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urbs
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| Sujet: Baronnie de Maubec Ven 31 Mar 2006 - 22:41 | |
| Les Châteaux de MAUBEC Les historiens parlent d’un premier château établi sur la petite colline de la Garine, appelée alors Mont-Léopard, dominant le plateau, mais aussi Bourgoin et ses marais.
C’est ce que l’on appelle une "motte castrale". En haut, le château, avec les logements du châtelain et de ses proches qu’on appelait la Haute Cour ; sur les pentes, les logements des villageois, appelés la Basse Cour, s’étendaient jusqu’au fossé de protection dont on devine l’emplacement par un pli du terrain, à environ 10 mètres du chemin de la Simone. La famille qui occupait ce château pendant plusieurs siècles était, semble-t-il, originaire de la région de Voiron, mais on a peu de documents de cette époque.
Au milieu du 13ème siècle, on suppose qu’il n’en restait qu’une descendante, qui se maria avec un fils de la famille de BOCSOZEL, originaire du château du Mottier, près de Champier. Cette famille de seigneurs dominait alors une importante partie du Bas-Dauphiné.
Ce fut donc Gilles de Bocsozel, devenu par son mariage Seigneur du Mont-Léopard, qui fit construire, entre 1257 et 1263, le second et le plus célèbre château de Maubec, le château des Roches, dont il reste quelques ruines au bout du chemin du Château.
Très important, il était établi sur un vaste terrain plat au bord de la falaise dominant La Combe du Bion, et faisait face, en le surplombant, au château des seigneurs de Bourgoin, le château de Beauregard, dont il reste quelques murs au sommet du jardin de ville.
Une reproduction du plan du château des Roches est visible à la Mairie. Il était alimenté en eau par un captage en dessous du Sadiau, captage qui existe toujours. Les anciens affirment que des souterrains le reliaient à celui de Beauregard et à celui de Demptézieu. C’est sans doute vers la fin de la construction de ce château que Gilles (ou Egide) changea le nom de Seigneur du Mont-Léopard en Seigneur de Maubec.
Vers, 1430, la seigneurie devint la baronnie de Maubec, une des 4 grandes baronnies du Dauphiné. La splendeur de cette famille déclina à partir du 16ème siècle et le château commença à tomber en ruines au cours du 18ème siècle, pour être entièrement détruit sans doute à la Révolution de 1789.
Un autre château de Maubec a une très longue histoire : c’est celui de Césarges. D’après certains, il fut au Moyen-Age une "motte castrale", ce qui contrairement à la Garine, ne semble pas évident. Ce qui est incontestable, c’est qu’il se situe dans un lieu habité depuis très longtemps. Des objets ou débris divers, récupérés occasionnellement dans le sol prouvent une occupation romaine, voire bien antérieure à notre ère. Le bâtiment actuel daterait du 16ème siècle. Occupé par la famille De Césarges, devenue De Meffray de Césarges, il traversa les périodes troubles de l’Histoire de France et est toujours bien entretenu. Pour ce château aussi, il est question de souterrains le reliant à d’autres.
Robert FAURE | |
| | | urbs
Nombre de messages : 1392 Date d'inscription : 02/01/2006
| Sujet: Re: Recherche de fiefs Sam 15 Avr 2006 - 23:54 | |
| Aucun rapport, mais toujours des pistes. LE MOYEN AGE Guichard, Seigneur du mandement d'Anthon, reconnaît en 1225, que ses prédécesseurs ont affranchi les hospitaliers de Jérusalem du péage de toutes marchandises quand ils avaient à en faire le transit par terre et par eau. Au mois de février 1297, Guy de Saint Trivier acheta, d'Etienne, curé de Genouilleux, la moitié du péage de Chavagneux. En avril 1319 après Pâques, Milon de Vaux, Seigneur de Chavagneux, reconnut retenir en fief du Prince des Dombes, le donjon de Chavagneux qu'il tenait avant en franc-alleu. Ce donjon de Chavagneux, mentionné dans les textes du Moyen Age, était habité par la famille du Seigneur. Il devait comporter un cellier au rez-de-chaussée, une salle d'honneur au 1er étage pourvue d'une cheminée, au 2ème étage : la chambre du Seigneur et de son épouse, au 3ème étage : la chambre des domestiques et des enfants. Le dernier étage servait de guet et de chambre de repos à la garde seigneuriale. A cette époque, le vilain était proche de son châtelain, l'un dépendant de l'autre. C'est la symbiose rurale, garantie d'une survie, avant que le pouvoir royal centralisateur ne vienne détruire cette harmonie multiséculaire. Le Seigneur d'Anthon, Imbert de Bartheney, visite en janvier 1487 les Communautés de son mandement, Charvieu et Chavagneux entre autres, accompagné des gentilshommes des lieux, notables et de ses secrétaires. | |
| | | urbs
Nombre de messages : 1392 Date d'inscription : 02/01/2006
| Sujet: Re: Recherche de fiefs Dim 16 Avr 2006 - 1:12 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Recherche de fiefs Sam 9 Sep 2006 - 20:10 | |
| Terre de Nyons:d'argent au château donjonné de trois tourelles de gueules, celle du milieu plus haute, le tout ouvert, ajouré et maçonné de sable - Citation :
- Après les invasions germaniques du Vè siècle puis sarrazines du VIIIè au Xè, s’installe le système féodal. Nyons fait partie du royaume de Bourgogne rattaché à l’Empire germanique. L’éloignement des empereurs favorise l’ascension de seigneurs locaux, les barons de Mévouillon puis de Montauban sous la protection duquel se place en 1206 la prieure de l’important couvent de St. Césaire fondé à Nyons au VIè siècle.
