Le Ponant

aucune, ont peu refuser car seul le duc/duchesse est tenu de répondre.
Le vassal de mon vassal n'est pas mon vassal, donc le LD fait ce qu'il veut.

Mon avis ? On ne fait rien une fois qu'on a foutu dehors les berrichons du BA sauf si on a un soutien inconditionnel de toutes les forces du LD, CN compris.

[hrp : J'aime ces gens qui se servent du lavabo à tout va pour voir ce que font les provinces à l'autre bout du royaume ...]

Décidément il aimait cette fin de mandat de la duchesse.

Rien à ajouter duchesse

Il est quasiment certain que le ban sera levé quelque soit le prochain souverain, notamment parce que la présence d'armées bretonnes ont transformé le conflit de conflit "privé" entre provinces du Royaume en un conflit "étranger".

Il me paraît obligatoire que le Lyonnais-Dauphiné y réponde d'une manière ou d'une autre -rien n'oblige d'envoyer une armée pleine- en réfléchissant aussi bien de manière militaire que diplomatique au degré de cette réponse. "Quelles forces peut-on se permettre d'envoyer ?" et "Quelles conséquences diplomatiques d'une participation trop faible ?" sont deux types de questions qui peuvent se soulever alors.

hmm peut être que le LD prendra cette décision de manière collégiale ... même si ce n'est pas Nébisa qui passe Thib.

Stockez de la farine si vous voulez, mais dans ce cas n'oubliez pas de prévoir aussi des stocks de bois, de boulangers et les délais nécessaires pour qu'ils les utilisent.

Parce si le pain "ne se refourgue pas" (je me demande bien pourquoi il ne pourrait pas d'ailleurs, avec les soldats, CN, membres d'armées et autres à qui on peut le fournir même en temps "normal") il est quand même prêt à être utilisé immédiatement et n'a pas besoin de 3-4 jours voire plus avant d'arriver. Délai qui peut être très réaliste s'il s'agit de transformer de la farine : le temps de trouver des boulangers volontaires, de leur fournir farine et bois dans un mandat, qu'ils transfèrent du mandat à leur inventaire, qu'ils fassent des fournées (sans doute pas qu'une, donc autant de jours de délais), qu'ils retransfèrent et que ce soit à nouveau mis dans un autre mandat pour approvisionnement.
ça pourrait retarder d'autant tout départ de troupes (ou alors il faudrait envoyer du monde sans ravitaillement et prévoir un convoi juste derrière, mais plus compliqué à organiser à beaucoup de points de vues) et faire perdre du temps crucial en terme militaire et stratégique.

Donc il ne faut vraiment pas négliger cet aspect préparatoire pour gagner un temps après lequel on risque de courir lorsque le moment sera venu.

Voici ma prise de position officielle, nous attendons donc une promesse scellée que ma promis la Reyne pour décider des effectifs à envoyer en renfort.

Citation :

De Nous, Sa Grâce Thiberian Baccard, Duc du Lyonnais-Dauphiné

A Sa Majesté, Nebisa de Malemort, Reyne de France,

A tous ceux qui la présente se feront lire,

Répondons en ce jour à la levée de ban de notre suzerain, monarque du Royaume de France.

Déclarons soutenir la couronne et nous engager à ses côtés dans la guerre contre le Ponant comme nous l'avons toujours fait.

Que malgré l'état des relations entre le Lyonnais-Dauphiné et Genève et notre devoir de protection de nos terres et de nos gens, nous ferons notre possible pour concrétiser ce soutien.

Qu'il soit su que le Lyonnais-Dauphiné fournira des bras armés à sa Majesté. Néanmoins leur nombre dépendra des actes de Sa Majesté à l'encontre des lois fondamentales illégales promulguées par feue Béatrice de Castelmaure car nous ne saurions accepter que notre souveraineté sur nos terres soit piétinée par des lois ingérentes violant le serment de subsistance et de justice dont le monarque de France nous a fait la promesse.

Qu'il soit également su que par cette réponse nous respectons le serment de conseil que nous avons fait et qu'un bon vassal ne donne pas à son suzerain tout ce qu'il veut, mais tout ce dont il a besoin.

Sainct Georges et Dalphiné !

Faict à Lyon, Castel de Pierre-Scize, le vingt sixième jour du mois d'août de l'an de grâce mil quatre cent cinquante neuf.

Comme c'est bien dit