Traitement de la disparition de Raithuge Authieux

J'ignore si j'ai le droit d'intervenir mais tant pis je vais le faire, je ne vais pas parler en mon nom parce que c'est encore trop tot pour moi, mais je pense à l'avenir au mien et celui de mon enfant en particulier, un jour viendra ou il vous faudra voter aussi concernant mon époux, je sais votre attachement envers Sam, donc j'imagine très bien vos votes.

Je trouve ça profondément injuste envers celui qui reste, en faisant cela vous condamner le veuf ou la veuve à vivre son deuil indéfiniment sans aucune chance pour elle ou lui de pouvoir un jour refaire sa vie,ou pire encore vous le condamnez à vivre dans l'adultère et retirez le droit à un enfant d'avoir peut être le père qu'il n'a pas eu à sa naissance, on a l'impression que vous êtes le Très Haut lui-même qui décide qui a le droit de pouvoir être un jour à nouveau heureux et qui ne l'a pas.

Plaise au Très-haut que jamais vous n'ayez à vivre une telle situation.

Si j'ai le droit de voter alors je vote pour




(HRP: limite je trouve ça anti-jeu)

L'assemblée nobiliaire ne se prononce pas normalement lorsqu'il y a une famille reconnue. Uniquement lorsqu'il n'y a pas de conseil de famille pour décider de ce genre de chose.

Maintenant, pour être très sincère, le traitement de cette disparition me pose un gros problème. Parce que la seigneurie de Meyrieu est vassale de Maubec. Qui fut d'abord fief d'Alynérion et Freyelda d'Avencourt, puis de Raithuge. Durant la "transition" entre les premiers et le deuxième, le fief était revenu au Duché et je jurai allégeance pour celui-ci.
Mais depuis les règles héraldiques ont changé, semble-t-il, et dans de tels cas les seigneuries issues de mérite sont désormais perdues.

Et autant vous dire que, au delà de la disparition d'un suzerain que j'avais appris à apprécier, perdre Meyrieu serait pour moi ... Il s'agit du premier fief qui m'ait été confié, dans lequel je vis autant que je peux depuis des années et où vit ma propre fille, j'y ai vécu des joies et des peines impossibles à compter, je me suis profondément attaché à ces terres autant qu'aux habitants qui y résident et c'est peut-être le seul endroit que je considère être réellement mon foyer ...

Tout ça pour dire, que de manière très personnelle, totalement intéressée et absolument pas impartiale ... je suis contre.

A voté.

voté