[Test] Selection d'une élite!

LestatJeh allat mettre ses habits de porchers, chauds et étanches, et sentant bon l'odeur de sa porcherie, il prit un grand sac de toile dans lequel il disposa au fond, sa dague, seul arme qu'il emporterait, un gros couteau pour les divers travaux tels que la nourriture ou couper des cordes, une grosse couverture en laine raprécié, et de quoi tenir un siege en pain rassis... Il prit également ça boiuteille d'absinthe toujours util pour lier des relations et obtenir des informations a une personne en ayant un peu abuser...Il enfila ses chausses et retourna sur le champ de manoeuvre ou l'avait apeller Pao...

Vindiou Minsieu Pao, jsui fin pret a partir et vla ti pas qujsui d'attaque

Heuuu a vos ordre Seigneur

Après une dure journée de labeur à la forge (Et oui! Il faut bien que certains travaillent...), Guidel passa prendre son ordre de mission.

Salut les gars!
Voyant que beaucoup de soldats étaient prêts, déguisés en paysans, il remarqua d'abord avec regret que Akron ne s'était pas présenté...
Ensuite, il se dit qu'il manquait quelque chose d'essentiel au petit groupe... Un éclaireur!
Il se dit alors qu'il remplirait très bien ce rôle...

Il rentra donc dans sa chaumière pour se préparer... Il sélectionna donc ce donc il aurait besoin: Il sélectionna, parmi ses vêtements de berger, des braies noires et une chemise grise, ses bottes de cuir souple fraichement graissées et une chaude cape vert foncé.

Il prit ensuite ses armes et se dirigea vers le foyer. Avec application, il passa tour à tour son épée bâtarde, son épieu de guerre et sa dague anelaces à la flamme pour noircir leur éclat.

Il rangea ensuite ses armes au fourreau et se prépara lui-même...
Il mit sa chemise et ses braies puis se rendit à la salle de bains. Là, il changea son bandage à l'épaule gauche et nettoya la plaie qui cicatrisait et ensuite il se stria le visage de cirage noir avant de ceindre un bandeau bleu nuit sur son front.

Il fixa ensuite son épée bâtarde au fourreau sur son dos avant de passer sa cape par-dessus, de manière à ce qu'on l'apercevait que si on y prétait vraiment attention. Il plaça ensuite sa dague Vaillante et son fourreau à sa ceinture et entreprit de préparer son sac de toile brun foncé, petit et léger vu les circonstances. Il y plaça un peu de pain, de tome de mouton et de la viande séchée tout d'abord, son briquet et son amadou, sa tasse en étain et une petite outre en peau, il y joingnit après mûre réflexion quelques mètres de corde au cas-où. Il pensa également à prendre sa flasque de wisky après l'avoir préalablement remplie, puis la plaça dans la poche intérieure de sa chemise...

Enfin, il laissa un mot tendre à Helena pour lui dire qu'il serait absent dans les prochains jours, sans donner de raison particulière à son départ. Elle savait ses obligations et s'occuperait de ses moutons, il le savait...

Il prit son épieu qui était posé contre le mur et sortit par la porte de derrière, pour ne pas être remarqué en ville dans sa tenue... Pour les mêmes raisons, il ne se rendit pas à la caserne pour retrouver ses camarades et entreprit de les attendre en dehors de la ville, du haut d'une petite colline rocailleuse... Il les rejoindrait à un endroit où personne d'autre ne le verrait...

(et zut j'arrive trop tard)

(désolé je vois ce topic seulement maintenant, Pao connait mes raisons HRP...il est encore temps pour moi ? )

Après accord de son Seigneurs dans Lances, à qui il adressait mentalement un énorme "merci" et constatant que personne n'était encore parti, Akron fila en quatrième vitesse pour préparer son équipement. Il valait littérallement de couloir en couloir et de pièces en pièces, récupérant tout ce qu'il avait semé au fil des pièces et dont il serait susceptible d'avoir besoin. Il du passer entre autres au dortoir, au chalet du soldat, à l'infirmerie, à la section des Aigles. Une fois tout son matériels prêt, il se présenta avec les autres soldats ( qui devenaient pour un temps des concurrents ).

