Concernant les provinces rebelles, pas de liens. En particulier commerciaux, mais pas que.
D'une part parce que ça irait à l'encontre des demandes et souhaits de la Couronne.
D'autre part et surtout parce que nous n'avons aucun intérêt à avoir de liens avec elles.
Sur les liens avec l'étranger, il y a des règles royales, que je n'ai plus en tête mais qui ont de mémoire évoluées il y a quelques mois (sous le règne de Lanfeust). Si mes souvenirs sont bons via une modification de la grande charte.
La règle a longtemps été : pas de liens entre une province vassale et un état étranger. Il me semble que maintenant il y a des distinctions plus fines entre état-province (comme la Provence), province d'un état étranger (comme la Savoie), etc.
Maintenant, en ce qui concerne les liens avec les provinces proches, mes connaissances sont peut-être un peu obsolètes mais je ne crois pas.
Dans l'histoire récente (qui a quelques années tout de même), Provence et Savoie sont les deux principaux alliés du Duché. Avec le Languedoc également, même si ça s'est détérioré avec le temps j'ai l'impression (surtout à cause de laisser-aller il me semble, même si je me rappelle d'altercations entre Arwel et BBred qui ont pu y jouer aussi).
La Bourgogne, c'est un peu plus complexe mais dans l'idée il faut évidemment que l'on ait de bon termes avec elle. Le Bourbonnais, j'ai l'impression que ça a longtemps été le grand oublié parmi nos voisins.
Au final, voici la feuille de route des derniers mois en termes de diplomatie : "dans la continuité des mois passés, nous tenons à un Duché respectant ses engagements avec la Couronne de France mais n'hésitant pas à rappeler qu'ils doivent être réciproques. Nous désirons le maintien et la consolidation de ses relations d'amitié avec les provinces voisines, appartenant au Royaume de France ou non."
C'est vague, mais ça donne une ligne générale.
Concrètement, j'avoue que j'ai été mauvais en terme de diplomatie et de relations extérieures durant mes deux mandats. Je n'ai clairement pas rendu le Duché audible chez les Grands Feudataires, ni ailleurs à vrai dire. C'est fortement lié au fait que je me sois beaucoup concentré sur la gestion et les réformes internes, mais ça demeure vrai.