conférence sur la médecine , les recherches et ses progrés

Helsinki ouvrit une salle pour accueillir les personnes intéressées pour entendre évoquer le sujet sur la médecine.
Il voulait que ce soit un lieu d 'échanges entre sommités médicales, une confrontation de points de vues.
Des à présent il accueillerait les arrivants bien que la conférence ne débute que plus tard.
sourires aux lèvre, il attendait les invités à cette manifestation.

Nombre de messages : 2193 Localisation IG : Dié Date d'inscription : 26/06/2009

La Ya vint à la manifestation de la conférence proposer .

Arrivant elle alla saluer alors son ami Hel le seul présent ........

Bien le bonjour mon ami et mes respects à toi ..................

Arrivée fort en avance, Ya était déjà là. Il alla la saluer et prit de ses nouvelles.
Bonjour ya comment vas tu
J'espère que cette conférence attirera autant de monde que la première.
Prends place mais je crains que tu ne sois très en avance.

Misé arriva à son tour pour la conférence de la doyenne de la faculté de médecine.
Il salua les membres présents et s'installa discrètement dans la salle.

Missive d'invitation en main, le jeune médecin se présenta au castel de Lyon et demandant son chemin en citant l'adresse qu'on lui avait donné. Il trouva assez facilement, ajusta sa mise et entra dans la salle de conférence. Reconnut immédiatement Helsinki, croisé à Belrupt, et le salua, ainsi que les autres présents:

- Bien le bonjour à tous! Messire Helsinki, avant tout merci de m'avoir invité à cette conférence. Comment allez-vous depuis Belrupt?

Emboitant le pas à son confrère marseillais, et ravie de le trouver là, Kalaha salua son hôte.

Je vous remercie de votre invitation, j'espère que cette rencontre sera une occasion de plus de tous progresser dans cette aventure.

Helsinki reçut avec plaisir le premier médecin qui avait été confronté aux maladies et Nicolas qu'il avait croisé dans les couloirs et les jardins de Belrupt.
Bonjour messire d'Andresy je suis trés heureux de vous voir ici,
Je continue à suivre et à donner assidument mes cours à Belrupt, et j'essaie de faire vivre les collections ducales du Lyonnais Dauphiné.
Messire Misericus, ici présent nous a raconté son voyage à Alexandrie qui nous a emmené entre rêve et cauchemar.
Bonjour Kalaha, je suis honoré de vous recevoir en ce lieu.
J'espère que notre conférencière arrivera vite, mais je la sais très prise en ce moment.

Après être passé à l’Archevêché de Lyon, le jeune frère se rendit à la conférence sur la médecine. Passionné, il espérait bien en apprendre encore plus sur la nouvelle médecine dont il suivait les cours avec une grande assiduité à l'Université de Bourgogne.

Humblement vêtu d'une bure marron, sa besace de cuir pendant contre son hanche droite, et sa médaille aristotélicienne ornant sa poitrine, il pénètre dans la salle discrètement, s'installe dans la rangée du fond derrière un pupitre. Il sort une liasse de parchemins, sa plume et son encrier, prêt à prendre des notes de tout ce qui pourrait l'intéressé à cette conférence.

L'intendant des collections ducales se devait de recevoir chaque visiteur, et le dernier visiteur était un inconnu pour lui.
Ses habits le faisait apparaître comme un homme d'église, mais on lui avait appris que l'habit ne faisait pas le moine.
Il était ravi de cotoyer tant de personnes étrangères au duché, cela prouvait l'intérêt que suscitait les conférences qu'il avait mises en place.

Bien le bonjour,
Helsinki , intendant des collections ducales du lyonnais dauphiné , je suis ravi de vous recevoir en ce lieu pour ce moment d'échanges mais qui je l'espère sera enrichissant. Notre conférencière n'est pas encore arrivée mais j'espère que cela ne saurait tarder.

L'homme qui semblait être l'organisateur de cette conférence s'approche pour le saluer. Le jouvenceau était un peu intimidé et surtout gêné. Il se lève d'un bond par politesse et de sa voix calme et fluette, il le salue, les joues empourprées.