Il avait oté son uniforme, qui le rendait trop voyant. Et son bon sens paysan lui dictait que, si il devait se fondre dans le masse d'ennemis éventuels de l'Ost, ceux-ci montrerais forcément une vive animosité contre tout représentants de l'ordre. Il était donc vetu simplement de chausse, de braies et d'une chemise.
Pour tout armement il portait une dague de jambe dissimulé sous ses vêtements autour de sa cheville. Il portait en bandouillère une besace qui contenait un briquet à amadou, le nécéssaire pour poser un collet, une pierre à aiguiser, un plan sommaire du Lyonnais-dauphinée, tracé sur un parchemin d'une vingtaine d'année et qui avait de fortes chances de ne plus être à jour.
*on fait avec ce que l'on à après tout*
Il portait en outre une couverture roulé et fixé en bandouillère, croisé avec la besace. Il aurit voulu dissimulé une lame dans cette couverture mais cela ne marchait pas et même une petite épée aurait été trop visible.
Dissimulé dans un double fond de son pantalon, il avait emporté quelques écus, enveloppés dans un chiffon pour ne pas tinter sans cesse
Il emportait aussi quelques herbes en cas d'éventuelle blessures. Il n'emportait ni tente, ni rien d'aucune sorte qui aurait néccessité l'emport d'un sac. Pao partait léger et son instinct lui dictait de faire de même.
Deux choses l'embêtait, son arbalète, qu'il hésitait à emmener. Il s'y résolu finalement et place quelques carreaux dans sa besace. Il n'était pas encore familier de cette arme et n'hésiterais pas à l'abandonner si il le jugeais nécéssaire, quitte à la rembourser après à Seb et Guidel.
Son deuxième souci venait de la pointe d'accent Alsacien dont il n'arrivait pas à se défaire. Mais après tout il pourrais simplement passé pour un réfugié arrivé d'une région conquise par le Saint Empire Romain Germanique.
En tout dernier lieu, et presque religieusement, il place son inséparable fiole d'alcool dans sa besace...personne ne pourrait l'obliger à s'en séparer, c'était devenu son porte bonheur en quelques sortes. Et l'alcool ne servait pas qu'à boire...même Pao avait eut recours à sa fiole quand il avait été blessé par les loups.
Quand Akron s'estima fin prèt, il l'annonça aux autres

"Archer Akron prêt au départ, et veuillez m'excusez pour le retard "

Pao apprécia la tenue de chacun, il regarda rapidement leur paquetage, et espérait que ça irait!Tous étaient motivés, et ce qu'ils allaient endurer allait une sacrée aventure, ils allaient être livré à eux même! Une fois tout le monde rassemblé, il dit à voix haute...

Soldats!!!
Xavier, Alwen, Chouket, Argael, Akasha, Christ, Akron, Guidel, Bemad, Seb et Lestatjeh. Vous vous êtes porter volontaire pour former une unité d'élite, c'est bien et je vous admire... Mais ce que vous allez faire sera sélectif, il faudra tenir bon et garder la foi...car vous serez seul...

Voici ce qui vous attend!

Vous allez partir pour une marche en solitaire de plusieurs kilomètres à travers nos montagnes... Vous marcherez cap vers le Nord, et au bout d'une Vingtaines de kilomètres, après avoir parcouru plusieurs vallées, traversé plusieurs rivières et marché à travers moult forets, vous arriverez à une rivière, et de l'autre côté se trouvera une ruine d'un vieux château... ne traînez pas sur la route...

Pao tout en expliquant, distribua une boussole à chacun d'entre eux...

C'est ici que commence réellement votre objectif...

Cette ruine est gardée par plusieurs hommes dangereusement armés (qui ne sont que des acteurs ) et ils retiennent prisonnier un officier important de notre Ost. Votre mission est donc de libérer l'officier, en évitant d'être repéré...

Ceci, comme vous pouvez l'entendre, est un cas que nous pouvons rencontrer assez régulièrement, il est donc essentiel de vous former à cela!

Il distribua ensuite un plan de cette ruine à ces hommes...



Voici le plan même de ce Château et l'emplacement même des gardes et du prisionnier. Il y a douzes gardes au total qui sont positionnés un peu partout dans les bâtisses et le prisonnier se trouve dans un batîment au milieu...

Je vais vous détailler la situation que vous rencontrerez à votre arrivé!

Vous ne passerez pas en même temps, les conditions météo seront donc différentes, à vous de choissirent quand vous passez!!! (Nuit ou jour, Pluie, soleil, vent etc.....)

Citation :

Comportement des gardes :

Voici l'attitude, l'habit et les armes qu'ont chaque gardes :

Le soldat se trouvant au point 1 fait sa ronde tout le long de son chemin, il est armé d'une arbalète et à 1à carreaux.
Il tient une torche et n'hésite pas à regarder régulièrement de l'autre côté de la rivière...

Le soldat 2 lui, se trouve tout en haut de la tour, il à une vue générale de l'ensemble. Il est debout mais somnole à son hallebarde...
Son sommeil est léger, et un arc se trouve à ces côtés!!

Le soldat 3 est sur ces gardes, il veille sur la porte d'entrée qui est entre ouverte! Lui possède un arc et une épée, il est d'une corpulence importante et est très vigilant...
Les deux soldats au point 4, eux patrouillent, ils vont et viennent à petits pas, le long du bâtiment... Ils parlent, mais sont bien armées. Le premier a une hache, et le deuxième un pique et un bouclier, ils sont tout les deux en armures....

Les Quatre soldats au point 5 eux sont à table, leurs armes sont posés contre le mur. Ils jouent aux cartes et c'est l'alcool qui commence à parler!

L'homme en six, est le plus fort de tous, c'est une grosse brute sans cervelle! Il as une masse et une épée au fourreau... Il est assit sur un tabouret et ne cesse de surveiller les alentours et de regarder le soldat sur le tour de garde!

L'homme en 7, est en train de ferrer un cheval, il fait donc des vas et viens entre l'armurerie et l'écurie en passant par la cour.

L'homme en 8, lui est un garde, mais il reste le plus souvent, posté prés de la porte de la grande salle qui elle n'est accessible que par cette porte.

Et l'officier en bleu, lui dort dans la paille....

