Demande de conseil - Situation sécuritaire préoccupante

Nombre de messages : 1879 Localisation IG : Dié Date d'inscription : 29/12/2015

- Bonsoir à tous.

Je viens à vous ce soir car je suis plus que préoccupée par la situation sécuritaire du duché.

Comme vous le savez sans doute, la ville de Montélimar a été prise cette nuit par un groupe d'Hélvètes se réclamant de la république de Grandson. Une dizaine d'individus, puisque la ville était gardée par deux maréchaux et deux miliciens. Sans doute ceux-ci :

Citation :: Hier, en chemin, vous avez croisé Marypierre, Moriase, Kemendil, Cooper_kenway, Brittus, Genepie, Lunnard, Gadel, Chat_noir, Stuber, Stan25, Keriun, Steiners, et Tugaluso.

En gras celle qui a pris le contrôle de la mairie. Elle a été identifiée comme membre du Fatum, et a récemment participé à la prise de Langres.

Pour commencer, il va nous falloir un maximum de volontaires pour reprendre la mairie... Sans pour autant dégarnir les autres villes.

En effet, une autre menace pourrait potentiellement peser sur Lyon.

Une tentative de révolte a été essuyée par la mairie de Chalon, en Bourgogne, à deux jours de Lyon. Par qui ? Des Helvètes, bien sûr.

Citation :: Feebleue.. , Hildegardeii , Kirkwood , Madeline , Nicbur , Zarathoustra.

Auxquels s'ajoutent, dans les arrivées du jour de Chalon :

Citation :: Larti Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicæ Schweizerische Eidgenossenschaft Fribourg
Le_petit Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicæ Schweizerische Eidgenossenschaft Genève
Leo... Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicæ Schweizerische Eidgenossenschaft Genève
Vignolles Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicæ Schweizerische Eidgenossenschaft Genève

Et brigandent entre Chalon et Mâcon :

Citation :: un groupe composé de Coyote. de Ixya.beaupre de Caedim et de Francois.beaupre.

Ça grouille donc de tous les côtés. Si on ajoute à cela les ennuis que nous venons d'avoir sur Lyon, où il se trouve toujours des personnes suspectes ayant participé à cette même prise de mairie de Langres (dont le maire démissionnaire Mistercrow)...

Ça ne sent pas très bon pour nous.

Aussi je viens quérir votre conseil, comme plusieurs têtes valent mieux qu'une. Que préconisez-vous que je fasse ? Que nous fassions ?

Je rajouterai que je crains que la couronne ne nous soit d'aucun secours, vu la réactivité des GO. Mais le problème a néanmoins été porté à leur attention.

La couronne ne nous aidera pas pour une si petite menace, il va falloir nous débrouiller.
Toutefois je peux être à Montélimar après demain pour participer à la reprise.

Nombre de messages : 1879 Localisation IG : Dié Date d'inscription : 29/12/2015

- Même sans parler d'une aide militaire réelle, ils sont... Absents des débats, tout simplement.

Son Altesse Walan va s'occuper d'organiser la contre-révolte, je ne vais pas m'avancer en vous demandant de rejoindre Montélimar si ce n'est pas nécessaire. Le mieux serait que vous le contactiez directement, via les CN je pense.

Mais dans l'idée, ma crainte principale... Peut-être de la paranoïa, est que tous ces petits Suisses finissent par converger sur le LD, et en particulier sur Lyon.

Et donc ? C'est quoi la question ?

Qu'en dit l'observatoire ? Mnemosyne ne partage plus d'informations ?

Nombre de messages : 1879 Localisation IG : Dié Date d'inscription : 29/12/2015

- Pas d'observatoire à ma connaissance, et Mnémosyne n'est plus en activité il me semble... Depuis le règne du roi Jean ? En tout cas je n'ai pas entendu parler d'elle depuis le début de mon mandat. Et la GPF a confirmé que la Grande Prévôté ne pratique quasiment plus l'espionnage.

A Arwel :

- Je prends tous les conseils, sur l'attitude à adopter, d'éventuelles mesures à prendre, ou autres. Ratissez large, je n'ai jamais été confrontée à une telle situation et donc suis bien en peine de trouver un modèle sur la façon de réagir.

Dans l'imédiat et vu l'heure, je pense que je serai plus utile sur Lyon dans les jours à venir.

