Kalten, de l'eau goutant de ses cheveux, monta son destrier, de l'eau dans ses bottes. Mais propre. Avisant l'état de sa lance, qui avait profité de l'éternité qu'il avait mit à s'équiper pour ripailler, Kalten décida que l'heure était au départ.
Allons, quittons cette terre que nous avons que trop foulé.
Talonant sa monture, Kalten la fit se retourner d'un coup sec de ses rènes pour prendre la direction du sud