[Lieu] Le Bureau.

Sujet: Re: [Lieu] Le Bureau. Lun 16 Mar 2009 - 18:03

Arwel attendait devant la porte du bureau contre laquelle elle venait de frapper lorsqu'elle entendit des pas résonner dans le couloir. Elle vit venir à elle un messire qui devait être de grande noblesse. Malgré un pas légèrement traînant, il avait une prestance qui impressionnait la jeune fille.

Il se dirigea vers elle, lui souhaitant la bienvenue et lui annonçant qu'il était le major des Compagnies Nobiliaires, celui qu'elle cherchait justement ! Arwel sourit à cette pensée. Il voulait savoir ce qu'elle désirait, elle le salua donc avant de lui expliquer ce qui l'amenait en ces lieux :

Je vous remercie de votre accueil, Messire, je me nomme Arwel, Coutilier de l'Ost et actuel maire de Dié ... Maintenant que l'alerte est terminée, le Seigneur des Lances Kernos m'a mise en réserve à la garnison de Dié et m'a demandé de rejoindre les Compagnies Nobiliaires ... Il m'a également expliqué que je devais me présenter à vous en ces lieux ... J'aimerais savoir ce qu'il faut que je fasse maintenant ...

La jeune fille se demandait ce qu'elle allait bien pouvoir faire là, elle ne se sentait pas très à l'aise en cet endroit ... Elle fixait son regard vert, voilé d'une certaine appréhension, sur l'homme qui se trouvait face à elle.

Sujet: Re: [Lieu] Le Bureau. Mer 25 Mar 2009 - 8:13

Un page vint interrompre le Major, lui apportant une missive de haute importance d'après lui.

Guidel mit un temps assez long à lire la missive et à réfléchir avant de lever les yeux sur la soldate venue renforcer les compagnies nobiliaires le temps de son mandat.

Excusez-moi, on vient justement de m'envoyer des ordres concernant les compagnies nobilaires de Die...

Rendez-vous au camp de Die et signalez votre présence.

https://chateau-de-lyon.forumactif.com/office-des-compagnies-nobiliaires-f78/lieu-campement-compagnies-nobiliaires-de-die-t15108-60.htm#325323

Et attendez que des ordres me parviennent pour que je vous les transmette.

https://chateau-de-lyon.forumactif.com/office-des-compagnies-nobiliaires-f78/mobilisation-demandes-de-mobilisation-des-compagnies-nobiliaires-t16530.htm

Sujet: Re: [Lieu] Le Bureau. Mer 25 Mar 2009 - 19:48

Arwel écouta atentivement les consignes données par le Major puis lui répondit :

Je vous remercie messire, je vais de ce pas faire ce que vous venez de me mander ...

Arwel salua le Major et se dirigea dans la direction qu'il lui avait indiquée.

Sujet: Re: [Lieu] Le Bureau. Dim 29 Mar 2009 - 8:29

Colombine arriva dans le bureau du Major un peu essoufflée, sa chevelure en bataille.

Major le bonjour, nous avons une lance d'immobilisée alors que je viens de me rendre compte que vous le représentant des Compagnies nobiliaires n'en avez point monté une et êtes dans un corps d'armes de l'OST! C'est fort dommage car nous allons manquer de lances pour y intégrer les braves villageois désirant défendre leur ville. Cherchez l'erreur...

Sa tirade l'avait laissez à bout de souffle et cramoisie devant le Major coi.

Sujet: Re: [Lieu] Le Bureau. Dim 29 Mar 2009 - 15:02

Il se retourna, interloqué par une visite aussi cavalière.

Bonjour, Mademoiselle d'Albon...

Veuillez me rafraîchir la mémoire... Une mobilisation des compagnies nobiliaires de Lyon a-t-elle été demandée?

Une silhouette revêtue d'une longue cape bleue attendait devant la porte du Major des Compagnies Nobiliaires, hésitante . Qui aurait pu voir que sous la capuche un visage triste et fatigué, laissant même apparaitre le sillon d'une larme se réfugiait ?

