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 L'UDF: Quand il y en a plus,il y en a encore....

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L'UDF: Quand il y en a plus,il y en a encore.... Empty
MessageSujet: L'UDF: Quand il y en a plus,il y en a encore....   L'UDF: Quand il y en a plus,il y en a encore.... Icon_minitimeMar 7 Juin 2011 - 15:49

grogne :Pour le plaisir, un de mes pigeons...

Angelyque a écrit:
Citation :

    L'UDF: Quand il y en a plus,il y en a encore.... Entetebourgogneombre


    A tous ceux qui la présente déclaration liront ou se feront lire,
    Salut.




    Depuis maintenant deux mois, jour pour jour, l'Union des Deux Fleuves regroupant Bourbonnais-Auvergne, Bourgogne et Languedoc n'est plus. Le décès de cette union qui sous bien des aspects se montra des plus positives pour nos trois provinces n'a certainement pas signifié la fin des rapports entre celles-ci, eu égard justement aux avantages certains qui découlèrent de cette entente; ces rapports ont simplement évolué et ne pourront que s'épanouir tant une volonté commune nous meut d'agir en ce sens. Cette mort n'a pas plus – au contraire même – signifié non plus le terme des idéaux qui nous animèrent jusque là. Ces valeurs, ces préceptes, l'aristotélicien et loyal duché de Bourgogne les entretient toujours et aujourd'hui plus que jamais tant il est patent et notable que la confédération du Ponant s'enfonce davantage, à chaque heure du jour et de la nuit, dans ses travers les plus obscurs, travers mis en exergue dès l'érection de cette alliance, travers dont nous avons eu hélas à supporter la réalisation.


    L'Union des Deux fleuves avait ainsi, dans une déclaration forte et étayée d'arguments solides, adopté une attitude dénuée d'ambiguïté et d'équivoque. La Bourgogne, depuis cette communication du neuf mars de l'an de grâce mille quatre cent cinquante-neuf constituant une véritable profession de foi, n'a pas varié de position et n'entend pas faire preuve d'un fléchissement qui ne pourrait que se révéler imprudent et coupable. Ainsi, sont maintenues et réaffirmées avec force :


    • la dénonciation des traités ayant un jour liés la Bourgogne aux provinces membres de la Confédération du Ponant;
    • la suspension de tout commerce et de toute relation économique avec les institutions de ladite confédération mais aussi les artisans, commerçants, fournisseurs en étant pareillement originaires;
    • la fermeture, en la Basilique Saint-André, des bureaux des ambassadeurs ressortissants de la même confédération;
    • la vacance des charges d'ambassadeurs près les provinces affiliées et affidées à la susnommée confédération;
    • l'interdiction d'amarrage et d'accostage des bateaux, nefs, embarcations, battant pavillon du Ponant en ce qu'est pavillon du Ponant celui des provinces y étant attachées.



    Il eût été logique et raisonnable que les provinces se réclamant du Ponant décidassent de faire profil bas à défaut d'agir enfin avec décence et bon sens – si la naïveté préside aux décisions de certains régnants, elle n'est certainement pas bourguignonne – mais il faut croire que la discrétion et le sens de l'à-propos ont depuis bien longtemps déserté les esprits des dirigeants du Ponant si tant est qu'ils fussent un jour connus d'eux. La querelle ayant opposé le comté d'Artois au duché de Touraine, le premier cherchant des noises au second qui s'est contenté de faire respecter, comme il en a le droit et comme il en a le devoir, toute l'étendue de sa souveraineté; les chicaneries incessantes du duché d'Anjou à l'encontre du comté du Maine; les agissements du faux, traître, déloyal duc d'Aigurande ayant renié et même mordu la blanche main que Sa Majesté la Reine de France lui avait tendue, agissements ayant conduit icelle au refus de répondre à l'allégeance prêtée par le premier; et enfin, les sempiternelles provocations émaillant le discours des feudataires placés sous la coupe du Ponant sont autant de démonstrations s'il en fallait de la capacité de nuisance de cette douteuse faction, nocivité dénoncée de longue date par le féal duché de Bourgogne.


    C'est pourquoi, nous, Lenada de Valmont, duchesse de Bourgogne, consciente de ce que nos devoirs nous imposent et désireuse de démontrer que les provinces loyales ne doivent pas tenir leur langue, aux prohibitions ci-dessus rappelées désirons apporter plus de poids et conséquemment, savoir faisons :


    • que toute agression commise par un ressortissant d'une des provinces du Ponant, qu'elle soit d'origine brigande ou qu'elle puise sa source dans la décision d'un chef d'armée, sera considérée comme constituant un casus belli;
    • que tout ressortissant originaire des dites provinces sera accueilli sur le sol bourguignon en paix et en toute amitié à la condition qu'il exprime explicitement son rejet de la conjuration du Ponant, soit par une lettre qui sera publiquement affichée, soit par une déclaration orale audible de tous, à défaut desquelles il sera considéré comme un ennemi.



    Nous tenions aussi à lancer un solennel et vibrant appel vers toutes les provinces résolues à combattre l'engeance du Ponant et à en éradiquer la vermine afin que convergent nos forces et qu'en soit affermie notre détermination. Le Ponant a su rassembler sous sa putrescente et putride tutelle les esprits égarés, que les droits et les justes prennent la peine de s'entendre et d'agir conjointement. Les plus grands maîtres et esprits scientifiques n'ont-ils pas démontré que l'astre du jour débutait sa course au Levant et l'achevait au Ponant? Dans cette réalité de la nature créée par le Très-Haut Lui-même, nous ne pouvons que tirer la force nécessaire à la poursuite de notre engagement et à la défense de nos convictions car il ne sera pas dit que nous ne parviendrons pas à rendre la confédération du Ponant aux seules obscurité et inanité qu'elle mérite.


    Que le Très-Haut et Saint-Bynarr veillent sur les destinées de la Bourgogne et de ses alliés et que le soleil éclaire le combat des dévoués.


    Le deuxième jour de juin de l'an de grâce MCDLIX :
    La duchesse d'Auxerre, porte-parole, a rédigé;
    La duchesse de Bourgogne, souveraine en ses terres, de sa signature et de son sceau a ratifié.


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MessageSujet: Re: L'UDF: Quand il y en a plus,il y en a encore....   L'UDF: Quand il y en a plus,il y en a encore.... Icon_minitimeMar 7 Juin 2011 - 15:55

Ça ne concerne pas vraiment l'UdF, c'est plus un constat des décisions prises par la Bourgogne depuis qu'elle a quitté cette alliance maudite. Elle rappelle juste que l'UdF avait tranché en défaveur du Ponant. Ils aimeraient bien que tout le monde soit aussi ferme qu'eux.

J'avais déjà ce document avant de le recevoir dans mon pigeonnier personnel moi aussi, mais je ne la trouve pas excessivement intéressante, dans le sens ou elle ne fait qu'énoncé des mesures déjà prises.
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