Je suis sans doute le plus ancien résident (création du perso 2004) en cas de révolte, si je me révolte avec eux, une chance que je me retrouve à la tête de la mairie.

Pour le reste ne connaissant pas les forces présentes je ne serais trop conseiller. Il y a cependant peut être du monde sur Embrun voir Briançon qui semble encore un peu actif qui pourrait monter une lance et venir en renfort.

Ensuite, il serait peut être bon de sécuriser à minima la trésorerie avec des personnes de confiance, de manière discrète bien évidément.

Le Marquis à tout dit. Les mesures de prudences sont toujours bonnes à prendre et avec lui en révolte cela fait une sécurité supplémentaire.
A t-on encore des contacts en Savoie et en Bourgogne ? Élargir notre système douanier aux villes frontalières ne serait pas une mauvaise idée, il suffirait d'obtenir les listes de villageois recensés chaque jours et de les utiliser de la même manière que pour les notre afin de voir si nos listés ne se regroupent pas en amont pour nous faire une surprise.

Mnemosyne a été virée par Angelyque, prétendument pour trahison où je ne sais quoi pendant la guerre contre l'Empire. L'une des multiples erreurs de son règne, puisque du même coup tous les SSRF ont été démantelés. Et remplacés ... par rien.

Pour le reste, les détails défensifs sont donnés tous les jours aux CN. Organisation de la contre révolte à Montélimar inclue.

Nombre de messages : 1879 Localisation IG : Dié Date d'inscription : 29/12/2015

- Je vais contacter la duchesse de Bourgogne. Pour la Savoie... Étant donné qu'ils ont des traités de libre-passage avec cette truandaille, je doute qu'ils nous soient d'aucun secours.

La Savoie a très mal pris le fait que le LD lui refuse de l'aide quand c'était eux qui étaient confrontés à la Réforme et à moins qu'ils se montrent très magnanimes, il ne faut pas s'attendre à grande aide de leur part... C'est ainsi que ça se passe quand on ne sait pas ménager ses voisins directs, tout impériaux et provençaux qu'ils soient. C'est mieux de signer des traités d'amitié avec le Béarn...

Bref, étant donné que vous avez convoqué tout le ban à Paris pour vos épousailles qui semblaient être une raison d'état bien plus importante que la sécurité du Duché, j'ai bien envie de vous dire de vous débrouiller maintenant pour réparer vos âneries... Cependant, je crains que ce ne soit pas considéré comme un conseil fort judicieux... Sinon, laissez donc faire Walan, c'est la seule personne apte à gérer ce genre de situations dans votre Conseil.

Dernière édition par samthebeast le Sam 1 Oct 2016 - 23:14, édité 1 fois

Pour ma part étant toujours à la tête d'une armée à Lyon si vous en trouvez une utilité quelconque avant qu'elle ne soit démantelée... Comme de toute façon j'attends encore d'être libéré si je peux servir avec elle de façon utile vous savez ou me trouver.

Au fait on a tout une lance de bourguignons à Lyon. Peut-être rien à voir avec le reste mais bon.

Mnemosyme a été renvoyée par la reine Angelyque de la Mirandole.
le seul observatoire est maintenant la GPF.
Je suis à Mâcon et arriverait à Lyon demain.
Il me semble que le danger actuel est plus sur Lyon qu'ailleurs. La priorité reste Lyon. Ne dégarnissons pas la capitale.
Certains des italiens qui ont attaqué les Flandres sont à Briançon ou Embrun.
La situation sécuritaire est très précaire effectivement.
De plus la mesnie d'Estac qui a pris Montélmar a déclaré la guerre au royaume de france et vu notre proximité nous allons devenir le terrain de jeu favori de ces groupes.

Si tu es sur Mâcon Hels, peux tu transmettre la liste des villageois aux douanes ? Ca fera déjà quelques informations au moins.
Pour la Savoie c'est bien dommage...Je demanderais bien ce qu'il s'est passé mais ce n'est pas franchement l'urgence. Toutefois il n'est pas forcement nécessaire d'avoir affaire au conseil ducal, contacter les maires frontaliers peut parfaitement suffire.

Au pire, proposez nos recensements villageois en échange, on a rien à y perdre.

Nombre de messages : 1879 Localisation IG : Dié Date d'inscription : 29/12/2015

- Oui, et je veux bien toutes les informations à votre disposition sur cette mesnie d'Estac, si vous avez, Helsinki...