Oh Par Dieu ! Milles excuses Messire ! Je m'appelle Ambroise et je suis frère guérisseur bourguignon. Sachez que j'ai bien hâte de suivre votre conférence qui suscite ma curiosité et mon intérêt.

Quelques personnes étaient déjà arrivées quand la médicastre pénétra à son tour dans la salle qui gardait encore imperceptiblement quelques traces imaginaires d’un fabuleux continent aux mille merveilles.

Elle déposa un rouleau de gravures sur le pupitre de bois , s’installa face à l’auditoire et prit la parole.

Bonjour à tous et merci de vous être déplacé pour assister à cette nouvelle conférence
Je suis Dame Isabeau , médecin à Valence, et j’ai également l’honneur d’être la doyenne de la faculté de médecine.
Avant de commencer, je voudrai remercier messire l’intendant qui m’a invité pour vous parler du plus beau métier du monde qu’est celui de médecin.

Je ne vous promets pas de vous tenir en haleine tel que l’a fait messire Miséricus en nous contant son fabuleux voyage, déjà parce qu’il est un fin orateur et que le sujet d’aujourd’hui ne se prête guère au rêve, mais je vais tâcher du moins de vous faire partager ma passion sans que ce ne soit par trop rébarbatif pour les néophytes et de donner réponse à vos interrogations, n’hésitez donc pas à poser des questions ou demander des détails

Si vous le voulez bien, je débuterai par un bref historique de la médecine et vous propose moi aussi de faire un petit voyage mais celui-ci sera dans le temps, à l’aube des connaissances.

Sourit et se tourne vers l’intendant.

Pouvons nous commencer ou attendons-nous encore du monde ?

La conférencière arriva , le salua puis prit la parole. une fois qu'elle eut fini, il alla la rejoindre :

Bonjour à vous, Dame Isabeau, je suis heureux de vous accueillir dans ce temple de la culture du Lyonnais Dauphiné
Nous avons parmi nous des médecins confirmés tel kalaha qui a été le premier médecin si je ne me trompe pas à faire des consultations, des étudiants en médecine, mais aussi comme moi des néophytes mais j'écouterai avec attention tous vos échanges. je pense que nous allons avoir d'autres arrivées.
Tout d'abord , à vous venu des quatre coins du royaume ,je vous souhaite la bienvenue pour cette nouvelle conférence qui, je l'espère sera riche d'enseignements.

Salutations faites, le jeune clerc se rassoit. La conférencière entra dans la salle et se prépare derrière son pupitre. Et ensuite, elle se lance par une introduction, puis l'intendant qu'il avait accueillit intervient à son tour. Ambroise fut tout de même surpris de voir le peu de personne présente à cette conférence alors qu'à celle de Belrupt, il y avait eu bien plus de monde.

Il espérait tout de même que cela ne décourage pas les organisateurs et que la conférence puisse tout de même être donnée jusqu'au bout. Les avancées de la médecine l'intéressait au plus au point.

En retard, elle était en retard ! Un bouchon sur le périph de Lyon, une roue cassé dans la derniere ligne droite et forcement... elle avait fini par arrivée en retard ! De quoi se faire remarquer et pas qu'un peu...

Sitot arrivée, se confondant d'excuse, Adeline s'était présentée à l'acceuil du château précisant bien qu'elle venait pour la conférence sur la médecine en tant que Grande Rectrice de l'Hôtel Dieu et accompagnée de la Rectrice de l'Université de Normandie, et plaf ! Direction la salle de conférence au pas de course et en gardant le rythme !
Un tour a droite, un autre a gauche,

-Nous y voici Lizie, et en retard....

Moui... on commence à l'savoir !
Une entrée discrete plus loin, un salut de la tete en guise de bonjour et surtout d'excuse et Adeline prit place dans la salle, non sans remarquer son ex jeune apprenti et surtout fournisseur officiel de miel pour l'Hôtel-Dieu.