La main le long du corps, l'autre sur le pommeau de son épée , la jeune femme essayait de trouver le courage.
Le courage de quoi me demanderez vous ? Le courage de franchir un autre cap, de cristalliser plus encore sa grave décision ,de la rendre encore plus réelle .

Hésitante, respiration saccadée recherchant un apaisement, un nouveau souffle. OUi c'est cela, un nouveau souffle, un nouveau pas dans sa vie, un pan à cloturer.

Dans ce qui lui restait de volonté, en une respiration, elle leva le poing recouvert d'un gant de cuir qui s'abattit par trois fois, coups secs mais sonores sur la lourde porte: la jeune femme venait de franchir la limite.

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Le major n'était jamais à son bureau... Il se balladait toujours partout et en tout sens, de la salle principale des compagnies vers l'Ordre de Saint-Georges, en faisant un détour par l'assemblée nobiliaire, puis le passage obligé à l'hérauderie, pour apporter son aide à la maréchale grâce aux connaissances particulières au Lyonnais-Dauphiné qu'il conservait toujours, conseil de guerre, conseil ducal, chapitre de la Licorne, domaine de La Salle... Il ne cessait de bouger, même s'il boitait, il n'en avait cure, il ignorait la légère douleur et c'était mieux comme ça.

Le hasard fit pourtant qu'il passait à proximité de son poussiéreux bureau lorsqu'il entendit qu'on frappait à la porte et il fit donc le détour. Curieuse surprise l'attendait au détour du couloir, aussi ne savait-il s'il devait s'attendre à une bonne ou une mauvaise nouvelle, il laissa cependant apparaître un léger sourire sur son visage, car la reoncontre de la Dame à l'Etoile demeurait le moment de la journée qu'il préférait.

Le major n'est jamais dans son bureau, belle baronne...

Poussez donc la porte -il ne la fermait jamais- et installez-vous. Vous m'expliquerez les raisons de votre passage ici une fois à l'intérieur.

Toute à l'observation de la porte du bureau du Major, elle navait pas fait attntion au bruit si particulier des pas de celui ci.
Aussi quand il lui adressa la parole, elle sursauta en faisant un bond, plaçant sa main sur son coeur.
A la vue de son doux sourire et de l'azur de ses yeux, elle en aurait même oublié le pour quoi de sa venue.

Le major n'est jamais dans son bureau, belle baronne...

A ses mots elle poussa la lourde porte et entra dans le bureau qu'elle connaissait déjà. Elle regarda l'aménagement qu'avait fait le Baron de La Salle: sobre, efficace semblait il, chaque chose à sa place ... très différent du sien ou régnait souvent la pagaille.

Au centre de la pièce, elle retira la capuche, puis dénoua le lien de lourde cape et la laissa glisser de ses épaules pour la poser sur la chaise à ses côtés.

Bien le bonjour Major, en fait ma venue n'est pas une visite de courtoisie ou ...

Elle plongea son regard dans le sien, sinople dans l'azur puis sa poitrine se souleva un peu plus afin de lui donner la réplique.

Je venais me placer aux Compagnies Nobiliaires, donc sous vos ordres Major .

Ces mains en prononçant ces mots se tordaient comme par automatisme, trahissant son état de détresse.

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Il soupira et laissa le silence plâner entre eux un instant... Puis il esquissa un léger sourire et reprit.

Soit. Je ne parviens pas encore à décider s'il s'agit d'une bonne ou d'une mauvaise nouvelle...

Mais en tout cas, ici comme ailleurs, je serai heureux de vous avoir à mes côtés. Je crains simplement que vous vous ennuyiez en ces murs. Les compagnies nobiliaires ne sont appelées que pour renforcer l'Ost et en autres temps, ces salles sont plutôt calmes et vides...

Quel changement elle allait connaître... Après la garnison de Montélimar, après le conseil ducal et le conseil de guerre, les compagnies nobiliaires de Lyon, plusieurs nobles de haut rang, anciens gouverneurs, anciens protecteurs du duché, et à présent Antlia serait des leurs, il sourit à nouveau. Peut-être était-ce dans l'ordre des choses après tout. Soucieux de couper court à leurs réfléxions et leurs regrets, il s'approcha d'elle, leurs visages à peine distants de quelques pouces et enchaina.