Vous allez donc vous déplacer et évoluer à travers ce grand décors, en tenant compte du matériel que vous avez emporté et de votre tenue!!! je ne veux pas voir des échelles sortirent de nul part, etc.... Vous allez devoir faire part de votre imagination est de votre ruse, mais attention tout doit rester réaliste, pas de super héros....
Prenez bien en compte les détails et écrivez un Rp claire, assez précis et agréable...
Votre Rp évoquera une dizaines de lignes sur votre chemin pour arriver aux ruines, puis vous développerait ensuite de votre arrivée à la rivière jusqu'à la tentative de libération de l'officier.

Vous ne serez pas noté sur votre réussite de la mission, mais sur le Rp!!! Vous pouvez donc échouer, vous faire prendre, perdre un combat etc...
Mais prenez en compte votre expérience au combat cela fait mieux...

Je tiens à rappeler que les gardes ne sont que des acteurs, ils manient tous très bien les armes étant des soldats, Aucun combats à mort!!!

Voilà, j'espère avoir était assez clair!!!
A vous de jouer!

Pao vérifia une dernière fois tout ces hommes, puis les regardas partirent! Il leva son épée...

Saint george et la Dauphiné!!!!

Au matin, le soleil était déjà bien monté quand les hommes sortirent de la caserne, habillés en paysans. Ils se dirigeaient vers la forêt au nord où ils s'engageaient par un sentier.

Guidel quitta son promontoire et s'engagea, lui aussi, dans la grande forêt pour recevoir ses ordres de mission de la bouche de Pao.

Il longeait le chemin à quelques dizaines de mètres pour ne pas se faire repérer. Pour se faire, il montait de temps à autre dans un arbre pour poursuivre son chemin d'une branche à l'autre sans que personne ne se rende compte de sa présence. C'est à ces moments que sa blessure à l'épaule le faisait le plus souffrir, mais par miracle, elle ne se rouvrit pas.

L'occasion de voir Pao seul à seul se présenta au moment où celui-ci s'éloigna des autres pour se soulager contre un vieux chêne. Dès qu'il eut fini, Guidel se laissa choir de la branche sur laquelle il était perché pour atterir quelques mètres derrière Pao. Ce dernier se retourna, dégainant son épée, prêt à se battre.

Guidel tendit les mains en signe d'apaisement.

Du calme, c'est moi, Guidel...

Et Pao lui donna son ordre de mission et lui confia une boussole. Une fois que ce fut fait, Guidel serra la main à Pao, puis s'enfuit en courant parmi les arbres dans la direction opposée au sentier.

Une fois que Guidel pensa être sorti du champ de vision du Seigneur des Lances, il relut son ordre de mission et prit sa boussole pour s'orienter.

Tout d'abord, il se dit qu'il allait plutôt continuer de longer le chemin, histoire de voir où ses frères d'armes en étaient. Il repartit donc en direction du nord-ouest, jusqu'à arriver à une vingtaine de mètres du chemin. Là, il grimpa dans un arbre pour s'approcher davantage de la sente.

Sur le chemin tacheté de points de lumières car les rais du soleil au zénith perçaient la voûte feuillue, plusieurs avançaient d'un bon pas, discutant entre eux de bon coeur, comme une bande de fermiers partis faire le marché dans un visage voisin. Certains avaient déjà quitté le groupe pour poursuivre leur mission en solitaire tandis que d'autres avaient apparement préféré ne pas se séparer de leurs camarades avant que ce ne fut nécessaire.

Il longea encore le chemin quelques temps depuis les arbres, suivant ses camarades des yeux sans qu'ils ne manifestèrent avoir conscience de sa présence, jusqu'à ce que le sentier bifurque vers le nord-ouest. Là, Guidel décida d'aller son chemin totalement seul, préférant couper à travers les arbres plutôt que de suivre le détour que le chemin empruntait apparement. Il attendit de s'être suffisament éloigné pour redescendre sur la terre ferme. A partir de là, il se mit à marcher d'un pas vif, courant parfois, contournant les chênes centenaires, bondissant par-dessus les arbres abattus par la tempête.
Il traversa plusieurs ruisseaux où il se désaltéra et remplit son outre en prévision du long chemin.
Il passa près d'un bosquet de bouleaux alors que son ventre commença à crier famine, aux alentours de 4 heures, à en croire la position du soleil. La fraicheur de la forêt le préservait du soleil de plomb qui filtrait çà et là entre les feuillages, il décida donc de s'installer au pied d'un chataîgner non loin de là pour se restaurer avant de repartir de plus belle. Il mangea peu pour ne pas s'alourdir davantage que cela n'était nécessaire jusqu'au soir.

Il repartit de plus belle, les lieues défilant sous ses pas, laissant loin derrière lui Briançon. Il n'avait alors même plus aucune idée de la position du sentier qu'il avait quitté plus tôt dans la journée lorsqu'il commença à entendre le bruissement d'une rivière à l'eau vive.

Ca y est... Pena-t-il.

Il avança à pas prudents en direction de la rivière et vit, à travers les branches, les ruines d'une forteresse d'un autre temps qui se dessinaient peu à peu. dans la lueur du soleil couchant. (21h environ)

Dissimulé parmi les fougères, il observa attentivement la citadelle, occupée par quelques hommes armés qui la défendaient. Il se retira alors parmi les arbres et se restaura à nouveau en attendant que le soleil soit totalement dissimulé pour passer à l'attaque.