Pour la Savoie, nous ne leur avons pas refusé notre aide. Nous avons listé les réformés qui ont pris Annecy, ainsi qu'ils nous l'ont demandé, mais nous avons décidé de ne pas leur envoyer de troupes. Vu la situation du guet, je ne pense pas que quelqu'un nous en blâmera.

je peux obtenir la ville de macon et bourg tout les jours pour ma part

Nombre de messages : 1879 Localisation IG : Dié Date d'inscription : 29/12/2015

- Cela nous serait d'une grande aide.

Lui sourit.

Si ma mémoire est bonne, nous n'avons envoyé personne en Savoie parce qu'on était en train de mobiliser nos propres troupes pour protéger Die au cas où l'armée présente à Annecy décide de venir faire un tour chez nous, comme l'annonçaient certains de nos nobles -il me semble même que c'était vous qui aviez donné l'alerte en disant qu'ils risquaient de passer pour aller en Languedoc, major-.
C'est d'ailleurs cette mobilisation là pour laquelle nous n'avons recueilli qu'environ 20 volontaires, alors qu'en face ils étaient censés être une bonne trentaine.

Par ailleurs les savoyards ont signé, il n'y a pas si longtemps, tout un tas d'alliances avec certains cantons suisses, qui sont tout sauf rassurants.

Citation :

Valais - Renards:

Citation :: ~ Traité de non-agression entre le Duché de Savoie et la Principauté du Valais ~

Préambule.

Soucieux de poser les jalons d'une paix durable entre leurs peuples et d'établir une relation cordiale, le Duché de Savoie et la Principauté du Valais établissent solennellement entre eux, par le présent traité, un accord de non-agression mutuelle et en précisent les termes.

I. | De la non-agression.

Le Duché de Savoie s'engage à respecter l'intégrité territoriale de la Principauté du Valais.
La Principauté du Valais s'engage à respecter l'intégrité territoriale du Duché de Savoie.
Les deux parties s'efforcent de maintenir un climat diplomatique cordial entre elles et s'engagent à ne pas chercher à se nuire directement ou indirectement.

II. | De la prévention des affrontements entre les parties.

La Principauté du Valais s'engage à ne pas porter la guerre au sein du Duché de Savoie, lors même que l'un de ses alliés voire qu'un autre canton de la Confédération Helvétique lui en fait la demande. Elle met en oeuvre tous les moyens utiles et nécessaires pour prévenir l'attaque du Duché de Savoie par l'un de ses alliés.

Le Duché de Savoie s'engage à ne pas porter la guerre au sein de la Principauté du Valais, lors même que l'un de ses alliés lui en fait la demande voire en cas de levée du ban impérial. Il met en oeuvre tous les moyens utiles et nécessaires pour prévenir l'attaque de la Principauté du Valais par l'un de ses alliés ou par le Saint Empire Romain Germanique.

III. | Des groupes et armés impliqués par l'accord.

Les deux parties distinguent deux principaux types de groupes et armées concernés par l'accord :
- les armées souveraines de chaque signataire : elles sont de facto les premières concernées par l'accord de non-agression et sont réputées toujours représenter la volonté souveraine, sauf trahison manifeste de leur capitaine (auquel cas la puissance souveraine s'en dédira).
- les armées privées agrémentées par un signataire : elles n'obéissent pas directement au pouvoir souverain, et ne sont pas réputées représenter la puissance souveraine, mais devront s'astreindre à respecter les termes de l'accord en vertu de l'agrément qui est le leur. L'accord devra donc leur être présenté et sera condition de l'agrément.

Il est loisible aux deux parties d'échanger une liste des armées concernées, pour éviter les litiges.

De simples individus ou de petits groupes de voyageurs pacifiques ne pourront être considérés comme des agresseurs. Ils relèveront néanmoins bien évidemment du droit commun du territoire où ils se trouvent, mais ne seront pas réputés engager respectivement le Duché de Savoie ou la Principauté du Valais.

IV. | De la contravention à l'accord de non-agression.

Une partie sera considérée comme contrevenant au traité si :
- l'un des groupes ou armées impliqués d'après l'article II franchit la frontière indûment sans autorisation, et sans être aussitôt réprouvé et sanctionné par l'autorité souveraine dont elle tient, par essence ou par contrat.
- a fortiori l'un de ces groupes ou armées engage le combat contre un groupe ou une armée de l'autre partie sur le territoire de cette dernière.