Bienvenue, Antlia, puisses-tu t'épanouir parmi nous...

Il l'avait tutoyé... Il l'avait prévenue, en ces instants où ils étaient seuls, elle avait percé son armure d'amertume et de solitude, cette politesse courtoise lui permettant de conserver une certaine distance, de ne plus souffrir...

Avez-vous déjà rencontré vos nouveaux et prestigieux compagnons d'armes?

Doucement elle avait levé le visage, avec douceur elle l'avait regardé et écouté.
Ses mots et sa présence comme un baume faite à son âme. Intérieurement elle l'en remerciait, sans l'avouer .
Il lui avait été si dur de quitter ce pour quoi elle œuvrait depuis des années, cela lui avait fait si mal. Mais il ne pouvait en être autrement...

Bienvenue, Antlia, puisses-tu t'épanouir parmi nous...

Paroles a la femme, à sa promise .... Elle ferma les yeux un moment

Merci Guidel ...

L'Etoile lui adressa un sourire timide, mais sourire tout de même. Si proches, elle respirait son odeur, elle sentait le souffle de sa respiration sur sa peau. Moment de trouble si délicieux ....

Avez-vous déjà rencontré vos nouveaux et prestigieux compagnons d'armes?

Un moment encore pour reprendre pied puis se reculer legerement.

Je n'ai point rencontré de monde ...du moins pas encore. Mais j'en connais certains pour les avoir cotoyer dans d'autres endroits ...

Guidel, j'ai des interrogations depuis un moment sur les compagnies nobiliaires... Les Nobls de ce Duché n'ont ils pas d'hommes, de metayers en leur domaine passibles de rejoindre des lances pour la défense du Duché?

Nos enfants ne pourraient ils point suivre d'enseignements d'armes? En ce moment, je suis a la recherch d'un maistre d'armes pour ma fille Appolline .... et je trouve dommage qu'il n'y ait point de structures pouvant leur donner les bases pour commander à des hommes qu'ils auront sans aucun doute a mener .

Elle pencha la tête, se demandant si elle n'était point trop presomptueuse .

Nombre de messages : 2992 Localisation IG : Lyon Date d'inscription : 13/12/2006

Il sourit avant de lui répondre.

C'est une idée qui me trotte dans la tête, à vrai dire... Trouver, dans le duché, des maîtres capables de former notre jeune noblesse dans les domaines variés, tels que la stratégie militaire, l'équitation et le maniement de l'épée...

A terme, permettre à ceux-ci tout autant qu'aux anciens de former un corps noble qui soit plus efficace encore que nos compagnies nobiliaires, des cavaliers équipés et entraînés, de véritables nobles d'épée en somme... Mais pour l'heure, il faut avant tout trouver des gens motivés. Si les compagnies ne suivent pas, cela ne vaut pas la peine d'être entrepris.

Après avoir quitté nu la garnison de Briançon, ou du moins son semblant, le Seigneur de saint-Véran était passé en sa demeure Briançonnaise afin de récupérer ses habits d'apparats au couleur de son fief. Aucune décision au sujet de sa démission de l'ost ne lui avait été rendue, néanmoins Ka ne comptait pas attendre les retours d'Aristote et de Christos avant de servir ce qui était le plus important à ses yeux; le duché. Tous ces échos, ces facéties au sujet de sa démission n'avait fait que le dégoutter encore un peu plus de l'ost. C'est donc vêtu d'une cape de sinople qu'il arriva devant le bureau du major et y frappa 3 grands coups du pommeau de son épée.

Antlia absorbée par les effectifs des Compagnies Nobiliaires, se posant multitudes de questions sursauta lorsqu'elle entendit de fort coup à la porte de son bureau .

Ils allaient finir par lui faire lacher son petit coeur pas psosible cela. Mais dingmenet elle rangea en un petit tas ses vélins, tira sur sa veste et se redressa avant de lancer un sonore :

ENTREZ !