Au XIIIè siècle se met en place le consulat (équivalent d’une mairie). Mais au début du XIVè siècle, les baronnies de Montauban et de Mévouillon passent sous l’autorité des Dauphins du Viennois. En 1337, Nyons se voit octroyer une charte qui accorde de larges libertés à la ville et à ses bourgeois. La vente de la province du Dauphiné à la couronne de France en 1349 ne change rien à ces privilèges si ce n’est la perte de la cour de justice delphinale déplacée à Buis. - Citation :
- Le village entre vraiment dans l’histoire au XIe siècle quand apparaît la Baronnie des Mévouillon, seigneurs médiats relevant du Saint Empire Romain Germanique. La succession des barons fait du Buis la capitale de ce petit Etat qui se développe, devient siège d’un bailliage, puis d’un district. Les baronnies de ces familles d’abord opposées, puis alliées, Mévouillon et Montauban, seront rattachées aux Dauphins du Viennois en 1302 et 1317.
Le Statut Delphinal de 1349 intégrera le territoire du Dauphiné à la couronne de France. Baronnie de Montauban - Citation :
- D’après certains auteurs, Taulignan aurait eu comme berceau la villa d’un riche patricien romain appelé Taulinanus. Ancien fief de la baronnie de Montauban, le pays était jadis entouré de solides remparts percés de plusieurs portes puissamment fortifiées. La principale était celle d’Enguille. On l’appelle communément aujourd’hui la porte du Nord. Ses deux tours rondes sont reliées par une galerie que surmontent des machicoulis. A son premier étage, du côté du bourg, était placé le corps de garde. La résistance qu’opposa en 1395, le bourg de Taulignan aux Compagnies bretonnes, est l’un des plus brillants faits d’armes, qui se soit produit, au XIVe siècle, dans le bas Dauphiné. Hommes, femmes et enfants firent bonne garde, pendant quatre mois, du haut de leurs remparts. Leur vigilance ne prit fin que lorsqu’ils eurent forcé l’ennemi à évacuer la contrée. La porte d’Enguille de Taulignan est l’un des ouvrages de guerre médiévaux les mieux conservés de la région.
- Citation :
- Bellecombe
BELLECOMBE , Commune du Buis-les-Baronnies.
— Castrum de Bella Comba, 1380 (Archives du Rhône, fonds de l'Île-Barbe) —Bellecombe-Tarandol, 1660 (Archives de la Drôme, B 984).
Avant 1790, Bellecombe était une communauté de l'élection de Montélimar et de la subdélégation et du bailliage du Buis, formant une paroisse du diocèse de Sisteron.
Au point de vue féodal, son territoire formait trois terres ou seigneuries : Bellecombe, Pennafort et Tarandol. Celle de Bellecombe, en particulier, appartenait en 1355 aux Rémuzat, et passa en 1474 par alliance, aux Theys, remplacés dès 1540 par les Maubec, qui vendirent en 1590 la terre de Bellecombe aux La Tour. En 1789, MM. d'Albert et de Soissan étaient seigneurs de Bellecombe.
En 1790, Bellecombe fut compris dans le canton de Sainte-Jalle, mais la réorganisation de l'an VIII l'a fait entrer dans celui du Buis-les-Baronnies. [modifier] Tarandol
TARANDOL , hameau, commune de Bellecombe.
— Castrum Torrendosium, 1242 (Cartulaire de l'Île-Barbe) — Castrum de Terendos, 1284 (Valbonnais, II, 118) — Forta- licium super Torrendos, XIIIe siècle (Cartulaire de l'île-Barbe) — Terendosium, 1378 (Archives de la Drôme, E 1239). — Tarandoux, 1563 (ibid., 2239). — Terandol, 1788 (Almanach du Dauphiné).
Ancien prieuré de l'ordre de Saint-Benoît — Ecclesia de Torrendos, 1183 (Mas. de l'Île-Barbe, 117) — Prioratus de Tenendox, 1261 (ibid.) — Prioratus de Terendos et de Terrandos, XIIIe siècle (Cartulaire de l'île-Barbe, 74 et 82) et de la dépendance de l'abbaye de l'île-Barbe, dont l'église était sous le vocable de saint Étienne et qui était uni, dès le XIVe siècle, à celui de Saint-May.
Tarandol était également une terre du fief des barons de Montauban et de l'arrière-fief des abbés de l'Île-Barbe, appartenant en 1330 aux Montferrand et dès 1338 aux Remuzat, qui l'hommagèrent alors aux Dauphins. Passée en 1407, par alliance, aux De Pierre, qui la possédaient encore en 1540, cette lerre fut ensuite acquise par les Achard-Ferrus, qui la vendirent en 1590 aux La Tour-Gouvernet, ses derniers seigneurs. [modifier] Le Villard
VILLARD (LE) , ferme et quartier des communes de Bellcombe et Saint-Sauveur
- Territorium de Villario, 1214 (Inventaire des Dauphins., 251) - Afare de Villari, 1293 (Valbonnais, I, 35) - Tenementum de Vilari, 1303 (Inventaire des Dauphins, 245) - Tenementum de.Villari in Valle Dodonensi, 1317 (Valbonnais, II, 169).
Ancien fief de la baronnie de Mévouillon, appartenant dès 1303 aux Bésignan, le Villard passa par alliance, vers le milieu du XVIe siècle, partie aux D'Autane et partie aux Rosset, qui vendirent en 1557 et en 1582 leurs droits aux La Tour-Gouvernet. Ceux-ci les revendirent en 1664 aux Langes, des mains de qui cette terre passa, vers 1677, aux Raffélis de Soissan, derniers seigneurs du Villard.
