulan de Saint-Prigent si je ne me trompe pas ça n'était pas le recteur qui remplaçait les professeurs absents. Mais il y avait un appel à candidature au bureau des plannings. De plus si vous aviez participé au débat concernant l'élection du nouveau recteur suivi de celui pour notre prise de fonction vous auriez vu que nous proposons de mettre en place un système de professeurs remplaçants. Et en effet il ne vaut mieux pas revenir sur le premier point abordé.....

Pour finir, vous ne savez rien de nous pour vous permettre de juger de notre valeur ou autre

Vanesfagg, Dame de Pierrelatte

Citation :

A vous recteur(s) aux tristes caractères, car oui nous ne savons pas lire, cela est sans doute encore mieux que de ne rien entendre

Nous Sa Seigneurie Argael Devirieux, Pair de France, Vicomte de Monestier de Briançon, Baron de la Tour du Pin, Baron de Milly la Forêt, Seigneur de Saint Giraud.

Salut et paix!!

Nous prenons donc note, de vos connaissances des plus minces et de votre engagement plus fin encore dans votre volonté de professorat au regard de votre serment.

Pour la suite vous apprendrez que vous faites erreur pour ce que cela vous touchera, car la Baronne pour vous déplaire était en mesure et le faisait de remplacer au pied levé un professeur étourdit.

Concernant le débat, candidature de ma part fut posée qui n'a par "magouille" point été retenu. Si vous l'aviez lu vous auriez été inspirer de prendre conscience du fossé de votre ignorance certes non coupable l'essentiel étant de le reconnaitre. Mais la je vous devine m'imaginer aigri, permettez moi de sourire si cette idée vous a traversé, il est vrai que contrairement à vous je n'ai rien à prouver à quiconque, ni n'attend quelconque reconnaissance.

Pour finir, je sais bien des choses que vous ignorez et ne doutez point que si vieux et sénile puis je être je vous connais étrangement bien, je me souviens même comme votre époux de vos débuts en ce duché, seriez vous à même d'en dire de même de nous même?

De nouveau une fable d'Esope car il est toujours bon de finir sur une réflexion:

Un lion et un ours, ayant trouvé un faon de biche, se battaient à qui l’aurait. Ils se portèrent l’un à l’autre des coups terribles, tant qu’enfin, pris de vertige, ils s’abattirent à demi morts. Un renard, qui passait, les voyant énervés, et le faon gisant au milieu, l’enleva et s’en alla en passant entre eux deux. Et eux, hors d’état de se relever, murmurèrent : « Malheureux que nous sommes ! c’est pour le renard que nous avons pris tant de peine. »

La fable montre qu’on a raison de se dépiter, quand on voit les premiers venus emporter le fruit de ses propres travaux, voici pour vous si vous n'aviez point comprit la finalité.

Sa Seigneurie Argael Devirieux

Citation :

A Sa Seigneurie Argael Devirieux, Pair de France, Vicomte de Monestier de Briançon, Baron de la Tour du Pin, Baron de Milly la Forêt, Seigneur de Saint Giraud,

Votre Seigneurie,

il a été porté à mon attention que vous vous montriez arrogant tout autant envers votre suzeraine qu'envers une de ses vassales. Malgré l'occupation que m'apporte ma charge actuelle, je prends le temps de prendre la plume pour rédiger cette missive, afin de vous inviter chaudement à modérer vos propos. Je ne saurais tolérer d'un vassal du Lyonnnais-Dauphiné, tout Pair de france qu'il soit, qu'il se permette de tenir des propos blessants à l'encontre d'un autre vassal du même Duché ni qu'il se permette de qualifier de "magouille" une décision qui émane de ma personne, en qualité de Duchesse du Lyonnais-Dauphiné.

Je vous demanderai donc de bien vouloir laisser notre nouvelle Rectrice et le Vice-Recteur travailler sereinement. Lorsqu'ils auront pu mettre en oeuvre ce qu'ils désirent, il sera toujours temps de leur faire part de vos remarques, sans vous montrer ni vindicatif ni venimeux.

