SIM Val d'Oze (Blasons à faire)

J'aimerais prendre la Baronnie du Val d'Oze comme fief de retraite, c'est une baronnie historique et je ne cacherais pas que ce qui m’intéresse c'est sa position géographique et son nombre important de fiefs vassaux historiques.
J'ai trouvé des informations issues directement des archives du Val d'Oze, les voici :

(Désolé pour la présentation mais ça vient d'un PDF).

Citation :

La baronnie de la Val d’Oze

Seigneurie majeure de la Val d’Oze

1265 : la seigneurie du val d'Oze s'étendait à la fin du Moyen-Age sur les vallées du Drouzet et
de la Maraize et fut érigée en baronnie.
1358 : transaction importante passée entre Guillaume Auger et ses vassaux d’Oze, stipulant des
libertés en leur faveur.
1472 : Alix de Saporis, Dame d’Oze permet aux habitants de construire un nouveau village dans
la plaine.
La baronnie de la Val d’Oze appartenait jusqu’au XVème siècle à la prestigieuse famille des
Guillaume Auger, allié au Comte de Provence.
1726 : la terre de Chabestan, arrière fief de la baronnie de la Val d’Oze, fut érigée en Comté au
profit de JF Roux de Laric.


TABLEAU HISTORIQUE DES HAUTES-ALPES
MANDEMENT DE LA VAL-D'OZE

Ce mandement est l'un des plus intéressants à étudier du Gapençais.
Il s'étendait sur la vallée de Maraise et sur une portion de celle du Drouzet, mais il avait été plus
considérable autrefois. La terre du Furmeyer en faisait probablement partie au XIIIe siècle, et les
hameaux du Plan-du-Bourg et de Villelongue en avaient été détachés au XVe pour être mis au
mandement de Savournon.
La seigneurie de la Val-d'Oze, qualifiée, depuis 1265 au moins, de baronnie, resta à l'état de francalleu
(terres affranchies de toute redevance ou obligation) jusqu'au XIIIe siècle; le seigneur majeur
reconnut alors la suzeraineté du Dauphin.
Ce seigneur majeur étendait son autorité sur les neuf paroisses de la baronnie, et chaque
communauté avait un seigneur particulier vassal du seigneur majeur. Cet état de choses se maintint
sans altération notable jusqu'au XVIIe siècle.
La seigneurie majeure parait avoir été divisée, au début, entre deux familles étroitement unies par
des liens de parenté, les familles Reynier et Auger ;
Voici la filiation de la première:
· Pierre Reynier, 1080
Pierre, 1140-1150
Pierre, 1200
Pierre, doyen du chapitre de Gap, qui fait héritiers ses neveux, Pierre Reynier et Guillaume Auger
vers 1292.
Voici la descendance des Auger:
· Guillaume, 1180-1190
Guillaume, 1235-1260
Guillaume, seigneur de toute la baronnie, par héritage de Pierre Reynier, son oncle, 1270-1308
Guillaume, 1308-1310
Guillaume, 1318-1339
Guillaume, 1339-1358
Guillaume, 1380-1399
Georges, 1399-1460
Alix de Saporis, sa femme, garde la baronnie d'Oze pour ses reprises et épouse Louis Gaste, 1460-
1486
Jeanne, leur fille, épouse François de Castellane, 1500-1525
Melchior, fils des précédents, fait héritière sa soeur Honorade, femme de Jean du Mas, substitué au
nom et aux armes de Castellane, 1558
Alexandre du Mas de Castellane, 1610
Jean de l'Olivier de Bonne achète la Val-d'Oze 100,000 livres (avec la baronnie de Vitrolles), le 15
novembre 1610
François, son fils, la revend à son oncle Pierre de Tholosan, 1629.1669
M.Meissimilly CC2B Page 4 07/12/2009
Jean de Tholosan, 1669-1700
Celui-ci fait héritière sa tante Louise d'Hugues, veuve de Pierre de Roux de Bellaffaire, 1700-1717;
elle vend avec faculté de rachat à .Jean-François de Roux de Gaubert, 1719; elle rachète en 1734 et
revend définitivement à François de Roux de Gaubert en 1751
Alexandre-Louis-Gabriel de Roux de La Ric, 1789.
La baronnie d'Oze avait été érigée en comté en 1729 sous le titre de La Ric; le siège de ce comté