De telles contraventions peuvent entraîner la suspension voire la rupture immédiate du traité par la partie lésée, à son gré, avec effet immédiat dès qu'il en est fait publicité.

V. | De l'autorisation exceptionnelle de passage d'armées.

Dans le cas où une armée d'une des deux parties souhaiterait passer pacifiquement par le territoire de l'autre partie sans contrevenir au traité, elle doit, par le truchement de son capitaine, en faire préalablement la demande aux autorités de l'autre partie.

Lesdites autorités devront communiquer leur décision d’acceptation ou de refus sous soixante-douze (72) heures. Après ce délai, la demande sera considérée comme acceptée.

Le consentement éventuel doit faire l'objet d'un document officiel qui peut n'être pas rendu public, mais dont puissent arguer les deux parties en cas de litige ultérieur.

Ledit document sera de préférence clair et précis sur les modalités et le délai de l'autorisation de passage, pour éviter les litiges.

VI. | De la rupture du traité.

En-dehors du cas de contravention manifeste exprimé à l'article III, les deux parties peuvent demander à rompre le traité à tout moment.

La rupture ne sera néanmoins effective que deux semaines après réception de l'avis de rupture par l'autre partie, ou dès lors que l'autre partie y consent.

VII. | Du cas particulier d'affrontements collatéraux sur un territoire tiers.

En matière d'affrontements collatéraux, deux cas sont à envisager :
- si un jeu d'alliances ou de vassalités doit amener les deux parties à s'affronter sur un territoire tiers, ce n'est pas là un motif de rupture du traité. Il peut néanmoins être suspendu par l'une des parties, la suspension devant être notifiée à l'autre partie et étant effective deux jours après réception de l'avis.
- si un jeu d'alliances ou de vassalités doit amener les deux parties à s'affronter sur le territoire de l'une ou l'autre des parties, ce peut être un motif de suspension ou de rupture immédiate du traité par la partie lésée, comme spécifié dans l'article III.

Si une guerre éclate en effet entre deux alliances dont font partie le Duché de Savoie et la Principauté du Valais, les parties seront invitées à suspendre le présent traité en amont d'éventuels affrontements, pour ne pas nuire à leurs relations habituelles et pouvoir se tenir sur leurs gardes.

VIII. | De la modification du traité.

Sur consensus entre les parties, des modifications pourront être apportées au présent traité ultérieurement à son entrée en vigueur.

IX. | De l'entrée en vigueur et de la validité du traité.

Le présent traité entre en vigueur sans limitation de temps dès la ratification officielle des signataires.
Le présent traité sera publié par chacun des signataires sur son territoire, dans le respect des formes prévues par la coutume et la loi en vigueur.

~

Signé et scellé le 1er Juin 1464, au Vieux Pavillon du Château des Ducs de Savoie, à Chambéry.
Le Duché de Savoie et la Principauté du Valais, représentés respectivement par Sa Grâce le Duc de Savoie et Son Altesse le Prince du Valais :

Sambre d'Hellequin,
Prince du Valais

Sa Grace Yvon-Ulrich Borgia-Diftain d'Embussy-Taschereau,
Duc de Savoie.

En témoigneront pour leurs Duché et Principauté respectifs, par l'honneur et la diplomatie :

Alnilam Camberlhac,
Garde des Sceaux du Valais.

Amédiane Aristonelle Noëlle di Leostilla,
Chancelière de Savoie.

Fribourg - Fatum:

Citation :: ~ Traité de non-agression entre le Duché de Savoie et la République Consulaire de Fribourg ~

Préambule.

Le Duché de Savoie et la République Consulaire de Fribourg affirment la reconnaissance mutuelle de leurs institutions politiques et diplomatiques respectives. Ils décident d'un commun accord un traité de non-agression, selon les points suivants :

I. | De la non-agression.

Les parties contractantes n'engagent aucune agression entre elles, et n'agrémentent aucune armée attentatoire à la sécurité de l'autre partie.

II. | Du respect mutuel et de la primauté du dialogue.

Elles s'engagent à se respecter mutuellement, à assurer l'entretien d'un dialogue continu et à ne jamais entreprendre de mesures, complots ou accords ouvertement hostiles entre elles.

III. | Du refus des préjudices indirects.

Elles n'apportent, sous toutes formes, aucune aide directe ou indirecte à l'entreprise par un tiers d'une action hautement préjudiciable à l'autre partie.