Au XIVe siècle, le Villard formait une paroisse du diocèse de Sisteron, avant son église sous le vocable de saint Michel - Ecclesia Sancti Michaelis de Villario, XIVe siècle (Archives du Rhône, fonds de l'Île-Barbe). [modifier] Dufort
DUFORT , Montagne des communes de Bésignan, de Sainte-Euphémie et de Saint-Sauveur
- Ecclesia Sancti Michaelis de Duroforte, 1183 (Masures de l'lsle Barbe) - Castrum de Duroforte, 1284 (Valbonnais, II, 118).
Ancien prieuré de bénédictins, sous le vocable de saint Michel, uni dès le XVe siècle à celui de Lemps, Durfort était également un fief des barons de Montauban, dont une partie appartenait en 1277 aux Bambaud et le reste à une famille de son nom. En 1334, un tiers était aux mains des Remuzat, qui, ayant acquis, en 1344, le surplus des Monteynard, laissèrent en 1422 le tout aux D'Aspres, que remplacèrent avant 1540 les Maubec, qui unirent cette terre à celle de Bellcombe. [modifier] Pennafort
PENNAFORT , Montagne de la commune de Bellcombe.
- Penafol, 1778 (Almanach du Dauphiné) - Pennaforts, 1790 (État du:clergé) - Pennafoy (Plan cadastral).
Cette montagne formait autrefois un fief de la baronnie de Montauban - Castrum de Pennaforte; 1284 (Valbonnais, II, 118) - Castrum de Perreria Forti, castrum Penne Fortis, 1294 (Inventaire des Dauphins, 231, 243) qui, possédé en 1330 par. les Remûzat, passa vers le milieu du XVIe siècle aux Achard-Ferrus. Ceux-ci vendirent en 1590 le fief de Pennafort aux La Tour, qui l'unirent à leur terre de Bellcombe. *** Baronnie de Mévouillon - Citation :
- Avant 1790, Mévouillon était une communauté de l'élection de Montélimar et de la subdélégation et du bailliage du Buis, formant une paroisse du diocèse de Gap - Ecclesia de Medullio, 1115 (Gall. christ., XVI, 102) dont l'église, dédiée à saint Arey ou Ariey, - Ecclesia Sancti Erigii in castro de Medoilo, 1095 (Cartulaire de Saint-Victor, 840) - Saint Ares de Mévolhion, 1760 (Rôle de décimes) était celle d'un prieuré - Prioratus Medulionis, 1516 (Pouillé de Gap) - Le prieuré de Meulhon, 1606 (Rôle de décimes) - Le prieuré de Mevolhion, 1760 (ibid.) qui, dépendant premièrement de l'abbaye de Saint-Victor de Marseille, appartenait dès 1115 à la congrégation de Saint-Ruf, et dont le titulaire était collateur et décimateur à Mévouillon, la Rochette, Vers, Izon et Villefranche.
Au point de vue féodal; Mévouillon était une terre de l'ancienne baronnie de ce nom, qui, d'abord souverainement possédée par les MévouilIon, que l'empereur Frédéric Ier dota en 1178 de tous les droits régaliens dans leurs domaines, et qui donnèrent en 1270 une charte de libertés à leurs vassaux, fut hommagée en 1230 aux évêques de Die et donnée en 1293 aux Dauphins. Ainsi devenu terre domaniale, Mévouillon fut vendu sous faculté de rachat aux Louet ou Lovat, en 1421, aux Bon en 1553, aux Calignon en 1573, enfin aux La Tour-Gouvernet en 1593. Passé par mariage aux Du Puy-Montbrun en 1638, il fit retour en 1711 aux La Tour-Gouvernet, qui en ont été seigneurs jusqu'à la Révolution.
En 1790, Mévouillon fut compris dans le carton de Montauban, mais la réorganisation de l'an VIII l'a fait entrer dans celui de Séderon.
La population de Mévouillon, qui était de 178 habitants en 1595, de 146 en 1653 et de 120 en 1682, se composait de 118 familles en 1754.
La baronnie de Mévouillon - Baronia Medulionis, 1293 (Inventaire des Dauphins, 218) - La baronie de Meulion, 1343 (Duchesne : Dauphins de Viennois, 69)
Elle comprenait, au moment de son annexion au Dauphiné, les terres et châteaux de : Alauzon, La Bâtie-Côte-Chaude, Beauvoisin, Bénivay, le Buis, Le Col de Soubeyran, Curnier, Eygaliers, Gouvernet, Mévouillon, Mollans, La Penne, Pierrelongue, Plaisians, Le Poët-en-Percip, Proyas, La Roche-sur-Buis, La Rochette, Saint-Sauveur, Séderon, le Villard, Villefranche et partie de ceux d'Arpavon, Autane, Bésignan, Boisset, Clermont, Guibert, Marsoin, Montréal, Le Poët-Sigillat, Propiac, Sahune, Sainte-Jalle et Vercoiran.
> D'hermine au chef d'or chappé de gueules http://armorial.blason-armoiries.org/m3.htm *** Mirabelle-aux-baronnies - Citation :
- Mirabel est l'ancienne capitale de la tribu vocontienne des Gaudenses. D'après une légende, le village tirerait son nom d'une tour merveilleuse appelée Mirabellis, du haut de laquelle on apercevait Orange. Castrum Mirabellum au début de la féodalité, la seigneurie passa aux barons de Montauban. Le 9 octobre 1206, Dragonet de Montauban et son fils Raymond cédèrent leur haute justice sur le fief, en échange de droits seigneuriaux sur Vinsobres, à Eldiarde, Abesse de Saint-Cesaire d'Arles. Après l'annexion de la baronnie de Montauban par les dauphins, ceux-ci comblèrent Mirabel de largesses. Le château fut agrandi et embelli, l'église Saint-Julien reconstruite avec une chapelle spéciale pour eux. Ils firent de leur domaine de Beaulieu l'une de leurs principales résidences. Pillée et saccagée au XIVe siècle, par les Compagnies de Routiers, Mirabel fut l'une des malheureuses victimes des guerres de religion, qui y firent d'affreux dégâts.