était le château de Chabestan. La famille de Roux avait la prétention, qui paraîtrait justifiée par
quelques titres, de descendre des Ruffo, puissants seigneurs de Calabre, partisans des princes
d'Anjou, rois de Sicile, et forcés de s'expatrier après les Vêpres siciliennes.
Les « Vêpres siciliennes » désignent un soulèvement et une révolte populaire de l'île de Sicile contre
la domination féodale du roi français Charles d'Anjou, survenu à Palerme et Corleone, le 31 mars
1282, mardi de Pâques. À la suite de ce soulèvement et du massacre des Français, les Siciliens se
libèrent du joug angevin avant de se livrer au roi d'Aragon Pierre III.
Leur fidélité à la France leur ayant fait perdre la seigneurie de la Ricca près de Naples, Jean-François
de Roux obtint que la terre de la Val-d'Oze érigée en comté en sa faveur, en 1729, prendrait le titre
de La Ric en souvenir de la seigneurie que ses ancêtres avaient perdue quelques siècles auparavant.
La famille de Roux de Gaubert changea même son nom en celui de Ruffo de La Ric.
Voici la liste des nobles qui en 1399, se reconnurent vassaux du baron d'Oze:
· Antoine, Bertrand et Guillaume de Chabestan
Isnard de Vitrolles
Didier Tabatii
Guillaume, Mondon et Jean de Montrond
Jean Ferrus
Jean Gruel
Isnard de Lazer
Mondonne du Saix, femme de Guillaume de Parme
Catherine du Fort, femme de Raymond de Rosans
Madeleine, héritière de Raymond du Saix et femme de Jean de Bardonnèche
Perceval et Justet de Bardonnèche
Bertrand de Barras
Guigues d'Oze
Montaline, veuve de Guillaume Sylve
Raymond Geoffrey
les héritiers de Montarcine Arnulphi, femme de Jacques de Montorcier.
Le baron d'Oze exerçait un droit absolu de haute et basse justice par le ministère d'un baile qui
siégeait à Oze. Le 6 décembre 1268, il transigea solennement avec les seigneurs ses vassaux, de la
Val-d'Oze, il laissa à chacun d'eux une juridiction inférieure se réservant la haute justice et l'appel de
leurs tribunaux. Il dut lui-même, bientôt après, se reconnaître justiciable du conseil delphinal de
Grenoble et permettre à ses sujets d'en appeler de son tribunal à cette cour souveraine. Ayant voulu
mettre quelque empêchement à l'un de ces appels, il fut condamné, au mois d'octobre 1376, à 50
florins d'amende pour avoir entravé le cours régulier de la justice. Au XVIIe siècle, sa juridiction fort
amoindrie s'exerçait à Veynes, avec appel au vibailli de Cap. En 1729, Jean-François de Roux obtint,
en même temps que l'érection de sa baronnie en comté, que sa juridiction s'exercerait à Grenoble
avec appel immédiat au parlement.
Bibliographie ALLEMAND (abbé). Monographie de la Val-d' Oze. Gap, Jouglard, 1884, in-8°.in 1887
Roman, Joseph Tableau historique du département des Hautes-Alpes
M.Meissimilly CC2B Page 5 07/12/2009
Ladoucette
« histoire, topographie, antiquités, usages, dialectes des Hautes-Alpes »
1848


Le Buëch parcourt le territoire de Furmeyer durant 2 kilomètres, et le Drouzet y coule dans la
moitié de cet espace. Ils arrosent une partie du territoire, et l’on oppose à leurs ravages 1,600 mètres
de digues.
On n’a pas maintenu la pépinière de feu M. Thiers, construite sur le penchant d’une montagne.
On se sert pour le labour de juments que l’on fait pouliner.
La nature a fait un mécanicien du nommé Bernard de Furmeyer ; On lui doit une horloge en bois
marquant les secondes, le quantième du mois, le jour de la lune ; à l’aide de quelques ressorts, il
faisait mouvoir de Gap à Veynes, une machine en bois. Il se rend utile, en plantant à peu de frais, des
pieux ou pilotis, à l’aide d’une navette, sur le bord des torrents.

