Bien.
Tout d'abord, je tiens à répondre à Ozanne qui m'accuse de mener une guerre politique: je ne citerai que l'exemple du lieutenant Wahl: GONES s'il en est, possible Capitaine: il a maintes reprises brisé la réserve normalement attendue d'un officier, voire fait preuve d'insubordination: pourtant, en tenant compte de l'excellent travail qu'il réalisait j'ai toujours essayé de maintenir des rapports... polis avec lui, et ai refusé sa radiation.
Affirmer malgré tout le contraire est bel et bien stupide: j'admire le travail qu'il fait, et il y a de nombreux points du programme GONES que je soutiens. Il est évident que nos rapports sont tendus (à tout le moins avec ses supérieurs directs), mais jamais je ne lui ai porté atteinte pour ça.
Vous allez tous me haïr pour cette décision, et j'aurais préféré avoir hier plus de temps pour aborder le sujet. Tant pis.
Mais alors tant pis, haïssez-moi: ça me fera mal, mais si ça peut vous faire du bien alors tant mieux: le boulot d'un officier passe aussi par là parfois.
J'ai à deux reprises (qui osera affirmer le contraire? ) posté des mises en demeure suite à vos propos concernant votre EM, moi ou autre, sur l'hôpital. Vous pouvez encore aller les voir, j'espère.
Vous avez fait preuve d'insolence à l'encontre de votre hiérarchie, et il se trouve que votre caserne est la seule ainsi. Je n'en chercherai pas ici les raisons.
A l'issu de ces mises en demeure JE DONNAIS L'ORDRE (
selon mes prérogatives) de modérer vos propos et de respecter votre hiérarchie: vous pouvez nous chier sur la gueule, mais pas dans un cadre militaire. (on passe sur l'aspect moral)
Ceci en est l'application: Florian avait déjà largement abusé:
- Citation :
- " Nous n'allons pas laisser cette bande d'ivrogne déshonorer ainsi l'armée et importuner Dame Nicobess !
Nous attendons vos ordres mon lieutenant ! "
Par ailleurs, ceux qui prétendent IMPOSER leur volonté à leurs supérieurs n'ont rien compris à ce système, et peuvent en effet partir dès maintenant. Ceux-là n'ont rien à faire ici.
Je suis prêt à discuter avec les autres. Comme toujours, ma porte est ouverte.
Je ne souhaite pas que cette caserne se meurt, pas plus que je ne renie le travail que vous avez fourni. Mais je ne veux pas non plus voir des bleus qui se croient tout permis, ou pensant tout savoir de l'Armée.