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| Missive urgente de l'Artois | |
| | Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Missive urgente de l'Artois Mer 2 Avr 2008 - 22:51 | |
| - Citation :
- A sa Majesté le Roy de France,
A son Altesse Armoria, Aux Grands Feudataires du Royaume de France, Et à tous présents et advenir. Salut
En ce deuxième jour du mois d'avril 1456, Nous, Lysandre, Comte d'Artois , pour que ne dure d'avantage la situation actuelle, menant l'Artois contre son Roy, proposons une trêve afin d'ouvrir de possibles discussions pour mettre fin au conflit.
Faisons savoir que cette trêve serait une première étape à l'ouverture de pourparlers, que nos troupes resteront en Artois sans intention belliqueuse mais en mode défensif, à condition qu'aucune troupe royale n'entre ou ne reste en territoire artésienne.
Alors, une rencontre pourra être organisée entre chaque parti, dans la zone démilitarisée située entre ces deux villes.
Espérons qu'une attention particulière sera portée sur ce premier pas, et qu'il n'y soit mis d'obstacle.
Sur notre Foy aristotélicienne, nous faisons le serment que cette trêve est une volonté sincère d'initier des discussions, et que nous apposerons notre scel sur une Armistice afin que celle-ci soit officielle et reconnue pour la recherche d'une paix durable.
Lysandre, Comte d'Artois.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Missive urgente de l'Artois Sam 5 Avr 2008 - 2:23 | |
| RÉPONSE AU GMF: - Citation :
- Faict à Arras le 4 avril 1456.
A tous présents et advenir. Salut.
Nous, Lysandre, Comte d'Artois, Confirmons que demande de trêve à effectivement été faite de la part de son Altesse Armoria, son Altesse Morgennes et la Vicomtesse Pisan.
Informons que les conditions relatives à l'ouverture de cette trêve étaient la désorganisation de nos défenses rendant l'Artois vulnérable et à la merci des troupes royales en cas d'attaque.
Déclarons qu'il serait impossible à l'Artois de rentrer dans une trêve où une des parties se trouvent à genoux et l'épée sous la gorge. Il n'y aucun intérêt pour aucune partie à forcer une trêve et une paix si nous voulons qu'elle soit sincère et perdure dans le temps.
Avons annoncé publiquement, en réponse, notre désir d'ouverture d'une trêve sincère et où les discussions pour la paix ne seront pas imposées, et donc d'un espoir de fin des combats durables.
Constatons que, sans même avoir été félon, n'ayant jamais donné l'ordre d'attaquer les terres royales et cherchant à établir rapidement une trêve, nous nous retrouvons déjà pour le Grand Maistre de France comme non-loyaliste. (Coté loyaliste, coté Artois.)
Constatons que bien que chaque partie ait proposé l'ouverture d’une trêve, une attaque des troupes royales s'en est suivie montrant le peu d'envie d'aspirer à cette trêve, et paix, pour ceux-ci. Bien plus ponctuelle que l'ultimatum alors qu’ il eut été déclaré volonté de trêve des deux côtés.
Rappelons qu'une trêve n'est pas une paix et que demander le désarmement d'une des parties reviendrait à demander de sceller une paix imposée, et donc forcément très instable.
Rappelons que le peuple artésien ne peut être simplement rendu silencieux en imposant quoique ce soit et que notre refus de démilitarisation n'a pour but que de se diriger vers une paix sincère.
Rappelons que le peuple artésien a réagit si vivement car une partie d'eux-même s'est sentie bafouée par le passé. On ne guérit pas une plaie en pressant simplement dessus.
Réaffirmons notre désir d'ouverture de trêve et notre volonté à construire une paix durable.
Tenons à remercier le bon sens des Normands, particulièrement de l'armée normande à proximité de Péronne, pour ne pas avoir pris les armes contre nos armées qui n'étaient positionnées qu'en défense.
Lysandre, Comte d'Artois
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Missive urgente de l'Artois Mer 9 Avr 2008 - 21:14 | |
| - Citation :
- Faict à Arras le 8 avril 1456.
A tous présents et advenir. Salut.
