Brigandage-Ihsahn / Nenuphar(coop judiciaire Languedoc) COUP

Village : Valence
Prévenus : Ihsahn / Nenuphar
Victime : Ingresstar1er
Lieutenant Invictus


Sur la route de Montélimar à Valence, le père Ingresstar1er a été attaqué par deux brigands (Ihsahn et Nenuphar).
Mais l'ecclésiastique n'a pas tendu la joue et a repoussé ses assaillants ! 8)



(petite question technique, je fais un dossier pour chacun des agresseurs ou je laisse comme ça ?)

deux dossier séparé de préférance.

mais on peut le consacrer en 1 topic, c'est plus clair je pense.

Ihsahn et Nenuphar

Citation :

Dernière ville où ce personnage a été recensé: Uzès, le 2007-5-23 à 16:20

Y m'enerve ces brigands ils peuvent pas m'attendre un peu que jpuisse avoir le temps de les mettre en procès !

bon je vais voir Doc pour ça.

edit: J'ai écrit à Doc pour info mon acte d'accusation

Citation :

Nous Claraladouce , dame d’Upaix , procureur du Lyonnais Dauphiné intentons un procès contre messire Ihsahn et dame Nenuphar.

La cour vous reproche d’avoir racketté le père Ingresstar1er sur la route entre Valence à Montélimar le 21 mai 1455.

selon le traité de coopération judiciaire signé entre le Dauphiné et le Languedoc
selon les lois du Dauphinés qui stipulent Article IV.1.E sur le brigandage stipule que :
Les personnes coupables de brigandage seront poursuivies pour trouble à l'ordre public, et devront répondre devant la justice pour ce chef d'accusation.

La preuve de votre acte :

https://2img.net/r/ihimizer/img179/6472/ihsahnas9.png

La parole est à la défense

Citation :

Expéditeur : Docfusion
Date d'envoi : 2007-05-24 12:30:01

Salut tite clara.

Alors mordicusse et Xoran : leurs procès sont bientôt finis

Concernant marsise et les deux brigants Ihsahn et Nenuphar les procès viennent d'être ouvert.

Voili voilà,
jte fais un bisous

donc voilà

Docfusion m'envoie la plaidoirie de la défence

Citation :

HRP : Comment une preuve établie en 2007 peut elle être utilisée en 1455 ? La justice de ce royaume serait-elle rétroactive ? ]

* Nénuphar entra dans le tribunal, impressionnée et perplexe. Mais que faisait-elle dans ces lieux ???
Elle ne comprenait rien à la preuve qui était avancée, une suite de lettres et de chiffres sans aucun sens, et qui plus est imprononçable....
Apres un temps d’hésitation, elle s’adressa à la cour : *

Messires de la cour,

Comme mon ami Ihsahn, je demande l'arrêt des poursuites injustifiées qui nous visent.

Pour notre défense (s’il en est besoin d’une) je tiens a préciser qu’Ihsahn et moi avons traversé le royaume du nord au sud pendant plusieurs semaines et que nous n’avons commis aucun acte de brigandage. Vous pouvez prendre contact avec les juges de toutes le provinces traversées afin de le vérifier. Pourquoi aurions nous subitement décidé de faire ça, et si près de chez nous en plus? Nous étions juste en visite dans le Dauphiné pour quelques jours. C’est la parole de cet homme contre la notre…
Aucun témoin ne pourra appuyer ce prêtre, puisque nous n’avons pas commis l’acte pour lequel nous sommes accusés…

* Nénuphar espérerait que pour la cour, la parole d’un prêtre avait la même valeur que celle de simples, mais honnêtes, paysans. Elle ne savait plus trop quoi ajouter.

Elle remercia la cour de l’avoir écoutée. *

Le proc me demande un temoignage donc je vais écrire à Ingresstar1er.

