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| Annonce de sa Majesté Levan III au Royaume de France (1452-1458) | |
| | Auteur | Message |
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Kederick
Nombre de messages : 1099 Localisation IG : Montélimar Date d'inscription : 01/01/2008
| Sujet: Annonce de sa Majesté Levan III au Royaume de France (1452-1458) Ven 30 Oct 2009 - 14:53 | |
| - Lévan a écrit:
- Nous, Lévan, Roy de France de part la grâce divine,
Au duc Georgepoilu,
Les guerres privées sont autorisées en le Royaume. Elles se doivent de rester internes, et ne concernent pas, ne doivent pas faire intervenir, d'autres nations.
Des Bretons ont décidé de pénétrer en France afin que d'y porter les armes pour vous soutenir ; nulle preuve n'a été apportée quant au fait que vous les auriez appelées, nous ne prêtons pas l'oreille aux rumeurs.
En revanche, question vous a été posée à plusieurs reprises au Conseil des Grands Feudataires, question à laquelle vous avez fait sourde oreille. Il vous a été demandé d'aviser les étrangers que les Bretons ont choisi de devenir que vous préfériez vous passer de leur aide plutôt que de risquer une guerre entre nations. A cette demande, nul geste, nulle réponse, là non plus.
Par conséquent, et passant outre les autres faits que nous vous avons nous-même signalés voici peu, puisque vous persistez, nous autorisons nos armées du Domaine Royal à intervenir de façon offensive. De même, nous ne reconnaissons plus en vous un vassal féal, constatant que vous avez décidé de continuer sur la voie de destabilisation du Royaume de France. Nous vous déclarons félon à la Couronne, avec toutes les conséquences que cela implique sur votre personne.
Fait à Paris le 26 octobre
SMLIII
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| | | Kederick
Nombre de messages : 1099 Localisation IG : Montélimar Date d'inscription : 01/01/2008
| Sujet: Re: Annonce de sa Majesté Levan III au Royaume de France (1452-1458) Ven 20 Nov 2009 - 9:12 | |
| - Citation :
- Nous, Lévan le Troisième, Roy de France de par la grâce divine,
à tous ceux qui le présent écrit liront et se feront lire, et notamment les juges près la Cour d'Appel et le Chancelier de France, salut.
Rappelons que la Cour d'Appel n'est pas un organe législatif du Royaume de France.
Rappelons que seule la Pairie est habilitée de par Nous à statuer sur la légitimé des élections provinciales et aucunement la Cour d'Appel,
Rappelons que décision de la Pairie en la matière fait force de loi de part Notre volonté,
Rappelons en outre que la Coutume a établi cet état de fait.
Le verdict de la CA du 12 de Novembre 1457 , dans l'affaire Ryllas vs Bourgogne, du fait qu'il entend dans ses conclusions qu'une décision de Pairie en ce domaine ne serait pas de sa compétence rend la sentence entachée de nullité.
Le verdict du 12 de Novembre 1457 dans l'affaire Ryllas vs Bourgogne est donc nul est non avenu.
D'autre part, rappelons que les compétences de la Cour d'Appel consistent à l'évaluation des jugements qui lui sont soumis, et non pas à émettre avis sur ce qui a donné lieu à un procès.
Par ailleurs lorsque les lois locales ne contreviennent pas au droit royal, aucun jugement n'est à porter sur elles, et que si partie des lois locales contreviennent au Droit Royal, cela n'entache en rien la validité des autres dispositions locales.
La Cour d'Appel, en prenant une position telle que celle prise dans le verdict du 13 novembre 1457 dans l'affaire "Enalia contre le comté du Languedoc", où elle exerce un chantage à la modification en menaçant de statuer systématiquement en défaveur de la justice provinciale, outrepasse ses prérogatives et ne fait pas preuve de la neutralité dont elle ne devrait pas se départir.
Le verdict du 13 novembre 1457, dans l'affaire "Enalia contre le Languedoc" est nul est non avenu de ce fait.
De manière exceptionnelle et qui n'est pas sujette à faire jurisprudence, ces deux affaires seront rejugées par la Cour d'Appel, et cette fois dans le respect de ses prérogatives et des lois Royales.
