Aguerrissement d'un soldat

Argael de saint Giraud vu le chef de lance Pisteur l’observer. Il secoua négativement la tête tout en pensant.

Même pas vous espérez vous occuper de moi chef de lance Pisteur, je suis bien trop fier pour cela, les convictions d’un vieux sont immuables.

Il continua d’observer la troupe se restaurer, ils avaient donné satisfaction même si il refuser de les féliciter. La pause était méritée. Il passa au milieu des hommes de troupes cherchant leur regard, exprimant la souffrance mais la joie de faire partie de l’institution.

On repart, sac à dos. La route est encore longue, et les jours sont courts.

En repartant tout le corps du doyen se plaignit de ce traitement qui lui était infliger, il ne put retenir un râle de douleur. Il se maudit de sa faiblesse.

La troupe marchât et marchât encore avalant les cols. Les visages exprimer la fatigue. L’Homme d’arme serait les dents, n’ayant de cesse d’alterner les encouragements et les coups de gueule.

Ils arrivèrent plus tôt qu’il ne l’avait prévus sur le lieu du dernier jeu du drapeau qu’Argael avait organisé il y a de cela quelques jours.

Nous voici arrive mais la journée n’est pas finit. Avant de penser à vous reposer, quelques exercices vous attende.

Pour commencer et si vous voulez manger hommes de troupe vous avez un arc et des flèches, vous allez me faire le plaisir de me faire de jolis scores. Je vous demande de faire 4450 points si un de vous n’y arrive pas nous marcherons cette nuit ais je été clair ?

Bon courage à vous, je vous ammene sur le pas de tir(http://ntco.free.fr/81.swf).

(hrp je vous laisse jusqu'a ce soir apres faut avancer ca traine trop)

La nuit s’avancée doucement dans la montagne. L’homme d’arme Argael de Saint Giraud se rassembla avec les chefs de lances et leur chuchota ce qu’il allait maintenant faire. Il se retourna ensuite vers les hommes de troupes.

Garde à vous

Le visage du Seigneur est remplit de fureur comme personne encore ne l’avait jamais vu, il ne s’agissait nullement d’une simulation, les dents serrées la colère était réelle.

Il fixa intensément chacun des hommes de troupe un à un jusqu'à ce que chacun ait baisse les yeux. Il commença son défoulement verbal.

Vous êtes des fientes de pigeons, des incapables, des sous hommes même pas digne de porter l’uniforme ce si bel uniforme que vous souillez en portant. Retirer le vous en êtes nullement digne et peut m’importe que vous ayez froid. Vous ne deviendrez jamais de véritables guerriers, regarder vous tremblant de honte j’espère au moins.

Il se dirigea vers Coco lui décochant une violente gifle, puis fit de même avec Wiglaf

Ne vous poser même pas la question de savoir pourquoi incapable de luter contre le froid même pas digne de tenir un arc. J’ai cru avoir des personnes motivées devant moi des jeunes dont je me faisais une joie de leur apprendre quelques choses, mais regarder vous. Arrêter de trembler, parce que vous avez un minimum d’intelligence pour passer le test d’entrée vous avez jugé bon de ne pas vous remettre en cause jamais, que le chef de lance Akron ou Pisteur soient venus alors que rien ne les y obliger devrait vous donner de l’orgueil au lieu de cela vous vous laisser mourir indigne d’être des montagnards, incapable de dominer la fatigue ou le froid.

L’homme d’arme éructait en proie à un mélange de colère et de profonde déception. Il mit une gifle à son tour à Elvoniel.

Aucune cohésion pas l’un pour entrainer les autres alors même que le résultat m’importer peu, je vous ais juger et je vous déclare mauvais, peut m’importe ce que vous penserai de ce vieux con d’homme d’arme, je mourais avec mes idées sur un champ de bataille si Christos veux mais toujours digne toujours en ayant donne le meilleur de moi-même sans jamais me plaindre.

Ou avez-vous mal ? Que connaissez-vous de la douleur de celle qui vous fait fleurter avec la mort.

A son tour le doyen de Bri enleva ses vêtements révélant un corps culte par les épreuves. Une énorme cicatrice d’où un suintement sorte lui barrer le dos à n’en pas douter la fièvre accompagne cette blessure.

Ou avez-vous mal que vous ne puissiez sortir les doigts de vos poches.

Il entreprit de défaire ses chausses révélant des pieds en sang purulent, les bandages de protections étaient rouges.

La douleur vous domine vous ne serez jamais digne de porter cet uniforme pas avec un tel moral.

A compté de maintenant je ne veux plus vous voir, je continuerai seul l’objectif que je me suis impose, a vous d’attendre de voir ce que les chefs de lances ferons de vous si ils auront la bonté de vous accompagner sur le chemin du retour, vous ne le méritez pourtant pas. A mon retour je ferais un compte rendu sur mon expédition au Seigneur des lances Chouket.

Pensez ce que vous voulez je ne crains pas le jugement de jeune lapin traitant le lait de maman, il faudra bien plus que cela je vous assure.

Rompez.

Une fois finie, il remit ses chausses, se rhabillât, regarda ses chefs, peux lui importer désormais de leur déplaire, de les faire rire de les rendre fiers de leurs homme, la déception était immense.
Il commença sans un mot à s’éloigner du groupe malgré la nuit qui été désormais tombée.

Ps : rp parlant je ne veux pas vous blessez, mais irl je suis sincèrement dépité, déçut de votre immobilisme, n’ayant plus de motivation pour poursuivre le rp que vous n’entretenez pas je coupe court a l’aventure.

(Hrp: Argael je n'ai pas tirer à l'arc parceque je n'étais pas avec vous oui j'ai loupé ke départ et je l'ai fait comprendre quelques posts plus haut ou alors j'ai mal compris et tout le monde devait tirer Hrp)