*** Taulignan - Citation :
- Taulignan était jadis une seigneurie qui appartenait au XIIe siècle à Bertrand de Taulignan, vassal du baron de Montauban, qui pour des raisons financières céda son fief aux Poitiers en 1295 (Comte de Valentinois). Jusqu'à la révolution, les successions vont se faire par le biais des mariages et des héritages. Taulignan devint possession des Bressieu, Aleman, Monteynard, Grolée de Virville, Senozan, Talleyrand-Périgord et Noailles. La dernière chatelaine, Nicole de Lamoignon de Senozan, soeur de Malesherbes, incarcérée à la conciergerie avec son amie Elisabeth de France, monte à l'échafaud en mai 1794.
- Citation :
- D’après certains auteurs, Taulignan aurait eu comme berceau la villa d’un riche patricien romain appelé Taulinanus. Ancien fief de la baronnie de Montauban, le pays était jadis entouré de solides remparts percés de plusieurs portes puissamment fortifiées. La principale était celle d’Enguille. On l’appelle communément aujourd’hui la porte du Nord. Ses deux tours rondes sont reliées par une galerie que surmontent des machicoulis. A son premier étage, du côté du bourg, était placé le corps de garde. La résistance qu’opposa en 1395, le bourg de Taulignan aux Compagnies bretonnes, est l’un des plus brillants faits d’armes, qui se soit produit, au XIVe siècle, dans le bas Dauphiné. Hommes, femmes et enfants firent bonne garde, pendant quatre mois, du haut de leurs remparts. Leur vigilance ne prit fin que lorsqu’ils eurent forcé l’ennemi à évacuer la contrée. La porte d’Enguille de Taulignan est l’un des ouvrages de guerre médiévaux les mieux conservés de la région.
Ecartelé aux 1 et 4 de sable à la croix engrêlée d'or, cantonnée de dix huit billettes du même, cinq dans chaque canton du chef et quatre dans ceux de pointe (qui sont de Taulignan) ; aux 2 et 3 d'argent à deux fasces de gueules (qui sont de Barres).
Dernière édition par le Mer 27 Sep 2006 - 9:39, édité 2 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Recherche de fiefs Dim 10 Sep 2006 - 19:33 | |
| - Citation :
- Les Clermont héritent du plus important comté de France, le comté de Tonnerre, au XVe siècle grâce au mariage de Bernardin de Clermont avec Anne de Husson comtesse de Tonnerre. Dés lors les Clermont ajoutèrent Tonnerre à leur nom. Ils furent présents à toutes les batailles des rois de France et de leurs successeurs, des croisades aux guerres de décolonisations.
Duché de Clermont-Tonnerre:Comté de TonnerreVicomté de TallardVicomte de Clermont-en-TrièvesComté de Clermont - Citation :
- La maison de Clermont-Tonnerre est une des plus ancienne de France. Elle est connue dès le XIe siècle. Originaire du Dauphiné, d'un petit village situé en haut d'une colline, Clermont, situé près du lac de Paladru, dans lequel subsistent les magnifiques ruines d'un château féodal construit au XIIe siècle par les premiers Clermont. D'après la légende ils tiendraient leur nom de la situation géographique de cette forteresse : sur un mont, éclairé par le soleil, clair-mont : Clermont. Leur premières armes connues étaient d'ailleurs parlantes : un mont surmonté d'un soleil.
*** Baronnie de Bressieu - Citation :
- La terre et seigneurie de ce nom, située en Dauphiné, au diocèse de Vienne, était une des quatre anciennes baronnies dont les représentants siégeaient comme députés nés et perpétuels des états de cette province. Le nom de baronnie était propre autrefois aux terres de la plus haute considération, et celui de baron aux seigneurs qui les possédaient.
L'ancienne maison de Bressieu, qui avait eu pour berceau la baronnie de ce nom, était issue, selon Chorier, de Bornon de Bressieu, vivant en 1040. Audemar, seigneur de Bressieu vivait vers l'an 1180. Ainarde, sa veuve, fit, le 22 novembre 1198, un traité avec Albert de la Tour du Pin, gendre du comte d'Auvergne. Par cet acte, il fut convenu qu'Audemar de Bressieu, fils d'Aimarde, épouserait la fille d'Albert de la Tour du Pin dès qu'il serait en âge de se marier, et que s'il venait à mourir avant la réalisation de cette alliance, sa soeur épouserait le fils aîné dudit seigneur de ta Tour. Ismidon de Bocsozel, Aymon de Sassenage, Boniface de Miribel, Guillaume de Clermont, Aymar de Vallin furent les cautions d'Albert de la Tour.
Aymar de Bressieu laissa de son union avec Béatrix de Roussillon, entre autres enfants, Artaude de Bressieu, dame d'Ay, femme d'Aynard de la Tour du Pin, seigneur de Vinay, qui mourut en 1371. Elle ne vivait plus elle même en 1398, époque où ses enfants transigèrent au sujet de sa succession. Joffrey, seigneur de Bressieu avait pour femme Marguerite de Poitiers, qui reçut 5.000 florins d'or de son fière Aymar de Poitiers, seigneur de Saint-Vallier, par testament du 10 décembre 1355. Leur fille, Françoise de Bressieu, fut mariée, le 18 juin 1393, avec Ibaud de Clermont, seigneur de Chaste. Geoffroi, seigneur de Bressieu, laissa de Jordane de Roussillon, une fille nommée Louise, qui, par contrat passé le 17 octobre 1403 au château de Viriville, épousa Aynard, baron de Clermont.