Après avoir reçu les ordres de mission et sa boussole, Bemad vérifia une dernière fois son équipement, puis il partit plein nord, vers la forêt. Heureusement, il n’avait pas plu depuis plusieurs jours et la terre était sèche, ce qui allait rendre la marche plus aisée.
Bemad avança parmi donc les arbres, vérifiant de temps en temps sa trajectoire grâce à sa boussole, se désaltérant grâce aux gourdes qu’il avait emmené et les remplissant dans les ruisseaux qu’il rencontrait sur son chemin.
Trois heures passèrent ainsi, et il était déjà plus de 19h30 lorsqu’il arriva en vue des ruines. Il chercha un endroit pour monter son campement, à quelques dizaines de pieds des rives des la rivière, lorsqu’il remarqua que des buissons s’agitaient sur sa gauche. La main sur le pommeau de son épée, prêt à dégainer, il s’approcha avec méfiance, mais il poussa un soupir de soulagement quand il vit la tête de Christ émerger des buissons.

- Hey ! Salut Christ, lui chuchota-t-il, pour ne pas être entendu des ruines. Ca te dirait si on attaquait la forteresse ensemble ?

Akasha sortie de la ville avec ses congénères, puis partie seule sur le chemin, elle avait une bonne boussole et son petit paquetage, qui était assez encombrant pour le moment mais il fallait qu’elle arrive sans trop d’embûche jusqu’aux ruines. Elle traversa la forêt des Champs de Mars sans encombre et jetant un œil à sa boussole prit plein Nord. Elle traversa alors une première rivière puis au sortir de la rivière elle parcouru quelques lieux sans aucun traquenard particulier, elle continua son chemin tout en concertant sa boussole afin de ne pas s’éloigner de l’objectif, puis arriva devant une forêt fort mal entretenue, elle était remplit de ronces mais elle n’avait pas le temps de chercher un autre chemin, elle prit donc le partit de détacher sa miséricorde afin d’écarter au maximum les ronces qui lui bloquait le chemin, .prenant garde de remettre en place toutes celles qui longeaient l’orée du bois, afin de ne pas laisser trace de son passage, elle traversa ainsi la forêt mais les ronces avait abîmer ses vêtements, tant pis elle ferait avec. Elle arriva enfin au point indiqué sur la carte entendant la rivière toute proche et apercevant les ruines à travers les branchages.

