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 |  Sujet: Re: TAOP -Brigandage- Tigrator1 - COUPABLE  Jeu 14 Juin 2007 - 21:30 | |
| acte d'accusation fait :) |
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shinji
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| | Sujet: Re: TAOP -Brigandage- Tigrator1 - COUPABLE Mar 26 Juin 2007 - 22:44 | |
| - Citation :
- Tigrator1 était accusé de trouble à l'ordre public.
Le jugement a été rendu
Enoncé du verdict
Le prévenu a été reconnu coupable de trouble à l'ordre public.
Attendu que l'accusé ne nie point les faits, que sa culpabilité ne puis faire doute, que le témoin n'a pu se déplacer, que des éléments prouvent que l'accusé a essayé de rembourser la victime ce qui crée une circonstance atténuante, je vous condamne à une amende de 25 écus et 1 jour de prison.
En espérant que vous ne recommenciez plus, la séance est levée.
Le prévenu a été condamné à une peine de prison de 1 jour.
Acte d'accusation
Nous Claraladouce , dame d’Upaix , procureur du Lyonnais Dauphiné intentons un procès contre messire Tigrator1.
La cour vous reproche d’avoir racketté Dame Atrebate sur une route de Lyon.
La loi Article IV.1.E sur le brigandage stipule que :
Les personnes coupables de brigandage seront poursuivies pour trouble à l'ordre public, et devront répondre devant la justice pour ce chef d'accusation.
Les preuves de votre acte sont ici :
http://img177.imageshack.us/my.php?image=rackettigratorvr4.jpg
http://img167.imageshack.us/my.php?image=courriertigratorkm8.jpg
La parole est à la défense !
Première plaidoirie de la défense
*A l’appel de son nom, Tigrator, ayant totalement confiance en la lucidité de la Cour, s’avança, décidé à faire entendre sa voix et surtout la vérité sur cette ténébreuse affaire.*
Ma dame le Procureur, Messire le Juge,
Je comparais devant Vous aujourd’hui suite à ma mise en accusation pour trouble à l’ordre public.
J’en prends bien évidemment acte, cependant, je tiens à saisir la Cour afin de lui faire connaître bons nombre d’éléments que la plaignante s’est bien gardée de lui faire part.
En effet, Dame Atrebate omet de dire qu’elle est brigande elle même, comme en atteste ce qu’elle clame haut et fort, j’en veux pour preuve ceci :
https://2img.net/r/ihimizer/img516/1039/deviseatrebateav1.jpg
Par ailleurs, n’est il pas vrai, que, par compassion, dans le courrier présenté comme preuve par l’accusation, je me propose de lui rendre partie de « ses » biens, biens dont je vous laisse libre d’apprécier la douteuse provenance…
A la suite de ce racket, puisqu’il faut bien qualifier les choses ainsi, cette vile femme, me refusant délibérément à l’appeler Dame, vous allez comprendre pourquoi, et moi avons entretenu une brève correspondance, toujours dans le but de ne pas la laisser dépourvue de tout, et je vais donc vous soumettre les courriers qu’elle m’a fait parvenir.
Premièrement, voici la réponse à la lettre citée par l’accusation :
https://2img.net/r/ihimizer/img516/9193/courrier1vy4.jpg
où l’on devine aisément qu’elle me supplie de faire machine arrière.
Secondement, ayant répondu bien cordialement à cette missive, je reçois un autre courrier :
https://2img.net/r/ihimizer/img516/4097/courrier2nt0.jpg
où ma volonté de réparer mon erreur est tout à fait visible, et là commence à apparaître la perfidie de la plaignante. Ne me propose t’elle pas un rendez vous où je suis censé la rejoindre ?
Troisièmement, le ton de ce nouveau courrier, faisant suite à une nouvelle réponse de ma part, en vue d’établir un rendez vous pour la restitution des biens, ne laisse guère planer de doute quant à mon honnêteté vise à vis de cette machiavélique personne :
https://2img.net/r/ihimizer/img516/2384/courrier3cr2.jpg
Outre le fait qu’elle nous y parle d’un certain « Robin des bois », que je ne connais du tout, veuillez en cela, je vous prie, noble Cour, pardonner mon manque totale de culture, la bougresse fait nommément allusion à un future rendez-vous, et, pour parfaire le piège, finit sa missive par un « bien à vous », qui, s’il peut être considéré comme une simple formule de politesse, peut également être vu comme une attirante considération…
A la suite, m’inquiétant pour l’état de santé de cette quasi succube, je lui demandais qu’elle était son état physique, on est brigand mais néanmoins humain et croyant en les Saintes Vertus aristotéliciennes, ce qui ne semble guère être le cas de cette fourbe personne, afin de lui dispenser quelques élémentaires conseils de survie. Voici sa mensongère réponse :
https://2img.net/r/ihimizer/img47/4381/courrier4ys4.jpg
Un tel état ne peut être l’apanage d’une brigande, d’une part, et lorsque je la combattis, j’ai gardé comme souvenir de celui d’une gaillarde femme, vaincue de haute lutte, ce qui lui avait valu un certain respect de ma part, respect que je regrette amèrement maintenant.