Helsinki attendait patiemment que les personnes arrivent. Il ne doutait pas.
Des personnes attirées par les échanges allaient venir. Pour l'instant bon nombre des personnes travaillaient dans le domaine médical.
Il avait pris contact avec la grande rectrice de l'hôtel Dieu. il lui fit un bref salut quand il la vit arriver.
Il savait que la médecine avait fait des progrès depuis la première conférence à laquelle il avait assisté à Belrupt. De plus il avait lu récemment un article de presse. Il espérait que les échanges seraient fructueux et répondraient à des questions.

Nombre de messages : 1 Localisation IG : Dieppe Date d'inscription : 06/06/2013

Elle était littéralement trainé a travers les couloirs par Adeline. Tu dieu oui elle avait oublié qu'aujourd'hui était jour de réunion. Que voulez vous entre l'assemblée des recteurs francophone ou elle aurait voulu donner un coup de jeune et les avancées médicales en Normandie ainsi que les essais.. d'ailleurs elle se demandait parfois comment ils avaient pas mis le feu quelques part avec toutes ces fichus potions.. fin bref elle avait oublié et elles étaient en retard par sa faute. Mini dragon avait pas fière allure ainsi. Suivant donc comme son ombre la Grande rectrice de l'Hôtel Dieu, Lizie s'excusa a son tour et s'installa sur un siège ou essayant de reprendre sa respiration.

Dis moi que t'a pris du calva...

Chuchota t'elle a Adeline

Un sourire de bienvenue à la nouvelle venue, une légère grimace quand il vit comment on soignait les malades en Normandie : au calva.
Il n'était pas sur que cela soit vraiment le sérum guérisseur.
Il laissa la porte ouverte, ainsi les retardataires pourraient entrer sans se faire remarquer.
il fit signe à la doyenne de la faculté de médecine qu'elle pouvait commencer.

Narci s'était précipité vers les collections ducales. Cette fosi il ne voulaitp as être en retard. La conférence avait en plus un lien avec ses études qu'il avait du mal à finir avec son travail à la mairie.

Heureusement cette fois la conférence n'avait pas encore commencée. Il entra et s'installer en saluant les convives déjà présent.

D’autres personnes arrivaient encore et parmi elles, beaucoup de visages inconnus.
Des érudits seraient t’ils donc venus d’ailleurs pour l’écouter ?
A vrai dire, une certaine appréhension commençait à prendre le pas sur le plaisir de voir la salle se remplir.
C’était la première fois qu’elle se pliait à tel exercice, et si elle n’était pas à la hauteur de leurs attentes ?
Ne pouvant plus reculer, elle attendit que chacun fut installé et reprit la parole, d’une voix un peu hésitante au début mais qui se voulut plus forte et assurée au fur et à mesure qu’elle parlait, emportée par le sujet qui lui tenait tant à cœur

En introduction, je vous parlais d’une invitation à un voyage dans le temps car il m’a semblé important d’apporter ses précisions.
Cela en surprendra certainement quelques uns mais l’art de soigner tel que nous le connaissons actuellement était déjà pratiqué depuis fort longtemps par d’autres civilisations reculées telle que dans l’empire gréco romain .

Cette approche de la médecine moderne qui est une révolution en soi, nous la devons entre autres à celui que nous pourrions nommer le père de la médecine : Hyppocrate qui a développé la théorie des humeurs sur laquelle nous nous appuyons aujourd’hui et qui remplace peu à peu les croyances ancestrales

Comme vous voyez, les invasions n’apportent pas toujours que le malheur
Alors ! me direz vous, pourquoi n’avons-nous pas progressé depuis tout ce temps ?
Pourquoi cette connaissance pourtant si ancienne ne nous est connue que maintenant ?

La raison en est simple. Toutes les retranscriptions des écrits de ces érudits étrangers précurseurs ont été jalousement gardées par les moines détenteurs car les seuls étant capables de les traduire et de fait ont gelé l’avancée médicale.
Non, la maladie n’est pas une punition de nos pêchés et si les prières peuvent soulager le cœur, la découverte de remèdes efficaces soulagera bientôt les corps

Regard circulaire sur l’assistance , pause stratégique, , cherchant dans leurs yeux la curiosité ou la désapprobation que pouvaient provoquer de telles affirmations jamais émises au grand jour.
Elle ne pouvait plus reculer, il fallait les convaincre si il en était besoin , du bien-fondé de la nouvelle voie que prenait aujourd’hui la médecine, et reprit dans un souffle, consciente qu’encore aujourd’hui elle pourrait être soumise à la question pour émettre des opinions allant à l’encontre des croyances qui hier encore préconisaient la prière et l’expiation pour tout remède.