Qu'il soit su que quelque juge que ce soit qui remettrait en cause Notre volonté ou abuserait de sa fonction pour s'octroyer des pouvoirs qui ne lui sont pas dévolus ne sera plus habilité ensuite à rendre justice en Notre Nom et sera donc remercié.
Fait en le Louvres, le 16 de Novembre 1457,
SMLIII [/quote] | |
| | | Ka Devirieux
Nombre de messages : 8677 Localisation IG : Briançon Date d'inscription : 30/12/2007
| Sujet: Re: Annonce de sa Majesté Levan III au Royaume de France (1452-1458) Mer 24 Fév 2010 - 12:40 | |
| - Levan a écrit:
- Valnor, Comte d'Aubeterre est nommé Pair de France. Il est parrainé par Yodea, l'alors Comte du Périgord Angoumois.
Ci-joint, le dossier biographique de Valnor d'Aubeterre :
- Citation :
- A Sa Majesté Levan III de Normandie, Roy de France
A la noble assemblée des pairs de France,
Salut !
En ma qualité de comte du Périgord-Angoumois, j’ai l’honneur de déposer en ce lieu, la candidature du comte d'Aubeterre, baron de Montmoreau et de Bèlves et seigneur de Romefort, Valnor.
En annexe, vous trouverez sa présentation.
Fait à Périgueux, le dixième jour de décembre de l’an mil quatre cent cinquante sept
Yodea
Comte du Périgord-Angoumois
- Citation :
- (Né le 21 Février 2005 IG)
Né le premier jour de mars de l'an de grâce 1416 en terre d'Artois à Gent.
Fils unique d'Otvalnor (1377-1424) et de Cyrielle (1391-1428) de Lande Morte.
HISTOIRE DE VALNOR
I – La jeunesse et ses origines.
Descendant d'une lignée hanséatique, dont la terre d'origine fut l'île de Moën, son aïeul Arnulf s'installa avec sa famille en l'an de grâce 1272 sur les rives des terres de Normandie afin d'y bâtir un comptoir marchand et de profiter du commerce maritime. Le temps aidant, les racines familiales prennent en Terre de France. L'abandon de l'héritage nordique est consommé par le mariage de Géline de Lande Morte, issue de petite noblesse françoise et le petit-fils d'Arnulf, Sigvalnor, en 1324. Ce dernier se fait surnommé le « franc » et symboliquement prendra le nom de son épouse, Lande Morte. A compter de ce jour, complètement intégrés et dévoués au Royaume de France, les Lande Morte serviront la Terre de France.
Valnor de Lande Morte est né en Artois de l'union d'Otvalnor de Lande Morte et Cyrielle en 1416. Pour de sombres et lointaines luttes d'influence, la branche familiale livonienne des Raven sise à Riga, avec qui les Lande Morte partagent le même aïeul, ourdit une action visant à faire disparaître la branche françoise. En 1423, l'assassinat de son oncle Ivanor et de sa famille marque le début d'une période sanglante. Son père est assassiné à son tour en 1424 et sa mère, Cyrielle, comprenant le danger s'enfuit avant de confier la garde de Valnor aux moines du monastère de Saint Hénin-lietard. Il a 8 ans et apprendra, que bien plus tard, que sa mère succomba d'une fièvre maligne, en 1428, dans un monastère de Champagne près d'Ay.
Jusqu'à ses 16 ans, il vit au monastère puis part parcourir le monde connu. Après un voyage en Orient jusqu'aux rives du Jourdain, il revient en Terre de France en 1437.
II – L'apprentissage de la vie et ses voyages.