> De gueules à trois fasces de vair.
Dernière édition par le Dim 10 Sep 2006 - 22:26, édité 1 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Recherche de fiefs Dim 10 Sep 2006 - 19:49 | |
| - Citation :
- De 1225 à la fin du XVIe siècle, Colombier fut une seigneurie. Trois familles nobles se partageaient primitivement la partie occidentale du pays: les familles de Colombier, de Vaumarcus et de Gorgier. Les Colombier furent, avec les seigneurs d'Estavayer, les avoués du prieuré de Bevaix.
Cette famille acquit à la fin du XVe siècle une haute position dans le comté. Antoine de Colombier fut en effet nommé gouverneur de l'Etat en 1476; homme prudent, il sut par ses conseils retenir le sire de Valangin et les Bernois qui voulaient, après la défaite de Charles le Téméraire, tenter une invasion de la Franche-Comté. Avec Antoine prit fin la lignée des seigneurs de ce nom. La seigneurie, alors fort importante, qui comprenait le fief de Savagnier, la terre de Cormondrèche, les territoires d'Areuse, de Brot, de Fretereules et une partie de Champ-du-Moulin, passa par alliance à la famille de Chauvirey, d'origine franc-comtoise.
> de gueules à la croix d'argent, cantonnées en chef de deux colombes du même.
*** - Citation :
- Une châtellenie en Dauphiné, du XIVème au XVIIIème siècle
Vers 1320, un débordement exceptionnel du Rhône fait passer Vaulx sur la rive gauche. La Rize serait un restant de cet ancien bras du Rhône. Le Dauphin du Viennois propose le rachat ou l'échange de ces terres à Jean de Montluel. Des accords sont conclus en 1325 puis 1334. Vaulx appartient dès lors au Dauphiné. La paroisse de Villeurbanne est rattachée à son mandement.*
Le 15 mars 1332, Guigue, Dauphin du Viennois, confirme, en faveur des habitants de Vaulx-en-Velin, tous les privilèges et franchises dont avaient joui les habitants de Montluel suivant acte de février 1272.
La seigneurie de Vaulx fut, soit donnée en fief, soit «engagée» ou albergée (c'est-à-dire vendue au plus offrant) par les dauphins du Viennois, puis par les rois de France ; en effet, en 1349, le Dauphiné est vendu au royaume de France. Au XIVème siècle la seigneurie de Vaulx dépend du domaine de la Couronne. La terre de Vaulx-Villeurbanne est érigée en terre noble (marquisat) en faveur d'Alleman de Champier. Plusieurs seigneurs vont se succéder sur ces terres jusqu’au XVIIIème siècle.
Les armoiries Le fait que les armoiries ou blasons des villes anciennes sont, dans la majorité des cas, les armes du premier seigneur, la section d'histoire locale de Vaulx-en-Velin (qui existait à la fin des années 1960) se basant sur un document confirmé par "l'Armorial", put faire établir le blason de Jean de Montluel, premier seigneur connu, aux environs de 1150. La description de ce blason est la suivante : "D'or à six |
| | | urbs
Nombre de messages : 1392 Date d'inscription : 02/01/2006
| Sujet: Re: Recherche de fiefs Lun 11 Sep 2006 - 14:08 | |
| Taulignan, Baronnie. de sable à la croix engrêlée d'or, cantonnée de dix huit billettes du même, cinq dans chaque canton du chef et quatre dans ceux de pointe Clermont-Tonnerre, mauvais. Tonnerre= Bourgogne. Par contre: Clermont: Par une bulle pontificale de 1120 les armes des Clermont sont : sur fond de gueules, deux clefs d'argents passées en sautoir. dc très bon au final. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Recherche de fiefs Ven 15 Sep 2006 - 11:11 | |
| Monts du Beaujolais - Citation :
- Les caractères et l'unité du territoire des Monts du Beaujolais se sont peu à peu forgés au cours des siècles. Entre les bassins du Rhône et de la Loire, la barrière montagneuse des Monts du Beaujolais, traversée par ce qui fut (jusqu'à une période très récente) la principale voie de communication entre Paris et Lyon, a d'abord été une position stratégique, objet de rivalités multiples.
Ainsi, au moyen âge, le territoire est tiraillé entre le domaine des Sires de Beaujeu et celui des Comtes de Forez : les vestiges de forteresses féodales, foréziennes ou beaujolaises, sont aujourd'hui les traces de ce passé révolu. Le territoire est en effet soumis de longue date à l'influence de Lyon , d'abord (et toujours) de son église, ensuite de son négoce et de ses industries.
L'influence de l'Eglise de Lyon est visible dans le maintien d'une certaine ferveur religieuse des populations rurales et dans la construction des églises, qui porte souvent la marque des bâtisseurs de la basilique de Fourvière.
L'influence économique de Lyon s'est traduite très tôt, les paysans tisseurs des Monts du Beaujolais ayant participé directement, par leur labeur, au développement de la ville à travers l'essor de sa fabrique textile. Dès la fin du XVe siècle, sous l'impulsion des fabricants lyonnais, le Haut Beaujolais devient montagne manufacturière. Métier à tisserLe paysan travaille à domicile à l'aide d'un métier à tisser à bras. Cette complémentarité entre agriculture et industrie a généré très tôt, malgré le relief, une des plus fortes densités de population rurale en France.