Pour revenir sur votre candidature, étant donné que vous annonciez votre retour en notre Duché pour la fin du mois d'août ou le début de mois de septembre, elle ne pouvait être prise en considération au moment où la nomination d'un nouveau recteur était en jeu, étant donné que la vacance de ce poste n'aurait pu souffrir un tel délai. Il ne m'aurait guère semblé judicieux de laisser l'Université sans Recteur pendant deux mois, je ne pense pas que cela aurait satisfait beaucoup de monde d'avoir un Recteur absent et donc incapable d'ouvrir les salles de cours aux professeurs et aux étudiants.

Il semblerait que vous appréciiez les Fables d'Esope... Je vous en fais donc parvenir une, ne doutant pas que la connaissiez déjà...

"Le Chien fit un jour assigner la Brebis devant deux Aigles, pour la faire condamner à lui payer un pain qu'il disait lui avoir prêté. Elle nia la dette. On obligea le Chien à présenter des témoins. Il suborna le Loup, qui déposa que la Brebis devait le pain. Elle fut condamnée, sur ce faux témoignage, à payer ce qu'elle ne devait pas. Quelques jours après, elle vit des Chiens qui étranglaient le Loup. Cette vue la consola de l'injustice qu'on lui avait faite. " Voilà, s'écria-t-elle, la récompense que méritent de tels calomniateurs. "

Qu'Aristote veille sur vous.

Fait au Castel de Pierre-Scize, le douzième jour du mois de juillet 1459,

Arwel Chanvigny, dicte la Bienveillante, Duchesse du Lyonnais-Dauphiné.

Citation :

A Sa Grasce Arwel Chanvigny, dicte la Bienveillante, Duchesse du Lyonnais-Dauphiné.

Nous Sa Seigneurie Argael Devirieux, Pair de France, Vicomte de Monestier de Briançon, Baron de la Tour du Pin, Baron de Milly la Forêt, Seigneur de Saint Giraud.

Salut et paix !

C’est avec surprise mais plaisir que ce jour m’arrive de vos nouvelles. Surprise d’autant plus grande de constater que la noblesse du Duché, se trouve si petite, incapable en adulte, de tenir rhétorique et correspondance, plus encore surprenant venant d’un recteur aux connaissances et à la sagesse proverbiale, qu’il doive passer par votre personne.

Concernant mes propos, je persiste et signe. La décision prise par votre vassal est entachée d’irrégularité confirmant mes propos de magouilles. Aucune missive n’est parvenu à notre personne comme à d’autres étudiants en Lyonnais Dauphinois, biaisant étrangement de fait les possibles candidatures et votes qui suivrons. Aucune date d’arrêtée pour les candidatures, et partant de la des votes à main levée sans que chaque candidature puisse être présentées. J’appel cela de la magouille, et cela ne fait pas honneur au Lyonnais, mais peut être m’annoncerez vous le contraire en m’expliquant pourquoi.

Si ces propos ne sont pas pour vous convenir j’en suis fort désolés car je ne retirerai rien de cela mais suis tout disposé à m’en justifier devant qui de droit, vous connaissez mon caractère pourtant fort adoucit avec les ans.

Enfin pour finir, si notre recteur se sent offensé, nous lui rappelons qu’il est de son devoir de répondre de son honneur. Qu’en absence de sa part de remarque, nous ignorons purement ce dont vous nous faites reproche. Pire, en tant que suzeraine il ne vous revient point de prendre partie dans une correspondance qui ne vous regarde en rien. Depuis quand la noblesse du Duché, fait elle traité par une tierce personne, fus ce t’elle suzeraine, des divergences d’opinions entre nobles.

Qu’Aristote vous prenne en Sa Sainte Garde

Sa Seigneurie Argael Devirieux

Citation :

A Sa Seigneurie Argael Devirieux, Pair de France, Vicomte de Monestier de Briançon, Baron de la Tour du Pin, Baron de Milly la Forêt, Seigneur de Saint Giraud.

Messire vous radotez.... Vous n'avez donc rien d'autres à me reprocher que mon manque de connaissance des différentes matières enseignées? J'ai bien compris vous pensez que je suis une idiote incapable vous avez raison. Je le prouve d'ailleurs chaque jour dans mon travaille pour le Duché.... D'ailleurs vous devriez vite revenir en Lyonnais Dauphiné afin de sauver l'université de mon incompétence....