IV. | Du refus des mesures d'exclusion.

Elles n’entreprennent aucune mesure d'exclusion envers les citoyens et sujets respectifs de l'autre partie contractante.

V. | De la sécurité des voyageurs.

Elles assurent la sécurité des citoyens de l'autre partie - non-hostile envers elles - sur leur propre territoire vis à vis de leurs propres armées ou des armées agrémentées par elles.

VI. | Du refus des entraves économiques.

Elles n'entravent, par la voie législative, politique, ou diplomatique, aucun commerce ni aucune opération économique entre les deux parties contractantes.

VII. | De l'infraction aux points I à VI.

Toute violation d'un des points I à VI est un motif d'abrogation immédiate du présent traité.

VIII. | Des agressions de la République Consulaire de Fribourg envers l'Empire.

Toute agression, d'elle ou d'une armée qu'elle agrémente, ou déclaration de guerre de la République Consulaire de Fribourg visant l'Empire ou l'une de ses régions est un motif de suspension immédiate du présent traité, pour la durée du conflit.

La suspension peut devenir abrogation si le conflit s'étend au territoire du Duché de Savoie.

IX. | Des agressions du Duché de Savoie envers la Confédération helvétique.

Toute agression, de lui ou d'une armée qu'il agrémente, ou déclaration de guerre par le Duché de Savoie visant l'Helvétie ou l'un de ses cantons est un motif de suspension immédiate du présent traité.

La suspension peut devenir abrogation si le conflit s'étend au territoire de la République Consulaire de Fribourg.

X. | De l'abrogation du traité en-dehors des cas prévus précédemment.

En cas d'abrogation du traité par l'une des parties en dehors des dispositions prévues par les points VII à IX, les parties promettent sur l'honneur d'en prolonger les effets pendant quinze jours.

~

Signé et scellé le vingt-sixième jour du mois de mai de l'an de grâce MCDLXIV, au Vieux Pavillon du Château des Ducs de Savoie, à Chambéry.
Le Duché de Savoie et la République Consulaire de Fribourg, représentés respectivement par Sa Grâce Yvon-Ulrich Borgia-Diftain d'Embussy-Taschereau, Duc de Savoie et Crakity, Consul de Fribourg :

Sa Grâce Yvon-Ulrich Borgia-Diftain d'Embussy-Taschereau,
Duc de Savoie.

Consul de Fribourg

En témoignera par l'honneur et la diplomatie :

Amédiane Aristonelle Noëlle di Leostilla,
Chancelière de Savoie.

Grandson:

Citation :: ~ Traité de non-agression entre le Duché de Savoie et le Canton de Grandson ~

Préambule.

Soucieux de poser les jalons d'une paix durable entre leurs peuples et d'établir une relation cordiale, le Duché de Savoie et le Canton de Grandson établissent solennellement entre eux, par le présent traité, un accord de non-agression mutuelle et en précisent les termes.

I. | De la non-agression.

Le Duché de Savoie s'engage à respecter l'intégrité territoriale du Canton de Grandson.
Le Canton de Grandson s'engage à respecter l'intégrité territoriale du Duché de Savoie.
Les deux parties s'efforcent de maintenir un climat diplomatique cordial entre elles et s'engagent à ne pas chercher à se nuire directement ou indirectement.

II. | De la prévention des affrontements entre les parties.

Le Canton de Grandson s'engage à ne pas porter la guerre au sein du Duché de Savoie, lors même que l'un de ses alliés voire qu'un autre canton de la Confédération Helvétique lui en fait la demande. Elle met en oeuvre tous les moyens utiles et nécessaires pour prévenir l'attaque du Duché de Savoie par l'un de ses alliés.

Le Duché de Savoie s'engage à ne pas porter la guerre au sein du Canton de Grandson, lors même que l'un de ses alliés lui en fait la demande voire en cas de levée du ban impérial. Il met en oeuvre tous les moyens utiles et nécessaires pour prévenir l'attaque du Canton de Grandson par l'un de ses alliés ou par le Saint Empire Romain Germanique.