Edit le 30/05

j'adresse à Docfusion le temoignage

Citation :

Père Ingresstar1er reçu un courrier du procureur le rassurant sur la transmission de sa plainte auprès du Languedoc puisque les deux brigands étaient revenus en leurs terres .
Il devait leur transmettre la version de ses faits puique la distance ne lui permettait de participer au procès .

Mes chers amis Languedociens, je suis bien désolé des circonstances qui me font vous correspondre.
J'ai passé bien des journées dans vos agréables lors du dernier mois puisque je dûs me rendre en Aragon puis enseigner durant plusieurs jours dans vostre Université et également en Provence.

Après plus d'un mois loin de ma demeure , il me fallait enfin regagner ma ville Vienne .

Le voyage se passait bien lorsque dans la nuit du dimanche 20 au lundi 21 mai , je venais de quitter Montélimar pour me rendre à Valence dans le Dauphiné .

Je voyageais avec mon ane qui portait mes achats récents (une barque et des rames) , lorsque une jeune femme et un homme se mirent à deux pour m'attaquer alors que la nuit allait tomber .
Je dois avouer qu'ils étaient fort malhabitués à ceci , ils pensaient pouvoir facilement dépouiller un religieux mais c'était sans compter sur ma force un peu conséquente mais surtout grace à Aristote à l'appui de mon ane qui prenant percuta violemment les deux brigands .
Je ne pus jamais rattrapper mon ane ce qui me fit finir mon voyage péniblement durant deux jours fort difficile suite au traumatisme de cette agression .

Monsieur le juge , je demande dans un premier temps que les accusés reconnaissent tout simplement leur faute .
Je voudrais que cet incident amène plusieurs choses :

- si les agresseurs sont baptisés qu'ils soeint excommuniés s'ils ne confessent pas longuement leurs fautes
- que les prêtres qui se déplacent hors de leurs frontières pour enseigner chez leurs voisins bénéficient d'un système d'escorte garantissant leur sécurité


Je vous remercie d'avoir lu l'intégralité de ma requête


Père Ingresstar1er , Baron de Chaponnay
Ambassadeur Apostolique du Lyonnais Dauphiné
Doyen de la Faculté Frère Nicolaide

Citation :

Le prévenu a été reconnu coupable de trouble à l'ordre public.
-« Accusé, levez-vous !

Nous, Marguerite de Volpilhat, Juge du Languedoc, allons donner lecture du jugement rendu par nous dans le cadre du traité de coopération judicaire entre le Lyonnais-Dauphiné et le Languedoc.

Après avis de la dispute contradictoire, après avis éclairé de messire le Procureur, après audition des témoins de la défense, nous avons statué, et statuons, pour que justice soit rendue, que :

Le manquement à la loi du Lyonnais-Dauphiné est réel et avenu. En conséquence, nous affirmons par là qu’il y a eu délibérément violation de l'article Article IV.1.E du Code Pénal du Corpus des lois du Lyonnais-Dauphiné relatif au brigandage. L’accusée a tenté de détrousser conjointement avec Ihsahn le père Ingresstar1er ;

Nous, Juge du Languedoc, prenons acte des arguments de la défense quant à la faiblesse des preuves apportées. Nous ne saurons considérer que les témoignages devant la présente cour, y compris la lettre de la victime, et nulle autre prétendue preuve.

Nous, Juge du Languedoc, entendons la plaidoirie de la défense et tenons à préciser que rien ne justifie le mensonge devant une cour de justice, ce dont s'est rendu coupable son complice Ihsahn ; que si le jugement ne leur convient pas, ils peuvent le déférer devant la cour d'appel du Royaume selon les modalités habituelles.

Nous, Juge du Languedoc, tenons à préciser que nous ne sommes pas en mesure de prononcer excommuniement. D'autre part, le Languedoc est doté d'un système d'escorte, et les faits ont eu lieu en Dauphiné-Lyonnais, province en laquelle nous, Juge du Languedoc, ne détenons pas le pouvoir de légiférer, pas plus sur les escortes que sur tout autre texte.