La porte s'ouvrir sur un Ka .....habillé. Cette vision réveilla en elle le souvenir d'une esquisse passée de mains en mains, surtout féminines d'un Ka nu comme un vers .
Chassant cette image de sa tête elle se leva et vint à sa rencontre .

Bonjour Seigneur de Saint Véran . Permettez moi de vous souhaiter la bienvenue parmi nous .

D'un regard elle fit servir deux verres d'un liquide ... jaune à bulle , le Génépi étant affublé d'une propriété qui rendait son approvisionnement assez difficile.
Aussi elle se rabattait sur la Clairette, en vente libre, et de nougats, qu'elle partageait volontiers.

Asseyez vous donc et parlons de ce qui vous amène icelieu .

Ka entra dans le bureau. Le major semblait épris de pensées durant quelques petites secondes puis le salua. Ce qu'il fît à son tour

Bien le bonjour Barronne, c'est toujours un plaisir de vous revoir. Un domestique lui tendit alors un godet. Ka plongea son nez dedans et retint une grimace; il n'aimait point la clairette mais la boirait par politesse! Il inscrit dans un coin de sa mémoire qu'il aurait à faire parvenir rapidement une caisse du meilleur Génépi Saint-Verannais au major.

Suite à son invitation, Ka s'assît et prit la parole;

"Et bien major, je viens vous annoncer ma réintegration aux compagnies nobiliaires. En effet, j'ai déposé ma démission au Seigneur des lances de Briançon et après bien des difficultés, j'eus réussi à sortir de ce repère d'inactifs et de laissés pour compte. D'ailleurs je ne pense jamais avoir vu cette garnison aussi active que le jour de ma démission, faudrait peut-être des démissions plus souvent.

A l'heure actuelle, voilà maintenant plusieurs jours où je n'ai reçu aucune réponse au sujet de ma démission. Biensûr j'en ai eu des échos, des on-dits, mais rien d'officiel.

Etant donné que j'ai justement quitté l'ost entre autres à cause de son inactivité, je ne compte point attendre le retour des glaces pour me rendre utile et servir ! Me voilà donc devant vous. Et si ma démission n'est point acceptée n'ayez crainte, d'autres voies permettent de quitter l'ost.

Bon beeeeen... *regarde autour de lui, puis le fond de sa clairette dont les bulles n'étaient plus depuis un moment* Si ça vous va je sors rejoindre les autres.

Se lève et sort doucement en faisant des petits pas à reculons, quelquefois que...

Le Vicomte invité dans ce bureau frappa attendant une réponse

[ desolée hrp tres chargé ]

Elle rattrapa Ka par la manche en faisant un petit tss tss . Le Major lui sourit puis, prenant un vélin dans ses mains.

En fait eu confirmation par l'Ost de l'acceptation de votre démission.Aussi vous pouvez entrer de plein gré en les Compagnies Nobiliaires . Mes félicitations !
je vous invite donc a vous rendre en salle d'honneur afin de preter serment, puis de vous familiariser avec votre campement .

Une question : avec vous une milice, une compagnie privée ?

Sur cette question on tapa à la porte. Elle s'excusa puis ouvrit la porte et se trouva devant le Vicomte Argael.

Bonjour à vous Vicomte je vous en prie ... entrez .
Je finis juste avec le Seigneur de Saint Véran ..

D'ailleurs avez vous des questions ?

Le Vicomte silencieux entra, salua son neveu et attendit avec une patience étonnante de sa part.

La baronne tira Ka par la manche. Lorsqu'il eût confirmation de sa démission il leva les yeux dans un soulagement ! Il ne s'étonna pas de l'apprendre par le major et non par un courrier de l'Ost ou un des ses responsables.

Un serment? Tiens ça doit être nouveau ça... pas vu ça encore... Songeur et se parlant à lui-même en se grattant la barbe.

Il releva alors la tête étonné de la question qui suivit et fronça les sourcils. Les informations semblaient parfois circuler plus vite que les pigeons ne volent !

Quelques hommes de confiance tout au plus ! Il n'en dirait pas plus pour l'instant.