III. | Des groupes et armés impliqués par l'accord.

Les deux parties distinguent deux principaux types de groupes et armées concernés par l'accord :
- les armées souveraines de chaque signataire : elles sont de facto les premières concernées par l'accord de non-agression et sont réputées toujours représenter la volonté souveraine, sauf trahison manifeste de leur capitaine (auquel cas la puissance souveraine s'en dédira).
- les armées privées agrémentées par un signataire : elles n'obéissent pas directement au pouvoir souverain, et ne sont pas réputées représenter la puissance souveraine, mais devront s'astreindre à respecter les termes de l'accord en vertu de l'agrément qui est le leur. L'accord devra donc leur être présenté et sera condition de l'agrément.

Il est loisible aux deux parties d'échanger une liste des armées concernées, pour éviter les litiges.

De simples individus ou de petits groupes de voyageurs pacifiques ne pourront être considérés comme des agresseurs. Ils relèveront néanmoins bien évidemment du droit commun du territoire où ils se trouvent, mais ne seront pas réputés engager respectivement le Duché de Savoie ou le Canton de Grandson.

IV. | De la contravention à l'accord de non-agression.

Une partie sera considérée comme contrevenant au traité si :
- l'un des groupes ou armées impliqués d'après l'article II franchit la frontière indûment sans autorisation, et sans être aussitôt réprouvé et sanctionné par l'autorité souveraine dont elle tient, par essence ou par contrat.
- a fortiori l'un de ces groupes ou armées engage le combat contre un groupe ou une armée de l'autre partie sur le territoire de cette dernière.

De telles contraventions peuvent entraîner la suspension voire la rupture immédiate du traité par la partie lésée, à son gré, avec effet immédiat dès qu'il en est fait publicité.

V. | De l'autorisation exceptionnelle de passage d'armées.

Dans le cas où une armée d'une des deux parties souhaiterait passer pacifiquement par le territoire de l'autre partie sans contrevenir au traité, elle doit, par le truchement de son capitaine, en faire préalablement la demande aux autorités de l'autre partie.

Lesdites autorités devront communiquer leur décision d’acceptation ou de refus sous soixante-douze (72) heures. Après ce délai, la demande sera considérée comme acceptée.

Le consentement éventuel doit faire l'objet d'un document officiel qui peut n'être pas rendu public, mais dont puissent arguer les deux parties en cas de litige ultérieur.

Ledit document sera de préférence clair et précis sur les modalités et le délai de l'autorisation de passage, pour éviter les litiges.

VI. | De la rupture du traité.

En-dehors du cas de contravention manifeste exprimé à l'article III, les deux parties peuvent demander à rompre le traité à tout moment.

La rupture ne sera néanmoins effective que deux semaines après réception de l'avis de rupture par l'autre partie, ou dès lors que l'autre partie y consent.

VII. | Du cas particulier d'affrontements collatéraux sur un territoire tiers.

En matière d'affrontements collatéraux, deux cas sont à envisager :
- si un jeu d'alliances ou de vassalités doit amener les deux parties à s'affronter sur un territoire tiers, ce n'est pas là un motif de rupture du traité. Il peut néanmoins être suspendu par l'une des parties, la suspension devant être notifiée à l'autre partie et étant effective deux jours après réception de l'avis.
- si un jeu d'alliances ou de vassalités doit amener les deux parties à s'affronter sur le territoire de l'une ou l'autre des parties, ce peut être un motif de suspension ou de rupture immédiate du traité par la partie lésée, comme spécifié dans l'article III.

Si une guerre éclate en effet entre deux alliances dont font partie le Duché de Savoie et le Canton de Grandson, les parties seront invitées à suspendre le présent traité en amont d'éventuels affrontements, pour ne pas nuire à leurs relations habituelles et pouvoir se tenir sur leurs gardes.

VIII. | De la modification du traité.

Sur consensus entre les parties, des modifications pourront être apportées au présent traité ultérieurement à son entrée en vigueur.

IX. | De l'entrée en vigueur et de la validité du traité.

Le présent traité entre en vigueur sans limitation de temps dès la ratification officielle des signataires.
Le présent traité sera publié par chacun des signataires sur son territoire, dans le respect des formes prévues par la coutume et la loi en vigueur.

~

Signé et scellé le 12 Juin 1464, au Vieux Pavillon du Château des Ducs de Savoie, à Chambéry.
Le Duché de Savoie et le Canton de Grandson, représentés respectivement par Sa Grâce le Duc de Savoie et L'Avoyer de Grandson :

Songea
Avoyère de Grandson

Sa Grace Yvon-Ulrich Borgia-Diftain d'Embussy-Taschereau,
Duc de Savoie.