Akasha sachant très bien qu’avec une telle armada de soldats, la confrontation de force était à proscrire pour elle, (PF32) élabora un plan plus porté sur la stratégie. Elle attendit donc la tombée de la nuit, sans se faire repérer afin de pouvoir s’approcher au maximum de l’entrée, elle apprit quasiment par cœur la carte fournie afin de ne pas être obligé de la reprendre en cours de chemin. Elle regarda sa boussole et commença à repérer la distance qu’elle devrait parcourir pour l’aller et pour le retour si sa mission était un succès. La nuit était proche maintenant, elle déposa donc son sac avec tous son équipement et sa couverture dans un tronc d’arbre, et le recouvrit de feuillage et de noisettes pour en faire une cache d’écureuil ; car cela la gênerait plus qu’autre chose. Puis voyant ses vêtements abîmés, elle décida d’en tirer partit… la lune était déjà assez haut dans le ciel, mais par chance elle n’était que montante, et la nuit avait étendu son long manteau, ne laissant que peu de luminosité, lorsque Akasha décida de prendre son courage à deux mains, elle vérifia que le garde qui faisait sa ronde soit assez éloigné d’elle pour ne pas la surprendre, puis elle avança vers le sud sans bruit toujours à couvert dans la forêt quasiment à hauteur du garde de la tour, comme il somnolait elle pu donc s’approcher encore un peu des soldats proches de l’entrée, arrivée à cette position elle décida qu’il était maintenant temps de les attirer vers elle, elle fit donc un vacarme de tous les diables, déchirant sa robe judicieusement, afin de simuler l’attaque d’un homme peu convenable avec la gente féminine, et criant :
Au secours, Au secours ….
Puis elle sortie de la forêt en courant et se jeta dans la rivière, évidemment son plan avait fonctionner et les gardes s’approchaient, celui sur la tour s’étant réveiller, il observait maintenant consciencieusement les alentours, et le garde de l’entrée c’était rapproché pour voir ce qu’il se passait… Alors que le garde de la ronde courrait sur les remparts en direction de la tour afin de pouvoir observé la forêt, elle traversa la rivière en faisant le plus de bruit possible, essayant de couvrir ainsi le bruit qu’aurait du faire son attaquant imaginaire en prenant la fuite… Elle arriva donc sur l’autre berge alors qu’une main se tendait vers elle, pour la sortir de l’eau, elle attrapa la main salvatrice, pour monter sur le rebord de la rivière, tout en bafouillant des choses quasi incompréhensibles, pour simuler son effroi…
Là ………. Là……………homme ………attaqué…………….peur…………..moi…….
Les deux hommes en armures ne comprenant rien à se qu’elle disait, la hissèrent. Le garde de l’entrée était arrivé quasiment à la hauteur de la rivière, pendant ce temps elle se jeta dans ses bras en maintenant ses mains sur sa poitrine légèrement découverte ; les deux autres encore surpris et légèrement ahuris par ce qui venait de se passer ne bougeaient quasiment pas, l’homme de l’entrée leur ordonna de faire une ronde pendant qu’il essayait de calmer Akasha, les soldats qui étaient en train de manger arrivèrent à leur tour , alors que le soldat qui ferrait le cheval revenait de l’armurerie, traversant la cour dit à celui qui gardait l’officier de ne pas bouger de là … le soldat de la grande salle arrivait en courant mais l’autre lui ordonna de reprendre sa position, ce qu’il fit. Pendant ce temps, les deux ahuris observaient la lisière de la forêt, en ne voyant pas rien, forcément quand un bruit survint du coté de la forêt, sans doute un écureuil, ou un lapin qui remuait quelques buissons… Akasha toujours dans les bras du grand balaise se dit que cet animal tombait à pique, et se calmant un peu. Elle dit :
Vous entendez, il est encore là… Protégez moi….
Ce dernier de répondre d’une voix forte
Allez les gars chercher moi cet individu, qu’on lui montre de quoi nous sommes capables…
Puis délaissant Akasha
Entrez vous mettre à l’abris… Je vous laisse avec le maréchal-ferrant….
Qu’elle bonne idée il avait là, il entraîna les six soldats à sa suite, pour vérifier l’autre coté de la berge, 3 d’entre eux traversèrent la rivière pour essayer d’attraper l’intriguant, 2 autres faisaient une ronde scrutant la nuit épaisse, et le dernier resta près de l’entrée… Mais Akasha s’en moquait elle était entrée, escortée par le maréchal-ferrant, qui l’installa à la table en lui disant qu’il revenait de suite, qu’il allait juste dire à celui dans la cour et celui dans la grande salle qu’il devait ouvrir l’œil…
Akasha s’installa en attendant, en faisant toujours mine d’être une pauvre victime… Lorsqu’il revint vers elle… il lui tendit un drap pour se sécher et une couverture pour se réchauffer, quel homme charitable pensa t’elle, puis il commença à la questionner sur les évènements, Akasha répondant avec parcimonie aux questions, afin de pas se contredire, et de rester dans son prétendu état de choc, puis voyant que celui-ci ne la lâchait pas elle demanda si éventuellement elle ne pourrait pas aller dans la cour afin de se remettre. L’homme suspicieux dans un premier temps, il fini par acquiescer d’un hochement de tête à condition qu’elle reste en vue d’au moins un garde, pour cela pas de problème son intention étant de se rapprocher du mieux qu’elle pouvait de son objectif, à savoir la grosse brute sans cervelle. Les autres soldats toujours à la recherche de l’individu s’interpellaient les uns les autres pour savoir ou en était les recherches… Elle s’approcha doucement de la grosse brute et commença à discuter avec lui afin de le mettre en confiance, et tenter de l’amadouer, il restait cependant sur le qui-vive, elle décida alors de lui faire un peu de rentre dedans en mettant ses atouts en valeur, la brute sans cervelle tomba évidemment dans le panneau, et entreprit de suivre Akasha dans l’armurerie alors qu’elle le précédait d’au moins 5 ou 6 pas, lorsqu’elle franchit la porte de l’armurerie elle empoigna un gros rondin qui se trouvait là et elle tenta d’assommer la grosse brute, mais celui-ci étant beaucoup plus grand qu’elle, elle ne put l’atteindre à la tête et elle se retrouva bien malgré elle séquestrer avec l’officier qu’elle devait sauver… La grosse brute signalant aux autres soldats qu’Akasha avait tenté de l’assommer, ils comprirent rapidement que tout cela n’était qu’un attrape nilgauts et ils revinrent à leur position. Akasha avait échoué….