Ses pérégrinations l'amènent en Touraine, plus précisément à Chinon. Il se lie d'une indéfectible amitié avec un jeune homme portant le nom d'Estalabou, futur Duc de Gap. Il entre au service de son Duché dans la jeune armée tourangelle et exerce ses premières fonctions comme conseiller municipal avant d'accéder au poste d'ambassadeur de Touraine. Il quitte néanmoins la Touraine pour entreprendre un long voyage de compagnonnage sur les routes de France et du Saint Empire Germanique. Tout en visitant l'est du Royaume et les provinces limitrophes du Saint Empire, il apprend l'art de l'élevage et de la boulangerie. Il déplace son four de ville en ville, pour enfin rejoindre le Périgord et l'Angoumois et la ville accueillante de Bergerac où il fait l'acquisition définitive d'une petite échoppe. Nous sommes en 1450. Cette installation en Terre périgourdine marquera le début d'une nouvelle ère.
III – La maturité et ses responsabilités.
En août 1454, Valnor embrasse la vie publique de son Comté en intégrant la Chancellerie en qualité d'ambassadeur. En parallèle, il entreprend une carrière militaire dans laquelle il gravit rapidement les échelons. Incorporé comme sergent, il est promu lieutenant de garnison de Bergerac, puis sous le règne du Comte Phénix d'Aragon est élevé en novembre 1454 au rang de Général de L'Ost du Périgord et de l'Angoumois.
La fin d'année 1454 marque le début de sa carrière politique en accédant au Conseil comtal dans lequel il assume la fonction de Connétable. SPAM, parti politique et salon de réflexion, est crée sous son égide quelques semaines plus tard. Plusieurs régnants du Périgord et de l'Angoumois seront issus de ses rangs, à commencer par lui-même, le 1er mars 1455 date à laquelle il est reconnu Comte du Périgord et de l'Angoumois.
Durant son règne, il mettra en place plusieurs institutions encore pérennes de nos jours dans ce comté : l'Assemblée Populaire, la Garde Territoriale, l'Ordre du Mérite du Périgord et de l'Angoumois. Il entamera une révision en profondeur du Corpus des lois du Comté, s'investira au sein du Haut Conseil de l'Alliance du Centre pour favoriser une coopération accrue entre les provinces membres dans les domaines judiciaires, économiques et militaires. Sous son règne de nombreuses signatures de traités diplomatiques seront scellées.
La deuxième Guerre de Bretagne se déclenchant peu de temps après le début de son règne, il répond à la levée de Ban du roi en dépêchant une armée périgourdine-angoumoisine combattre en Terre de l'ouest . Il participera aux côtés du Grand Maître de France, le Duc Juliano Di Juliani, à l'Etat-major militaire restreint des forces armées fleurdisées, dont l'un des faits d'armes fut la planification de la prise de la ville de Rohan.
En Mai 1455, il quitte ses fonctions de Comte, reçoit en fief de retraite le Comté d'Aubeterre et fait sienne la devise « Regis ad Exemplar ». Rapidement, le Comte Dyonisos, nouveau régnant, le nomme représentant exceptionnel et « missi dominici » du Périgord et de l'Angoumois au sein de l'Alliance du Centre. Il est alors désigné comme médiateur dans les négociations entre la Couronne de France et la Bretagne à Poitiers.
De retour au Conseil Comtal en juin 1455, il occupe les charges de Prévôt, Bailli et vice-Chancelier du Périgord et de l'Angoumois, ainsi qu'une intérim de Chancelier. En Juillet 1455, il est le premier à être investi dans la fonction de Maire de Palais de Périgueux.
Désireux de continuer son projet au sein de l'Alliance du Centre, il postule en août 1455 au poste d'intendant général de l'Alliance du Centre auquel il accède après l'accord des cinq régnants de la dite Alliance. Avec le Feu Duc Melkio, il entame la réforme des textes fondateurs de l'Alliance, alors qu'en parallèle il cumule un nouveau mandat de Conseiller Comtal en la charge de la prévôté de son Comté.
Cette période est marquée par la naissance de la Province de Guyenne, limitrophe de son Comté. Durant sa charge de Prévot, il mettra tout en œuvre pour sécuriser les frontières et prévenir les incursions des brigands désireux de mettre à mal la nouvelle province voisine. Son action et ses résultats lui vaudront, en remerciement des services accomplis, l'octroi de la Baronnie de Montmoreau par la Comtesse du Périgord et de l'Angoumois, Dame Mizuki.