Ainsi grâce à certains manuels théoriques et de récentes connaissances qui ont été divulgués aux érudits , la médecine peut maintenant évoluer, de partout les médecins se multiplient et chaque jour qui passe est une nouvelle avancée sur la voie du progrès , grâce à tous ses chercheurs qui se mobilisent en masse.

Sa voie retomba sur la salle, où seuls quelques murmures trouèrent alors le silence.

Chers collégues, avez vous des questions ou un avis à donner sur cette première partie?

Nombre de messages : 2193 Localisation IG : Dié Date d'inscription : 26/06/2009

Ya salua Hel .Elle était arrivait en avance donc c'était installée et avait attendit Bon nombre de personnes arrivèrent par là suite et la conférence débuta Donc elle écouta alors silencieusement ..............

Guettant les réactions, il écoutait et attendait les réactions à ce qui venait d 'être dit.
Lui n'était qu'un néophyte, qui avait de loin vu tous les efforts faits par les étudiants en médecine pour progresser et pouvoir soigner les maladies.

Le frère cistercien écoutait attentivement les paroles de la conférencière et fût surpris par son introduction. Plutôt réservé, il avait préféré ne pas répondre, laissant d’autres personnes questionner la conférencière mais personne ne semble répondre. Mais quelque chose le turlupine …

Ambroise leva la main afin de demander la parole et lorsqu’il obtenu son attention, il se présente de sa voix calme et fluette et pose sa question.

Bien le bonjour ma Sœur, Pax Vobiscum, je m’appelle Ambroise, et je suis frère guérisseur de l’Ordre Cistercien. Etes-vous certaine que ce soit la faute des moines si la médecine n’a pu évoluer ?

Lui-même était moine, avec des vœux mineurs, et jamais on lui avait interdit d’enseigner la médecine à d’autres, au contraire, on l’encourageait dans cette voie. Alors, il était plutôt étonné par le discours de Dame Isabeau.

Arrivant sur le tard mais arrivant tout de même, la Briançonnaise entra dans la bibliothèque sur la pointe des poulaines. La conférence d'Isabeau avait débuté et déjà une question était posée par un auditeur assis sur les derniers bancs. Choisissant la discrétion, la brune s'orienta vers l'autre côté de la salle et trouva une place libre au dernier rang.
Un regard d'excuse à Helsinki et à la conférencière ; les salutations seront pour plus tard.

Le silence commençait à devenir pesant quand elle aperçut enfin une main se lever, son regard se porta alors sur la silhouette qui la dirigeait.
Un éphèbe à n'en point douter, au vu de la fraicheur et de la pureté de ses traits, un de ces visages comme on pouvait en voir sur les gravures religieuses pensa t'elle.

Elle écouta avec attention sa question à laquelle elle s'attendait un peu à vrai dire et répondit en lui souriant.

Frére Ambroise, je vous parle d'un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître, ceci pour illustrer l'histoire de la médecine, sans reproche ou regret, non, seulement les faits, il devait bien y avoir des raisons pour que l'église assume ce rôle de gardien après tout, mais aujourd'hui, c'est différent, les mentalités évoluent et je parle aussi du temps présent, du partage enfin de ces connaissances et du progrès fulgurant qui en résulte, de cette exaltation qui gagne tout le monde de la médecine, nous amenant doucement vers le vif du sujet et c'est cela qu'il faut principalement retenir.

Led était très en retard mais elle avait promis de venir. Elle se glissa sur un siège tout au fond pour ne déranger personne. La médecine l'avait toujours émerveillée et elle était très fière de sa filleule Kalaha qui était un médecin vraiment hors pair. Mais le duché en avait de très grands, de Dameisabeau à Adrienne. Quand ces dames accompagnées de Plumedange au Conseil parlaient tisanes, elles étaient sur leur sujet favori.
Elle s'installa cpnfortablement pour écouter la suite .

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