LestatJeh ayant reçu l'odre de mission du seigneur de lance remit son sac sur le dos et commenca a marcher...
La route était longue et la bise caressait son visage. A chaque pas qui le menait en avant a travers la foret qu'il traversait il ne pensait qu'a son objectif et essayait d'établir la stratégie qu'il allait utiliser... Un face à face était proscrit étant donné le peu d'expérience qu'il avait. Etudiant le plan, il ne se rendit pas compte que petit a petit le paysage changeait devant lui, la verdoyante petite foret qu'il avait traversé jusque la laissait place a de petites montagnes recouvertes de pâtures. Le jeune homme plus enclin a la nuit qu'au jour souffrait du soleil, il profita d'un ruisseau de montagne pour se désaltéré un peu et se rafraîchir. L'eau cristalline coulait entre ses doigts, la fraîcheur le soulageait et il put continuer son chemin... LestatJeh se releva et remit son gros sac en toile épaisse sur son dos et continua son chemin. Par delà les montagnes il traversa une vallée, il savait que c'était la dernière vallée avant d'atteindre la foret qui se trouvait devant son objectif... La pente était raide mais les vieilles chausses tenaient le coup. Kilomètres après kilomètres, cailloux après cailloux, ampoules après ampoules, le petit point vert à l'horizon se transformait petit a petit en une grande étendu feuillue. Quand LestatJeh pénétra dans la foret le crépuscule débutait. Au bout d'une bonne demi heure de marche forestière le jeune homme repéra des ronces dans lesquels poussaient des mûres, il s'installa et sortit une miche de pain de son sac puit a l'aide de son gros couteau s'en découpât une grosse tranche sur laquelle il disposa des mûres... Le repas permit au jeune homme de se poser un peu et de penser à autre chose qu’à sa stratégie, sa pensée s'envola du coté de Briançon et de sa douce promise, Akasha... Puis son frugale dîner terminé, il se remit en marche. La lumière avait fait place a l'obscurité de la nuit, enfin LestatJeh se sentait mieux, apaisée, et moins comme agressé par le jour.
Les feuilles mortes qui crissaient a chacun de ses pas ne l'empecherent pas d'entendre le doux clapotis de la riviere qui passait a un ou deux kilometres de la.
La nuit ayant avancé, LestatJeh pressa le pas pour avoir le temps de mettre en oeuvre le plan qu'il avait concu durant le chemin. Il arriva devant la riviere qui semblait tel un long filet d'encre noire sillonant le paysage a travers l'obscuritée. Cette homme de la nuit se déshabilla et mit ses affaires dans le sac en toile, il trouva un morceau d'écorce sur lequel il déposa celui ci, puis penetra dans l'eau et tout en nageant il poussait devant lui l'étrange embarcation qu'il avait prévu pour ne pas mouiller ses affaires. En suivant la rivier qui faisait un tournant il remarqua une tour de guet, il fit le moins de bruit possible en passant a ses cotés. Il débarqua non loin de l'entrée et de ses deux premiers gardes. LestatJeh resta planqué dans les roseaux, attendit un peu pour secher, ce qui était rendu plus rapide grace a la legere brise qui soufflait. il se rhabilla puit sortit la dague et la bouteille d'absinthe de son sac, il plongea sa lame a l'arriere de ses braies de maniere a n'avoir qu'un mouvement pour la sortir. Puis s'approcha en titubant des gardes sa bouteille d'absinthe a la main, il s'adressa aux gardes ainsi

Hééééé les gars, jvous zaimes bien moââââ zetes rigolo avec tout votre fatras sur vous, frinchement moi jvous zaimes bien pis zavé des bonnes tetes, tiens viens donc boire un ptio peu dmin breuvage mon copain.

Premier Garde : Vas t'en gueux, tu nous dérange pui s'addressant au second Pas moyen de faire son boulot tranquille ya toujours un bouseux compleitement pplein pour venir nous faire chier

Second guarde ; attend moi j'aimerai bien boire un pti peu pi merde quoi c'est de l'absinthe franchement ! et s'adressant a notre faux alcolique
Viens donc par içi et fais nous donc gouter ton breuvage

Puis les 3 hommes s'installerent, lestatJeh feint d'avoir déja trop bu pour ne plus avoir a boire devant les hommes qui ne s'attardait pas a comprendre quoi que se soit trop omnibulé par la sainte boisson verte qui grace a son "haut voltage" fait vite a tourner les tetes... rapidement les deux hommes s'endormirent d'un profond sommeil. Puis s'approchant du gros porc qui gardait l'entrée LestatJeh se fendit le coeur en sortant le pain qu'il avait garder ainsi que les mures qu'il avait récolté au cas ou de son sac. Il recommenca a tituber et interjecta l'homme

Eeettt mon gars tveux manger avec moi, jme sens seul pis j'ai bien trop bu pour pouvoir découper mon pain proprement, alééé viens m'aider

Le gros homme ne put resister a la tentation et vint partager le repas qui avait été préparer, LestatJeh feint d'aller pisser et ramassa un gros bout de bois qu'il assena derriere la tete du garde. Puis il récupera les clefs de la porte d'entrée qui trainait a la ceinture de l'homme étendu par terre et pénétra la cour, il enleva ses chaussures pour ne pas se faire reveiller et éviter de reveiller l'homme qui dormait en haut de la tour... Puis LestatJeh entendit des pas, un garde passait pour aller dans l'armurerie, profitant de l'obscuritée de la nuit le jeune homme s'allongea et attendi que le danger s'éloigne. Puis décidant de jouer sur la vitesses il courrut le plus vite qu'il put, et avant que le gros homme qui gardait le cachot est pu reagir il l'assoma d'un coup de bouteille sur la tete *dommage*... Puis il s'evertua a chercher la clef sur l'homme, qu'il trouva autour de son cou, il ouvrit le cachot, mais c'était trop tard il était repéré, un careau d'arbalete se planta a droite de son épaule sur le montant de la porte du cachot, LestatJeh réveilla l'officier endormit et a sa grande surprise découvrit Akasha dans le cachot, il ne se posat pas de question et les fit sortir. tout en courant il entendit l'homme du haut de la tour de guet ainsi que celui du chemin sonnait l'alerte. En arrivant au niveau de l'entrée il put entendre des bruits de galops, l'homme de l'armurerie avait fini de ferrer son cheval et les avais pris en chasse, par contre il n'y avait aucun danger des 4 hommes qui étaient a la table, ayant trop bu pour pouvoir courrir correctement.
LestatJeh eu juste le temps de voir Akasha et l'officer plonger dans la riviere pour la traverser qu'il sentit une main aggriper sa cheville, le gros homme qu'il avait assomé s'était réveillé. Quelques minutes après LestatJeh croupissait dans le cachot qu'il avait pénétrer quelques minutes avant...