https://2img.net/r/ihimizer/img47/2074/vnementstigraay3.jpg
Une telle force, n’est pas concevable avec ses dires, comme vous pouvez le constater et cette fieffée menteuse, lorsque je lui ai fait part de mon regret profond de la voir me mentir, alors que j’étais plein de bonne volonté, et que je lui avait même accordé, très naïvement, toute ma confiance, comme en le prouve la seconde pièce à conviction citée par l’accusation :
https://2img.net/r/ihimizer/img47/218/confiancejh5.jpg
n’a plus répondu à mes courriers fixant le précité rendez vous.
Flairant là quelque manigance, arrivé en la bien bonne et fort belle ville de Lyon, soit dit en passant, vous avez là une grande capitale, j’ai attendu malgré tout vingt quatre heures que l’odieuse manipulatrice ne se manifeste.
Et voici donc que pour toute réponse, je me vois invité à plaider ma cause devant cette Cour, que je remercie d’ailleurs de m’avoir laissé en liberté, sa largesse ne pouvant qu’être la preuve d’une grande clairvoyance, qui je veux le croire, démasquera la vilenie de la plaignante.
Entre temps, vous pourrez constater que je ne suis pas féroce rapace à m’attaquer à d’innocentes proies, puisque je me suis vu moi même attaqué par le célébrissime brigand, le redouté Akeemallah que je recherchais ardemment afin de me mesurer à lui, et je ne me plains nullement d’une quelconque agression, Moi.
Je veux dire ici, que cette femme abuse la Cour de son temps, essaye de récupérer par n’importe quel moyens des objets et biens qu’ elle avait elle même dérobés, ayant été convaincue de mensonge par ma modeste personne, en s’évertuant à faire de son escroquerie une demande de dédommagement absolument fallacieuse, et je pèse mes mots.
Ainsi, Madame, Messire, bien que ne pouvant que reconnaître les faits, je demande à la Cour de bien vouloir requalifier mon délit en un non lieu, pour la bonne et simple raison qu’il n’est pas moral qu’une brigande se serve de l’institution judiciaire pour retrouver les fruits de sa moisson.
« Bien mal acquis, ne profite jamais », sans doute serais je victime de ce sentencieux adage, mais je souhaiterais que cette funeste femme en prenne conscience, car je suis convaincu, qu’à ma différence, ce n’est qu’à de frêles victimes auxquelles elle s’attaque, et vous aurez pu constater mon humanité à la différence de cette personne qui ne fait que débiter mensonge sur mensonge.
*Tigrator, en ayant gros sur le coeur, mais heureux d’avoir pu faire valoir la vérité, partit se rasseoir afin d’entendre ce que la plaignante allait bien pouvoir inventer comme stratagème pour abuser l’honorable Cour*
Réquisitoire de l'accusation
Messire , dans votre plaidoirie vous ne niez pas les faits nous ne pouvons donc accorder la relaxe que demande votre avocat.
En l'absence du temoignage de la victime et selon les éléments fournis je demande au juge d'appliquer une peine de 1 jour de prison.
Dernière plaidoirie de la défense
La personne intéressée ne s'est pas manifestée.
La défense a appelé Pierrecharp à la barre
Voici son témoignage :
Mr le juge, Mme le procureur, bonjour,
Aujourd’hui, nous sommes réunis pour le procès de mon client. Celui-ci étant de bonne volonté, a pris contact avec la victime et l’a dédommagé. Mais c’est maintenant plutôt vers la « victime » qu’il faut se tourner, je vous demande pour votre témoignage si vous avez quelque chose a répondre a mon client, qui très honnêtement vous a dédommagé et que vous souhaitiez lui grappiller encore un peu d’argent en lui faisans croire votre affaiblissement.
De plus, cela s’appel de l’escroquerie et vous êtes brigande se qui ne m’étonne point.
Mon client ayant dédommagé la « victime » et lui ayant fait des excuses malgré ses paroles mensongères, je demande la relaxe
Cordialement
Maître Pierrecharp Jugement rendu par Shinji de Kiriyama, 26 juin 1455. [Edit de la greffière Nethaa]MàJ du casier judiciaire fait[/Edit] | |
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