Nous, Lysandre, Comte d'Artois,
Avons pris connaissance de la trêve demandée par son altesse Armoria... La perte d'un serviteur du Très-Haut est ressentie par tous mais réjouissons nous que se présente ainsi l'occasion de cesser temporairement un conflit qui meurtrit les âmes et les coeurs.
Nous nous associons aux prières qui accompagnent Monseigneur Olaf vers sa dernière demeure, Mais nous prirons aussi pour ceux qui tombent à Péronne. Car toute vie est précieuse, celle d'un Pair de France comme celle d'un humble, clerc ou croyant.
Ainsi pour que ce moment de répit soit profitable à la paix, nous proposons de se réunir à nouveau pour définir les conditions de la trêve afin que cette période de recueillement ne soit pas uniquement marquée par le renforcement des troupes en vue de nouvelles batailles qui ne peuvent que faire à nouveau couler le sang et retirer d'autres vies.
Remercions les Flandres, la Normandie, la Bourgogne ainsi que bien d'autres personnalités, qui ont osé manifester leur indignation quand au refus du Domaine Royal de choisir une solution pacifique !
Lysandre, Comte d'Artois.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Missive urgente de l'Artois Mar 15 Avr 2008 - 0:06 | |
| - Citation :
- Faict le 14 avril 1456,
A tous présents et advenir. Salut.
Nous, Lysandre, Comte d'Artois, avons répondu positivement à l'appel de trêve pour prier pour nos morts, dont Monseigneur Olaf, prouvant notre bonne volonté, mais le moment est venu de faire un pas l'un vers l'autre, pour arrêter de vivre dans ce climat de guerre.
Ainsi, nous renouvelons notre proposition de discussion, d'égal à égal, afin de trouver une solution, équitable pour chacun des protagonistes, assurant ainsi une paix durable.
En gage de bonne volonté, nous annonçons dès ce soir la libération du Vicomte de Chelles, retenu prisonnier depuis le début du conflit !
Nous espérons sincèrement que cette fois-ci ce n'est pas par la voix des armes qu'il nous sera répondu.
Lysandre, Comte d'Artois
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Missive urgente de l'Artois Dim 1 Juin 2008 - 3:14 | |
| - Citation :
- Faict à Reims le 28e jour du mois de mai de l’an de grasce 1456.
A tous présents et advenir, salut.
Sous le regard de l’Eglise Aristotélicienne et dans le contexte de la médiation mise en place par celle-ci, le Comté d’Artois, le Duché de Champagne ainsi que le Domaine Royal et la Couronne de France ont participé à des négociations visant à mettre un terme définitif au conflit entre les 2 provinces.
Les participants furent : o Beeky d'Appérault, Duc de Champagne, par nomination royale. o Caturix de Cénorel, Baron de Bacqueville-en-Caux, soutien nommé par et pour la Couronne. o Grégoire d'Ailhaud, Comte de Lille et Saint-Omer, par nomination artésienne. o Lysandre de Mistra, Comte d'Artois, de droit. o Ottobismarck, Primat de France et Evêque d'Orléans, représentant neutre, de droit o Pisan d'Harcourt, Vicomtesse de Chelles, pour la Couronne de France, GO et représentant par délégation le GMF, Son Altesse la Princesse Armoria de Mortain, de droit. o Sardanapale de Hauteville, Vicomte de Termonde, soutien nommé par et pour l'Artois. o Père Pharaon36, Nonce apstolique de Champagne, Vicaire Général de la province ecclesiasitique de Reims, de droit à la coordination des négociations.
Ces négociations, bien que partant sur de nombreuses divergences, ont fini par porter leurs fruits et la paix est dès à présent scellée et effective. La paix étant censée être période où nulle rancœur ne doit naître des décisions actuelles l’état géographique ne diffère pas entre l’avant et l’après guerre.