...Elle longea la rivière sur plusieurs mètres pour arriver sous l'arbre puis repartit vers le batiment afin que le garde qu'elle avait entendu et qui devant garder l'entrée, croit qu'elle venait de là.
Elle s'approcha de lui doucement, legerement pliée en deux, pour que le garde aie le temps de l'identifier et ne lui tire pas dessus directement. Elle avait la main droite sur son ventre proéminent (^^) et dans l'autre elle tenait le baton sculpté à la manière typique des bergers.

Elle avançait à petits pas, comme si elle avait mal. Elle sentit l'homme s'avancer, d'un pas seulement et crier:

Qui va là ? d'une voix bourrue

Alwen releva la tete et le fixa comme si elle venait d'apercevoir le messie. Elle esperait avoir l'air bien pitouche dans son état, et que la pluie ruisselent sur son visage pourrait faire penser qu'elle pleureait egalement toutes les larmes de son corps. Lorsque l'homme montra son épée, alwen prit l'air effrayée, comme si c'était la première fois qu'elle voyait quelque chose d'aussi menaçant. (heureusement si elle n'avait pas le sens de l'observation, les fées s'étaient par contre penchées sur son berceau pour lui accorder celui de magnifiquement jouer le rôle de la simple d'esprit naïve )

Elle articula donc difficilement.

Pit...ié....c'est....je.....le bébé......il.......

Alwen tomba à terre, avec juste le temps d'apercevoir la mine terrorisée du jeune homme qui n'avait sans doute jamais vu femme mettre son enfant au monde (et tant mieux car sinon il aurait bien vu qu'il fallait attendre encore 4 bons mois ).
Il lacha son épée et se précipité vers Alwen.

Madame....qu'est ce que.......un bé ?....hum.....mais que faites vous là d'abord ?

Il semblait se rappeler du protocole.

Je...mes moutons....l'orage....le.......aaah....le bébé !

Le pauvre garçon regarda à droite, puis à gauche, toujours personne...il se décida à essayer d'aider Alwen à se relever.

Il faut vous mettre à l'abri...

Alwen s'appuya sur lui pour se redresser, sans oublier de prendre son baton. Ensemble ils atteignirent la porte.

Alwen s'accrochait fortement au soldat et d'une voix étouffée elle lui demanda:

Messire....vous estes si bon......comment vous appelez vous ?

Marlgré l'obscurité, Alwen le vit rougir.

Euh... Luce ma Dame.

Alwen reprit doucement appuis sur ses jambes et agrippa son baton à deux mains.

Eh bien messire Luce....bonne nuit !

Et elle le frappa au ventre avec son baton de berger (très costaud), l'homme se plia en deux et elle porta un nouveau coup sur la tete. Mais le soldat assez costaud lui aussi n'était pas encore dans les pommes, aussi Alwen frappa encore à maintes reprises, très très vite, comme elle le faisait avec les araignés. Et la persévérance paya

Alwen laissa le corpt de messire luce dans l'angle de la porte et se faufila à l'intérieur. La pluie commençait à s'arreter. Ce n'était pas bon, les gardes à l'extérieur allaient revenir.
Ma foi....alwen ne pouvait plus reculer maintenant.

Elle se faufila comme une ombre dans les ruines.

(désolée c'est très long et pas très militaire, mais j'adore raconter les histoires ^^)

A 20H00, Xavier partit avec Cyclone à ses côtés, son étalon noir qu’il tenait par les rênes. Le cheval portait son matériel, ce qui lui occasionnerait moins de fatigue pendant son trajet. La lune allait bientôt se lever, éclairant la nuit d’une lumière laiteuse. Xavier jeta un coup d’œil à la boussole. Il se souvenait des consignes du Seigneur Pao.

Garder le nord ! se dit-il…

Encore une aventure dont je me souviendrai longtemps, Cyclone, si je suis encore là pour en témoigner, bien sûr…

Très vite, le chemin devenait plus escarpé, le sol devenait caillouteux. L’ascension commençait, la lune baignait maintenant le pan de la montagne de sa lumière blafarde. L’air était un peu plus frais, mais heureusement, l’exercice réchauffait Cyclone et Xavier. Ils progressaient bien. Toutefois, arrivés à la descente, il fallait veiller à ne pas se rompre les os en glissant sur des cailloux.

Bientôt, ils se retrouvaient dans une vallée. Xavier s’arrêta près d’une rivière, l’eau était très pure, il étancha sa soif et mangea une miche de pain. Cyclone brouta un peu d’herbe et se rafraîchit à son tour. Ils poursuivaient leur route le long de la rivière jusqu’à la découverte d’un passage à gué.

De l’autre côté du cours d’eau, la forêt avait envahi les terres. Xavier et Cyclone progressaient toujours. Un peu de clarté de la lune filtrait à travers les arbres, ce qui permettait de consulter la boussole et d’ajuster le chemin.

Au loin, la végétation semblait moins dense. Xavier semblait percevoir quelques clapotis. Il était maintenant près de 04H00, heure à laquelle pour tout être humain, l’attention se relâche. Pourtant, Xavier avait tous ses sens en éveil, il sentait l’excitation grandissante du moment de contact avec l’ennemi. Il arriva à la lisière de la forêt. Il attacha Cyclone à un arbre. Il passa son équipement d’Hommes d’Armes, prit son épée et son bouclier. Ensuite tout en caressant son étalon, il lui dit :

Je vais revenir gamin… Soit sage et ne fait pas de bruit.