En conséquence de quoi, nous, Juge de Languedoc, au vu et su de tous, dans le pur respect de la législation dauphinoise, nous concluons que :

L’accusée est déclarée pour le principe coupable de tentative de voie de fait. En conséquence de quoi, nous la condamnons à une peine symbolique de un écu, pour qu'un tel acte de sa part soit considéré comme récidive si elle venait à le reproduire.

Ordonnons en sus que le présent verdict soit affiché en halle publique, au vu et su de tous, pour ce que la populace en soit informée ;

Faisons savoir à l'accusé, que le présent verdict est interjetable en appel suivant le mode opératoire défini par le règlement de la Cour d'appel du royaume.

Justice a été rendue !

Fa en Montpelhier, le 4 juhn de l'an 1455. »
Le prévenu a été condamné à une amende de 1 écu.


Acte d'accusation

En vertu du traité de coopération judiciaire qui lie le Lyonnais Dauphiné au languedoc, nous, docfusion, procureur du comté du Languedoc intentons un procès à l'encontre de Nenuphar pour le compte de Claradouce, procureur du Lyonnais Dauphiné. Voici le réquisitoire de l'accusation :

Nous Claraladouce , dame d’Upaix , procureur du Lyonnais Dauphiné intentons un procès contre messire Ihsahn et dame Nenuphar.

La cour vous reproche d’avoir racketté le père Ingresstar1er sur la route entre Valence à Montélimar le 21 mai 1455.

selon le traité de coopération judiciaire signé entre le Dauphiné et le Languedoc
selon les lois du Dauphinés qui stipulent Article IV.1.E sur le brigandage stipule que :
Les personnes coupables de brigandage seront poursuivies pour trouble à l'ordre public, et devront répondre devant la justice pour ce chef d'accusation.

La preuve de votre acte :

https://2img.net/r/ihimizer/img179/6472/ihsahnas9.png

La parole est à la défense
Première plaidoirie de la défense

[HRP : Comment une preuve établie en 2007 peut elle être utilisée en 1455 ? La justice de ce royaume serait-elle rétroactive ? ]

* Nénuphar entra dans le tribunal, impressionnée et perplexe. Mais que faisait-elle dans ces lieux ???
Elle ne comprenait rien à la preuve qui était avancée, une suite de lettres et de chiffres sans aucun sens, et qui plus est imprononçable....
Apres un temps d’hésitation, elle s’adressa à la cour : *

Messires de la cour,

Comme mon ami Ihsahn, je demande l'arrêt des poursuites injustifiées qui nous visent.

Pour notre défense (s’il en est besoin d’une) je tiens a préciser qu’Ihsahn et moi avons traversé le royaume du nord au sud pendant plusieurs semaines et que nous n’avons commis aucun acte de brigandage. Vous pouvez prendre contact avec les juges de toutes le provinces traversées afin de le vérifier. Pourquoi aurions nous subitement décidé de faire ça, et si près de chez nous en plus? Nous étions juste en visite dans le Dauphiné pour quelques jours. C’est la parole de cet homme contre la notre…
Aucun témoin ne pourra appuyer ce prêtre, puisque nous n’avons pas commis l’acte pour lequel nous sommes accusés…

* Nénuphar espérerait que pour la cour, la parole d’un prêtre avait la même valeur que celle de simples, mais honnêtes, paysans. Elle ne savait plus trop quoi ajouter.

Elle remercia la cour de l’avoir écoutée. *


Réquisitoire de l'accusation

Accusée, je vous transmet ici la version de la victime que nous avons fraichement reçu depuis le Dauphiné. Les messagers ont eu un peu de retard.

"Mes chers amis Languedociens, je suis bien désolé des circonstances qui me font vous correspondre.
J'ai passé bien des journées dans vos agréables lors du dernier mois puisque je dûs me rendre en Aragon puis enseigner durant plusieurs jours dans vostre Université et également en Provence.

Après plus d'un mois loin de ma demeure , il me fallait enfin regagner ma ville Vienne .