Son oncle frappa alors à la porte, sans même le savoir il tombait au bon moment! Il salua alors son ainé

Heu non pas de question !

Attendant depuis maintenant fort longtemps sans qu'on daigne lui parler il fit demi tour et quitta le bureau, gardant pour lui ce que ces attitudes envers la noblesse lui inspirer. Au final nulle réponse a ses questions légitimes et dénis total de la fine fleur du LD

[ hrp je trouve desolant que en ayant prevenu que l'on est absent durant le WE on n'ait pas la politesse de rester et d'attendre un peu. Donc les sanctions seront appliquées sans aucune explication . Et pas en demander par la suite . ]

(hrp: pardon mais depuis jeudi dois je compter les post réaliser par Antlia au CN? et pas plus tard que ce soir. C'est même suite a ceci que j'ai entreprit de poster. je n'ai rien contre la joueuse rien du tout, mais il faut un peu se mettre a la place d'Argael dict "le fier" à ne pas oublier quand même, qui voit le major parler a droite a gauche et pas ici alors qu'il est convoqué. Encore une fois rien d'Hrp mais rien de rien, et si besoin je compterai alors le nombre de post réalisé depuis jeudi. je reste donc ici tout a fait cohérant rp maintenant rien n'empêche de venir trouver le Vicomte dans le couloir)

[hrp LJD Antlia j'ai dit que plus aucune explication , il est parti, il est parti, il assumera le fier pour mon temps HRP en dehors des rr . je voulais faire un beau rp . j'ai plus envie . ça aussi c'est le respect .]

Le Major sourit à KA puis réajustant san veste d'un geste élégant, elle lui indiqua :

Le serment est à donner en salle d'honneur. Vous y verrez un exemplaire laissez par un de mes prédécesseurs. Je vous invite donc à y aller .

Pour ce qui de votre Compagnie, il est toujours bon de le savoir afin de pouvoir comptabiliser les forces en joue ...

Coup à la porte ... le Vicomte entra , elle inclina du chef puis continua poliment avec Ka .

j'ai bien reçu votre missive en mon château .. soyez assurés que vous serez conviés .. Nous faisons les démarches nécessaires que je vous expliquerai dans ce dict courrier .

Elle inclina légérement la tête, Son regard sinople se parant d'un voile plus sombre en pensant à Akron, à sa mort tragique .

J'espère Seigneur de Saint Véran que vous trouverez un certain épanouissement à servir votre Duché de la sorte.

Antlia laissa donc partir le Seigneur de Saint Véran. Se tournant vers le Vicomte elle le vit partir à sa suite un sourcil levé .

Le Major soupira en se demandant ce qui était encore passé dans la tête du Vicomte, se demandant si cette réunion d'explications auraient été de toutes les façons profitables .

L'Etoile fit alors appeler le Scribe afin de lui dicter une missive .

Nombre de messages : 6454 Localisation IG : Dié Date d'inscription : 02/08/2007

Un page aux couleurs sable et argent d'Amilly se présenta à Lyon, au bureau du nouvel Major des Compagnies Nobiliaires. Son maître le lui avait dit : "Porte ça au Généralissime". Nul doute que la baronne aurait ri en entendant cette phrase. Le message fut donné à un autre page et, de page en page, le message fut déposé sur le bureau du major.

Citation :: A la baronne de Grignan.

Chère amie,

J'apprends, à mon retour de voyage de noces, votre nomination comme major des compagnies nobiliaires.

Etant certain de l'investissement de qualité que vous apporterez à leurs organisations, je ne puis que vous souhaitez une grande réussite dans votre nouvelle fonction.

Avec toute mon amitié,

Faict au domaine d'Amilly, en l'an quatorze cent cinquante sept, du mois de juillet le dix-septième.

Bastien d'Amilly.

Dès mon arrivée à Lyon ma première visite fur pour Lady. j'avais laissé les hommes à l'auberge pour qu'ils puissent se reposer...

Doucement je frappe à la porte de son bureau...

Je pense qu'elle seule va pouvoir me dire qu'elle piste je dois suivre et me donner les noms des brigands qui l'ont quasiment enlevé sous nos yeux...

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