Fin octobre 1455, il quitte les fonctions de Maire du palais de Périgueux et se consacre entièrement à l'Alliance du Centre avec la création successive des différents conseils techniques (militaire, diplomatique, économique, judiciaire ...), mais aussi la gestion des crises opposant l'Alliance à différentes provinces comme l'Anjou et le Berry.
En avril 1456, il rejoint le Ban périgourdin-angoumoisin et prend le commandement d'une lance noble au sein de l'armée Primièrat de Peiregòrd e d'Engolmès en vu de répondre à l'appel de Sa Majesté pour combattre en Terre de Bretagne.
Il participe, au sein du Haut Etat-major des forces armées de l'Alliance du Centre, à l'élaboration de l'invasion de la Bretagne sur le front Sud.
Après la prise de Nantes, il participe au premier siège de Rieux, puis à la prise de Vannes le 14 mai 1456 dans laquelle il mène les nobles de son comté à l'assaut des murs.
Le 21 Mai 1456, alors cernée par trois osts bretons, la Primiérat charge les adversaires dans un ultime combat d'honneur qui verra la majeure partie du Noble Sang du Périgord et de l'Angoumois succomber sous le nombre. Le Comte d'Aubeterre gravement blessé est transporté à Vannes par les alliés poitevins où il restera en convalescence avec ses camarades ayant survécu au combat et ce, jusqu'à la fin de la guerre.
Il perd ainsi plusieurs de ses amis proches comme le Duc Melkio et son Vassal le Baron de Biron et Seigneur de La Prade, Messire Dazibao.
Au retour de sa convalescence, désireux de s'investir dans les institutions du Royaume, il postule en juin 1456 à la charge de Secrétaire d'Etat pour le Périgord et l'Angoumois, au sein des Offices de la Curia Régis. Ayant reçu la confiance de Dame Marie-Alice, il prend la suite de la Vicomtesse Melior. Il quitte ainsi l'intendance générale de l'Alliance du Centre afin de répondre aux exigences d'impartialité liées à sa nouvelle fonction.
Au sein du Secrétariat d'Etat, il mettra en place avec Messire Trokinas, un système cartographié synthétisant l'état des modalités de voyage et de traversée de chaque province de France, le plus à jour possible, et destiné à être diffusé par les Secrétaires d'Etat dans leur province respective.
Le 16 novembre 1456, il est élevé à la fonction de Grand Chancelier de L'ordre du Mérite du Périgord et de l'Angoumois. Il prend la direction du Conseil de l'ordre du Mérite, institution qu'il avait créé sous son règne des années auparavant.
De par sa carrière dans les forces armées et de prévôté, il cherche à intégrer les institutions royalles de la Grande Prévôté de France et est incorporé aux effectifs de la Garde Royale en septembre 1456.
Le 27 septembre 1456, il épouse Dame Elayne de Troy, Baronne de Belvès et Châtelaine de Romefort en la cathédrale de Périgueux.
Automne 1456, il participe alors à l'escorte de Sa Majesté en visite des Provinces de France. Début 1457, il est autorisé à quitter le Convoi royal pour prêter main forte aux troupes de son Comté dont la ville d'Angoulême est mise en siège par les marauds de l'armée Libertad. Il intègre une armée poitevine commandée par le Vicomte Théodebert et combat pendant trois et trois nuits les Libertad sous les murs de Saintes mettant fin à leur sanglante équipée et au siège d'Angoulême.
Le 06 avril 1457, il est appelé par le Comte Benguesclin à prendre la fonction de Chancelier du Périgord et de l'Angoumois et se doit, à contre-coeur, de quitter ses fonctions de Secrétaire d'Etat.
En juin 1457, il est élu Conseiller Comtal et prend la fonction de Connétable, charge qu'il gardera trois mandats consécutifs tout en cumulant celle de Chancelier.
Il quitte la Chancellerie du Périgord et de l'Angoumois courant novembre 1457.
Le 25 novembre 1457, il est promu au grade de Lieutenant du Roy et prend le direction de la Commanderie Royale du Ponant, dans le cadre de la réforme de la Garde Royale initiée par le Grand Prévôt de France, Althiof, et du Capitaine de la Garde Royale, Dame Arianrod.
