Bureau des conseillers municipaux

Le capitaine m'a en effet écrit pour me demander mon accord de mettre ses marchandises sur le marché. Je lui ai donné mon accord pour mettre ses marchandises. Il est évident que cela se fera que si le duché lui donne le droit d'accoster. Je ne connais pas ce foncet ni même sa dangerosité. S'il y avait eu le moindre contrat de marchandage de signé vous auriez été le premier à être au courant Belibaste.

 

Ce ne sont donc pas des querelles de clocher mais des querelles... de vigies ?  

Vi, à coup de sémaphores
Mais la Duchesse est intervenue, le foncet accoste :)

Pour la viande, au dessus de 18 écu je n'achète pas, et je suis grand consommateur vu que ça va faire un mois que j'en mange chaque jour... et jusqu'à présent j'ai réussi à en trouver à prix correct, grâce notamment à notre ami Beli.

Pas de secret, pour de la viande il faut des carcasses et c'est ce qu'il manque le plus souvent je crois... d'où une envolée des prix de la viande.

Pour le rôle de Tribun, si ce n'est accueillir les nouveaux villageois, éventuellement les voyageurs, comme le dit Zol prévenir des us et coutumes en plus de certains guides ou outils bien sympathique... peut être créer un groupe de parrains qui prendrai en charge l'intégration des nouveaux pour les inciter à faire leurs premiers pas en halle ou en taverne...

Je sais que dans d'autres villes le Tribun se charge aussi de faire le rappel de certains sujets importants sur son bureau en place publique. Le porte parole de la mairie en somme. Mais autrement, je ne vois pas quoi dire de plus.

[Dire que dans le temps on se servait des outils des douaniers pour recenser les nouveaux et on envoyait les courriers un par un ^^ ]

je ne suis pas favorable non plus à ce don aux autres villages.
les valentinois méritent de pouvoir bénéficier de cet "excédent" d'écus de différentes façons :
- baisse du prix d'achat des denrées alimentaires
- achat de bois
- baisse des impôts

Mon compagnon Philipe_de_massilia a fait don de tous ses biens et ses écus avant de mourir à la mairie de Valence, ce n'est pas pour que ça soit jeté par les fenestres.

A titre personnel, je le prendrai très mal.
A titre global et visant les intérêts de nos habitants, je le prendrais mal également car il n'y a aucune raison que ce soit Jacques ou Henri qui bénéficient de la bonne gestion de la mairie et de ses biens.

Citation :

que le travail de chacun profite à ses proches.

Je pense que cela suffit...Et bien que Valence soit ma cité, que de mon mieux je la serve, j'opine, que se peut, l'esprit de clocher le bien public desserve! Ici tant bien qu'ailleurs...

Je ne comprends pas vos propos Sieur Belibaste...
En quoi  l’action et les décisions prises ici sont égoïstes dès lors qu’ils visent l’intérêt général, celui de toute une population, regroupant des centaines de personnes, à savoir les valentinois?
Il ne s’agit pas de donner les écus à 5 personnes, à 5 supers amis, mais à toute une communauté, qu’on appelle valentinois.
N'est ce pas le devoir de tout un chacun icilieux de protéger Valence et ses habitants?
Ne sommes nous pas des conseillers municipaux?

Il me semble normal que ceux qui paient leur dette, donnent de leur temps, et travaillent en nostre village puissent bénéficier des avantages que peut offrir un trop plein ponctuel d'écus.

Il faut garder ces hommes et ces femmes de Valence qui sont en droit d'évoluer au sein d'un village qu’ils aiment, et ces valeurs qu’ils portent et de faire en sorte de faire de Valence un village dont ils rêvent. Et ce qu'ils veulent, sans me tromper ni m'avancer est d'avoir un village dans lequel ils peuvent voir leur labeur porter leur fruit et s’épanouir sans manquer de rien, avoir des facilités pour vivre pas sous des tonnes d’or mais suffisamment pour ne manquer de rien.

Bien sûr, j’ai entendu les pleurs, le mal-être, le désarroi dans un village qui marchait sur la tête fut un temps. Valence a connu la crise, le pillage! Mais j’ai ressenti aussi l’énergie de celles et de ceux qui créent, qui reconstruisent, qui produisent, qui sont généreux et solidaires au sein de Valence, et qui ont l’enthousiasme de voir ce jour où il y aura un "vivre mieux".

Et ce jour est arrivé, enfin!

Et grasce à quoi ? à qui ?

Aux valentinois ! Aux gens du passé !

A ce sujet, j'ai parlé de Philipe pour simplement dire que les biens de Valence, c'est aussi un héritage.
Et cet héritage est partagé entre tous les villageois qui y vivent – c'est un héritage qui a fructifié avec le savoir-faire des générations de bourgmestres et de conseillers, des anciens qui transmettent aux plus jeunes et c'est cet héritage et ce qui en découle qui nous protègent aujourd’hui face au manque.

Alors, pourquoi retirer cette satisfaction de voir leur travail payer?
Alors, quoi de mieux que de pouvoir offrir à toutes ces personnes les bénéfices de ce qu'ils ont bâti?

Ils sont venus à Valence pour vivre, évoluer, prospérer et l'on peut parler de l’identité mesme de Valence avec ceux qui la font vivre, qui la construisent et qui la transforment.

Et que serait cette identité sans tous ces gens qui ont participé d'une manière ou d'une autre à fructifier la bourse du Village?

L'on peut parler de fraternité entre villageois, et ce lien risque fort de se défaire, le dégout naitre sur leur visage en voyant LES AUTRES toucher ce à quoi ils ont donné naissance...

Ne gâchons pas le passé de Valence dans un présent qui nous est pour le moment favorable.
J'insiste sur le "pour le moment".

Car tout est éphémère. Cet éphémère peut durer si nous avons de la chance, plusieurs années mais tout peut s'écrouler en une semaine.

Il ne faut pas croire Valence comme indestructible!

Et s'il plait à certains icilieux d'échanger avec les autres villages, nous avons un très joli lac que nous pouvons partager pour s'adonner aux joies de la pêche comme nous pouvons nous aussi couper du bois!

Les ressources naturelles se partagent!

Il y a donc moultes façons de partager avec les autres que de donner simplement des écus dont nous avons besoin pour avoir un marché abondant...

Pour conclure, je terminerai sur ce point que je souhaiterai vraiment relever :

Aimer Valence, c’est accepter de regarder son histoire en face. Comme toutes les histoires, elle commence par il était une fois, et se poursuit par des rebondissements. Elle a ses jours de gloire comme ses parts d’ombre.

Nous sommes des villageois responsables, pas des enfants devant des friandises à la forme et à la couleur d'écus. Cessons de croire que nous sommes intouchables et ne connaitrons plus jamais la crise!

Bien, ces propos sont sans doute assez sages, et de malvenu ... copinage, je sais bien, Dame Huna, que n'avez guère usage, mais de franc bec avec moi opinez que pour le reste du Duché.....mais diantre il se fait tard je dois souper chez les... oh! la rime m'échappe! Leur nom passe à la trappe!