Chatillon le désert ne possède ni canaux, ni digues, et n’a pas eu de communaux à partager ;
L’agriculture y a fait des progrès, surtout pour les prairies artificielles.
A l’entrée du désert et au bas de la montagne de Céuse, se trouve une grosse ferme appelée
Tchatéou-Tchappa, du nom d’un petit château dont on voit encore les traces, et qui a été détruit
quelques années avant la révolution de 1789, par un incendie, effet de l’imprudence. On prétend
dans le pays que ce petit château est de construction romaine, et que son nom patois Tchappa ou
Estchappa, signifiant en français Echappé, lui serait venu de ce qu’il n’aurait pas été enveloppé dans
les ravages de l’occupation sarrasine ; ce que, du reste, son isolement permet de supposer. La
situation de cette habitation, au haut d’une belle prairie, est d’ailleurs assez agréable.

Le Saix a une population de 344 âmes, trois digues, huit canaux d’arrosage, la moitié des maisons
couvertes en tuiles. Cette commune a produit un docteur en droit et en théologie, nommé Antoine,
qui fut Abbé de Chiseri et commandeur de Saint Antoine de Bourg en Bresse ; poète latin et français,
il a laissé plusieurs ouvrages et traduit quelques morceaux de Plutarque.
En 1329, le Duc de Bretagne qui prétendait au Comté de Savoie, au chef de sa femme, traita avec le
Dauphin, qui se trouvait à Paris et promit de lui donner, jusqu’à la fin de la guerre qu’ils
entreprendraient, mille hommes pendant quatre mois de l’année, et deux cents pendant les autres.
Mais en l’absence de ce dernier prince, le Comte de Forest, l’un des arbitres du traité, pris d’assaut la
maison forte de Mathieu de Saix, homme lige du Dauphin. Vingt quatre hommes y furent saisis et
tués de sang froid ; les femmes ne furent pas épargnées ; L’épouse de Matthieu, blessée à mort, fut
ensevelie dans les ruines de sa maison.

On réclame la construction d’un pont entre Veynes et Oze pour les communications de la rive
gauche du Buëch qui ne parcourt que l’extrémité et la partie basse de cette dernière commune : elle
n’a que 60 toises de digues et un petit canal d’arrosage. La montagne d’Oule, située au levant,
retarde pour Oze, le lever du soleil ;
Cette montagne est déboisée jusqu’au tiers de sa hauteur où commencent des broussailles, mais il
faut parvenir jusqu’à sa sommité pour trouver quelque peu de gros bois.
Une seule fontaine sert à abreuver les habitants et le bétail ; une de ses sources se précipite dans un
torrent d’où M. Anglès l’a détournée de 4 ou 500 toises pour la conduire à grand frais dans une de
ses possessions. Cet ancien député, ce poète aimable, habitait l’agréable Prieuré de Véras.
On voit à Oze les débris de deux vieilles tours sur des éminences où elles servaient à des signaux.
Un couvent de Templiers, appelé le Saint Sépulcre, comme celui qui existait auprès de Chorges, y
est tombé en ruines, muettes pour bien des hommes ; l’observateur voit sur ces pierres amoncelées
l’empreinte des révolutions, l’étendard des Templiers, l’oppression des vassaux, peut être le souvenir
des crimes, l’ombre de Philippe Le Bel tenant d’une main hardie l’arrêt de la proscription des
célèbres et malheureux chevaliers ; on voit la torche qui allume leur bûcher.
J’ai écris ces mots à Véras sous l’inspiration d’un ami bien bon, bien spirituel, que je ne devais plus
revoir.
… Le pays est un tissu de mamelons ; que ses roches sont mortes, ses coteaux arides !
Partout où les mulets ne traînent pas l’araire, ce ne sont que schistes noirs et dépouillés d’herbes !
En certains endroits la terre représente des figures solides, surtout pyramidales.

Saint Auban d’Oze est une commune fort peu importante ; ses maisons sont toujours
couvertes en chaume ; un incendie en consuma la plus grande partie, il y a douze ou quinze ans.
Saint Auban a des amandiers, des noyers, quatre canaux d’arrosage, point d’industrie. Les habitants
passent pour être bons. L’un d’eux cependant, Bestidous , resta si longtemps au bagne de Brest, qu’à
son retour il ne reconnaissait plus aucun de ses compatriotes.