Homme d'état aimé et respecté, le Comte d'Aubeterre a su, tout au long de sa carrière, concilier le législatif, le militaire et la diplomatie. Fin stratège, juriste confirmé, c'est un travailleur acharné. Il a toujours fait preuve d'un profond sens de l'écoute et d'une grande bonté d'âme. Son impartialité lui a valu de nombreux postes de négociateur. - Citation :
- Charges exercées :
Comte du Périgord-Angoumois
Connétable du Périgord-Angoumois
Prévôt du Périgord-Angoumois
Bailli du Périgord-Angoumois
Chancelier du Périgord-Angoumois
Grand Chancelier de l?ordre du Mérite du Périgord-Angoumois
Ambassadeur du Périgord-Angoumois
Intendant de l'Alliance du Centre
Général de l'Ost du Périgord et de l'Angoumois
Membre de l'Etat-Major des armées fleurdisées pendant la deuxième guerre de Bretagne
Médiateur lors des discussions de paix de la deuxième guerre de Bretagne
Secrétaire d'Etat pour le Périgord-Angoumois
Lieutenant du Roy
Directeur de la Commanderie Royale du Ponant - Citation :
- Fiefs et tenures :
De droit.
27 avril 1455 : Comté d'Aubeterre
28 Novembre 1455 : Baronnie de Montmoreau
Par mariage.
Baronnie de Bèlves.
Seigneurie de Romefort.
Devise: "Regis Ad Exemplar" - Citation :
| Décorations.
Commandeur de L'Ordre du Mérite du Périgord & Angoumois.
Médaille de « l'Armàie d'Engoulaeme » et « Campagne de Bretagne » (mai 1456)
Médaille de « Défense contre les hordes sauvages » (Novembre 1456)
Médaille du « Mérite Militaire du Périgord & Angoumois » |
- Citation :
Religion aristotélicienne:
Baptême le 28 février 1456 en L'Eglise de Sainte Lucie de Sarlat par l'abbesse Sednax.
Parrain : Le Comte de Cognac, Messire Phénix de Plantagenet.
le 27 Septembre 1456. en la Cathédrale de Périgueux par l'Evêque de Périgueux, Monseigneur Kendok : Témoin : Feu Le Vicomte de Hautefort, Messire Sanktuaire de Crussol.
- Spoiler:
- Citation :
- A la Chambre des Pairs de France,
Sans conteste, je parraine cette candidature, non pas en tant qu'épouse du Comte d'Aubeterre, mais en tant qu'ancienne chancelière, conseillère comtale ainsi qu'ancienne intendante de la chancellerie du Périgord-Angoumois et de l'Alliance du Centre.
En effet, j'ai eu l'immense privilège de collaborer sous son règne puis en la chancellerie quand il fut vice-chancelier ainsi que chancelier.
A tout ceux qui ne le connaissent pas encore ou ne le savent pas, Valnor de Lande Morte est un homme d'une grande noblesse de coeur et d'esprit. De par sa haute intégrité, sa loyauté envers son Comté, son sens de l'équité et de l'honneur, il a su se forger une réputation au-delà des frontières du Périgord-Angoumois, si bien qu'on lui demanda souvent d'être conciliateur dans les négociations qui suivaient les conflits. Impartialité et droiture sont ses lignes de conduite.
Grand tacticien, fin politicien, parfait diplomate, il a su s'impliquer dans tous les domaines comtaux et insuffler une dynamique et une motivation particulières à son conseil, du temps de son règne, ainsi qu'à l'Alliance du Centre. Grâce à lui, de nombreux projets ont pu voir le jour et la politique autant intérieure qu'extérieure a su évoluer positivement.
De plus, sa capacité intellectuelle, son éloquence et son charisme forcent le respect. Il aime le contact humain et les échanges sont pour lui d'une grande importance. Il est à l'écoute d'autrui et sait apporter conseil ou soutien.
Mais, outre toutes ces vertus, ce qui caractérise le plus le Comte d'Aubeterre ce sont sa gentillesse, sa générosité et surtout son humilité.
