Armée italienne à nos portes ?

Un ami m'a dit qu'il a reçu une lettre d'une Dame qui est de passage en LD. Elle était à Dié il y a quelques jours et il semblerait qu'elle se soit fait poutrer par des italiens à Briançon. Je pense qu'elle a du passer la frontière et que quelqu'un la transporter à Briançon pour qu'elle se remette. Ca voudrait donc dire qu'une armée italienne est à nos portes.

Voici l'extrait de la lettre qui nous intéresse :

Citation :

En effet, cette nuit, des lâches italiens en armée m'ont attaqué sans aucune raison, me laissant à peine un souffle de vie, je suis à la limite du trépat. Rendez-vous compte, une armée italienne qui s'en prends à une pauvre femme comme moi et me laisse pour morte...mais je n'en resterai point là avec eux, ils vont m'entendre

       Donc, je suis pour au minimum 45 jours bloquée à Briançon pour convalescence.

C'est assez fréquent de retrouver à Briançon des voyageurs poutrés par les italiens. Leurs armées sont en mode faucheuse.

Il faut juste savoir si ton amie est allée jusqu'à Alessandria ou pas - si c'est le cas, rien de nouveau j'ai envie de dire, elle a juste pas demandé de laisser-passer. Si elle s'est fait poutré avant Alessandria, il y a peut-être de quoi s'inquiéter alors... mais en ce cas, comment saurait-elle qu'il s'agit d'italiens ?

Voici sa réponse, effectivement il semblerait qu'elle ai été un peu loin.

Je crois qu'il va falloir indiquer à nos voisins que nos frontières sont ouvertes.

Citation :

Expéditeur : Zantares du Bois de Quatre Sous
Date d'envoi : 08/01/1463 - 18:35:10
Titre : Re: Agression
Bonjour Titi,

Oui je vais vous expliquer avec le plus de détail possible.

Après avoir quitté Dié, je suis partie sur Embrun, puis Briançon. Ensuite continuant mon chemin, je me suis retrouvée sur les terres de Savoie à la borne numéro 277, où il existe un port naturel ou la rivière Po passe.
Depuis ce lieu, qui au final s'est trouvé vide même de bateau. J'ai du regagner une ville et je suis donc aller en direction de Alessandria, Ducato Di Milano.
Je n'ai même pas pu poser le pied en ville que je me faisais attaqué par leur armée.

08/01/1463 04:09 : Félicitations ! Vous avez débloqué le trophée Chair à canon.
08/01/1463 04:09 : Votre bouclier a été détruit.
08/01/1463 04:09 : Votre arme a été détruite.
08/01/1463 04:09 : Furande vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
08/01/1463 04:09 : Furande vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
08/01/1463 04:09 : Vous avez été légèrement blessé.
08/01/1463 04:09 : Vous avez été attaqué par l'armée "VII Mediolanensis Invicta" dirigée par Furande.

Comme vous pouvez le constater par vous-même c'est bien l'armée qui m'a attaqué.

Après avoir demander conseil en Provence, l'on m'a donné deux affiches de la chancellerie concernant les fermetures de Gènes et de Modano, mais rien concernant Milano. De plus, par la même occasion, l'on m'a rappelé aussi que vos frontières étaient fermées, de ce fait, j'avoue humblement que je n'étais pas au courant et que je n'ai pas fais de demande de LP. Toutefois, maintenant que je suis bloquée à Briançon, même avec toute ma bonne volonté, je ne pourrais pas quitter vos terres dans le délai de 48h. Il faudra sans doute me transmettre le nom de votre prévôt pour que je lui explique que je ne peux pas partir, avant d'être mise en procès. Ce serait la cerise sur le gâteau comme on dit.

J'aime donc perdu dans cette histoire, toutes mes protections pioche et bouclier, ainsi que beaucoup de force (entre 10 et 15 points dans chaque caractéristique en force, en intel et en charisme).

Par contre, n'ayant pas de nouvelles de mon compagnon de voyage, il semble que lui soit passé indemne, j'attends encore ce soir pour savoir où il est.

Maintenant, comme mon départ était depuis le port naturel qui se trouve sur territoire savoyard, je ne sais à qui vriament il faut que je m'adresse. Le LD c'était la dernière ville, la Savoie le chemin et l'attaque sur les terres du Ducato di Milano et moi je viens de Provence....bonjour l'angoisse, vont tous se refiler la patate chaude. Enfin vous me direz que maintenant je ne suis plus pressé de toute façon, je ne peux plus rien faire. J'ose espérer que la ville qui m'accueille pour ma convalescence sera animée et aussi amicale que Dié, sinon je vais mourir d'ennui avant que la gangrêne ne me tue.

Votre petit m'a fort touché et je vous en remercie sincèrement. Je vais tâcher d'en parler au chancelier de Provence.

A bientôt par correspondance, puisque je ne pourrais point venir vous trouver avant un bon moment.

Respectueusement

Zantares