Au Moyen Age, les cités florissantes entourées de murailles et de tours aux petites ruelles pavées et aux maisons de pierres ou à colombages, étaient forteresses.
Il en est ainsi des chatellenies et places fortes beaujolaises de Thizy et Lay, de la cité prieurale de Régny et du village forezien de Néronde. |
| | | urbs
Nombre de messages : 1392 Date d'inscription : 02/01/2006
| Sujet: Re: Recherche de fiefs Ven 15 Sep 2006 - 15:28 | |
| le beaujolais est très critique, car entre la bourgogne et nous. Trouver une frontière juste sera une mission très difficile. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Recherche de fiefs Mar 19 Sep 2006 - 11:38 | |
| Il est vrai que le Beaujolais est déliquat mais sur les Monts l'influence lyonnaise est tout de même très forte. Après il faut voir. *** J'ai trouvé une région qui nous appartient (certes pas officiellement): le Franc-Lyonnais - Citation :
- Le premier document connu où figure le terme de "Franc-Lyonnais" apparaît en 1473. A cette époque les paroisses de la rive gauche du Val de Saône situées au nord de Lyon n'étaient convoitées par personne. C'était une zone pauvre, avec des sols ingrats et facilement inondables, où les bovins, mais surtout les ovins pâturaient en semi-liberté. On y pratiquait les cultures du chanvre et du lin. Jusqu'au XVe siècle l'histoire de ces paroisses est jalonnée de différentes procédures et de luttes incessantes de la part des archevêques de Lyon pour l'appartenance de ces territoires. Finalement, le duc Louis de Savoie propriétaire de cette région demanda la protection au Roi de France Charles VII, qui accepta cette demande en janvier 1455.
Étrange pays que ce Franc-Lyonnais qui survécut jusqu'à sa suppression par la Constituante en 1790 ! Les ducs de Savoie eurent l'intelligence de passer oralement avec les rois de France, sans aucun traité écrit, un contrat tacite pour les habitants de ces communes qui gardaient tous leurs privilèges, leurs anciens usages et leurs coutumes antérieures. Les habitants du Franc-Lyonnais avaient su intelligemment se donner au pays le plus fort. Aussi naquit une certaine "zone franche" qui pendant trois siècles fut une minuscule dépendance du duché de Savoie (jusqu'en 1696 au traité de Turin) puis de la principauté des Dombes, qui sut conserver ses privilèges et ses usages, très comparables à ceux d'Andorre aujourd'hui. - Cailloux sur Fontaines : http://www.mairie-cailloux-sur-fontaines.fr/images/blason_cailloux_100.gif- Saint Martin de Fontaines : « Le Chevalier Bernard du Buisson, autorisé à porter l'épée et à établir ses armoiries, choisit en chef deux croix sur champ de gueules, corps et pointe d'azur, c'est à dire deux croix en partie haute sur fond rouge, la partie basse étant bleue. » - Sathonay-Village : « noir à la croix d'argent » - Cuire-la-Croix-Rousse : « Taillé d’or à quatre cornes d’abondance renversées d’ ? et de gueules au lion contourné d’argent» - Vimy (Neuville sur Saône) : http://wiki.geneanet.org/index.php/Image:Blason_Neuville-sur-Sa%C3%B4ne-69143.png d'azur au chevron d'or, accompagné de trois croisettes ancrées du même - Rochetaillée sur Saône - Fleurieu sur Saône - Genay : « de gueules à deux chevrons d'or et trois annelets de même, deux en chef et un en pointe". Il s'agit désormais du blason officiel de la commune. » ( http://www.villedegenay.com/images/upload/photo_44_193.jpg) - Miribel (baronnie) : écartelé : au premier de gueules à la gerbe de blé d'or, au deuxième d'azur au huchet d'argent virolé et lié d'or, au troisième d'azur au poisson d'argent posé en bande, au quatrième de gueules à la grappe de raisin d'or ou Ecartelé d'or et de gueules à la cotice d'hermine brochant sur le tout (Armorail des chevaliers dauphiné mort à Verneueil en 1424). - Montluel (baronnie) : parti d'azur et de sable à la croix tréflée d'argent brochant sur la partition - Trévoux : d'argent à la tour couverte de gueules, ouverte, ajourée et maçonnée de sable, au chef d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or chacune barrée d'un bâton péri de gueules *** Après étude de cartes et de livres, il apparait également qu'une partie Ouest de la Saône autour de Lyon soit à nous: - Amplepuis : d'or au lion de sable, armé et lampassé de gueules, au lambel de cinq pendants du même brochant sur le tout, à la bordure engrêlée d'azur - Anse : d'or au lion de sable, armé et lampassé de gueules, au lambel de cinq pendants du même brochant sur le tout, à la bordure engrêlée d'azur - L’Arbresle : de gueules à l'arbre arraché cousu de sinople, accosté de deux demi-vols d'argent - Ecully : parti: au premier d'argent au chêne de sinople posé sur un mont du même, au second de gueules au griffon d'argent - Givors : de gueules aux trois abeilles d'or - Limonest : de gueules au rocher de trois coupeaux d'or, accosté à dextre d'un griffon contourné du même et à senestre d'un lion d'argent couronné aussi d'or - Marcy le Loup (l’Etoile aujourd’hui) : parti : au