Le voyage se passait bien lorsque dans la nuit du dimanche 20 au lundi 21 mai , je venais de quitter Montélimar pour me rendre à Valence dans le Dauphiné .

Je voyageais avec mon ane qui portait mes achats récents (une barque et des rames) , lorsque une jeune femme et un homme se mirent à deux pour m'attaquer alors que la nuit allait tomber .
Je dois avouer qu'ils étaient fort malhabitués à ceci , ils pensaient pouvoir facilement dépouiller un religieux mais c'était sans compter sur ma force un peu conséquente mais surtout grace à Aristote à l'appui de mon ane qui prenant percuta violemment les deux brigands .
Je ne pus jamais rattrapper mon ane ce qui me fit finir mon voyage péniblement durant deux jours fort difficile suite au traumatisme de cette agression .

Monsieur le juge , je demande dans un premier temps que les accusés reconnaissent tout simplement leur faute .
Je voudrais que cet incident amène plusieurs choses :

- si les agresseurs sont baptisés qu'ils soeint excommuniés s'ils ne confessent pas longuement leurs fautes
- que les prêtres qui se déplacent hors de leurs frontières pour enseigner chez leurs voisins bénéficient d'un système d'escorte garantissant leur sécurité


Je vous remercie d'avoir lu l'intégralité de ma requête


Père Ingresstar1er , Baron de Chaponnay
Ambassadeur Apostolique du Lyonnais Dauphiné
Doyen de la Faculté Frère Nicolaide "

Son complice a été condamné a 1 écu pour s'assurer que son prochain acte soit compris comme étant de la récidive. Nous pensons qu'il est donc bon que l'accusée recoive la même peine.
Dernière plaidoirie de la défense

* Nénuphar écouta le réquisitoire de l’accusation sans interrompre. Pourtant elle sentait la colère qui montait en elle petit à petit. Elle se rappelait cette fameuse nuit du 21 mai qu’elle aurait préféré oublier. Elle décida qu’il était temps de dire la vérité et tant pis pour sa réputation !
Elle s’adressa de nouveau à la cour*

Messires de la cour,

Je vais vous dire ce qui s’est réellement passé cette nuit du 21 mai, bien que pour préserver ma réputation j’aurais préférer garder cet épisode de ma vie sous silence.
*Nénuphar était un peu embarrassée et sentait ses joues devenir rouge. *
En fait Ihsahn, mon ami et moi avons été surpris dans une situation plus que compromettante par le père Ingresstar1er. Quand celui-ci a compris que je n’étais ni mariée, ni baptisée, il est entré dans une colère noire et il est devenu violent, me traitant de dépravée et autres noms d’oiseaux…
En effet, comme vous avez pu le voir par la teneur de la lettre de ce prêtre, il est plutôt intégriste et extrême dans sa façon de voir les choses. Je ne citerai que cette phrase : « si les agresseurs sont baptisés qu'ils soient excommuniés s'ils ne confessent pas longuement leurs fautes »
Je maintiens que je ne l’ai nullement agressé, sinon dans ses convictions.
*Nénuphar sortit la preuve de ce qu’elle avançait à regret :

https://2img.net/r/ihimizer/img69/9073/preuvexe8.png

Elle repris la parole :*
Mon ami Ihsahn, que vous avez condamné à tord, a juste essayé de me protéger en cachant ces faits. Je maintiens donc la demande de l'arrêt des poursuites injustifiées qui nous visent et la révision du procès de mon ami, qui s’est comporté en parfait gentilhomme tout au long de cette aventure, tant sur les chemins qu’ici dans cette cour de justice.


* Nénuphar espérerait que pour la cour comprendrait et serait plus ouverte d’esprit que ce prêtre coincé. Encore une fois, elle remercia la cour de l’avoir écoutée. *

La défense a appelé Ihsahn à la barre

[Edit de la greffière Nethaa]MàJ du casier judiciaire fait[/Edit]