Chateauneuf d’Oze occupe un petit vallon resserré de toutes parts, excepté du côté du
Drouzet, torrent qui coule du midi au nord, sur 5,200 mètres de longueur, et où il puise 5 ou 6
canaux d’arrosage. On y a construit 500 mètres de digues. La commune qui a de belles plantations
de noyers et quelques amandiers, manque de moyens pour conduire dans le village de bonnes eaux
qui fluent de son territoire, et en boit de mauvaises qui occasionnent des coliques.

Chabestan, anciennement bâti des débris de la ville romaine de Mons Seleucus, a ses maisons
éparses, peu commodes, couvertes en tuiles creuses à crochets. Ses montagnes communales sont
soumises au régime forestier. Un canal d’irrigation pris à la Maraise, sur les bords de laquelle on a
construit 30 mètres de digues, arrose 2 kilomètres de son territoire, qui est coupé par des mamelons
marneux.
M. de Ravel, propriétaire actuel du beau château de Laric, de ses vastes jardins et de quatorze
domaines, en arrose quatre sur la longueur de 3 kilomètres au moyen d’un canal qui puise au Buëch.
On prétend qu’il s’oppose à l’ouverture d’un autre qui porterait la fertilité jusqu’à La Bâtie
Montsaléon. M. de Ravel est du reste un agriculteur habile ; il pratique l’art d’effondrer les terres, et
il les cultive avec les charrues Dombasle à deux versoirs et à soc tournant. Avant lui, on n’avait à
Chabestan que des prairies naturelles ; il y a introduit l’usage des près artificiels. On récolte dans ce
pays des amandes, des noix et autres fruits ; on y fait un peu de vin ; on y a perdu le marché qui
existait avant 1789.
Un chemin de grande vicinalité, et partant du Saix, aboutit au pont en pierre de Chabestan, élevé en
1777 par M. d’Egalant, membre du Parlement de Grenoble.
M. le Chevalier de Ruffo a donné, en 1822, un terrain valant 6,000 francs, dont les produits sont
affectés aux pauvres, à l’église et au curé. Il y beaucoup à faire pour l’instruction publique dans cette
commune généralement pauvre.
Au mois de mai 1769, des lettres patentes du roi avaient établi des marchés et foires au Comté de
Laric (ci devant Chabestan), et dans la Baronnie d’Oze, en considération des services rendus par le
sieur Jean François de Roux, des comtes de Laric et de ceux de ses ancêtres, tant dans l’épée que
dans la robe, au Royaume de Naples et en France, depuis que sa branche y a passé, à la suite de la
Reine Jeanne, comtesse de Provence.
Le 22 mars 1763, la Chambre des comptes du Dauphiné jugea « parfaitement prouvée la filiation de
messire Jean François de Laric jusqu’à Louis Ruffo »

Le truc c'est que, bien que les infos sont très nombreuses, je n'ai pas trouvé le moindre blason pour le Val d'Oze...Pour l'instant je n'ai pas cherché les blasons des fiefs vassaux.

J'avais aussi vu le site municipal mais le PDF reste beaucoup plus complet et les sources ont l'avantages d'être notifiées après chaque paragraphe...Même si ça ne se voit pas car c'est galère de copier un PDF hélas.

Source : Gaso.

Chabestan : d'azur au lion d'or lampassé de gueules, surmonté de six étoiles du même rangées en chef.
Furmeyer : d’azur au cyprès arraché d’or sommé d’une tourterelle d’argent.

Petite recherche rapide

Val d’Oze


Furmeyer
d’azur au cyprès arraché d’or, sommé d’une tourterelle d’argent.