Xavier longea la rivière comme une ombre, il trouva un pont qu’il emprunta après avoir soigneusement constaté qu’il n’y avait personne aux alentours. Il avançait vers la masse imposante du château à demi-penché et sans bruit. Il aperçut deux gardes bien armés. Il bénéficiait de l’effet de surprise. Il tenta de se rapprocher au maximum de ceux-ci en rampant. Arrivé à un arbre, il se mit debout. Il lança sa dague et transperça le cou du premier adversaire, son compagnon se pencha sur le mourant pour le secourir. Xavier courut vers lui et avec son épée lui trancha la gorge. Les deux hommes étaient définitivement hors d’état de nuire.

Xavier récupera sa dague qu’il essuya, ainsi que son épée, sur l’une des cuisses d’un des deux corps inertes. Il avança sans bruit jusqu’à la muraille du château. Il se mis dos à celle-ci et progressa jusque l’angle du mur. Il vit le garde et sans que celui-ci ait eut le temps de réagir, sans doute assoupi par sa nuit de veille, la dague de Xavier venait se planter en pleine gorge. Xavier fit quelques pas, entra, récupera sa dague et dissimula le cadavre.

Il était maintenant 05H00, l’heure idéale pour attaquer ou s’introduire sans bruit. Un nuage masquait partiellement la lune rendant notre combattant de la nuit presque invisible. Apparament, l’homme en haut de la tour de garde et celui parcourant les remparts avaient cédé au sommeil. Il fallait agir vite maintenant pour profiter de l’obscurité plus profonde. Notre homme filait sans bruit, il arriva dans la cour et progressait plus lentement. Il poursuivit jusqu’au garde et lui planta sa dague en plein cœur. La mort fut immédiate. Le champ était presque libre. Il récupera sa dague et cacha soigneusement le corps du garde.

Il entra dans la pièce où se trouvait le prisonnier, le libéra et le réveilla en lui mettant une main sur la bouche afin qu’il se taise. Il lui dit à voix basse :

Je suis venu vous libérer, ne parlez pas et suivez-moi comme une ombre.

Les deux hommes empruntèrent le chemin en sens inverse sans être remarqués, tels deux fantômes qui hantaient le château. L’alerte n’était pas donnée. Ça n’allait pas durer. Il restait une heure avant le lever du jour. Les deux fugitifs avaient retrouvé Cyclone. Xavier fit monter prisonnier libéré en selle. Bientôt, le petit groupe s’enfonçait dans la forêt touffue vers la liberté…

La pluie s'était presque totalement arretée. Alwen longeait les murs. Elle aperçut une armurerie sur sa gauche et s'apprêtait à aller y jeter un coup d'oeil quand un homme encore plus costaud que le précédent, poster devant une grille l'interpela.

Hey, toi là bas, tourne toi.

Alwen n'eut pas besoin de réfléchir longtemps pour se rendre compte que la technique d'extermination des araignées ne marcherait pas sur ce specimen.

Changement de stratégie se dit elle.

La pluie avait cessé mais Alwen avait les cheveux trempés (très sexy) et sa chemise devait être plus que transparente. Certes elle avait un gros bidon mais elle esperait que son sourire ravageur rattraperait son handicap.

Elle s'approcha d'une démarche chaloupée vers le monsieur qui faisait le double de sa taille tout en lui souriant et en posant ses mains sur ses hanches.

L'homme bavait, mais alwen soupçonnait qu'il fasse ça en permanence.
Il leva sa masse sans détacher son regard (un peu vide) de la chemise transparente d'alwen.

Bonsoir....

Bonsoir répondit le pauvre homme qui avait l'ai aussi malin que les cochons d'akron(désolée ).

C'est Luce qui m'envoie. Il dit que tu dois être eeeexténuée à veiller toute la nuit devant la cellule d'un gars qui...soit dit en passant...n'a aucune chance de s'échapper. Et comme tu es le meilleur élément, on a décidé de te récompenser.

Et la récompense....c'est moi dit Alwen en se collant contre l'homme et en descendant la main le long de sa cuisse puis en remontant * puis là c'est censuré mais alwen récupère les clés de la cellule *.

Juste au moment ou l'homme se penchait pour poser ses sales pattes sur le beau petit corps (^^) d'alwen, un cri retentit au dehors du batiment.

Les gardes avait du trouver le pauvre Luce évanoui. Alwen réfléechit au quart de tour et chuchota a l'homme en face d'elle.

C'est une alerte, cours y vite !

Le pauvre idiot, courut vers l'entrée du batiment. Alwen était contente d'avoir trouvé plus bête qu'elle

HRP: Xavier, je crois que Pao va pas être très content de voir ce que tu as fait de ses gardes-examinateurs...

Akasha et Alwen, je le sens bien, pour le prochain entraînement, je me rase les jambes! Vachement efficace comme technique!

Bon allez, plus que quelques-uns à tenter leur chance, dont notre tandem de choc puis on attend le verdict du Seigneur... /HRP

HRP : je publierais demain soir, vraiment pas le bon moment...Plein de boulot !