Voici les quelques points qui en ressortent : o Signature d’un nouveau traité de paix : Compiègne reste Champenoise, par volonté du Roy, et la mine d’or reste artésienne. o La mine d’or entre Péronne et Compiègne appartenant à l’Artois, une armée artésienne devra néanmoins en reprendre le contrôle étant actuellement sous celui champenois. o L’Artois reconnait qu’il est l’agresseur et est le déclencheur du conflit actuel, démarré sous l’impulsion de Niria de Ponthieu, et que même s’il y avait des arguments la voie des discussions n’a pas été utilisés comme elle l’aurait du en cas de contentieux de par le traité de paix et les liens avec son Suzerain. o Niria de Ponthieu sera dès lors amenée devant la Justice royale. (cf déclaration du Comte d’Artois) o L’Artois reconnaît que la bonne-ville de Compiègne est terre du Roy par volonté royale. o Le Domaine Royal reconnait qu’il y avait une autre alternative aux assauts sur Péronne quand l’Artois proposait une trêve, même si la rupture unilatérale de l’Artois du traité de paix lui en donnait le droit. o Les frais de guerre sont à charge de l’agresseur, exception faite des jours d’assauts effectués par les troupes royales dans le point précédent. o Afin d’enlever toute ambiguïté, l’épée tenue par la statue de feu Caedes en la bonne-ville de Reims sera tournée vers le ciel. L'épée étant symbole de l'homme de foi.
Une commission sera mise en place pour établir la valeur de ces frais. Les bénéfices engendrés par la mine par la Champagne seront bien entendu considérés dans le compte.
La commission en question sera composée de représentants Artésiens et Champenois ainsi que de toute personne voulue par l’une des deux parties. Les frais seront payables en plusieurs fois sur une période de 12 mois, afin de ne pas déstabiliser l’Artois sortant de guerre.
Les présentes dispositions prennent effet immédiat. Il sera donné 3 jours à chaque province pour retirer toutes les armées du « lieu sanctuaire ». Autorisation est accordée pour l’armée aux portes de Tastevin ainsi qu'une armée artésienne pour reprendre la mine et quitter la zone directement après la reprise.
Pour le Roy, pour la Pairie, Armoria de Mortain, Grand Maître de France
Pour l'Artois, Lysandre de Mistra, Comte d'Artois
Pour la champagne, Beeky d'Appérault, Duc de Champagne
- Citation :
- Traité de paix entre le Comté d’Artois et le Duché de Champagne
Nous, Lysandre de Mistra, Comte d’Artois et représentant de l’Artois, et nous, Beeky d’Appérault, Duc de Champagne et représentante de Champagne,
Forts de notre volonté de voir les blessures du passés enfin cicatrisées et les fantômes du passé s’envoler, Soucieux du bien être de notre peuple et sachant que nulle guerre éternelle pour des rancœurs futiles n’est bénéfique, Avec la volonté que cette paix soit pérenne et qu’aucun ne puisse venir remettre en cause celle-ci,
Avons décidé le traité suivant :
Article I – Objet
Compiègne a vu au pied de ses murs nombres de personnes tombées, nombres de corps qui ne bougeront plus, nombres de pertes, nombres de destins finis, nombres de vies déchirées et tant d’autres douleurs. Quel qu’en soit la cause, que l’un est bien fait et l’autre mal par le passé, il est certain qu’engager un peuple dans une guerre pour les folies de certains ne peut que créer à nouveau toute cette souffrance. Il n’y a nulle plaisir à prendre une vie faite par le Très Haut quand la cause dépasse un droit légitime de défense. Le passé a eu ses erreurs, à nous de ne pas les commettre à nouveau.
Au nom de leurs peuples, provinces, héritiers, successeurs et vassaux, nous nous offrons mutuellement une paix et mettront tout en œuvre pour que les parties contractantes s’assurent que la dite paix soit maintenue et qu’aucune hostilité, de part et d’autre, ne soit commise en quelque occasion ou pour quelque raison que ce soit. Il sera évité, de part et d’autre, tout ce qui pourra altérer à cette paix, tout soutien direct ou indirect à ceux qui en voudraient à une des deux parties contractantes.
Article II – De la Suzeraineté de chaque province
Nous reconnaissons que :
o L’Artois est formé des bonnes-villes d’Arras, Amiens, Azincourt, Bertincourt, Calais, Cambrai et Péronne. o La Champagne est formée des bonnes-villes de Reims, Argonne, Clermont, Compiègne, Conflans-lès-Langres, Sens, Sainte-Menehould, Troyes et Varennes.
Article III - Du Principe de Non-agression
Les Hautes Parties Contractantes reconnaissant la paix entre nos deux provinces s'engagent à ne mener aucune action militaire l'une envers l'autre. Ceci tant et aussi longtemps que les deux régions concernées respecteront leur allégeance au Roy.