Avec lui, le Comté du Périgord-Angoumois ne pourrait être mieux représenté à la Pairie.
Faict sur les terres d'Aubeterre, le septième jour du mois de décembre de l'an de grasce mil quatre cent cinquante sept.
Elaine de Troy de Lande Morte
Comtesse d'Aubeterre
Baronne de Belvès
Dame de Romefort
- Citation :
- A la Chambre des Pairs de France,
Nous, Anthémios de Deliancourt dict "Lekaiser", Connestable de France, portons ce jour a vos yeux notre parrainage quant a la candidature a la Pairie de Valnor de Lande Morte, Comte d'Aubeterre.
De notre long et riche vécu, rarement il nous fut donné la chance et l'opportunité de côtoyer, travailler en concert et bénéficier des actions entreprises d'aussi grandes qualités que celles du Comte d'Aubeterre. Que ce soit lorsqu'il fut Comte, Capitaine, Connétable du Périgord-Angoumois, Intendant de l'Alliance du Centre, Garde du Roy ou encore Secrétaire d'Etat au service de la Couronne, nul point noir dans son parcours nous eûmes a constater. Son dévouement, son sérieux et ses qualités parlant d'eux-mêmes, il fut et est encore aujourd'hui un des grands acteurs du Périgord-Angoumois, au service de Sa Majesté Lévan III.
Il est des hommes en qui nous avons très grande estime, Valnor de Lande Morte est de ceux-ci. Par le présent parrainage, nous souhaitons qu'il soit aujourd'hui reconnu a sa juste valeur, qu'il puisse poursuivre son dévouement pour le Roy et œuvrer en la qualité de Pair de France, qualité pour laquelle sans nul doute il excellera.
Faict en les terres de Lalinde, le VIIIe Jour du Moys de Décembre de l'an de Grâce de Nostre Seigneur 1457.
- Citation :
- A la chambre des Pairs de France.
Sans hésiter, je parraine la candidature à la Pairie de Valnor de Lande Morte, Comte d'Aubeterre.
Homme de courage et de convictions,l'un des meilleurs Connétables qu'il m'ai été donné de fréquenter comme Capitaine des Forces Armées.
Sa simplicité et son abnégation n'ont d'égales que sa capacité à conseiller,former,soutenir et écouter le petit comme le grand,dans le but unique du service de nos institutions.
Ses hautes qualités morales,son sens inné du devoir envers son Comté et son Roy légitiment sa candidature à la Pairie de France.
Prigonrieux,le VIIIe Jour du Mois de Décembre de l'an de Grâce 1457.
Louis Vonafred de Dublith.
Seigneur de Prigonrieux
- Citation :
A la Pairie,
Le 8 décembre 1457,
Fait à Périguers,
Nobles Pairs, salutations.
J'en profite en l'état pour m'adresser à vous, afin de vous faire savoir mon avis sur un parrainage qui me semble nécessaire, d'un noble du Périgord Angoumois.
J'apporte sans aucune hésitation mon soutien au Comte Aubeterre. Je serais ravi pour Sire Valnor que de le savoir aussi bien représenté : il possède un charme naturel auquel on ne peut échapper ; et représentant du comté du Périgord Angoumois, lequel dissimule quelques perles rares aux offices royales - j'en aurais pour preuve feu Benjamin de Crussol, feu Sanktuaire de Crussol, feu Sa Seigneurie Alistiel ; ainsi que le connétable de France Lekaiser - et continuera d'être aussi fidèle à Sa Majesté & à la couronne de France. Je le connais amateur de fourrures et d'épais manteau : ça serait l'apogée d'apercevoir du pair sur ses épaules ! Une satisfaction pour nous tous, que dis-je. Et de la reconnaissance pour notre bien-aimé Comte Valnor.
Recevez nos salutations distinguées.
Qu' Aristote veille sur vous.
- Citation :
- A la chambre des Pairs de France,
C'est sans la moindre hésitation que je parraine la candidature du Comte d'Aubeterre pour un siège à la Pairie. Le Périgord-Angoumois peut s'enorgueillir d'avoir en son sein nombre d' hommes et de femmes de qualité, mais à ma connaissance, nul autre ne serait plus apte à le représenter auprès de la Pairie.