premier d'or au loup de sable soutenu d'une rose au naturel en bande, au second d'azur à l'étoile d'or soutenue d'une rose au naturel en barre ; au chef de gueules chargé d'une croix de Malte d'argent - Meyzieu : de gueules au lion à la queue léopardée d'or armé et lampassé d'azur, au chef aussi d'or chargé d'un dauphin d'azur crêté, barbé, loré, peautré et oreillé de gueules, accosté de deux croisettes de Malte soudées d'argent - Mornant : de sinople aux deux flûtes d'or passées en sautoir, liées de gueules - Oullins : d'azur au chevron d'or, accompagné de trois croisettes ancrées du même - Saint Genis Laval : d'azur au buste de Saint Genis d'argent, nimbé d'or, accompagné des lettres S, G et L capitales du même, au chef cousu de gueules chargé d'un griffon issant contourné aussi d'or, affronté à un lion issant aussi d'argent - Saint Laurent de Chamousset : d'azur aux lettres S, L et C capitales d'argent, liées par une corde d'or, au chef du même chargé d'un lion issant de gueules - Saint Symphorien d'Ozon : parti : au premier d'or à la croix d'azur, au second coupé au I de gueules à la croix d'argent et au II d'or au dauphin d'azur crêté, barbé, loré, peautré et oreillé de gueules - Saint Symphorien sur Coise : d'azur au château de trois tours d'or, celle du milieu plus haute, coulissé et maçonné de sable, accompagné de trois fleurs de lys aussi d'or - Tarare : d'or à la croix ancrée de gueules, cantonnée de quatre losanges de sable - Tassin la Demi Lune (Seigneurie) : d'or aux trois bandes d'azur, à l'horloge du lieu du champ brochant sur le tout, adextrée en chef d'une étoile du même chargeant la deuxième bande et senestrée d'un croissant tourné aussi d'or chargeant la première bande, au chef aussi d'azur chargé de trois roses d'or - Vaugneray : d'azur au chevron d'or, accompagné en chef d'une tête de griffon contournée d'or et d'une tête de lion d'argent, et en pointe de la lettre V capitale aussi d'or, au chef aussi d'azur soutenu d'or chargé de trois étoiles du même |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Recherche de fiefs Ven 22 Sep 2006 - 10:06 | |
| Dans les alentours de Vienne, nous avons: - Chasse-sur-Rhône - Chuzelles : "D'azur à un pairle d'argent, accompagné en chef de trois fasces ondées du même, à dextre, d'une anille d'or et, à senestre, d'un épis de blé du même" - Serpaize - Illins - Seyssuel - Saint Romain en Gal - Pont-Évêque - Septème (seigneurie mais maquisat ensuite) > A cinq points d'argent équipolé de quatre de gueules; au chef d'azur à trois étoiles d'argent et un croissant de même. Aperçu- Chonas d’Aballan *** Autour de Valence: - Etoile-sur-Rhône:de gueules à l'étoile d'argent - Livron - Garde-Adhémar - Peyrins = seigneurie de Clérieu [Edité par le Wulfen] - Chabeuil - Royans (du) : fascé d'argent et d'azur de six pièces au lion de gueules brochant sur le tout. - Pizançon : D'azur à un buste de cheval d'or animé de gueules, au chef cousu de même chargé de 3 croisilles d'argent. (http://www.francegenweb.org/~heraldique/base/data/media/26/F00127.png) - Châteaudouble (seigneurie mais avec des dépendances –Peyrus, Combovin, Le Chaffal- dont possible baronnie) - Montvendre *** Montélimar: - Castrum de Raco (Châteauneuf-du-Rhône) - Espeluche - Les Tourettes - La Coucourde - Savasse (Monts de) : Bandé d'or et de sable de huit pièces. (http://www.francegenweb.org/~heraldique/base/data/media/16/F00228.png) - Ancône - Montboucher-sur-Jabron - La Batie-Rolland - Puygiron - Allan - Rochefort-en-Valdaine - La Touche - Portes-en-Valdaine > Je ne suis sûr que pour les deux premiers. *** Embrun: - Baratier: fascé d'argent et d'azur de six pièces au lion de gueules brochant sur le tout. - Verdun - Châteauroux les Alpes : d'or au château de trois tours crénelées de gueules, maçonné et ajouré de sable, ouvert du champ, au chef d'azur chargé d'une croix d'argent - Crots: fascé d'argent et d'azur de six pièces au lion de gueules brochant sur le tout. - Savines le Lac : Armes de la Famille LA FONT. Devise : J'irai sonner jusqu'aux cieux. *** Briançon: - La Grave : d'azur aux trois fleurs de lys d'or surmontées d'un lambel d'argent, au filet en bande de sable brochant sur le tout (http://www.francegenweb.org/~heraldique/base/data/media/174/la_grave.png) - Villar d’Arêne: d'azur au mont de deux coupeaux d'argent, au pal de gueules brochant chargé en pointe d'un chamois issant cousu de sable - Monetier les Bains: d'azur à la coquille d'argent accompagnée en chef de deux équerres affrontées d'or et en pointe d'un huchet contourné du même, embouché, virolé et enguiché de sable (http://www.francegenweb.org/~heraldique/base/data/media/174/monetier.png) - Saint Chaffrey - Val des Près (avec Val des Prés, La Vachette, Mont Genèvre > baronnie possible) : de sinople à une face d'or surmontée d’une génisse passant d'argent (http://www.francegenweb.org/~heraldique/base/data/media/174/val_des_pres.png) - Puy Brutinel (actuel Puy-Saint-André) : D'argent au sautoir de sinople cantonné de quatre dauphins du même barbés, crétés, lorés et peautrés de gueules. (http://www.francegenweb.org/~heraldique/base/data/media/174/puy_saint_andre.png) - Villar Saint Pancrace - Cervières - Fonds des Bérards (Il comportait, outre La Salle, les montagnes de Granon, de L'Oule, de Longuet, Roche Gautier et bordait la vallée de la Clarée.) *** Dié: • Châtillon-en-Diois (baronnie) • Luc-en-Diois • La Motte-Chalancon • Pontaix • Saillans: de gueules à l'étoile d'argent • Saint-Benoit-en-Diois • Valdrôme • Vercheny