En témoigneront pour leurs Duché et Canton respectifs, par l'honneur et la diplomatie :

Skarry d'Estac
Ambassadeur de Grandson.

Amédiane Aristonelle Noëlle di Leostilla,
Chancelière de Savoie.

Étendre la douane n'est pas compliqué, si le Maistre Douanier ne sait pas le faire Walan saura sans problèmes.

Vu qu'ils assiégeaient la Savoie, il semblait évident qu'ils ne pouvaient être en même temps ici... Bref...

Se dit que si ça leur fait du bien de penser que ce sont les informations qu'elle leur transférait à l'époque qui les ont amenés à cette décision, grand bien leur fasse...

Et ce que je rapporte là, c'est tout simplement la réaction de nos voisins.

Si y'a que ça hein la Savoie vous pouvez leur rappeler que pour l'affaire Ninoupitch non seulement on a passé l'éponge, mais on a envoyé une armée complète pour les libérer des hydres (ou des lion je sais plus, mais de genève quoi).
Une alliance c'est sensé marcher des deux côtés.

Je peux avoir les infos de Bourg pour les jours à venir.
Je vous laisse les infos de Macon.
En effet les savoyards ont signé un traité avec le Valais (renards ) , Fribourg (fatum ), Grandson (mesnie d'estac )
Voici les infos pour Mâcon :

Citation :: Groupes présents ici :
Corps d'armes de Wolfar
Sur autorisation Demander à adhérer
Lance de Ambroisine
Admission libre Adhérer
Lance de Helsinki, Gaelle, Madpompon, Akula
Admission libre Adhérer
Groupe de maréchaux de Emmich
embauches éventuelles à la mairie ou à la caserne
Lance de Lorrie., Germinal
Sur autorisation

Ainsi que la liste des villageois :
Liste des villageois (48)

Gwenn_de_lescart d'Estevaux VI 255PR
Lorrie. du chemin VI 255PR
Ambroisine de Castelnaudary V 52PR
Akula VI 255PR
Darkmitri VI 255PR
Emmich VI 255PR
Freddy63 VI 255PR
Gaelle V 255PR
Helsinki VI 255PR
Kirisou V 255PR
Lunkos VII 255PR
Madpompon VI 255PR
Mistermystere V 255PR
Naudin VI 255PR
Phebus_de_lescart VII 255PR
Polano VI 255PR
Tsatogua VI 255PR
Vladkof V 255PR
Wolfar VII 255PR
Zarbon VI 255PR
Gwendohermio VI 246PR
Simoveli IV 139PR
Magalona_eufrasia V 138PR
Theric VI 137PR
Nashia V 135PR
Axwell55 V 103PR
Adelphe_remiremont V 99PR
Germinal V 70PR
Auregan III 65PR
Black_imperator III 63PR
Armango IV 37PR
Naudine IV 37PR
Celta IV 32PR
Cyrielle_diane. III 29PR
Arwenna III 25PR
Luciolys III 25PR
Borka III 21PR
Proventus III 21PR
Admoon III 19PR
Jihanne.angele III 8PR
Jestanna III 7PR
Ploermel III 6PR
Sora_umbre II 5PR (Fiche d'objectifs)
Fleur_de_lhys II 4PR (Fiche d'objectifs)
Leyeene II 4PR (Fiche d'objectifs)
Lisa1 I 4PR (Fiche d'objectifs)
Swannfenrir II 4PR (Fiche d'objectifs)

Pour la mesnie d'Estac, voulez vous un topo par missive ou ici.

Nombre de messages : 1879 Localisation IG : Dié Date d'inscription : 29/12/2015

- Merci beaucoup Helsinki.

Ici, si vous voulez, à moins que vous jugiez les informations si sensibles qu'elles ne doivent être transmises qu'au pôle sécurité. A vous de juger.

Pour rappel, des gens comme Wahl qui habitent en helvetie ont accès ici...Ca ne veut pas dire qu'il y est affilié mais vous devriez y aller mollo avec ce type d'informations.

C'est principalement pour ça que je demandais si elle voulait des infos par missive.
je vous envoie donc les infos par missive.

» Situation préoccupante à Lyon
» Demande sécuritaire du Languedoc
» de la situation au conseil ducal, risque pour le duché???
» Demande l'intervention du conseil
» [IMPORTANT] Demande du Conseil