Sa Grandeur Valnor de Lande Morte possède de hautes qualités militaires et diplomatiques.
C'est un homme d'une grande intégrité , d'un sens éthique exemplaire et d'une sagesse dont la réputation dépasse les frontières du comté.
J'ai la plus totale confiance en sa Grandeur, le Comte d'Aubeterre. A mes yeux, il est digne d'être membre de la Pairie.
Fait à Sainte Alvère
le neuvième jour du mois de décembre de l'an de grasce mille quatre cent cinquante sept.
Opale de Lostanges
Dame de Sainte Alvère.
- Citation :
- A la chambre des Pairs
Par cette missive, j'apporte tout mon soutien sans l'once d'une hésitation à la candidature du Comte de Lande Morte à la Pairie.
Puissiez-vous enquêter dans tout le Royaume que vous ne trouveriez nulle âme pour émettre critique sur ce serviteur du Périgord-Angoumois et du royaume de France. Au delà des époques, au delà des courants de pensée, au-delà des partis, Messire Valnor représente la noblesse, l'abnégation et le dévouement au Comté et au Royaume. Son expérience, sa sagesse et sa diplomatie seront employés au mieux au sein de la noble institution qu'est la Pairie.
Aristote vous protège !
Fait à Biron le 10 décembre 1457
BenDuguesclin, Vicomte de Biron
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| | | Ka Devirieux
Nombre de messages : 8677 Localisation IG : Briançon Date d'inscription : 30/12/2007
| Sujet: Re: Annonce de sa Majesté Levan III au Royaume de France (1452-1458) Mer 24 Fév 2010 - 12:40 | |
| - Citation :
| | | Nous, Lévan le Troisième, Roy de France de par la grâce divine,
à tous ceux qui le présent écrit liront et se feront lire, salut.
Nous tenons à rappeler que nous sommes au courant des opérations militaires se déroulant actuellement en Provence ; elles ne sont que la suite logique de la demande de protection faite en le Conseil des Grands Feudataires, et de la missive que nous avons envoyée à notre cousin l'Empereur. En tant que souverain de droit divin, et devant juste protection à nos sujets, nous ne saurions tolérer que l'ordre établi soit remis en cause, et que nos vassaux souffrent d'exactions impunies. Or, la situation géographique est telle que notre cousin n'a pas la même facilité d'intervention : aussi est-ce de bon gré que nous avons saisi l'opportunité de rétablir sa pleine autorité.
Par ailleurs, nous avons reçu divers témoignages et preuves des agissements du sieur Ryllas, en le Languedoc. Bien loin de prévenir son suzerain qu'une province étrangère et félonne à l'Empire avait fait connaître son intention d'annexer une partie du Royaume, il a au contraire prêté l'oreille à cette proposition. Le sieur Kristof, qui n'était pas allé jusque là, a été déclaré félon à la Couronne. De même, une alliance se dessinait, alliance ayant pour but de se rebeller tout à la fois contre le Royaume et l'Empire : encore une fois, contre l'ordre établi et voulu par Dieu. Nous attirons l'attention de notre Sainte Mère l'Eglise sur ce fait. Enfin, nous demandons aux services de la Surintendance et de la Grande Prévôté de France d'enquêter sur l'état des caisses du Comté du Languedoc, dont il semblerait que des valeurs aient disparu. Nous estimons en effet que le peuple languedocien a le droit de savoir ce qu'il est advenu du fruit de son labeur.
Par conséquent, nous déclarons le sieur Ryllas félon à la Couronne, avec pour conséquences l'autorisation par nous donnée à ce qu'il soit détrôné s'il refuse de laisser le trône du Languedoc, et le fait que les vassaux de la provinces soient libérés de toute obligation concernant celui qui était leur Comte.
Fait en le Louvre, le 20 de Janvier 1458,
SMLIII |
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| Sujet: Re: Annonce de sa Majesté Levan III au Royaume de France (1452-1458) | |
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| | | | Annonce de sa Majesté Levan III au Royaume de France (1452-1458) | |
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