Article IV – Statut de « lieu sanctuaire »
De la bonne-ville de Compiègne, en Champagne, jusqu’à la bonne-ville de Péronne, en Artois, incorporant le nœud artésien entre celles-ci et sa mine d’or, et s’étendant jusqu’à l’abbaye de Tastevin [pas le nœud IG] à partir de Péronne auront dès à présent le statut de « lieu sanctuaire ».
Ce statut confère les particularités suivantes :
o Art 1 - Aucune armée, d’où qu’elle vienne, ne peut entrer, stationner, se déplacer ou être créée. o Art 2 - Exception est faite pour toute armée ayant reçue autorisation du Comte d’Artois et du Duc de Champagne. o Art 3 - En cas de contentieux entre les 2 provinces, l’Archevêque métropolitain de Reims peut ou non accorder une autorisation. o Art 4 - Exception est faite pour les armées épiscopales respectant les traités les reliant aux autorités locales. o Art 5 - Toute armée n’ayant pas reçu d’autorisation sera ennemie à l’Eglise Aristotélicienne, l’Artois, à la Champagne et se verra détruite conjointement dans les plus brefs délais. o Art 6 - Tout membre appartenant à une armée considérée comme ennemie au sens de l’Art 5 sera irrémédiablement bannie des 2 provinces après avoir été porté en Justice, temporelle. o Art 7 - Les groupes armés, corps d’armes et lances, ne sont pas concernés et sont toujours autorisés dans les limites fixées par les lois locales. o Art 8 - Le présent statut et les dispositions en découlant n’ont pas de limite dans le temps.
Art V – De la continuité du traité
Nous, ainsi que nos héritiers et successeurs nous engageons à respecter les articles de ce traité. Tout manquement à une clause par l’une des deux parties libère l’autre de ses engagements jusqu’à ce qu’une compensation substantielle soit réalisée. Toute annulation unilatérale du traité en situation de guerre déclarée est un acte de Trahison et autorisera des représailles totales.
Faict à Reims le 28e jour de mai de l’an de grasce 1456.
Pour l’Artois Sa Grandeur Lysandre de Mistra, Comte d’Artois
Pour la Champagne Sa Grasce Beeky d’Appérault, Duc de Champagne
- Citation :
- Faict à Reims le 28 mai de l’an de grasce 1456.
A tous présents et advenir, salut.
Vu le traité de paix liant le Comté d’Artois au Duché de Champagne ;
Vu que, bien que les guerres font couler le sang et peuvent être cruelles, la coutume veut que la guerre soit déclarée préalablement à une attaque militaire ;
Vu le lien unissant le Comté d’Artois et son Régnant avec la Couronne de France et son Suzerain et Roy Levan III ;
Vu que rappel a été fait de la part du Roy concernant la ville de Compiègne, qu’il y a eu désaveu formel et que « ce que veut prince fait loi » ;
Attendu qu’une armée artésienne a assiégé la bonne-ville de Compiègne en rompant ladite paix ; Et attendu que l’attaque militaire n’est la suite d’aucune demande diplomatique, utilisant par là les armes sans avoir essayé de préservé ladite paix ;
Attendu qu’aucune déclaration de guerre n’a été faite préalablement à l’attaque militaire ;
Attendu que Niria de Ponthieu, Comtesse d’Artois à l’époque et chef des armées artésiennes, étaient au fait et a agit en principale actrice ;
Attendu qu’aucun changement n’a eu lieu dans les intentions de Niria de Ponthieu durant son mandat ;
Nous, Lysandre de Mistra, Comte d’Artois,
Portons plainte à l’encontre de la précédente Comtesse d’Artois, Niria de Ponthieu, pour dérogeance pour avoir attaqué son Souverain et Suzerain.
Portons à connaissance le fait que notre procureur instruira procès pour crime de lèse-majesté en le Palais de Justice artésien, et que demande serait faite afin de porter l’affaire en Haute Cour de Justice par incompétence du tribunal d’Artois à juger l’affaire.
Portons à connaissance que nous souhaitons rendre sa candidature invalide pour sa félonie rendue effective par désaveu formel.
Lysandre de Mistra, Comte d'Artois
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