[Languedoc] En crise avec le LD

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Que soit connue de tous la présente annonce !
Les récents événements concernant l'armée « Brancaleone » créé sur les terres dauphinoises (Briançon) oblige le Languedoc à s'interroger sur les motivations de son voisin Lyonnais.

L'armée « Brancaleone » a été crée sur les terres dauphinoise sans être inquiétée par les autorités de celle-ci. Cette armée a pu prendre son temps pour surgir de terre.

Les défenses dauphinoises se sont organisées que très tardivement bloquant initialement la route à Dié.

Toutefois, alors que la duchesse Dauphinoise nous assurait que son armée allait stopper l'ennemie, celle-ci a fait reculer son armée à Valence offrant ainsi le passage directement vers le Languedoc et la Provence.

Alors que le Languedoc s'inquiétait de la situation et commençait à prévoir sa défense, la Duchesse s'est réfugiée derrière l'incompétence de sa Chef d'Armée, l'accablant sans relâche et la traitant d'incapable et d'unique responsable de la situation. La duchesse a cependant étrangement certifiée que l'armée « Brancaleone » faisant route vers le Nord, que ses informations étaient certaines et correctes, et que le Languedoc mobilisait pour rien. S'offusquant par la même occasion des informations de l'un de ses vassaux Phelim qui affirmait le contraire.

Aujourd'hui le Languedoc n'a plus qu'à constater que l'armée « Brancaleone » est entrée en ses terres en la bonne ville d'Uzès et menace de forcer le passage pour s'avancer dans le Languedoc. Si les autorités de celui-ci avaient écoutées la régnante du LD en ne mobilisant pas de troupes, le Languedoc aurait été sous la menace directe de cette armée. La duchesse tait le problème et se réfugie sous une arrogance intolérable vis-à-vis de ses voisins languedociens et provençaux, ne donnant aucune réelle explication, aucune excuse ... comme si le Languedoc et la Provence étaient responsables d'un problème qui a prit sa source directement sur les terres dauphinoises.

Pire encore, la duchesse accuse le Languedoc de non assistance alors qu'aucune demande n'a été formulée et que l'armée « Brancaleone » aurait pu être supprimée dés la levée de l'étendard, minimisant grandement les risques et les coûts de cette opération.

La défense mit en place à ce jour par le Languedoc pour pallier à cette menace s'élève aujourd'hui à plus de 1500 écus (détails disponibles). Le Languedoc aurait pu comprendre la nécessité de mettre en place une défense et d'aider son voisin, si celui-ci avait été informé clairement de la situation par le dauphinois. Aujourd'hui, le Languedoc ne comprend pas pourquoi il se retrouve à devoir défendre ses terres pour pallier à la carence dauphinoise. Dépenser écus et essuyer le sang de ses fils pendant que le duché dauphinois ne risque plus rien, et n'a jamais réellement été menacé.

Le comté du Languedoc se pose donc légitimement de nombreuses questions, d'autant que des traités militaires qui ont été signés entre les deux provinces n'ont pas été respectés aujourd'hui.

La duchesse Arwel a-t-elle délibérément tentée d'induire en erreur le Languedoc afin de provoquer sa perte ?

Les autorités dauphinoise ont-elles bottées en touche un problème de sécurité grave afin d'économiser, sang, sueur et écus au dépend de son voisin le Languedoc ?

Pour ces motifs, le Languedoc suspend la totalité de ses accords commerciaux et diplomatiques en vigueurs avec son voisin Dauphinois et demande à ce que les ambassadeurs dauphinois regagnent leur duché.

Le Languedoc met également un terme à tous liens et discussions diplomatiques avec le duché Dauphinois durant toute la période restante du mandat de la duchesse Arwel et a posteriori en cas de non réponses aux demandes présentes :

Le comté du Languedoc réclame de la part de la duchesse Arwel des excuses publiques pour avoir induit en erreur le comté du Languedoc, d'avoir fait preuve d'une hautesse et de mépris envers celui-ci. Le comté Languedocien demande également le remboursement des sommes misent en place pour sa défense.

Connaissant toutefois les difficultés financières de duché du Lyonnais dauphinois, le Languedoc propose que Donà Arwel et ses gens, viennent travailler dans les mines de sel de Nimes afin de rembourser quotidiennement une partie des sommes engagées lors de la défense au cours de cette période.

Ainsi puisse t-elle se rendre compte de la dureté du travail et des sacrifices que le Languedoc a dû mettre en place.

Dans l'attente, Dame Arwel est considérée comme « Indésirable » au Languedoc. Une demande d'enquête et une plainte à son encontre sera déposée à la grande prévôté de France.

Conscient toutefois que le problème doit être réglé et que le duché dauphinois n'est que la victime du comportement de sa duchesse en exercice, les responsables militaires du Languedoc acceptent de coopérer avec celles du Lyonnais dauphinois afin de mettre à mal les meneurs de l'armée « Brancaleone ».

Conscient de cette nécessitée, le Languedoc informe que la justice a fait son œuvre sans tarder, mettant les hommes composants cette armée sous garde à vue avant rendu du verdict de notre Justice aussi sévère que l’est le Messire Jorocket.

Fait à Montpellier, le 4 avril 1461

Arthur Cano d’Alveirny
Comte du Languedoc,

Comme dit en privée, ce que je préconise c'est une rencontre avec le Comte du Languedoc et les personnes qui ont géré l'affaire à l'époque afin que les deux parties puissent tirer tout cela au clair.

Courrier envoyé au Comte du Languedoc, je te tiens au courant dés que j'ai une réponse de sa part.

Amusant de la part de la bienveillante, votre Grace vous seriez je pense inspirer d'écouter votre Bailli, non pas que vous ne m'aimiez pas mais que par mon histoire et ma position je suis sans aucun doute la personne la plus bienvenue en Languedoc.

Pour ce qui est maintenant de l'annonce permettez que je m'en amuse tant la bienveillante veut se faire plus plus immaculé que la vierge, au besoin nous nous retrouverons elle et moi en haute cour de justice, à la vue de la nature de la plainte je gage sans mal que je serai m'en trouver innocenté et grandi la ou elle sera bigrement mal en point.

Nous constaterons que c'est encore une fois le partis prit et la mauvaise fois qui dirigerons cette demande d'entretien. Le fils Baccard dont nous connaissons l'amitié pour la bienveillante et l'époux de cette dernière.....

Aucune idée..... si d'évidence le lien de parenté n'est pas celui la il reste la notion spirituelle évidente.

Le Comte du Languedoc a accepté la rencontre, celle ci aura lieu d'ici peu. Je fais un courrier à Arwel et Dede pour les prévenir.

actuelement reçu en leur pavillon... avec l'ensemble... rien de plus je n'ai pas encore rencontrer leur Régnant.

Ou en sommes nous maintenant depuis 15 jours?

15 jours dans l'ignorance totale de ma question, que disais je en la grande salle sur l'attitude de notre Duc à mon encontre.....