Dernière édition par le Mar 14 Aoû 2007 - 17:46, édité 6 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Recherche de fiefs Mar 26 Sep 2006 - 14:08 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Recherche de fiefs Ven 20 Oct 2006 - 9:46 | |
| Nouvelle fournée:
- Duché de Champsaur > Saint-Bonnet-en-Champsaur, La Fare-en-Champsaur, Saint-Julien-en-Champsaur, La Motte-en-Champsaur
- Le Voironnais : • Bilieu • Charancieu • Charavines • Charnècles • Chirens • Coublevie • La Bâtie-Divisin • La Buisse • La Murette • Le Pin • Massieu • Merlas • Moirans • Montferrat • Paladru • Pommiers-la-Placette • Réaumont • Rives • Saint-Aupre • Saint-Blaise-du-Buis • Saint-Bueil • Saint-Cassien • Saint-Étienne-de-Crossey • Saint-Geoire-en-Valdaine • Saint-Jean-de-Moirans • Saint-Julien-de-Raz • Saint-Nicolas-de-Macherin • Saint-Sulpice-des-Rivoires • Tullins • Velanne • Voiron • Voissant • Voreppe • Vourey
- Le Queyras : Arvieux, Abriès, Aiguilles, Château-Ville-Vieille, Molines, Ristolas et Saint-Véran.
- Le Bochaine : Aspres-sur-Buëch, Veynes, Serres, Laragne-Montéglin.
- Comté / Duché de Grésivaudan
- Comté / Duché de Trièves > Clelles, Mens et Monestier-de-Clermont |
| | | urbs
Nombre de messages : 1392 Date d'inscription : 02/01/2006
| Sujet: Re: Recherche de fiefs Sam 4 Nov 2006 - 6:46 | |
| Champsaur Queyras > Aiguilles, Abriès, Arvieux, Molines en Queyras, Château-Ville-Vieille, Ceillac, Saint Véran. Bochaine Grésivaudan Trièves As tu les blasons pour? Grésivaudan, non, il n'y a aucune château du Grésivaudan à proprement parler, c'est surtout une région. Mais je suis intéressé par un blason. Pour le Queyras, on a Ceillac et Saint Véran en fief. Ce serait bien d'avoir le blason ou le lien prouvant l'histoire du fief et le blason. Le reste, j'attends de pouvoir les placés sur la carte pour qu'ils soient dit validé. Les adrets existent par exemple, mais les placer sur une carte est limite impossible. Merci. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Recherche de fiefs Sam 4 Nov 2006 - 9:35 | |
| Je m'étais juste attelé aux baronnies et seigneuries, mais voici déjà ce que j'ai pour les duchés: - Citation :
- Le dernier dauphin indépendant, Humbert II, sans héritier, vendit sa province au roi de France, Philippe VI, le 30 mars 1349, par le traité de Romans (1349), habilement négocié par son protonotaire, Amblard de Beaumont. À cette époque, Humbert II portait également les titres de « prince du Briançonnais, duc de Champsaur, marquis de Cézanne, comte de Vienne, d'Albon, de Grésivaudan, d'Embrun et de Gapençais, baron palatin de La Tour, de la Valbonne, de Montauban et de Mévouillon, qu'il transmet également à la France.
Queyras : « Ceillac ne faisait pas partie du Queyras historique. » Pays du Buëch (Bochaine) > Aspres-sur-Buëch, Veynes, Serres, Laragne-Montéglin Duché de Lesdiguisières > Saint-Laurent du Cros, Laye, le Glaizil, où se trouve le village originaire des Diguières et Champsaur. - Citation :
- C’est en 1220 qu ‘apparaissent les premières traces de la famille de François de Bonne. Un certain Vincent de Bonne, puis un Guillaume de Bonne, notaire à saint Bonnet, en 1228. Le fils du notaire, François I de Bonne, co-seigneur et notaire de Saint-Bonnet, rachète au Dauphiné une partie de cette seigneurie. Se succèdent alors Jean II, François II, Gabriel et François III, tous co-seigneurs et notaires de Saint-Bonnet. Ce dernier acheta la plupart des terres de Saint-Laurent du Cros, Laye et le Glaizil, où se trouve le village des Diguières, dont il adopta le titre. Il épousa Alix Poncet, fille du seigneur de Laye, dont il eût deux fils, Raymond et Jean, qui devint seigneur des Diguières, et le fondateur de la maison des Diguières. Son fils François de Bonne, deviendra Connétable de France.
Champsaur > Saint-Bonnet-en-Champsaur, La Fare-en-Champsaur, Saint-Julien-en-Champsaur, La Motte-en-Champsaur… Blason : «De gueules au lion d’or au chef d’azur surmonté de trois roses d’argent» (http://www.heraldique-europeenne.org/Regions/France/Blasons/Bonne.gif) A noter, que je n'ai trouvé que les existances historiques, et quasiment jamais les blasons. |
| | | urbs
Nombre de messages : 1392 Date d'inscription : 02/01/2006
| Sujet: Re: Recherche de fiefs Sam 4 Nov 2006 - 12:50 | |
| oui, c'est pour ça qu'on ne peut en faire des duchés, soit pas de blason soit pas de lieu historique précis. | |
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