Chatillon le désert
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ville_fant%C3%B4me

Le Saix
http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Saix


Oze
http://fr.wikipedia.org/wiki/Oze
http://www.oze.fr/article.php3?id_article=7

Saint Auban d’Oze
De gueules à la palme d'or adextrée, accompagnée, en chef, d'une étoile d'argent; chaussé du même aux deux croisettes du premier.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Auban-d%27Oze

Chateauneuf d’Oze
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teauneuf-d%27Oze

Chabestan
D'azur au lion d'or, accompagné en chef de six étoiles du même

http://www.chabestan.com/
http://fr.wikipedia.org/wiki/Chabestan


http://www.tchinggiz.org/heraldique/blasons-hautes-alpes.html

Honnêtement, j'ai bien peur qu'il faille créer nous même le blason du fief dominant, le Val d'Oze...J'ai beau chercher depuis des lustres j'ai jamais trouvé.

moui... je t'avais demandé d'attendre un peu non? ... pfff...

Eu...Ah bon ? Tu sais que j'ai un temps limite non ?

[Ces infos sont parmi les toutes premières qu'on trouve en tapant "val d'oze" sur google...Je veux bien n'aider personne mais là il faut quand même se dire que quiconque à cherché un minimum les as déjà trouvées.]

oui, c'est pour cela que je parle de recherche rapide. Et c'est déjà indicatif de ce que l'on peut rencontrer ailleurs.

Sans vouloir être tatillon il me semble que les Val de ou nom de zone géographique, genre "Gévaudan" sont interdit.

J'ai jamais vu une telle interdiction, ni jamais entendu parler d'ailleurs...De plus c'est Nyna à la base qui m'a parlé de ce fief et il a été intégré apparemment à l'examen en cours des hérauts pour la recherche de fiefs.
Je pense pas qu'ils auraient acceptés un examen sur la base d'un fief interdit.

Dites, j'ai pas envie de faire mon bisounours, mais je préfère quand vous vous faites des compliments, comme l'autre jour.

...

Pour la Val d'oze, il faut faire la fiche je suppose ? Thiberian n'est pas encore anoblit ?

Le contreseing est aussi dans mon ancien bureau, le blason vient d'être validé en caducée.

Fiche à créer.

Voici les SIM historiques qui ont été trouvées Sépulcre :

Chabestan
Châteauneuf d’Oze
Furmeyer
Le Saix
Oze
Saint Auban d’Oze
Chatillon le Désert

Aucuns problèmes notable hormis pour Chatillon le Désert, car le qualificatif de désert est trop récent après que la ville sois devenue ville fantôme...Il faudrait donc sans doutes garder le nom d'origine : Chatillon.
Ce qui pose encore problème c'est que Chatillon c'est très commun et c'est forcement déjà attribué autre part comme ce fut le cas pour Polingy que nous avons renommée Poligny sur Drac.

Je suggère donc qu'on trouve un nouveau nom pour Chatillon le Désert.

En ce qui concerne Oze j'ai un soucis...Je me demande si je dois le voir comme le fief majeur ou comme une SIM.
Car le nom exact de du fief est le Val d'Oze qui contient ces 6 parties différentes et plus petites...Donc voila je me demande comment voir Oze.

Je vais étudier cela.

Rajoute sur la longue liste.[/i]

Oui car rien n'a été validé encore... on ne prend jamais un pays normalement, là Oze est forcément le fief dominant, pour cela que l'on a pu garder le nom et garder le coté historique.

A première lecture Oze est un fief de la baronnie, toutefois les pays sont interdit, donc je serais tenté de mettre Oze en majeur.
Mais le truc c'est qu'il y avait une dame d'Oze en même temps qu'un baron de la Val d'Oze.
Donc où vivait le baron ?

Pour Châtillon le Désert, je me demande si c'est pas deux fiefs...

Citation :

Le Village Le Désert

Au XIIIe siècle, les terres appartenaient en grande partie à Henri Gras, seigneur du Valgaudemar et au Seigneur Perceval de Bardonnèche.
Ce dernier fut condamné pour félonie envers Guillaume Auger, son suzerain, à la confiscation de sa terre.
Une chapelle y avait été fondée vers 1420 par Henri Gras, seigneur du Valgaudemar. Elle était placée sous le vocable de l'Assomption de Notre-Dame.
L'église fut démolie pendant les guerres de religion.
Dans les années 1700 il ne restait plus que 6 familles et elles ont été déplacées sur Châtillon qui fut alors appelé Châtillon-Le Désert.

http://villedetallard.free.fr/a-petit-pas/le_desert.htm