Yrh
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 |  Sujet: Re: CJ LANGUEDOC //Isabellaa - TAOP // COUPABLE  Jeu 6 Nov 2014 - 22:16 | |
| Verdict communiqué par le Juge du Languedoc mais accusée actuellement en retranchement.
Je surveille tout en sachant que passé une semaine, je devrais re-demander un verdict au Tribunal du Languedoc puisque le Juge aura changé (élections) | |
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Yrh
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| | Sujet: Re: CJ LANGUEDOC //Isabellaa - TAOP // COUPABLE Mar 11 Nov 2014 - 14:05 | |
| Tout est bon et pile dans les temps
Isabellaa "réveillée" et Juge toujours en place  - Citation :
- *Yrh entre dans la salle.*
Accusée, levez-vous !
En vertu du traité de coopération judiciaire qui nous lie avec le comté du Languedoc, je vais donc faire lecture du verdict rendu par Heimdal von Strass, Juge du Languedoc.
*Yrh marque une pause puis entame la lecture sur un ton monocorde*
« Au nom de la comtesse Meval de Vampéria :
Ce 11ème jour du mois de novembre de l'an de grâce mil quatre cent soixante-deux, au Tribunal du comté du Languedoc, dans l'affaire opposant Dame Isabellaa au comté du Languedoc, le jugement suivant est rendu.
Qu'il soit entendu qu’une procédure judiciaire à l’encontre de Dame Isabellaa a été ouverte suite à une plainte faite par dame Bibiche (IG :Bibiche75) pour le brigandage qu’elle a subi le 5 septembre 1462 entre les villes d’Uzès et de Montélimar.
Entendu que l’accusée porte plainte envers dame Bibiche, il faut faudra apporter la preuve qu’elle a menti au procureur du Lyonnais-Dauphiné. Cependant, Dame Isabellaa est mal placé pour dire quelle était la répartition des objets entre la victime et la mairie de Nimes. (Selon les règles IG, lors d’un brigandage d’une personne porteuse d’un mandat, ce mandat disparait et le contenu est récupéré par l’agresseur.). Nous ne tiendrons alors pas compte dans notre décision de la plainte de mensonge déposé par l’agresseur contre sa victime.
Considérant que la victime a reconnu son agresseur.
Considérant que l’accusée confirme qu’elle a brigandé Dame Bibiche et Messire Joe7bar
Considérant les différents courriers échangés entre l’agresseur et la victime
Considérant que la victime a essayé d’obtenir un accord à l’amiable malgré ses blessures, amis qu’il a été balayé par le courrier de Dame Isabellaa du 5 septembre 1462.
Considérant que l’accusée signale d’autres objets qu’elle aurait volé que ceux que signalé par la victime, comme par exemple le tabouret.
Considérant que l’accusée ne doit pas faire la justice elle-même, puisqu’elle prétend qu’elle voulait surprendre un autre groupe de personne.
Considérant que ce soi-disant groupe n’a pas été aperçu sur le chemin.
Considérant que l’accusée ne peut pas faire la différence entre ce qu’appartient à la victime et ce qu’appartient à la mairie de Nimes. Seule la victime peut exactement le dire (Voir les règles de fonctionnement IG).
Considérant les plaidoiries de l’accusée
Considérant le réquisitoire de la procureur du Languedoc
Considérant que l’accusé est une multirécidiviste en Languedoc, comme preuve le verdict du 30 septembre 1462. »
*Yrh marque une pause puis reprend la lecture*
« En vertu des lois royales, de la coopération judiciaire entre le Languedoc et le Lyonnais-Dauphiné et ainsi que du Code Languedocien
Attendu que le bon père de famille ne saurait se livrer à un tel vol en bande organisée.
Attendu que l'acte de brigandage, s'il s'universalisait, se montrerait particulièrement cataclysmique pour la vie en société.
Attendu que la bonne justice du Languedoc a pour habitude de punir les auteurs d'un tel méfait.
En conséquence, Dame Isabella ira croupir en prison pour une durée de 10 jours, cela lui permettra de réfléchir que le brigandage ne paye pas et que les séquelles de cette activité peuvent rester très longtemps inscrite. Nous avons obtenu l'information que votre bourse est presque vide, mais vous vous baladez avec un pioche que vous pourrez le revendre à un bon prix. Nous vous mettons alors une amende de 220 écus somme à la hauteur du butin dérobé et des frais engagés par la justice.
Ainsi en est jugé et signé par Heimdal von Strass, Juge du Languedoc.
Justice étant rendue, nous rappelons tout de même aux parties qu'il est possible d'interjeter appel du présent verdict auprès du tribunal du Palais, dans les quinze prochaines journées.
Nous laissons le soin au juge du Lyonnais-Dauphiné de lever la séance. »
*Yrh montre à la Cour la signature de la missive au nom de Heimdal von Strass, juge du Languedoc.*
Lecture est ainsi terminée. Que justice soit faite !
*Paf – Coup de maillet vigoureux*
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