Concernant votre candidature je l'ai vu en effet.... Vous parlez de magouille? Même sans avoir reçu le courrier indiquant qu'une réunion allait avoir lieu une personne qui s'intéresse un minimum à ce qui se passe dans le Duché aurait su qu'il fallait un nouveau recteur.... Donc rien ne vous empêchez de proposer vos services. Je n'ai d'ailleurs pas reçu ce courrier non plus et pourtant ça ne m'a pas empêché de suivre le débat et de poser ma candidature... Pour ce qui est de l'explication quand à ces courriers non reçu elle a déjà été donnée plusieurs fois. De plus une personne ayant un minimum de bon sens se rendrait compte par elle-même qu'on ne peut décemment pas laisser l'université fermée durant deux mois...

Et je ne cherche pas à prouver quoi que ce soit à personne et encore moins à vous.

Maintenant vous m'excuserez mais je n'ai pas de temps à perdre avec un échange de courrier sans intérêt qui n'apporte absolument rien au bien du Duché qui ne sert qu’à tenter, et j'insiste bien sur tenter, de me discréditer.

Donc vous pouvez continuer à écrire si cela peut vous occuper. Cependant vos courriers resteront sans réponse. Vous pouvez bien penser ce que vous voulez je n’ai absolument pas à me justifier ou à me défendre devant vous.

Vanesfagg, Dame de Pierrelatte

Citation :

A vous Dame Vanesfagg, Dame de Pierrelatte

Nous Sa Seigneurie Argael Devirieux, Pair de France, Vicomte de Monestier de Briançon, Baron de la Tour du Pin, Baron de Milly la Forêt, Seigneur de Saint Giraud.

C’est sans surprise que je vous vois en réponse à notre courrier, parler que de vous et il est vrai un peu de moi. Commençons par ma personne, je n’ai aucune amertume de ne point avoir été retenue, très justement affirmé précédemment, je ne me trouve pas pour encore quelques temps, dans le Duché qui m’a vu naître, je vous retourne alors vos propos vous pouvez penser ce que vous voulez de notre personne, le fait de nous juger amer nous montre l'étendue de votre méprise.

Plus important maintenant; vous. Il n’est question que de vous dans vos écrits, pas une seconde vous n’évoquez ce qui sont vos étudiants, pas une seconde vous n’évoquer l’université. Le pronom possessif qui vous caractérise laisse transparaître de manière éclatante vos réelles motivations. Vous avez raison nous sommes libre de faire une interprétation de votre personne, à la lecture de vos réponses, la confirmation se fait limpide, vous êtes une arriviste à nos yeux, qui n’a de mérite celui d’être proche amicalement, n’allait pas me faire dire ce que je n’ai pas dit, et politiquement de Messer Antoine de Sevillano qui a entériné une décision hasardeuse.

De mérites autres et utiles pour diriger une université, vous n’avez que peau de chagrin, et oui nous nous répétons volontiers, l’âge nous excusera, vous n’avez guère de connaissance, ignorer bien des aspects des études, n’avez une vision que très restreinte de la fonction, ne devez point connaître nombre de recteurs et autres universités, et ignorez tout de la finalité des études, nous pourrons volontiers en discourir lors de notre retour devant l’université et les étudiants.

Pour finir vous nous avez persuadé que vous n’avez aucune noblesse, au-delà de pensez qu’à votre personne, voici que vos larmes ont coulé près de la Duchesse du Lyonnais Dauphiné, incapable que vous étiez d’entretenir une conversation pourtant avec un érudit de ce duché. Nous voyons ici ou se trouve l’honneur de votre noblesse, et votre force de caractère, vous n’avez à notre sens aucunement votre place à la tête d’une université prestigieuse pour laquelle vous n’avez rien apporté que votre vanité.

Ne vous trompez cependant point Recteur, puisque Dame, nous devons faire bonne mesure et user des protocoles qui nous sont chers. Nous vous souhaitons pleine réussite, non pour vous mais pour les étudiants dont le savoir dépend de votre travail et vos connaissances. Vous n’êtes seulement à nos yeux point à votre place, et nous redoutons que les élèves de l' Université soient point dans de meilleurs mains pour leur propre reussite.

Sa Seigneurie Argael Devirieux